Chanaleilles (Haute-Loire)
Chanaleilles est une commune française, située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la Margeride, aux confins de la Lozère, à une vingtaine de kilomètres de Saugues.
Pour les articles homonymes, voir Chanaleilles.
Chanaleilles | |||||
Église de Chanaleilles | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Rives du Haut Allier | ||||
Maire Mandat |
Alain Chateauneuf 2020-2026 |
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Code postal | 43170 | ||||
Code commune | 43054 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
179 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 3,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 51′ 43″ nord, 3° 29′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 1 077 m Max. 1 486 m |
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Superficie | 48,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune est située dans le sud du département de la Haute-Loire, à une vingtaine de kilomètres de la commune de Saugues. Elle est limitrophe de la Lozère.
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
La commune est constituée de douze hameaux :
- Chanaleilles
- le Villeret
- le Pin
- Chazeaux
- le Falzet
- le Fraisse
- Madrière
- le Crouzet
- Contaldès
- le Sauvage
- Pinatelle
- la Chazette
Géologie et relief
La commune de Chanaleilles, d'une superficie de 48,52 km2, est située sur le versant oriental des monts de la Margeride.
Située à une altitude variant entre 1 077 et 1 486 mètres (1 150 mètres au niveau de la mairie), son point culminant est le Truc de la Garde.
Urbanisme
Typologie
Chanaleilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,3 %), prairies (25,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 210, alors qu'il était de 193 en 2013 et de 189 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 44,8 % étaient des résidences principales, 40 % des résidences secondaires et 15,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chanaleilles en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (40 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,1 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Chanaleilles[I 1] | Haute-Loire[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 44,8 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 40 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,2 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
La commune et son village principal se nomment en occitan Chanalelhas, ce qui se prononce localement Tchanagueil.
Le pèlerinage de Compostelle
Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Saugues, la prochaine commune est Saint-Alban-sur-Limagnole.
Histoire
Le village de Chanaleilles a une histoire très ancienne, qui remonte au haut Moyen Âge. En 813, son existence est mentionnée dans une charte de délimitation des diocèses du Gévaudan et du Velay, signée par Alderfroy de Chanaleilles. Outre le château où réside le seigneur, le village possède une église et son cimetière. Il était alors le siège d'une seigneurie qui a donné son nom à l'une des plus anciennes et illustres familles du Vivarais, la famille de Chanaleilles, maison d'origine chevaleresque, qui remonte à Guillaume III de Chanaleilles, qui vivait vers 1228. Cette famille a fourni des chevaliers bannerets, des capitaines d'hommes d'armes, des officiers de terre et de mer, des lieutenants de roi de province, et des sénéchaux de noblesse.
En 1422, Pierre de Chanaleilles aida, comme seigneur banneret, le dauphin Charles, avant qu'il ne devienne Charles VII, pendant que ce jeune prince était retiré au pays du Velay. Après être monté sur le trône, ce monarque remercia Pierre de Chanaleilles, par une lettre clause, des services qu'il lui avait rendus, et le reçut chevalier.
Ce même Pierre de Chanaleilles fut le premier bailli d'épée installé au nom du roi de France en Vivarais et Valentinois.
Dès le début du XIVe siècle, les seigneurs de la maison de Chanaleilles se qualifiaient, dans leurs actes, de « nobles et puissants ».
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].
En 2018, la commune comptait 179 habitants[Note 2], en diminution de 5,29 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Politique et administration
Culture locale et patrimoine
L'église romane (XIIe siècle)
Située en plein cœur du village, l'église de Chanaleilles est une petite église romane du XIIe siècle, connue pour son clocher-mur caractéristique : clocher à peigne.
