Châteaugiron (commune déléguée)

Châteaugiron est une ancienne commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Châteaugiron

L'hôtel de ville dans la cour du château.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Commune Châteaugiron
Intercommunalité Pays de Châteaugiron Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué Marielle Deport
2017-2020
Code postal 35410
Code commune 35069
Démographie
Gentilé Castelgironnais
Population 7 423 hab. (2014)
Densité 853 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 53″ nord, 1° 30′ 11″ ouest
Altitude Min. 28 m
Max. 76 m
Superficie 8,70 km2
Élections
Départementales Châteaugiron (chef-lieu)
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration Châteaugiron
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Châteaugiron
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Châteaugiron
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Châteaugiron
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Châteaugiron

    Les communes de Châteaugiron, Saint-Aubin-du-Pavail et Ossé fusionnent le et forment la commune nouvelle de Châteaugiron.

    Géographie

    Localisation

    Châteaugiron se situe dans l'arrondissement de Rennes et dans le Pays de Rennes, au sud-est de la capitale bretonne, à quelques kilomètres de l'entrée du noyau urbain. La ville adhère à la communauté de communes du Pays de Châteaugiron.

    Espace naturel

    Le site de la Glaume est une enclave naturelle au cœur de la cité de Châteaugiron, zone humide. Une grande diversité végétale sert d'habitat à nombre d'espèces animales comme la bécassine des marais, le martin-pêcheur d'Europe. Ce site se situe entre le bas du centre-ville (rue Saint-Nicolas) et le lotissement de Rochaude (rue d'Alsace).

    L'étang situé au bas de Châteaugiron est un lieu de promenade très prisé des habitants de la commune.

    Hydrographie

    L'Yaigne[1] est une rivière qui prend sa source à Cornillé, en Ille-et-Vilaine, traverse la commune de Châteaugiron et son étang au pied du château. Elle se jette dans la Seiche[2] à Nouvoitou. Elle fait 27 km de longueur.

    Le Rimon est un petit ruisseau qui prend sa source au nord du bourg de Domloup. Il fait office de séparation avec Domloup sur une longueur de 350 mètres. Il se jette dans l'Yaigne au bout de ses 350 mètres. La longueur de son cours d'eau fait 2,2 km.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les cars du réseau BreizhGo :

    Urbanisme

    Logements

    En 2004, la ville de Châteaugiron comptait 2 328 logements contre 1 941 en 1999, et pourtant le nombre de logements vacants a augmenté de 45 %, ce qui montre l'évolution démographique. Le nombre de logements a augmenté mais le nombre de maisons a diminué de 6,2 % par rapport à 1999, en revanche, le nombre d'appartements a augmenté de 8,7 %.

    En 1999, on comptait 1 870 (96,3 %) résidences principales contre 2 229 (95,7 %). En 2004, le nombre de résidences secondaires a également diminué : 18 en 1999 contre 14 en 2004.

    En 2004, la plupart des habitations possèdent plus de quatre pièces (72,4 %), 13 % des habitations possèdent trois pièces, 11,7 % en possèdent deux et seulement 3 % possèdent une seule pièce.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Castro Gironis en 1087[réf. nécessaire].

    Le nom de Châteaugiron vient du seigneur de Giron, fils du chevalier Anquetil ou Ansquetil, mort en 1039[3], fondateur de la ville. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Giron[4].

    Histoire

    Moyen Âge

    En 1086-1114, on trouve la mention du « castrum Ansquetil in domo eiusdem Gironis » . Le premier seigneur Ansquetil vivait en 1030 et son fils aîné et successeur Giron Ier du châteauansquetil noble, miles dom et moine est mort au début du XIIe siècle. C'est lui qui laisse son nom au château et à la petite localité qui se développe autour.

    Une célèbre enluminure de la première grande histoire de Bretagne de Pierre Le Baud[5] représente le château de Châteaugiron. Cette enluminure d'un manuscrit de la BNF[6] a été longtemps le sujet d'une polémique quant aux événements qu'elle évoque et au château qu'elle représente. Un ouvrage de 2009 de Stéphanie Vincent[7], docteur en littérature et spécialiste de l'iconographie médiévale, à la suite d'une étude méthodique du document, nous éclaire : le château représenté est bien celui de Châteaugiron. On y apprend également la chronologie des modifications subies par la forteresse et de petites histoires de la ville comme l'arrivée somptueuse d'Hélène de Laval épouse de Jean de Derval seigneur du lieu, dans la bourgade.

