Châteauneuf-du-Rhône

Châteauneuf-du-Rhône est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Châteauneuf.

Châteauneuf-du-Rhône

La mairie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Marielle Figuet
2020-2026
Code postal 26780
Code commune 26085
Démographie
Gentilé Castelneuvois, Castelneuvoises
Population
municipale
2 724 hab. (2018 )
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 12″ nord, 4° 43′ 02″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 335 m
Superficie 27,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montélimar-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Châteauneuf-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Châteauneuf-du-Rhône
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Châteauneuf-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : France
Châteauneuf-du-Rhône

    Géographie

    Localisation

    Châteauneuf-du-Rhône est situé à km au sud de Montélimar et 60 km au sud de Valence.

    Le Teil
    Ardèche
    Montélimar Montélimar
    Allan
    Viviers
    Ardèche
    N Allan
    O    Châteauneuf du Rhône    E
    S
    Viviers (Ardèche)
    Donzère
    Donzère
    Malataverne
    Malataverne

    Relief et géologie

    Le territoire de la commune, faisant partie de la Vallée du Rhône, est assez plat. La commune est dominée par deux collets : Le Navon (altitude de 335 m) au sud, et le Montchamps (altitude de 177 m)[réf. nécessaire].

    Hydrographie

    La commune est bordée, à l'ouest, par le Rhône.

    Réseau routier

    Châteauneuf-du-Rhône est accessible par la route départementale RD 144, depuis Donzère, au sud, ou Montélimar, au nord.
    Un pont relie le centre ville à la commune voisine de Viviers en Ardèche de l'autre côté du Rhône.

    La péage de l'autoroute A7 le plus proche est celui de Montélimar sud (n°  18).

    Réseau ferroviaire

    Il n'y a pas de gare en activité à Châteauneuf-du-Rhône, bien que la Ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles traverse la commune pour desservir la gare de Donzère, la plus proche, et celle de Montélimar.
    Le TGV Méditerranée marque certains arrêts dans cette dernière.

    Transports en commun

    La ligne de bus no 42 (Avignon-Montélimar) dessert quotidiennement la commune (plusieurs allers-retours)[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauneuf-du-Rhône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châteauneuf-du-Rhone, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[5] et 4 737 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), forêts (17,6 %), eaux continentales[Note 3] (14,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones urbanisées (4,8 %), cultures permanentes (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %), mines, décharges et chantiers (2,4 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • (Non daté) : mention de l'église (Saint-Nicolas) : ecclesia de Castello Novo (cartulaire d'Ainay, ch. 51).
    • 1250 : mention de l'église (Saint-Nicolas) : ecclesia de Castro Novo (cartulaire d'Ainay, ch. 11).
    • 1292 : Castrum Novum Montis Pancerii (terrier de Saint-Pierre-du-Palais).
    • 1292 : mention de l'église Saint-Nicolas : ecclesia Beati Nicolay Castri Novi (terrier de Saint-Pierre-du-Palais).
    • 1300 : Castrum Novum ad Rhodanum (terrier de Saint-Pierre-du-Palais).
    • 1364 : Castrum Montispenserii (terrier de Saint-Pierre-du-Palais).
    • 1365 : Castrum Novum de Raco (choix de docum., 161).
    • 1367 : mention du mandement : mandamentum Castri Novi (terrier de Saint-Pierre-du-Palais).
    • 1442 : Castrum Novum de Rac (choix de docum., 275).
    • 1579 : Chasteauneuf de Rac (archives de la Drôme, E 2725).
    • 1598 : Chasteauneuf du Rosne ((terrier de Saint-Pierre-du-Palais)
    • 1793 [révolutionnaire] : Bourg-le-Rhône (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 237)
    • 1891 : Châteauneuf-du-Rhône, commune du canton de Montélimar.

    Histoire

    Préhistoire

    Le Navon, site néolithique[réf. nécessaire].

    Protohistoire

    En 2006, des fouilles, effectuées au lieu-dit la Maladrerie, ont mis au jour 43 structures à pierres chauffées, datées de la fin de l'Âge du Bronze (VIIIe siècle avant notre ère)[13].

    Les Celtes

    Un oppidum de l'Âge du Fer domine le Rhône au lieu-dit Château Porcher[réf. nécessaire].

    Antiquité : les Gallo-romains

    Vestiges romains  : mosaïques, statues, médailles, sarcophages du Ve siècle[14].

    En 2006, sur le site de La Labre, ont été découvertes 130 sépultures datées des IIe et IIIe siècles[13].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La commune est traversée par la grande route du Languedoc[14].