Après l'an mille, Dame Yvonne et son mari Arnault 1er sire de Chanaleilles reconstruisent leur manoir et l'église du village brulée par les pillards. L'acte de consécration est dressé par Druon, prêtre de Mende, le 3 des calendes de mai de l'an 1006, en présence de Robert de Salgues et de Guy de Monestrol. Cette église est composée d'une nef unique, voutée en berceau plein cintre. L'abside, voutée en cul-de-four, constitue la partie la plus ancienne, les pierres ont été datées du XIe siècle ou XIIe siècle. De chaque côté deux petites chapelles ont été aménagées. Dans l'une d'elles, nous pouvons retrouver les armoiries des seigneurs de Chanaleilles, qui figurent également vers la porte d'entrée de l'église. L'église est dédiée à la Vierge. Elle est inscrite depuis le 24 février 1964 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Dans l'église, la table du nouvel autel est en granite bleu du Velay. Sur le mur de l'abside, un crucifix est l’œuvre de Philippe Kaeppelin, un artiste du Puy-en-Velay. Les vitraux sont de Maurice Rocher de Paris.
Sosthène de Chanaleilles, marquis de Chanaleilles, de Montpezat, de Chambonas, baron des Éperviers, ancien conseiller général de l'Ardèche et ancien page de Louis XVIII, décida de revenir au point de départ de ses anciennes origines, fit construire au milieu du XIXe siècle une habitation sur les terres de la Chazette, à 1 200 m d'altitude. Très attaché au village et à ses habitants, le marquis fit don de quatre cloches à l'église. Il demanda aussi aux Sœurs Dominicaines de créer une école dans le village. À sa mort en 1887, il légua à l'église et au couvent la somme de 3 000 francs.
Vers la fin des années 1950, une profonde et importante fissure était apparue sur toute la longueur de la voûte. Celle-ci menaçait à terme l'édifice. Sous la direction du maire de l'époque et de quelques professionnels les hommes de la commune travaillèrent bénévolement pendant plusieurs années. L'édifice a pu être consolidé et la fissure colmatée. L'évêque du Puy est venu visiter l'église rénovée le 29 avril 1999. L’accès de l'église se fait par l'ancien cimetière. On remarquera une croix en fer forgé qui porte la date de 1771. Les contreforts de l'édifice sont dus aux différentes rénovations.
La domerie du Sauvage
C'est une ancienne « domerie » de Templiers, rachetée par le département de la Haute-Loire, qui la donne en location pour l'élevage de bestiaux. Grâce à quoi, on y trouve, à la fois gîte, produits de la ferme et un accueil digne de ce cadre merveilleux.
À 1 292 m d'altitude, isolé au sommet de la Margeride, face à une large vallée orientée au nord, le domaine du Sauvage comporte des bâtiments en pierre de taille, au bord de la forêt et bordés de pièces d'eau alimentées par la Virlange, ici proche de sa source.
À trois kilomètres à l'ouest, au bord de la route, le lieu-dit l'Hospitalet du Sauvage , nous éclairera par son souvenir sur l'histoire de ce vaste domaine.
Des historiens ont affirmé que l'Hospitalet (le petit hôpital) fut fondé en 1198 par Hélie de Chanaleilles et Hugues de Thoras puis confié aux mêmes Templiers.
Confisqués en 1314 comme tous les biens de l'ordre, domaine et hôpital auraient été dévolus à l'Hôtel-Dieu du Puy, les revenus allant aux hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem et le culte étant assuré par les prêtres de Saint-Médard de Saugues. En 1816, il fut vendu par les Hospices du Puy, puis en acheté par le conseil général de la Haute-Loire à la fin du XXe siècle.
Ces associations fournissent la preuve des liens étroits existant au long des voies pèlerines.
Vue de la dômerie du Sauvage depuis le Chemin de Compostelle. Abreuvoir en granite dans la cour de la dômerie. La cour de la dômerie du sauvage.
La chapelle Saint-Roch
Appelée aussi chapelle de l’Hospitalet du Sauvage, au Col de l'Hospitalet, à 1 308 m. Cette altitude marque le changement de département.
Le souvenir de l'ancien hôpital est perpétué par la fontaine Saint-Roch (encore en Haute-Loire), but d'un pèlerinage local toujours vivant, et la chapelle (déjà en Lozère) du même vocable.
