Chantelle

Chantelle (Chantela en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ne pas confondre avec le groupe de lingerie Chantelle.

Chantelle

L'abbaye Saint-Vincent.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Moulins
Intercommunalité Communauté de communes Saint-Pourçain Sioule Limagne
Maire
Mandat
André Bidaud
2020-2026
Code postal 03140
Code commune 03053
Démographie
Gentilé Chantellois[1]
Population
municipale
1 091 hab. (2018 )
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 20″ nord, 3° 09′ 14″ est
Altitude Min. 258 m
Max. 349 m
Superficie 10,96 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gannat
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Chantelle
Géolocalisation sur la carte : Allier
Chantelle
Géolocalisation sur la carte : France
Chantelle
Géolocalisation sur la carte : France
Chantelle

    Ses habitants sont appelés les Chantellois.

    Géographie

    Localisation

    Chantelle est située au centre de la France, en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le département de l'Allier et dans l'arrondissement de Moulins.

    Jusqu'en mars 2015, elle fut chef-lieu de canton. À l'issue des élections départementales de 2015, la commune dépend du canton de Gannat[2].

    Traversée par la Bouble, affluent de la Sioule, sous-affluent de l'Allier, la commune abrite la forêt de Giverzat, ainsi qu'un vignoble et des zones bocagères.

    La situation de Chantelle, à la limite des anciens diocèses de Clermont et de Bourges, en faisait un emplacement stratégique, qui explique les mentions précoces qui en sont faites dès l'Antiquité.

    Distances :

    • 37 km à l'ouest de Vichy ;
    • 45 km au sud de Moulins ;
    • 66 km au nord de Clermont-Ferrand.

    Sept communes sont limitrophes de Chantelle[3] :

    Transports

    La commune est située à 20 km de l'A71 (axe nord/sud, sortie la plus proche à Ébreuil par l'autoroute A719).

    Le territoire communal est traversé par les routes départementales 987 (liaison de Saint-Pourçain-sur-Sioule à Bellenaves), 42 (de Montmarault à Saulzet), 282 (vers Deneuille-lès-Chantelle), 542 et 582[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Chantelle est une commune rurale[Note 1],[4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,2 %), prairies (37,9 %), zones urbanisées (8,8 %), forêts (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    L'antique Cantilia, mentionnée sur la carte de Peutinger, devenue Chantelle-la-Vieille  aujourd'hui sur la commune de Monestier  a une origine celte et, en raison de son emplacement où plusieurs routes se croisaient pour traverser la Bouble, elle constituait déjà une agglomération importante avant la conquête romaine. La grande voie de Brest à Clermont/Marseille y croisait diverses routes secondaires. Il semble que l'armée de Vercingétorix ait détruit la ville au moment de la guerre contre Jules César, mais la ville se reconstitua pendant la paix romaine. Sidoine Apollinaire (vers 430-488), évêque de Clermont, s’arrêta à Chantelle, ce dont il fit mention dans une lettre à Vectius (ami de Germanicus).

    Après la victoire de Clovis (465-511) sur les Wisigoths en 507 près de Vouillé, succédant à une phase troublée par les invasions, l’Auvergne fut intégrée dans le royaume franc, puis pacifiée par Thierry Ier. Incluse dans l’Austrasie dès 538, elle le resta jusqu’au début du VIIIe siècle.

    En 761, Pépin le Bref (714-768) prit d’assaut les forteresses de Bourbon et Chantelle.

    Après cette période, vers 1050, la ville changea de site et s'installa sur le site actuel, un relief isolé, camp retranché de création ancienne rappelant les oppida gaulois. Le site plus facile à défendre en tant que promontoire, dominant une boucle de la Bouble, formant un lieu idéal pour l’implantation d’un éperon barré. Un donjon carré prit la place de la motte fossoyée. Chantelle prit alors rang parmi les places fortes appartenant à la famille de Bourbon, comme Bourbon-Larchambault, Montluçon, Moulins, Belleperche, Murat. Dès le XIIIe siècle, Chantelle était le siège d’une châtellenie, administrée par un capitaine châtelain, et, au XIVe siècle, le duc Louis II de Bourbon (mort en 1410), entreprenant une défense en règle de son duché, consolida les fortifications de nombre de ses possessions, dont le château de Chantelle. La correspondance de la duchesse Anne de Beaujeu (1460-1522), fille du roi Louis XI (1423-1461-1483) et sœur aînée du roi Charles VIII (1470-1483-1498), montre qu'elle y installa souvent sa résidence, de nombreuses lettres ayant été écrites depuis ce château. Sa fille Suzanne (1491-1520) y accomplit elle aussi plusieurs séjours avec son mari, le connétable Charles de Montpensier (1490-1527).