    En 2009, la ville fêtait son millénaire. Elle participe au projet d'inscription à l'UNESCO des Marches de Bretagne.

    Époque moderne

    En 1591, pendant les guerres de la Ligue, « Champeaux, Châtillon, Izé, Étrelles, La Guerche, Domagné, Châteaugiron furent dévastés par les marches et collision [combats] des deux partis[8] ».

    Le XIXe siècle

    La production de « noyales » (toiles à voiles), concentrée dans une quarantaine de paroisses situées pour la plupart au sud-ouest de Rennes, les principales étant Châteaugiron, Piré et Noyal (paroisse qui leur a donné leur nom), double, passant de 9 500 à 20 000 pièces, pendant la seconde moitié du XIXe siècle[9].

    Une manufacture appartenant au sieur Desbouillons est créée en 1824 à Châteaugiron, dans le prieuré Sainte-Croix ; elle contient 76 métiers à tisser, et la manufacture a compté jusqu'à 200 ouvriers ; elle achète les récoltes de chanvre sur les marchés de Châteaugiron et de Janzé et produit annuellement de 1 100 à 1 300 pièces de toile de 70 mètres chacune, destinées tant à la marine royale qu'à la marine marchande.

    Au XVIIIe siècle on compte à Châteaugiron une trentaine de marchands de toile. Une grande halle est construite au milieu du XIXe siècle (la vente des toiles se faisait jusque-là en plein air)[10].

    La Belle Époque

    La ligne de tramway allant de Rennes à La Guerche et passant par Châteaugiron est mise en service en juin 1904[11]. La ligne ferme en 1947.

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de soixante-et-un soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[12].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[13].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Un soldat originaire de Châteaugiron (Michel Duroudier) est mort pour la France pendant la guerre d'Algérie[13].

    La commune de Châteaugiron s’est agrandie en février 1971, par le rattachement de la commune de Veneffles et la rectification des limites communales avec Domloup et Noyal-sur-Vilaine. La superficie de l’ancienne commune était de 52 ha, contre 798 ha jusqu'en 2016, elle se résumait comme beaucoup de villes fortifiées à la basse-cour du château. La ville ne semble pas néanmoins posséder de murailles à l‘époque médiévale[14].

    Le XXIe siècle

    Le jeudi , le conseil municipal décide à l'unanimité du regroupement de la ville avec celles d'Ossé et de Saint-Aubin-du-Pavail, avec effet au . Les deux autres conseils municipaux décident de la même chose le vendredi . La commune nouvelle porte le nom de Châteaugiron, et les trois anciennes communes sont des communes déléguées[15].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1844 1852 Pierre Tortelier   Marchand de toiles
    1852 1856 Marie Cosnard   Officier de santé
    1856 1878 Auguste Marchand   Entrepreneur
    1878 1888 Léon Launay   Notaire
    1888 1919 Henri Cosnard   Propriétaire-éleveur
    décembre 1919[16] 1941 Aristide Coureau   Négociant en bonneterie
    1941 1947 Henri Bouquet   Négociant œufs et beurre
    1947 1965 Pierre Gaudiche   Négociant en grains
    1965 1977 Jean Simon DVD Bijoutier - horloger
    1977 2001 Pierre Le Treut UDF-CDS Vétérinaire - conseiller général
    2001 31 décembre 2016 Françoise Gatel UDI Sénatrice d'Ille-et-Vilaine (depuis 2014)
    Présidente de l'association des maires d’Ille-et-Vilaine (depuis 2008[17])
    Liste des maires délégués
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er janvier 2017 23 janvier 2017 Françoise Gatel UDI Sénatrice d'Ille-et-Vilaine (depuis 2014), présidente de l'association des maires d’Ille-et-Vilaine (depuis 2008)
    23 janvier 2017 2 octobre 2017[18] Jean-Claude Beline   Agriculteur en retraite
    2 octobre 2017[19] en cours Marielle Deport   Professeur de mathématiques

    Budget communal

    En 2010, le budget municipal s'élevait à 5 835 000  en fonctionnement (862 € par habitant). Les recettes de fonctionnement sont fournies par les impôts et taxes pour 2 644 000  et 1 316 000  de dotation globale de fonctionnement.

    Les charges de fonctionnement sont réparties sur 2 095 000  de charges de personnel (48,17 % du budget), 1 496 000  d'achats et charges externes, 118 000  de charges financières (soit 18 € par habitant). Le montant des subventions versées se montait à 275 000  (42 € par habitant). La commune dégageait un résultat comptable positif de 1 486 000 .