Cet établissement, connu dès XIIIe siècle, dépendait alors de l'hôtel-dieu du Puy. En 1340, une église Saint-Jacques est attestée en ce lieu, de même qu'un pèlerinage en l'honneur de l'apôtre, le 25 juillet.
La Réforme eut raison de cette dévotion, et vers la fin des guerres de religion, la chapelle tomba en ruines, malgré tout le culte du saint demeura attaché à la fontaine portant son nom. Comme bien souvent au XVIe siècle, le culte de saint Roch, pèlerin de Rome se substitua à celui de saint Jacques.
Vers la fin du XIXe siècle, une nouvelle chapelle fut érigée à quelques centaines de mètres de là en territoire lozérien. Détruit par un cyclone en 1897, le monument fut reconstruit en 1901, tel que nous le voyons aujourd'hui.
Œuvres d'art
La commune de Chanaleilles possède une sculpture remarquable, une Vierge en majesté en bois peint polychrome, datant du dernier quart du XIIe siècle, conservée dans l'église, qui a été protégée par un classement au titre d'objet en date du 22 juillet 1958. Cette statue a été conservée par une famille durant la Révolution. Elle provient de l'ancienne chapelle du Villeret.
Personnalités liées à la commune
- Guillaume Ier de Chanaleilles, participa à la première croisade aux côtés du comte de Toulouse Raymond IV, dit Raymond de Saint-Gilles.
- Guillaume II de Chanaleilles, chevalier du Temple, favori du roi de France Louis VII pour succéder au poste de maître de l'Ordre en 1154 à Bernard de Tramelay — mort l'année précédente devant Ascalon — vit son élection contrée par André de Montbard (10??-1156) — le dernier des neuf premiers chevaliers fondateurs de l'Ordre — qui accepta sa nomination pour empêcher le contrôle de l'Ordre par le roi.
- Guillaume III de Chanaleilles, seigneur de Chanaleilles, qui fut à l'origine de la famille de Chanaleilles.
- Charles François Guillaume de Chanaleilles (1767-1845), baron, puis marquis de Chanaleilles, a donné son nom à une rue de Paris
- Jacques Portefaix, âgé de 12 ans, combat la Bête du Gévaudan le au lieudit La Coutasseyre, avec quatre garçons (Joseph Panafieu, Jean Pic, Jacques Couston et Jean Veyrier) et deux filles (Madeleine Chausse et Jeanne Gueffier). Il est né au village du Villeret, paroisse de Chanaleilles, le [16]. Pour le récompenser de sa bravoure, Louis XV prend en charge son éducation. Il meurt le à Franconville[17]. Âgé de 33 ans, il est lieutenant d'artillerie.
Langue
Le village se trouve aux confins de deux dialectes occitans : le languedocien (occitan méridional) et l'auvergnat (nord-occitan), son dialecte a une phonétique qui tient des deux zones dialectales.
Héraldique
Blason | D'or à trois lévriers de sable, colletés de gueules, courant l'un sur l'autre[18]. |
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Détails | Armes de la famille de Chanaleilles, où les colliers sont passés d'argent à gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Chanaleilles » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chanaleilles - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chanaleilles - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seuge (K2254000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Virlange (K2234000) » (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- voir http://www.archives43.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDItMjQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6MztzOjQ6InJlZjIiO2k6NDMzNDtzOjE2OiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sIjtiOjE7czoyMToidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbF9tb2RlIjtzOjQ6InByb2QiO30=#uielem_move=172%2C76&uielem_rotate=F&uielem_islocked=1&uielem_zoom=77. Vue 339/343.
- voir http://archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta52031285137fb/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0eebc843743cf404aacc9b0cb35426cf#id:1840147666?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1444.000,-1016.000&zoom=6&rotation=0.000. Vue 247/253.
- « 43054 Chanaleilles (Haute-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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