Erstein
Erstein (/ɛʁʃtajn/[2],[3]) est une commune française située dans la Collectivité européenne d'Alsace, circonscription administrative du Bas-Rhin (ancien département du même nom), en région Grand Est.
Cet article concerne la commune. Pour l’entreprise sucrière, voir Erstein (sucrerie).
Erstein | |
Place de l'Hôtel-de-Ville. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Sélestat-Erstein |
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton d'Erstein |
Maire Mandat |
Michel Andreu-Sanchez 2020-2026 |
Code postal | 67150 |
Code commune | 67130 |
Démographie | |
Gentilé | Ersteinois[1] |
Population municipale |
10 621 hab. (2018 ) |
Densité | 293 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 25′ 22″ nord, 7° 39′ 42″ est |
Altitude | Min. 147 m Max. 157 m |
Superficie | 36,22 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Erstein (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Erstein (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-erstein.fr |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
La ville a été le siège de l'une des sous-préfectures du département, jusqu'à la fusion de cet arrondissement avec celui de Sélestat pour former l'arrondissement de Sélestat-Erstein en 1974.
Ses habitants sont appelés les Ersteinois.
Dans la région, Erstein était connue depuis le Moyen Âge pour son monastère (disparu) et depuis 1894 pour sa sucrerie.
Le maire de la commune est Michel Andreu-Sanchez, et ce depuis 2020.
Toponymie
Selon l'abbé René Friedel (1937), le nom d'Erstein pourrait provenir du celte erian (erde, terre). D'autres hypothèses décomposent le nom en herrin-stein « pierre de la dame noble », ehre-stein « pierre d'honneur » ou erstes-heim « premier foyer »[4],[5].
Son nom apparaît pour la première fois en 817 dans un parchemin par lequel l'empereur Louis le Pieux cède la « villa Herinstein » à son fils Lothaire Ier[5].
Mais selon toute vraisemblance, Herinstein était un bien propre de l'Impératrice.
Herrin est le féminin de Herr, ou Herro dans les serments de Strasbourg (voir par ailleurs sur Wiki). La deuxième partie du nom indique le possessif, -eigen en allemand, écrit -agni à l'époque mérovingienne.
La prononciation Herrin-stagni assez difficile, a donc simplement été traduit en Herinstein ; plus imagé.
La naissance du nom peut donc se rapporter à l'époque de Charlemagne empereur, et il est possible qu'auparavant le lieu avait une autre dénomination.
Différents noms du village, selon les documents anciens[4] :
- 815 (817 ?) Villa Herinstein ;
- 850 Herestein ;
- 868 Eresteheim ;
- 870 Erenstein ;
- 895 Herasten (roman) ;
- 999 Asterna (italien) ;
- 1198 Hystehin ;
- 1226-38 Eristhen et Erstheim ;
- 1247 Eschen (français) ;
- 1248 Orsterhere (français) ;
- 1262 Erstein ;
- 1330 Erstein (français) ;
- 1353 Cressein (tchèque).
Géographie
La ville est située à une vingtaine de kilomètres au sud de Strasbourg, dans la plaine d'Alsace, à une dizaine de kilomètres du Rhin et de la frontière avec l'Allemagne. Elle borde le canal du Rhône au Rhin.
Traversée par l'Ill, Erstein est sur la limite entre le « Grand Ried » du Rhin (zone inondable de prés et bois luxuriants) du côté est et la fertile plaine de lœss (roche sédimentaire détritique meuble composée de sédiments éoliens, très fertile pour l'agriculture) du côté ouest.
L'hydrographie et la proximité de la nappe phréatique rendent certaines zones limitrophes de la ville facilement inondables malgré l'aménagement de digues et écluses.
On trouve en bordure de la ville :
- des résurgences de rivières phréatiques : les Brunnwasser (« eaux de fontaine ») ;
- un massif de forêt rhénane de 600 hectares (classé réserve naturelle) : l'une des deux dernières forêts alluviales d'Europe (rivières, lianes, lierres, clématites, cornouillers, saules, roseaux...).
Hameau
Krafft : séparé de quelques kilomètres d'Erstein, Krafft est presque un village à part entière. Le hameau possède en effet des équipements sportifs complets (terrain de football, centre sportif, centre équestre...), avec notamment sa propre équipe de football (le FC Krafft), mais aussi une activité économique importante avec une zone artisanale et industrielle.
Sur un plan historique, on peut noter que c'est au niveau du pont enjambant le canal de décharge de l'Ill que fut stoppée la contre-offensive allemande de l'hiver 1944-1945, qui visait à reprendre Strasbourg.
