Castelmaurou

Castelmaurou (en occitan Castèlmauron) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Castelmaurou

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux Bellevue
Maire
Mandat
Diane Esquerre
2020-2026
Code postal 31180
Code commune 31117
Démographie
Gentilé Castelmaurousiens, Castelmaurousiennes
Population
municipale
4 320 hab. (2018 )
Densité 258 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 40″ nord, 1° 31′ 56″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 231 m
Superficie 16,77 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pechbonnieu
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Castelmaurou
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Castelmaurou
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Castelmaurou
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Castelmaurou
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Castelmaurousiens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Castelmaurou se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à km de Pechbonnieu[3], bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Rouffiac-Tolosan (1,5 km), Lapeyrouse-Fossat (2,1 km), Saint-Jean (2,5 km), Saint-Geniès-Bellevue (3,7 km), Beaupuy (3,8 km), Montrabé (3,9 km), Garidech (4,2 km), Gragnague (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Castelmaurou fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].

    Castelmaurou est limitrophe de huit autres communes.

    Carte de la commune de Castelmaurou et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Girou, un affluent de la Garonne qui sert de limite nord avec la commune de Garidech.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 738 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « bois de Preissac » (107 ha), couvrant 4 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelmaurou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[22] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), forêts (15,8 %), zones urbanisées (14 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par la route nationale 88, axe Lyon-Toulouse. Accès par l'autoroute A68, sortie  3 Montastruc-la-Conseillère ou depuis le périphérique de Toulouse, sortie  14 Cx-Daurade.

    La ligne 68 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse et la ligne 76 relie Lapeyrouse-Fossat à la station Argoulets en desservant l'ouest de la ville. La ligne 355 du réseau Arc-en-Ciel permet de relier la commune à la gare routière de Toulouse ou à la station Borderouge jusqu'à Villemur-sur-Tarn.

    Halte SNCF la plus proche : gare de Gragnague sur le réseau TER Occitanie (ligne Toulouse - Brive-la-Gaillarde).

    Toponymie

    Le nom de Castelmaurou signifierait « Château des Maures ». Son patrimoine est constitué du Château de Preissac ayant reçu François Ier au XVIe siècle. Maurou viendrait du latin maurus qui vient lui-même du grec ancien μαυρός signifiant « sombre, noir ».

    Histoire

    Le cartulaire de Conques rédigé en 1106 pose, dans la mémoire collective, l'écrit le plus ancien concernant Castelmaurou, petit village haut-garonnais situé dans le nord-est toulousain.

    Au-delà de la longévité du site, le document lève le voile sur deux énigmes qui ont traversé les siècles. La première fait référence au nom même de Castel Mauro ou Castri Mauronis (Castelmaurou est ainsi écrit dans le texte). Contrairement au réflexe populaire qui donnait la signification de Château des Maures, la traduction du latin en français conduit à « Château du Maure ». Cette même traduction répond à la deuxième énigme quant à l'origine de la patronne du village Sainte Foy. Le point commun étant ce fameux Maure appartenant assurément à l'élite de l'époque[réf. nécessaire] et reliant à travers des propriétés à Castel Mauro et Conques en Aveyron les deux communautés.

    Ce village a eu également ses parts de drames avec la vente de ses terres par l'archevêque de Toulouse Étienne-Charles de Loménie de Brienne en 1785, l'expropriation de 52 propriétaires en 1864 afin que puisse passer la ligne de chemin de fer reliant Toulouse à Lexos.

    Plus près de nous eut lieu l'exécution de quinze résistants dans le bois de la Reulle par des soldats de la triste division Das Reich, le . Les SS les ont contraints à creuser à mains nues leur tombe avant de les exécuter. Un seul rescapé a pu transmettre les faits. Aujourd'hui encore, cinq corps parmi les quinze victimes restent non identifiés et leurs sépultures sont au cimetière de Castelmaurou. À ce jour, un seul résistant reste encore inconnu[pas clair]. En effet, grâce au travail du Groupe de Recherche du bois de la Reulle Castelmaurou/Gragnague et à l'association Le Souvenir français de Castelmaurou présidé au moment des recherches par Louis Gibert, quatre des cinq inconnus ont pu être identifiés récemment : en 2012, un aviateur et résistant belge du nom de Charley de Hepcée (né le à Ixelles (Belgique) ; en 2013 Marcel Joyeux (officier d’active de l’armée de l’Air, dessinateur industriel, résistant de la Haute-Garonne des groupes Combat, AS, GFL, et des réseaux Morhange et Mithridate, de la Vienne et de la Haute-Vienne, un des cadres les plus en vue de la R4 (1942-1944)), né le à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ; en 2014, Pierre Carthelet (instituteur, dirigeant des Compagnons de France dans les Pyrénées-Orientales, membre de plusieurs réseaux et de l’ORA des Pyrénées-Orientales), né le à Taillette (Ardennes) ; enfin en 2017, Jean-Baptiste André Giorgetti (sous-lieutenant des Forces françaises libres, agent secret du BCRA de Londres, héros de la Résistance), né le à Venaco (Haute-Corse).

