Malataverne

Malataverne est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Malataverne (roman) et RAC.

Malataverne

La mairie de Malataverne.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Drôme Sud Provence
Maire
Mandat
Véronique Alliez
2020-2026
Code postal 26780
Code commune 26169
Démographie
Gentilé Malatavernois, Malatavernoises
Population
municipale
2 066 hab. (2018 )
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 19″ nord, 4° 45′ 06″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 390 m
Superficie 16,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grignan
Législatives Deuxième circonscription

Montélimar-2 (avant mars 2015)

Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Malataverne
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Malataverne
Géolocalisation sur la carte : France
Malataverne
Géolocalisation sur la carte : France
Malataverne

    En 1891, la commune portait encore le nom de Rac. Malataverne n'en était qu'un hameau.

    Géographie

    Localisation

    Malataverne est situé à km au sud de Montélimar.

    Relief et géologie

    Relief

    Sites particuliers :

    • Colline Le Navon (alt. 335 m)[réf. nécessaire].
    • Colline de Montchamp (alt. 330 m) : la colline est un point de repère au seuil de la Provence. Elle domine le col de Malataverne, ancien passage du Rhône, passage naturel entre la plaine de Montélimar et celle de Pierrelatte[réf. nécessaire].
    • Colline de Roucoule : site de la Roche du guide ; elle possède une cavité (dite la grotte Mandrin), caverne de m de profondeur, avec une entrée de 13 m de large et de m de haut[réf. nécessaire].
    Géologie

    Hydrographie

    La Riaille

    Son nom dérive de l'ancien occitan riailh « ruisseau », dérivé du latin rivus, avec le suffixe -alia[réf. nécessaire].

    Ce ruisseau a sa source sur la commune d'Allan, traverse celles de Malataverne (Rac) et de Châteauneuf-du-Rhône et se jette dans le Rhône après un cours de 10 km. En 1891, sa largeur moyenne est de quatorze mètres, sa pente est de 121 m, son débit ordinaire est de 0,50 m3, extraordinaire de 140 m3[1] :

    • 1300 : aqua de Rialha (terrier de Saint-Pierre du Palais).
    • 1367 : Realha (terrier de Saint-Pierre du Palais).
    • 1425 : La Rialha (archives de la Drôme, E 1482).
    • 1669 : La Rialle et Les Boissières (archives de la Drôme, E 482).
    • 1891 : La Rialle

    Voies de communication et transports

    La ligne de bus no 42 (Avignon-Montélimar) dessert quotidiennement la commune, avec plusieurs allers-retours[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Malataverne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châteauneuf-du-Rhone, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 4 737 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (42,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), forêts (32 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %), zones urbanisées (7,8 %), terres arables (3,2 %), cultures permanentes (1,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Hameaux, lieux-dits et quartiers

    • Hameau des Joannins ;
    • hameau de Rac ;
    • quartier Le Moulinas ;
    • quartier Le Pont d'Ombras ;
    • quartier Le Colombier ;
    • quartier Bastian ;
    • quartier La Grèze ;
    • quartier Bel Air ;
    • quartier Malombre.

    Sismicité

    •  : une série de tremblements de terre frappe les villages de Rac, Châteauneuf-du-Rhône et Donzère. Les secousses se produisent jusqu'au . Les plus violentes sont celles du et du . À Châteauneuf-du-Rhône, la plupart des maisons se lézardent et les habitants sont obligés de coucher dehors par mesure de sécurité. L’église et la gare de Donzère sont endommagées[13].
    •  : une longue série de plusieurs centaines de secousses telluriques, dont certaines très violentes, commence dans le Tricastin. Les secousses sont ressenties à Malataverne, Donzère, Châteauneuf-du-Rhône et Les Granges-Gontardes[13].

    Toponymie

    En 1891, la commune portait encore le nom de Rac. Malataverne n'en était qu'un hameau.

    Par le décret du , Malataverne devient le chef-lieu de la commune qui prend son nom. Rac n'est plus qu'un hameau[réf. nécessaire].

    Rac

    Attestations[14]
    • 1182 : de Rac (cartulaire des Templiers, 135).
    • 1281 : mention du mandement : mandamentum castri de Raco (cartulaire de Durbon).
    • 1291 : Racum et castrum de Raco (Valbonnais, II, 59).
    • 1338 : de Ranco (archives de la Drôme, E 3490).
    • 1391 : Raac (choix de docum., 214).
    • 1891 : Rac, commune du canton de Montélimar.
    Étymologie

    Malataverne

    Malatavèrna en occitan provençal[réf. nécessaire].

    Attestations

    Le toponyme Malataverne est attesté en 1710 (archives de la Drôme, E 6804). En 1891, c'est un hameau de la commune de Rac[15].