Cours d'eau
- Le canal du Rhône au Rhin ;
- l'Ill ;
- la Scheer ne traverse pas le territoire de la commune d'Erstein, mais délimite la ville au nord.
Urbanisme
Typologie
Erstein est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Erstein, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[9] et 11 465 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), forêts (32 %), zones urbanisées (8,5 %), prairies (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,6 %), eaux continentales[Note 3] (6 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Économie
Principales entreprises
- L'emblème économique majeur est la sucrerie Erstein (fondée en 1893[16]) (Groupe Cristal Union). Cette sucrerie dont la marque Erstein est distribuée en région Nord-Est est un des principaux employeurs de la commune.
- Le siège français du Groupe Würth (groupe allemand leader mondial de la fixation) est situé dans la ville.
- La multinationale mexicaine de matériaux de construction Cemex y possède une unité de production de béton prêt à l'emploi.
- Le siège de l'entreprise BCM Baumert Construction Métallique[17].
La ville d'Erstein en zone rurale possède également une activité agricole - une dizaine d'exploitations - en polyculture[18].
Histoire
Erstein est connue en Alsace dès le Moyen Âge pour son abbaye bénédictine. Village ancien, à proximité d'une route romaine, son existence est attestée par des vestiges mérovingiens.
Nécropole mérovingienne
Des fouilles archéologiques entreprises dans la ville (1999-2003) ont mis au jour une vaste nécropole de l'époque mérovingienne. Plus de 300 tombes retrouvées, dont certaines contenant du mobilier d'une grande richesse, datées du Ve au VIIe siècle, témoignent de la transition en Alsace des influences romaine et germanique vers les traditions du peuple franc[19].
Quelques dates
- 817 : l'empereur Louis le Pieux cède la villa Herinstein à son fils Lothaire Ier.
- 952 à 994 : les empereurs Otton séjournent fréquemment à Erstein ; en , Otton le Grand donne l'abbaye d'Erstein à sa belle-mère Berthe, dite la Filandière.
- Noël 994 : lors de son séjour à Erstein, l'impératrice Adélaïde obtient des terres en Alsace pour son couvent de Seltz, de son petit-fils Otton III.
- 1191 : le roi Henri IV attribue au landgrave de Basse-Alsace Sigisbert de Werd, le fief d'Erstein (biens, bourg, droits de pêche sur l'Ill). Erstein obtient les privilèges et le titre de ville, et demeure sous l'autorité des landgraves.
- 1360-1472 : Erstein sous l'autorité des évêques de Strasbourg, à la suite de la vente par Charles IV.
- 1472-1790 : Erstein sous l'autorité du Grand Chapitre de Strasbourg.
- 1725 : interdiction de couvrir les maisons de paille, à la suite d'un grand incendie.
- 1790 : Erstein devient chef-lieu du canton. Élection du premier maire.
- : douze chariots chargés de poudre traversent la ville, l'un des tonneaux a une fuite, et à la suite d'une étincelle produite par le cerclage de la roue sur le pavé il s'ensuit une énorme explosion mettant le feu à 75 maisons, dont 45 furent complètement détruites.
- 1853 : construction de la filature de laine peignée. Premiers protestants.
- : entrée des soldats prussiens.
- nov. 1918 : entrée des soldats français.
- 1940 : entrée des soldats allemands.
- 28 nov. 1944 : entrée des soldats français (2e D.B.).
Abbaye Sainte-Cécile-et-Sainte Agathe
- 821 : Lothaire Ier épouse Ermengarde (fille du duc d'Alsace Hugues III) et lui offre la « villa d'Erstein » comme Morgengabe ; un présent (ou douaire) de lendemain de noces qui doit lui permettre de vivre en cas de décès du mari.
Pour sa fondation, Irmengarde se rend à Rome pour y chercher des reliques, c'est l'occasion d'une grande cérémonie à laquelle le peuple de Rome est associé.
- 848 : Première mention de la communauté des chanoinesses d'Erstein, dépendant directement du pape. Elles ont pour mission de prier pour l'Empereur. La première mère abbesse est la fille cadette d'Irmengarde.
- 849 : Irmengarde fait don d'une importante partie de la villa Herinstein au couvent.
- En 895, le monastère accueille des moniales de l'abbaye Sainte-Berthe de Blangy, chassées de leur couvent par les invasions normandes ; avec elles sont ramenées les reliques de sainte Berthe.
Après une période de prospérité qui dura jusqu'à la fin du XIIe siècle, l'abbaye déclina rapidement pour être supprimée en 1422. Les derniers biens du couvent furent incorporés aux biens de l'évêché en 1437.