    En 1014, il est fait mention du mandement de Châteauneuf[15].

    La seigneurie[12] :

    • 1206 : les évêques de Viviers sont « hauts seigneurs » de la terre. Le « domaine utile » appartient aux Châteauneuf.
    • 1264 et 1295 : les évêques acquièrent le « domaine utile ».

    Dès le XIVe siècle, la commune est dirigée par des consuls[14].

    1762 (démographie) : 120 maisons[12].

    Avant 1790, Châteauneuf-du-Rhône était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux. Son église, dédiée à saint Nicolas, et les dîmes appartenaient à l'abbé d'Ainay en sa qualité de prieur du lieu (voir Le Palais).
    Le mandement de Châteauneuf-du-Rhône avait la même étendue que la commune de ce nom[12].

    Le Palais

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

    • 1153 : ecclesia de Palatio (cartulaire d'Ainay, 51).
    • 1253 : prioratus de Palatio in Tricastinensis diocesis (cartulaire d'Ainay, 18).
    • 1292 : prioratus Beati Petri de Palatio de Castronovo (terrier de Saint-Pierre-de-Palais).
    • 1367 : prioratus Sancti Petri Palatii mandamenti Castri Novi (terrier de Saint-Pierre-de-Palais).
    • 1483 : prioratus Sancti Petri de Palacio (terrier de Saint-Pierre-de-Palais).
    • 1574 : Grand Palaiz (terrier de Saint-Pierre-de-Palais).
    • 1598 : le Grand Pallaix (terrier de Saint-Pierre-de-Palais).
    • 1891 : Le Palais, ruines et quartier de la commune de Châteauneuf-du-Rhône.

    Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (de la dépendance de l'abbaye d'Ainay) connu dès 1250, réuni à cette abbaye en 1568. Son titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse de Châteauneuf-du-Rhône.

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, Châteauneuf-du-Rhône fut compris dans le canton de Donzère, mais la réorganisation de l'an VIII l'a fait entrer dans celui de Montélimar[12].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1793 Jean-Louis Cheynet   avocat au parlement de Grenoble
    1793  ? Charles-Cyrille Reynaud   notaire royal
     ? 1817  ?    
    1817 1827 Louis Joseph du Sault de Saint-Montant    
     ?  ? Pierre-François-Frédéric de Rivière de La Mure Légitimiste officier de cavalerie
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871    ?    
    1874    ?    
    1878    ?    
    1884    ?    
    1888    ?    
    1892    ?    
    1896    ?    
    1900    ?    
    1904    ?    
    1908    ?    
    1912    ?    
    1919    ?    
    1925    ?    
    1929    ?    
    1935    ?    
    1945 1947 Maurice Pic[17] SFIO professeur de collège
    sénateur de la Drôme (1948-1959)
    député de la 2e circonscription de la Drôme (1958-1971)
    1947 1953 Maurice Pic   maire sortant
    1953 1959 Maurice Pic   maire sortant
    1959    ?    
    1965    ?    
    1971    ?    
    1977    ?    
    1983    ?    
    1989 1995 Jean-Louis Jullian UDF  
    1995 2001 Jean-Louis Jullian   maire sortant
    2001 2008 Jean-Louis Jullian   maire sortant
    2008 2014 Christian Mandrin UDF retraité
    2014 2020 Marielle Figuet   cadre
    vice-présidente de Montélimar Agglomération (2014-)
    2020 En cours
    (au 27 décembre 2020)
    Marielle Figuet[18][source insuffisante] DVD[19] maire sortante, conseillère départementale depuis 2021

    Villes et villages fleuris

    En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[20].

    Jumelages

    Dolhesti Bradicesti Pietris

    La commune est jumelée avec la ville roumaine de Dolhesti Bradicesti Pietris, dans le Județ de Iași, depuis 2007[21].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2018, la commune comptait 2 724 habitants[Note 4], en augmentation de 5,95 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9248849491 0791 3331 4011 4501 4011 402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4701 3641 2931 3731 3051 2421 1951 2011 089
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1031 1241 1281 0641 1271 1521 1121 0661 214
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 3631 4841 6541 9772 0942 2202 2522 2752 640
    2018 - - - - - - - -
    2 724--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les élèves de la commune débutent leur étude sur la commune :

    La commune possède un Centre de Formation Professionnelle Forestière géré par la Chambre de commerce et d'industrie de la Drôme[réf. nécessaire].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : le quatrième dimanche de septembre[14].