    En 1523, celui-ci  ayant choisi, à la suite de sombres épisodes dus, semble-t-il, à la jalousie de Louise de Savoie, de mettre son épée au service de Charles-Quint (1500-1558) au détriment de François Ier (1494-1515-1547)  quitta le Bourbonnais, et une légende non vérifiable relate qu'il partit du château de Chantelle en ayant fait ferrer son cheval à l'envers. Il mourut lors du sac de Rome en 1527. Après la confiscation, en 1531, des biens du connétable par François Ier, le château entra, en même temps que le reste de la province du Bourbonnais, dans les domaines de la Couronne. La description que donne Nicolas de Nicolay en 1569, dans sa Générale Description du Bourbonnois, rédigée à la demande de Catherine de Médicis (1519-1589), suggère une puissante forteresse de 240 mètres de long sur 110 mètres de large. Dans la tour Saint-Pierre existait un atelier à fondre et faire de l’artillerie, et les arbalètes de Chantelle étaient des plus renommées. De nombreux souterrains secrets pouvaient assurer une sortie discrète, que le connétable aurait utilisée pour sa fuite. Ce n’est qu’en 1638, sur ordre du cardinal de Richelieu (1585-1641), que le château fut en grande partie démoli, même si quelques fragments des murs d’enceinte dominant la vallée de la Bouble perdurent encore.

    Par chance, l’église et le monastère voisins ne subirent pas le même sort et témoignent toujours du passé médiéval de la petite ville. Le vocable de l’église, Saint-Vincent, pourrait témoigner de l’ancienneté de l’implantation. En 937, Airald et son épouse Rothilde firent donation du site de Chantelle aux chanoines augustins de la ville d’Évaux — aujourd’hui Évaux-les-Bains, dans le département de la Creuse. Cette date marque le début de la vie monastique à Chantelle. Les chanoines demeurèrent dans leur maison conventuelle jusqu’à la Révolution. Les revenus du doyen de leur chapitre ayant été attribués au collège des Jésuites de Moulins à la fin du XVIIe siècle, quelques travaux furent entrepris, notamment la façade de l’église, qui resta néanmoins inachevée.

    Avant 1789, la commune faisait partie de l'ancienne province d'Auvergne[11].

    En 1793, la commune, précédemment dénommée Chantelle-le-Château, adopte le nom révolutionnaire de Chantelle[12].

    En 1794, les bâtiments monastiques furent vendus comme biens nationaux et utilisés comme grange.

    En 1853, une communauté de sœurs bénédictines, venue de Pradines, fut envoyée à Chantelle pour la réfection du site et l’édification d’une communauté religieuse.

    En 1891, le monastère fut élevé au rang d’abbaye.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1965 Michel Fleury Rad. Conseiller général du canton de Chantelle (1960-1966)
    Docteur vétérinaire
             
    1980 1995 Robert Jouannin DVD Conseiller général du canton de Chantelle (1992-2004)
    Docteur vétérinaire
    1995 2001 Guy Faivre   Expert-comptable

    (réélu en 2020[13])
    En cours
    (au )
    André Bidaud UDF
    puis DVD
    puis UDI
    Retraité du commerce
    Conseiller général du canton de Chantelle (2004-2015)
    Conseiller départemental du canton de Gannat (depuis 2015)
    7e vice-président du conseil départemental chargé des collèges et des transports (2015-2021)[14]
    5e vice-président du conseil départemental chargé des collèges et des transports des élèves en situation de handicap (depuis 2021)[15]
    Vice-président de la communauté de communes en Pays Saint-Pourcinois (en 2015)[16]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2018, la commune comptait 1 091 habitants[Note 2], en augmentation de 2,54 % par rapport à 2013 (Allier : −1,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1131 3341 3581 4351 6351 7281 8002 0001 976
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0512 0402 0732 0442 0142 0101 9211 9191 928
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8761 7481 6461 4541 3471 3151 3041 2601 182
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1471 1211 0691 0841 0431 0401 0561 0591 062
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0641 091-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Chantelle dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école maternelle[20] et une école élémentaire[21] publiques.

    Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens se rendent à Bellenaves[22] et les lycéens à Saint-Pourçain-sur-Sioule[23].