Les derniers bâtiments disparurent définitivement en 1818, Schweighaeuser signale la découverte d'urnes romaines de terre rouge (1828). L'église abbatiale était située entre l'emplacement de la mairie (1844, 1926) et le bâtiment de la sous-préfecture (Kreisdirektion, 1880). Les deux seuls vestiges sont le calvaire (1746) de la rue du Monastère, et un vieux puits (1580) dans une propriété rue du Couvent.
Héraldique
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Les armes d'Erstein se blasonnent ainsi : |
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Erstein obtient dès le Moyen Âge les droits d'une ville, dont celui d'armoiries. Le motif apparaît dans le sceau de documents de 1335 et 1382 par lesquels Nicolas de Shuttern donne des garanties à l'abbesse. Il illustre l'appartenance de la ville d'une part au landgrave d'Alsace (Werd) et d'autre part à l'abbaye.
Services à la population
Culture
La ville dispose d'un cinéma géré par l'association Erstein-Cinéma[21] Il est équipé de deux salles, une première salle de 200 places avec un écran de 11 mètres avec, depuis , un projecteur numérique (DLP Cinema) avec système Dolby 3D et une seconde de 170 places avec un écran de 9 mètres avec un projecteur 35mm. Toutes deux bénéficient d'une sonorisation Dolby Digital (SRD) et sont climatisées. Depuis 2005, l'association participe à Augenblick[22], festival du cinéma de langue allemande en Alsace qui se tient au mois de mars.
La chaîne de télévision TV Erstein[23], diffuse sur le câble et sur internet, des émissions sur la vie locale, les manifestations organisées sur la commune d'Erstein - Krafft et des informations sur les associations erstenoises. Fréquence de diffusion sur le câble : 839,25 MHz - canal 67G.
Sports
La salle Herinstein installée au cœur des écoles Pierre-et-Marie-Curie offre un cadre sportif moderne et exclusif pour tout âge. Football et course d'orientation (Erstein fut par trois fois championne de France des clubs et compte le "dinosaure" de la course d’orientation française comme membre), ainsi que natation sont les sports phares d'Erstein.
La ville poSsède également un club junior d'Ultimate-frisbee.
Erstein compte également un stand de tir.
De plus, depuis 2008, Erstein possède un club d'aviron : l'Aviron Club du Pays d'Erstein
Écoles maternelles
- École du Château-d'Eau, rue d'Obernai ;
- École du Mittelholz, rue de la Bourgogne ;
- École du Briehly, rue de la Dordogne ;
- École Popp, rue du Rempart ;
- École de Krafft - rue de Saint-Quentin.
Écoles primaires
- Écoles Pierre-et-Marie-Curie
- École Anne-Frank, rue de Strasbourg
- annexe école A.-Schweitzer, rue de la Pente
- annexe école Popp, rue du Rempart
Enseignement secondaire
- Collège Romain-Rolland, rue de Wissembourg ;
- Lycée d'enseignement général, technologique et professionnel Marguerite-Yourcenar, rue Victor-Schœlcher.
Enseignement technique
- Lycée professionnel agricole, avenue de la Gare.
Enseignement spécialisé
- Institut formation en soins infirmiers (IFSI), 2 rue de la Laine-Peignée.
Régie municipale
- Distribution d'eau sur neuf communes ;
- Distribution d'électricité sur onze communes ;
- Production d'électricité « au fil de l'eau » (environ 2 % de la distribution totale) ;
- Gestion de l'éclairage public.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[29],[Note 4]
En 2018, la commune comptait 10 621 habitants[Note 5], en diminution de 2,7 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Lieux, monuments et événements
- Les Brunnwasser : résurgences de rivières phréatiques.
- Église Saint-Martin d'Erstein : mentionnée dès 1281, reconstruite en 1859-1861 sur le modèle de l'église de Willer-sur-Thur par l'architecte Ringeisen. L'église abritait une horloge construite en 1850 par Jean-Baptiste Schwilgué et d'un modèle comparable à celle installée en 1825 à Sélestat. Cette horloge a été motorisée dans les années 1950 puis restaurée (mais pas dans son état d'origine) en 2003 par l'entreprise Bodet. Elle est maintenant installée dans une vitrine au premier étage de l'Etappenstall.
Église Saint-Martin. Vue de la nef vers le chœur. Cuve de la chaire à prêcher (1699-1882). Vue de la nef vers la tribune et l'orgue Rohrer-Roethinger (1914). Calvaire (XVIIIe).
- Église luthérienne[32], construit par l'architecte Maximilian Metzenthin, inaugurée le .