    Étymologie

    Histoire

    Préhistoire

    • Site de la colline de Roucoule : occupé du 50e au 42e millénaire par les Néandertaliens[réf. nécessaire].

    Protohistoire

    • Site de la colline de Montchamp : ancien oppidum celtique (1er âge du fer)[réf. nécessaire].

    Antiquité : les Gallo-romains

    • Vestiges de maisons gallo-romaines avec mosaïques, d'un aqueduc et d'une nécropole du Ve siècle[16].
    • Le col de Malataverne, passage naturel entre la plaine de Montélimar et celle de Pierrelatte, est utilisé par la via Agrippa[réf. nécessaire].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    Malataverne est, à cette époque, un hameau de la commune de Rac.

    La seigneurie de Rac[14] :

    • Au point de vue féodal, Rac était une terre du patrimoine des Adhémar.
    • 1292 : elle est hommagée au pape
    • Avant 1496 : elle est acquise par les Romieux.
    • 1643 : elle passe aux Forbin.
    • 1646 : vendue aux Escalin des Aimars.
    • 1681 : revendue aux Feautrier.
    • 1700 : passe aux Ripert d'Alauzier, derniers seigneurs.

    Le régime féodal ne concernait qu'un peu plus de la moitié des terres de la commune : en effet, 41 % des terres étaient la propriété collective de la communauté villageoise[17].

    Avant 1790, Rac était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux dont l'église dédiée à saint Jean-Baptiste était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Ruf qui fut uni au collège des jésuites d'Avignon vers la fin du XVIIe siècle. Ce collège avait, de ce chef, la collation de la cure et les dîmes de cette paroisse.
    Le mandement de Rac avait la même étendue que la commune de ce nom[14].

    Les Joannins

    En 1891, ce nom est celui d'une ferme, et d'un quartier partagé entre les communes de Malataverne (Rac) et de Donzère. Il est mentionné sous le nom de Joanin par les cartes d'état-major[18]. Les Joannins est le nom actuel.

    En 1891, ce nom est celui d'un mont et d'une ferme. Dès la fin du XVIIe siècle, le domaine appartenait aux Joubert qui le possédaient encore en 1790[19].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, la commune de Rac est comprise dans le canton de Donzère[14].

    • Par les décrets du , puis du 16 et , l'Assemblée Nationale divise la France en 83 départements. La Drôme et ses 257 386 habitants se compose alors de 350 communes et 60 cantons. La commune de Rac se retrouve dans le canton de Donzère avec sept autres communes : Allan, Châteauneuf-du-Rhône, Donzère, La Garde-Adhémar, Les Granges-Gontardes, Réauville, Roussas[réf. nécessaire].
    • La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Montélimar[14].

    Entre 1795 et 1803, les brigands étaient évalués à une centaine dans la région. Le nom de la grotte Mandrin, sur la colline de Roucoule, atteste de cette période[réf. nécessaire].

    • Dans le maquis au sud de Montélimar, le bois des Mates fut le théâtre d'une attaque. Mate est d'ailleurs un vieux mot signifiant « tromperie », « filouterie »[réf. nécessaire].
    • Le , on commentait la dernière attaque de la malle-poste, perpétrée à la sortie de Donzère-les Joannins par une troupe de quarante brigands armés : l'escorte de dix fusiliers fut massacrée et la malle-poste délestée de l'argent qu'elle transportait[20].

    En 1868, l'église de Malataverne (construite dans les années 1860) devient le lieu de culte de la paroisse de Rac[réf. nécessaire].

    En 1886, Rac a une population de 547 habitants. La commune fait partie du canton de Montélimar avec dix autres communes  : Allan (917 habitants), Ancone (413), Châteauneuf-du-Rhône (1195), Espeluche (585), Montboucher (586), Montélimar (14014), Portes (523), Puygiron (342), Rochefort (298), La Touche (264). Le canton possède donc 19 963 habitants[réf. nécessaire].

    Par le décret du , Malataverne devient le chef-lieu de la commune qui prend son nom. Rac n'est plus qu'un hameau[réf. nécessaire].