    L'encours total de la dette était en 2010 de 4 687 000  (725 € par habitant). Ce qui correspond à 80,32 % du budget de fonctionnement. Pour l’ensemble des communes françaises de 5 000 à 10 000 habitants, la dette s'élève en moyenne à 877 € par habitant.

    En 2010, la capacité d'autofinancement brute était de 262 € par habitant, supérieure à la moyenne de la strate, qui s'élevait à 184 € par habitant[20].

    Endettement de la ville 2000-2010

    20002001200220032004200520062007200820092010
    Encours de la dette
    en milliers d'euros
    3 5253 3913 1074 9095 8855 3064 1713 7553 4394 1004 687
    annuité
    en milliers d'euros
    6926396155716061 2851 285514496440529
    Encours de la dette
    par habitant en euros
    6316075568781053949638574505642725
    Moyenne de la dette pour commune de 5000 à 10000
    par habitant en euros
    899782790804815816832872892884877
    annuité
    par habitant en euros
    124114110102108230196797369245
    Sources des données : Ministère des finances[21]

    Charges de personnel de 2000-2010

    20002001200220032004200520062007200820092010
    Charges de personnel
    en milliers d'euros
    1 3371 3961 5301 5491 5571 5921 7641 8941 9061 9942 095
    Charges de personnel
    par habitant en euros
    239250274277278299270290280320324
    Sources des données : Ministère des finances[21]

    Les charges de personnel ont augmenté de 65 % de 2000 à 2010. Par contre par habitant, elles ont progressé de 35 %.

    Fiscalité locale

    En 2010, la commune intervient comme suit pour ce qui concerne la taxation[22] :

    Taxes locales (2010)
    Taxe d'habitation (TH) 16,66 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 19,49 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 43,20 %

    Produits des différentes taxes de 2002 à 2010

    200220032004200520062007200820092010
    Taxe d'habitation
    en milliers d'euros
    6667487898599039369961 0451 121
    Foncier bâti
    en milliers d'euros
    548611650708763812857900961
    Foncier non bâti
    en milliers d'euros
    23232324252524303
    Taxe d'habitation
    par habitant en euros
    119134141154138143146164173
    Foncier bâti
    par habitant en euros
    98109116127117124126141149
    Foncier non bâti
    par habitant en euros
    444444455
    Sources des données : Ministère des finances[23]

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2014, la commune comptait 7 423 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2004, 2009, 2014, etc. pour Châteaugiron[24]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 1].

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4951 4131 4561 3481 4531 4481 4051 6381 634
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6651 5811 5651 4501 4791 4671 3441 3441 295
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2051 0521 2291 2671 3761 3121 3571 5041 602
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 1481 3312 3323 2344 1665 5006 1326 4507 423
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Structures de la population

    Évolution de la pyramide des âges de la ville de Châteaugiron, comparaison entre l’année 1999 et 2004[26]

    Pyramide des âges en 1999 en nombre d’individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    338 
    59 à plus
    509 
    673 
    40 à 59
    661 
    720 
    20 à 39
    785 
    901 
    0 à 19
    861 
    Pyramide des âges en 2004 en nombre d’individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    373 
    59 à plus
    538 
    842 
    40 à 59
    815 
    821 
    20 à 39
    834 
    959 
    0 à 19
    960 

    Revenus

    Ce tableau représente en pourcentage les revenus en euros de l'année 2008 pour les habitants de Châteaugiron[27].

    Revenu des habitants de chateaugiron en 2008
    Revenus De 0 à 11 250  De 11 251 à 16 900  De 16 901 à 23 750  De 23 751 à 38 750  De 38 751 à 97 500  Plus de 97 501  Moyenne du revenu 2008
    Donnée 23,95 % 19,47 % 13,93 % 20,93 % 20,29 % 1,43 % 26 412 

    Enseignement

    • École maternelle publique Le Centaure.
    • École primaire publique la Pince-Guerrière.
    • Collège public d'enseignement général Victor-Segalen.
    • École maternelle, école primaire et collège privé d'enseignement général Sainte-Croix.

    Cultes

    La paroisse de Châteaugiron n'existe plus en tant que paroisse. Elle fait partie de la paroisse de Saint-Luc en pays de Châteaugiron[28].

    Cette paroisse est composée de six communautés :

    • de Châteaugiron (communauté de Sainte-Marie-Madeleine) ;
    • de Domloup (communauté de Saint-Loup) ;
    • de Nouvoitou (communauté de Saint-Martin de Tours) ;
    • d'Ossé (communauté de Saint-Sulpice) ;
    • de Saint-Aubin-du-Pavail (communauté de Saint-Aubin) ;
    • de Veneffles (communauté de Saint-Médard).

