Chenou
Chenou est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Chenou | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing | ||||
Maire Mandat |
Gérard Mousset 2020-2026 |
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Code postal | 77570 | ||||
Code commune | 77110 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chenouards | ||||
Population municipale |
320 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 09′ 59″ nord, 2° 39′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 118 m |
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Superficie | 13,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nemours | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 320 habitants.
Géographie
Localisation
La commune de Chenou se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1].
Elle se situe à 46,49 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 29,99 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 13,71 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Souppes-sur-Loing[1].
Communes limitrophes
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bougligny (3,3 km), Maisoncelles-en-Gâtinais (3,4 km), Château-Landon (3,6 km), Mondreville (4,4 km), La Madeleine-sur-Loing (5,4 km), Souppes-sur-Loing (6,0 km), Aufferville (6,6 km), Préfontaines (6,8 km).
Géologie et relief
Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[6],[7].
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||
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Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
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Pléistocène | |||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent | |||||||||
Miocène | non présent. | ||||||||||
Paléogène | Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent. | ||||||||||
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[8].
Hydrographie
Il n'existe aucun réseau hydrographique de surface[9].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 48 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].
Urbanisme
Typologie
Chenou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,13 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,13 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,06 %), zones agricoles hétérogènes (7,07 %), forêts (4,87 %)[22].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
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Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
0,00 ha | 0,00 % | 0,00 ha | 0,00 % | 0 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
1 306,20 ha | 95,13 % | 1 306,20 ha | 95,13 % | 0 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
66,91 ha | 4,87 % | 66,91 ha | 4,87 % | 0 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[25].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[26].
Lieux-dits, écarts et quartiers
La commune compte 77 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[27] dont Trémainville, Chenouteau, le Mesnil, Butteau.
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 159 dont 97,4 % de maisons et 2 % d'appartements[Note 7].
Parmi ces logements, 80,3 % étaient des résidences principales, 13,1 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 91 % contre 9 % de locataires[28].
Voies de communication
Trois routes départementales relient Chenou aux communes voisines :
- la D 7, à Maisoncelles-en-Gâtinais, au nord-ouest ; à Château-Landon, au sud-est ;
- la D 43, à Mondreville, au sud-ouest ; à Château-Landon, au sud-est ;
- la D 52, à Bougligny, au nord ; à Château-Landon, au sud-est.
Transports
Chenou est desservie par une ligne du réseau d'autocars Transdev Nemours[29],[30],[31] : la ligne 12, qui relie Château-Landon à Nemours.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous la forme Chenout en 1234[32] ; Chenotum en 1237[33] ; Chenostum en 1259[34] ; Chenost en 1313[35] ; Chenouse en 1489[36] ; Chenoe en 1564[37].
De « cassanos », chêne[38].
Politique et administration
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Chenou ne dispose pas d'assainissement collectif[42],[43].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[42],[45].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP Chenou - Mondreville qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [42],[46],[47].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Chenouards[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2018, la commune comptait 320 habitants[Note 8], en augmentation de 1,91 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
- Exploitations agricoles.
Agriculture
Chenou est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[53].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 24 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 56 ha en 1988 à 154 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chenou, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[53],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 24 | 14 | 8 |
Travail (UTA) | 41 | 24 | 13 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 334 | 1 450 | 1 228 |
Cultures[55] | |||
Terres labourables (ha) | 1 334 | 1 445 | 1 228 |
Céréales (ha) | 958 | 1 030 | 751 |
dont blé tendre (ha) | 571 | 747 | 507 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 55 | 74 | s |
Tournesol (ha) | 146 | 59 | 57 |
Colza et navette (ha) | 15 | 36 | 41 |
Élevage[53] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 339 | 291 | 64 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Sulpice-et-Saint-Antoine et son porche, XIIe siècle, Inscrit MH (1926)[56],[57].
- Le plateau du Gâtinais.
Voir aussi
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Chenou - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- « Distance entre Chenou et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Chenou et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Distance entre Chenou et Nemours », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Chenou », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Plan séisme consulté le 9 mars 2020 ».
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 9 mars 2020
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Orthodromie entre Chenou et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chenou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Annales Gâtinais, XXVI, 1908, p. 60.
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- Arch. nat., S 1180, n° 36.
- Arch. nat., S 15671.
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- « Eglise », notice no PA00086890, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les objets classés de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
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