    Seconde Guerre mondiale

    Le , des groupes de chasse, basés en Corse, participent aux missions de reconnaissance au dessus de la vallée du Rhône, en collaboration avec les groupes de chasse américains[réf. nécessaire]. Leurs chasseurs-bombardiers P 47 Thunderbolt survolent la région entre Orange et Montélimar et attaquent systématiquement tous les véhicules. L'appareil du lieutenant-colonel de La Horie, touché par la flak (batterie anti-aérienne), explose en touchant le sol, au quartier de « Jarnias » (à proximité de la ferme Menut) sur la commune de Malataverne[21].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : la commune porte le nom de Rac.
    1871    ?    
    1874    ?    
    1878    ?    
    1884    ?    
    1888    ?    
    Les données manquantes sont à compléter. : la commune porte le nom de Malataverne.
    1892    ?    
    1896    ?    
    1900    ?    
    1904    ?    
    1908    ?    
    1912    ?    
    1919    ?    
    1925    ?    
    1929    ?    
    1935    ?    
    1945    ?    
    1947    ?    
    1953    ?    
    1959    ?    
    1965 1971 Maurice Chabaud    
    1971 1977 Maurice Chabaud   maire sortant
    1977 1983 Maurice Chabaud   maire sortant
    1983 1989 Emile Lerat    
    1989 1995 Emile Lerat   maire sortant
    1995 2001 Jean Leydier    
    2001 2008 Alain Fallot PS employé
    2008 2014 Alain Fallot   maire sortant
    2014 2020 Alain Fallot   maire sortant
    2020 En cours
    (au 7 décembre 2020)
    Véronique Alliez[22][source insuffisante]    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

    En 2018, la commune comptait 2 066 habitants[Note 3], en augmentation de 7,1 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    404346437532556594620595671
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    665623637562596572547513527
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    472433444394394433408390472
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4364807859851 2891 4191 5981 6241 891
    2017 2018 - - - - - - -
    2 0122 066-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : quatrième dimanche de juillet[16].

    Cultes

    • Pèlerinage catholique à Notre-Dame-de-Montchamp de juillet à octobre[16].

    Économie

    En 1992 : lavande, céréales, vignes (vins AOC Coteaux du Tricastin), vergers, élevage[16].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Restes de remparts et des châteaux[16].
    • Église médiévale : curieux clocher-mur[16].
    • Chapelle Notre-Dame de Montchamp (XIe siècle) : ancien prieuré au XVIIe siècle[16].
      • Chapelle Notre-Dame-de-Montchamp : ancien prieuré bernardin, attesté depuis le XIe siècle. Il aurait été construit sur un ancien lieu de culte celtique[réf. nécessaire].
    • Église du Rac (XVe siècle) : style gothique, peintures du XVIIIe siècle[16].
      • Chapelle Saint-Jean-Baptiste-de-Rac (en cours de rénovation) : chœur gothique unique en Tricastin ; abandonnée comme église paroissiale en 1891 au profit de l'église de Malataverne[réf. nécessaire].
    • Château de Belle-Eau[16].
      • Château de Belle-Eau (hameau des Joannins). Le nom vient de la grange Belot (1692) (archives de la Drôme B709). Le , François Bravais se porte acquéreur du domaine Belleau. Il revendit le domaine à Salomon Beleys le [réf. nécessaire].
    • Statue de Nicolas Appert, œuvre en pierre de Roger Marion (2010), (site Lagarde)[réf. nécessaire].

    La légende de Paragor

    Dans les temps anciens, au début de l'époque gauloise, le territoire de Malataverne était la propriété d'Odoric, seigneur de Rac, qui vivait dans son château sur le versant nord de la colline du Navon. Tout près de là, sur la colline de Montchamp, vivait le druide Paragor. Celui-ci avait, pour lui tenir compagnie, une louve nommée Selly qu'il avait recueillie jeune, car elle avait quitté sa meute. Les habitants de la région le connaissaient car il était le guérisseur ; il les soignait et les soulageait avec ses potions.
    Une nuit de pleine lune, à la fin de l'été, une bande de nomades venus de nulle part et qui écumaient la région depuis quelque temps, attaquèrent le druide dans son sommeil pour lui voler les rares pièces d'or qu'il pouvait détenir. Après lui avoir fait avouer où se trouvaient ses modestes économies, ils le décapitèrent et tuèrent également sa louve venue le défendre.
    Depuis, à Montchamp, les nuits de pleine lune, lorsque souffle une légère bise, on entend le hurlement plaintif de Selly et certains ont même pu apercevoir le druide Paragor tenant sa tête entre ses mains[réf. nécessaire]

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Malataverne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 301 (La Rialle).
    2. « Ligne n° 42 », sur www.ladrome.fr (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Châteauneuf-du-Rhône », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. « Tremblements de terre en Drôme-Ardèche », sur www.labouquinerie.com (consulté le ).
    14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 294 (Rac).
    15. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 203 (Malataverne).
    16. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Malataverne.
    17. Roger Pierre, Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution, Études drômoises, (no)64, mars 1985, p. 19.
    18. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 183 (Les Joannis).
    19. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 244 (Navon).
    20. Jean Durand, De Mandrin à Conty.
    21. arsa-aero.info.
    22. AitThemes.com, http://www.ait-themes.com, « Annuaire - Association des maires de la Drôme », sur Association des maires de la Drôme (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Gauthier Jean », sur www.amicale-12rch.com (consulté le ).
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