    Économie

    La commune est située dans la partie la plus méridionale du vignoble de Saint-Pourçain, désormais AOC ; son économie est tournée vers l’agriculture et le tourisme.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Abbaye Saint Vincent
    • Abbaye Saint-Vincent : l'abbaye est édifiée sur un éperon rocheux surplombant les gorges de la Bouble, affluent de la Sioule. Le caractère de forteresse de l'ancien château devenu monastère est nettement perceptible, vu l'aspect abrupt de certaines parties de l'édifice et la présence de plusieurs tours, reliées par un mur d'enceinte, qui confèrent à l'ensemble une silhouette médiévale. Depuis 1853, une communauté de Bénédictines occupe cette abbaye. Magnifique église de l’abbaye datant de la fin du XIe – début du XIIe siècle (école romane auvergnate).
    Intérêt particulier pour les chapiteaux et pour les bâtiments conventuels du XVe (gothique flamboyant). Boutique et commercialisation de produits de beauté, agro-alimentaires, para-médicaux ainsi que d’objets religieux. Ouverte toute l’année. Des visites guidées permettent de visiter l’abbatiale, ainsi que les jardins privatifs du monastère.
    La maquette des Amis du Pays Chantellois, réalisée à l’échelle 1/100e (m de long, m de large et m de haut) permet d’avoir une vision de ce qu’était le château.
    • La ville de Chantelle compte une quarantaine de maisons médiévales et quinze tours, témoignage de l’aisance et de la prospérité de Chantelle au XVe siècle. On remarque aussi plusieurs belles constructions du XIXe et des débuts du XXe, notamment une imposante demeure de style Napoléon III située en position dominante rue de l'Horloge, non loin de l'église Saint-Nicolas.
    L'église Saint-Nicolas
    • L’église Saint-Nicolas fut construite sur les ruines d’une chapelle romane par l’abbé Joseph Pougnet entre 1878 et 1882, en style néogothique. Ce prêtre architecte construisit également les églises de Chareil-Cintrat, Varennes-sur-Allier, Bressolles, mais aussi la cathédrale de Carthage, près de Tunis, ainsi que d’autres monuments religieux dans le midi de la France[Note 3] et au Maghreb.
    • Gorges de la Bouble : dans une nature sauvage, un sentier permet de suivre, vers l'amont, cinq km de gorges, qui accueillaient treize moulins jusqu’au XVIIIe siècle. Huit de ces bâtiments sont encore visibles.
      La Bouble en amont de Chantelle.
    • Le pont romain, dont il n'est pas sûr qu'il date de l'époque gallo-romaine mais peut-être plutôt du Moyen Âge[24]. Pont de pierre en ruine, il présente la particularité de se trouver, par suite d'un changement de cours de la Bouble, au milieu d'un champ. Il est inscrit au titre des Monuments historiques depuis 1928[25].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    D'or à la bande d'azur chargée en cœur d'un rossignol d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Gilbert Boudant, Histoire de Chantelle, Moulins, C. Desrosiers,
      réimprimé dans la collection « Monographies des villes et villages de France » (Micberth), 2004, 296 p. (ISBN 2-84373-446-0) (En ligne).
    • C. Grégoire, Le Canton de Chantelle,
      réimprimé sous le titre Chantelle (et ses environs), collection « Monographies des villes et villages de France » (Micberth), Paris, Res Universis, 1990, 416 p. (ISBN 2-87760-259-1).

    Article connexe

    Liens externes

    • Chantelle sur le site de l'Institut géographique national (archive)

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    3. Notamment l'église Saint-Vincent-de-Paul de Marseille et l'église Notre-Dame de Castellane.

    Références

    1. « Chantelle (03140) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
    2. Décret no 2014-265 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Allier.
    3. Carte de Chantelle sur Géoportail (consulté le 6 novembre 2016).
    4. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Didier Robert de Vaugondy (cartographe) et Elisabeth Haussard (graveur), Gouvernemens généraux de la Marche, du Limousin, et de l'Auvergne (carte), Paris, Robert de Vaugondy fils, (lire en ligne).
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. « André Bidaud, réélu maire de Chantelle pour un quatrième mandat », La Montagne, (consulté le ).
    14. « GANNAT », Conseil départemental de l'Allier (consulté le ).
    15. « M. André Bidaud », sur allier.fr, Conseil départemental de l'Allier (consulté le ).
    16. « La ComCom », Communauté de communes en Pays Saint-Pourcinois (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. « École maternelle publique », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    21. « École élémentaire publique », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    22. « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], Inspection académique de l'Allier, (consulté le ).
    23. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier » [PDF], Inspection académique de l'Allier, (consulté le ).
    24. Marcel Prade, Les ponts monuments historiques : Inventaire - Description - Histoire, Poitiers, Brissaud, coll. « Art & Patrimoine », , 431 p. (ISBN 2-902170-54-8), p. 47.
    25. « Ancien pont dit Pont romain », notice no PA00093036, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. Fiche sur le site de l'Ordre de la Libération.
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