- Sucrerie d'Erstein : fondée le par le baron Hugo Zorn von Bulach, des industriels et des agriculteurs ; cette raffinerie traite depuis plus d'un siècle toute la production alsacienne de betterave sucrière.
- Musée Würth.
- Etappenstall : maison du patrimoine et informations culturelles.
- Maison de tanneur.
- Réserve naturelle nationale de la forêt d'Erstein.
- La Fête du sucre (fin août) et son corso fleuri (défilé de chars fleuris).
Hôtel de ville (1844). Sous-préfecture, 2 rue du Couvent (XIXe). Centre culturel. Vue du parvis du musée Würth France à Erstein. Rue Mercière. Maison de tanneur (XIXe),
24 rue de Strasbourg.Maison de tanneur (XVIIIe-XIXe),
26 rue de Strasbourg.Maison de notable,
17 rue de Strasbourg.Ancien hospice (XIXe),
9 rue du Couvent.
Manifestations
- Circuit permanent pédestre organisé par les marcheurs du sucre ouvert toute l'année ; départ à l'office du tourisme et départ restaurant du Brochet parcours de 6 km - 12 km - 20 km.
- Marché aux Sucreries Hansel et Gretel : 1er week-end de décembre.
- Marche populaire nocturne et sonorisée de la Saint-Nicolas : 2e samedi du mois de décembre qui à partir de cette année est transformé en marche de jour le samedi.
- Festival du sucre : dernier week-end du mois d'août.
Personnalités liées à la commune
- Alphonse Hoch (1900-1967), musicien et vicaire de la cathédrale de Strasbourg, né à Erstein.
- Laure Diebold, née Mutschler (1915-1965), résistante, déportée et Compagnon de la Libération[33],[34], née à Erstein.
- François-Joseph Offenstein (1760-1837), général des armées de la République et de l'Empire, né à Erstein, décédé à Mouzay (Meuse).
- Jean-Marie Zemb (1928-2007), linguiste, né à Erstein.
Jumelages
- Endingen (Allemagne) depuis 1970.
- São João de Loure (Portugal) depuis 22 avril 2004.
Bibliographie
- (de) Fr. Eickhoff, Heimatskunde des Kreises Erstein, 1889
- Joseph Bernhard, Histoire de l'abbaye et de la ville d'Erstein, 1883
- (de) René Friedel, Geschichte des Klosters und des Fleckens Erstein, 1927
- Erstein : regard sur le passé, 1993, (ISBN 2-9507840-0-3)
- Philippe de Golbéry, Schweighaeuser "Antiquités de l'Alsace...' 1828
- (de) Die Geschichte Ersteins nebst der Erteiner Chronik des Franz Bach, Vogt in Erstein anno 1666 par Dr Caesar, Amstrichter in Erstein, 1912
Commandites
Erstein parraine la 291e Jägerbataillon de la Bundeswehr stationnée à Illkirch-Graffenstaden.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la ville
- Communauté de Communes du Pays d’Erstein
- Erstein sur l'IGN, l'INSEE
- Musée Würth France à Erstein
- Site officiel des Offices de Tourisme du Grand Ried
- Site "Erstein67" Histoire & Patrimoine
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
- « Localisation et prononciation des noms de lieux d'Alsace commençant par E, F ou G », sur elsasser.free.fr (consulté le ).
- « Remarques individuelles sur les toponymes alsaciens : homonymes, curiosités historiques ou onomastiques », sur elsasser.free.fr (consulté le ).
- Abbé René Friedel, Histoire de l'Abbaye et du bourg d'Erstein, 1927.
- Erstein : regard sur le passé, 1993, (ISBN 2950784003).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Erstein », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Catherine Piettre, « Alsace Histoire / Erstein, la ville-sucrerie », Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne, consulté le ).
- Site de l'entreprise BCM
- http://draaf.alsace.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/67cantonERSTEIN_cle0ee38c-1.pdf
- CAT.INIST
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
- Erstein-Cinéma
- Festival Augenblick
- TV Erstein
- Georges Riehl n'est plus, DNA, article du 7 avril 2011.
- Théo Schnée, dernier mandat, DNA, article du 17 mars 2007.
- [PDF] « Liste des maires du Bas-Rhin au 1er avril 2008 », sur www.bas-rhin.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Jean-Marc Willer élu président de la Comcom du canton d’Erstein, DNA, article du 12 janvier 2017.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Temples : Temple d'Erstein
- fiche sur le site de l'Ordre de la Libération
- C'est une des six femmes "Compagnons de la Libération"
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