    La paroisse de Saint-Luc en Châteaugiron est rattachée au doyenné de Cesson[29] et fait partie du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo[30].

    Sports

    La ville de Châteaugiron possède :

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune abrite un seul monument historique protégé :

    • le château de Châteaugiron, édifié entre les XIIe et XVIIIe siècles, et classé par arrêtés du et du [31]. Il abrite l'hôtel de ville.
    • la chapelle du château, dédiée à Marie-Madeleine, après plus de six ans de rénovation, a ouvert en juin 2015 en tant que centre d'art contemporain « Les 3 Cha »[32].

    On trouve de nombreux autres édifices patrimoniaux, dont plus de 300 bâtiments inventoriés[14] :

    • les anciennes halles, qui abrite la médiathèque de la ville ;
    • l'église Sainte-Madeleine[33],[34].

    Monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’or au chef d’azur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michel de Mauny, Histoire de Châteaugiron : contribution à l'histoire de la Bretagne, Lorient, Dalc'homp Sonj, , 143 p. (OCLC 32279696)
    • Alexis Garnier, Notice Historique sur Châteaugiron, Rennes, L. Bahon-Rault,
    • Jean Legoux et Joseph Méril, Histoire de Châteaugiron, Rennes, Imprimerie Simon, (OCLC 163392768)
    • Stéphanie Vincent, L'énigme de l'enluminure : Derval ou Châteaugiron, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions A.Sutton, , 127 p. (ISBN 978-2-8138-0014-5). Prix des Lauriers Verts 2009 catégorie "Recherche".

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
    2. La liste des morts pour la France de la commune se trouve sur le site MémorialGenWeb
    3. La liste se trouve aussi sur le site : MémorialGenWeb

    Références

    1. http://sandre.eaufrance.fr/app/chainage/courdo/htm/J74-030-.php?cg=J74-030-
    2. Alexis Garnier, Notice historique sur Châteaugiron
    3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    4. Pierre Le Baud, Compilation des Chroniques et histoires des Bretons, 1480-1482, Paris, BnF, département des Manuscrits, Français 8266 fol. 281
    5. Enluminure de la BNF
    6. Stéphanie Vincent 2009.
    7. Édouard Frain, Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux « Familles de Vitré », 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54086453/f100.image.r=Domagn%C3%A9
    8. Histoire de la Bretagne et des pays celtiques, tome 3, La Bretagne Province, Skol Vreiz, 1986.
    9. Sous la direction de Jean Martin et Yvon Pellerin, "Du lin à la toile. La proto-industrie textile en Bretagne", chapitre "Au temps des noyales" (rédigé par Monique Le Charlès), Presses universitaires de Rennes, 2008
    10. Journal Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
    11. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=61210
    12. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=211
    13. Présentation de la commune de Châteaugiron, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
    14. « Arrêté du 13 juin 2016 portant création de la commune nouvelle de Châteaugiron », sur Legifrance, (consulté le ).
    15. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
    16. Association des Maires d'Ille-et-Vilaine
    17. « Jean-Claude Beline est élu maire délégué de Châteaugiron »
    18. « Marielle Deport élue maire déléguée de Châteaugiron  »
    19. Site du Ministère des Finances et de l'Économie – Le compte des communes
    20. Comptes 2010
    21. Impôts des particuliers, données 2008
    22. Date du prochain recensement à Châteaugiron, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    24. http://www.annuaire-mairie.fr/statistiques-ville-chateaugiron.html
    25. Direction général des impôts de 2008, donné par Le Mensuel de Rennes (no 10, janvier 2010).
    26. Armelle, « Voici le carnet de chants pour l'été 2020 ! », sur blogspot.com, Blogger, (consulté le ).
    27. http://www.dcesson35.cef.fr
    28. http://catholique-rennes.cef.fr/?-L-Eglise-en-Ille-et-Vilaine-
    29. « Château, actuellement mairie », notice no PA00090526, base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. « 3 Cha - Le centre d'art de Châteaugiron Les 3 Cha propose des expositions d'art contemporain où l'œuvre valorise le patrimoine. », sur 3 Cha (consulté le )
    31. Notice no IA00130795, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. Notice no IA35032403, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658269q/f4.image.r=pavail.langFR Ouest-Eclair édition de Rennes du 9/08/1930 pour l'annonce de son décès -consulté le 13/12/2012
    34. http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=3626
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