    Loisirs

    • Plan d'eau[14].
    • Nautisme[14].
    • Pêche[14].
    • Parc (associatif) dédié aux trains miniatures. Ces derniers sont un peu plus grands que les trains électriques jouets, et permettent la promenade[28].

    Sports

    Le Club Omnisports de Châteauneuf-du-Rhône (C.-O.C.) a été fondé le par Paul Silhol. Il comptait huit disciplines : le tennis, le tennis de table, le canoë, la planche à voile, la natation, la spéléologie, la pétanque et le football[réf. nécessaire].

    • En 1998-1999, seules restaient en activité la pétanque et le football (couleur : Jaune et Bleu) / de la mi-août à fin juin)[réf. nécessaire].
    • Le C.O.C. Foot. a gagné plusieurs titres de champion Drôme-Ardèche comme en 1994, 1996, 1997 (senior), 1998 (benjamin). Il a aussi été le vainqueur de la coupe René-Giraud en 1998[réf. nécessaire].

    Économie

    Façade de la Centrale hydroélectrique Henri Poincaré.

    Agriculture

    En 1992 : blé, vergers, vignes (vin AOC Coteaux du Tricastin).

    • Marché : le lundi[14].

    Commerce

    Plusieurs commerces sont installés sur la commune : deux boulangeries, une boucherie, un bar-tabac, un coiffeur, une superette[29].

    Hôtellerie-restauration : deux hôtels et cinq restaurants[30].

    Industrie

    Une Centrale hydroélectrique Henri Poincaré a été mise en service en 1957 sur le canal de dérivation du Rhône. Elle constitue, avec le barrage de Rochemaure (sur le vieux Rhône en Ardèche), l'un des douze aménagements situés entre Lyon et la mer, et destinés à la production d'électricité, à la navigation, à l'agriculture et à la gestion des crues.
    Tous ces aménagements, avec ceux du haut-Rhône français, sont la propriété de la Compagnie nationale du Rhône qui les exploite[31].

    Tourisme

    • Site du vieux village à l'entrée du défilé[14].
    • Syndicat d'initiative (en 1992)[14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Vestiges de fortifications : tour et remparts[14].
    Enceinte médiévale barrant le passage de la voie Montélimar-Donzère et se raccordant à deux châteaux perchés (Montpensier et Sainte Catherine) avec tours et portes[réf. nécessaire].
    • Église Saint-Nicolas (XIIe siècle au XVe siècle) : façade moderne, statues de bois[14].
    • Porte de Donzère du XIVe siècle[14].
    • Village ancien. : maisons des XVe et XVIe siècles (dont la maison des seigneurs), porches, ruelles, voûtes[14].

    Autres :

    • Château de Montpensier (ruiné)[14].
    • Château de Combeaumont[14]/ (maison forte remaniée au XIXe siècle[réf. nécessaire]).
    • Chapelle Saint-Vincent (ruinée)[14].
    • Chapelle Saint-Saturnin (ruinée)[14].
    • Ancienne chapelle des Pénitent Blancs[14].
    • Oratoire de Saint-Joseph du XIXe siècle[14].
    • Château de Port-Vieux datant du XIXe siècle[réf. nécessaire].
    • Château de la Grangette datant du XIXe siècle[réf. nécessaire].
    • Hôtel d'Arlempdes[réf. nécessaire].
    • Manoir le Roure[réf. nécessaire].
    • Gare de Châteauneuf-du-Rhône (fermée) : ancien bâtiment construit en 1854[réf. nécessaire].

    Patrimoine naturel

    • Grottes[14].
    • Fontaine de Morterol (chaude en hiver, froide en été)[14].

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    Inconnu.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Bibliographie

    • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://www.ladrome.fr/fileadmin/user_upload/Transport_horaires_lignes/2012_1/transport26_201201_l42.pdf Ligne no 42]
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Châteauneuf-du-Rhône », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 78.
    13. [PDF]rapport d'activité 2006 de l’Inrap page 110-111
    14. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Châteauneuf-du-Rhône.
    15. Élisabeth Sirot, Introduction à l'archéologie médiévale
    16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 253 (Le Palais).
    17. Maurice Pic, ses agendas et la conquête de la Drôme, par Philippe Veitl
    18. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
    19. « Résultats municipales 2020 à Châteauneuf-du-Rhône », sur lemonde.fr (consulté le ).
    20. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    21. Jumelage
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. école maternelle
    27. école primaire
    28. petit train castelneuvois
    29. commerces
    30. commerces hébergements touristiques
    31. « Aménagements du Rhône », sur Région Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
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