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'or au pal ondé de sable.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt sept[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux-Bellevue et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Castelmaurou faisait partie de l'ex-canton de Toulouse-15).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1969 1971 Raymond Pichou    
    1971 1977 Roland Waysbort    
    1977 2001 Lucien Paul Pouget SE  
    2001 2008 Claude Giusti DVG  
    2008 2020 Magali Mirtain Schardt DVD[30]  
    2020 En cours Diane Esquerré LDVG[31]  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    Le projet territorial de développement durable de la commune de Castelmaurou a été reconnu « Agenda 21 local France » par le ministère de l'Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement au titre de la Stratégie nationale de développement durable, dans le cadre de la sixième session de reconnaissance des « projets territoriaux de développement durable et agendas 21 locaux ». Cette reconnaissance, prononcée pour trois ans (à partir de 2012), souligne la qualité du projet porté et animé par le territoire, et veut encourager à poursuivre la démarche dans une dynamique d'amélioration continue[32].

    Tous les ans, les habitants sont invités à participer à la journée écocitoyenne (débats, découverte et nettoyage du village...).

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2018, la commune comptait 4 320 habitants[Note 7], en augmentation de 7,22 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    674810788843824822802804845
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    807807802777716737721713666
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    716705676629589625645693790
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8099181 4581 6112 8493 2613 3733 9274 238
    2018 - - - - - - - -
    4 320--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 77 62 71 48 47 56 56 56
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    La commune de Castelmaurou s’étend sur 1 677 hectares. Son territoire est composé de 76 % de terres agricoles et naturelles préservées. C'est un territoire à dominante rurale avec la présence de nombreux bois et une activité agricole encore forte. De nombreuses PME sont présentes avec de multiples commerces de proximité. Une maison de retraite et deux cliniques répondent aux besoins du territoire.

    Vie locale

    Enseignement

    Castelmaurou fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par la crèche et le groupe scolaire Marcel-Pagnol maternelle + élémentaire. ce dernier compte en 2015, plus de 400 élèves inscrits qui disposent d'un restaurant scolaire construit en 2010 et dont les repas sont reconnus de qualité, puisque la municipalité a fait le choix de préparer les repas sur place et d'inclure des repas bios réguliers. Le projet d'une nouvelle école maternelle est en cours de réalisation.

    Service public

    La Poste de Castelmaurou.

    Castelmaurou possède un bureau de poste réalisé par l'architecte Claude Victor Lindor.

    Santé

    La commune possède un centre communal d'action sociale, une clinique (Monvert convalescence), des médecins généralistes, ainsi qu'une pharmacie. La commune dispose aussi de vétérinaires et d'une clinique vétérinaire.

    Culture

    Façade de la Salle des fêtes

    Sont présents sur la commune : un cinéma « Le Méliès », une salle des fêtes réalisée par l'architecte Claude Victor Lindor, elle est utilisée par les nombreuses associations de la commune, une médiathèque municipale l'AlphaB[41], réalisée l'architecte Joseph Almudever, et inaugurée en par le maire Magali Mirtain.

    Équipements sportifs

    Un gymnase omnisport, trois terrains de tennis, deux terrains de football, un dojo, Aire de Loisir jeunes (un skatepark, un city stade) et table de ping-pong.

    La Ligue de Midi-Pyrénées de football (présidée par Lilian Buzzichelli) et un centre de pré-formation sont basés à Castelmaurou.

    Footballeurs issus du centre de pré-formation de Castelmaurou

    Alaixys Romao, Guillaume Borne, Aurélien Mazel, Loïc Poujol, Pierrick Cros, Mathieu Peybernes, Pierre Espanol.

    Associations sportives

    Plusieurs associations sportives sont présentes sur la commune : Cyclo-club des Violettes, Volley-Ball, Basket club, Société Bouliste, Plaisir Danse, Chasse ACCA, Football club et Foot vétérans, Gymnastique volontaire, Judo/Yoga, Tai chi chuan, Tennis loisir et Tennis club, Handball les coteaux, Club d'aéromodélisme Castelmaurou, une entreprise Natura Game (paintball, accro-branche...), centre de pré-formation de football.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux Bellevue[42].

    Les déchèteries les plus proches sont situées sur les communes de Garidech, L'Union ou Saint-Alban.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'édifice religieux, toujours en bon état, a succédé à un premier, détruit lors de la Révolution française de 1789. Il se trouvait du côté des cimetières et du hameau du Fort. Cette église est une des figures de Castelmaurou qui n'hésite pas à le fixer sur des cartes postales pour en assurer sa promotion.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Castelmaurou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Castelmaurou et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Castelmaurou et Pechbonnieu », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Castelmaurou », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Castelmaurou et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Castelmaurou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « bois de Preissac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    30. http://www.mairie-castelmaurou.fr/article-1146-Agenda-21. et htmlhttp://www.territoires-durables.fr/agenda21Detail.asp?pk_agenda21=67
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. l'AlphaB
    40. « Gestion des déchets - Communauté des communes des Coteaux-Bellevue », sur Communauté des communes des Coteaux-Bellevue (consulté le ).
    41. « Castelmaurou. L'église rouvre au public », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    42. « Église Sainte-Foy de Castelmaurou - dépliant ».
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