Saint-Alban (Haute-Garonne)
Saint-Alban est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Alban.
Saint-Alban | |||||
L'école de musique et de danse. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Alain Susigan 2020-2026 |
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Code postal | 31140 | ||||
Code commune | 31467 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Albanais | ||||
Population municipale |
6 183 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 451 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 34″ nord, 1° 24′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 121 m Max. 133 m |
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Superficie | 4,26 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castelginest | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Albanais.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Alban se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 10 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 1 km de Castelginest[3], bureau centralisateur du canton de Castelginest dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Castelginest (1,5 km), Fenouillet (2,2 km), Fonbeauzard (2,2 km), Aucamville (2,9 km), Lespinasse (3,0 km), Gagnac-sur-Garonne (3,2 km), Gratentour (3,5 km), Bruguières (3,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Alban fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].
Saint-Alban est limitrophe de six autres communes.
Hydrographie
La commune est bordée dans sa partie est par l'Hers-Mort.
Géologie et relief
La commune de Saint-Alban est établie sur la première terrasse de la Garonne en rive droite, dans la plaine toulousaine de la Garonne.
La superficie de la commune est de 426 hectares ; son altitude varie de 121 à 133 mètres[7].
Urbanisme
Typologie
Saint-Alban est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[11] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Comme nouveaux lieux ont été créés la halle (où tous les mercredis se déroule le marché) et une nouvelle place où à l'heure actuelle s'est installée une nouvelle mairie. À la place de l'ancien hôtel de ville, s'est installée la caisse d'allocations familiales
Voies de communication
La commune est traversée en son milieu par l'autoroute A62.
Transports
La ligne 59 du réseau Tisséo relie la zone commerciale à l'ouest de la ville à la station La Vache du métro de Toulouse depuis Lespinasse, la ligne 60 relie le centre de la commune à la station La Vache depuis Castelginest, la ligne 69 relie le centre de la commune à la station La Vache depuis Bruguières ou Gratentour, la ligne TAD 105 relie le centre de la commune et la ZI du Terroir à la station La Vache depuis Saint-Jory, la ligne 113 traverse Saint-Alban d'est en ouest en la reliant à Fenouillet et à Pechbonnieu, et la ligne 351 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Villemur-sur-Tarn.
A l'horizon 2021, le centre de la commune sera desservie par la ligne de bus à haut niveau de service Linéo L10, la reliant au centre commercial de Fenouillet d'un côté, à Aucamville et à la station de métro La Vache du métro de l'autre, sur une amplitude horaire élargie et une fréquence de passage largement améliorée par rapport à la desserte actuelle.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].
Toponymie
D'abord appelée Matte (ou Mathepezoul) puis Gaffelaze relevant des domaines de l'Abbaye de Saint Sernin de Toulouse[19], Saint-Alban, devenant une baronnie des seigneurs du Puget, ne prend son nom définitif qu'en 1675.
Histoire
Cette petite ville a été très marquée par la culture de la violette (plante-emblème de la région toulousaine), tout comme ses voisines Lalande, Launaguet, Aucamville, Castelginest et Saint-Jory.
Héraldique
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Son blasonnement est : D'argent à la bande de gueules, accompagnée en chef d'une croix cléchée, vidée, pommetée de douze pièces de gueules, en pointe d'une violette au naturel. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[20],[21].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du canton de Castelginest (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Alban faisait partie de l'ex-canton de Toulouse-14).
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].
En 2018, la commune comptait 6 183 habitants[Note 4], en augmentation de 6,16 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[26] | 1975[26] | 1982[26] | 1990[26] | 1999[26] | 2006[27] | 2009[28] | 2013[29] |
Rang de la commune dans le département | 42 | 38 | 39 | 26 | 31 | 32 | 32 | 34 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
La violette, présente dans le blason de Saint-Alban, correspond à une source économique depuis le XVIIe siècle car le parfum qui était extrait de la Viola odorata était très apprécié et, en particulier, à la cour de Louis XIV. La violette, par la suite, fut longtemps la seule fleur commercialisée en hiver, c'est pourquoi elle fut très appréciée dans toute la France mais également à Londres (ce fut, au XIXe siècle, la fleur préférée de l'impératrice Victoria), Amsterdam ou Berlin. Les bouquets, expédiés grâce au chemin de fer dans les deux à trois heures après la cueillette, pouvaient se conserver trois à cinq jours. La violette constitua l'essence à la base de la plupart des créations de parfums de Grasse. En 1936, la Maison Berdoues créa la fameuse eau de toilette " Violettes de Toulouse " qui devint une reconnaissance des produits traditionnels de la ville rose et participa à rendre populaire cette senteur.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La halle, récemment ouverte, accueille chaque mercredi un marché et éventuellement, des concerts ou des fêtes foraines.
- Sur la place du 8-Mai-1945, un petit obélisque rend hommage aux victimes des deux guerres mondiales.
- Église Saint-Alban.
- Château de Saint-Alban d'origine médiévale, le donjon fut abattu à la Révolution de 1789. L'édifice fut remanié au cours des XVIIe et XVIIIe siècles puis transformé en plusieurs logements au cours du XXe siècle tandis que le parc d'origine servait de parcelles à une zone résidentielle. Un réseau souterrain permettait d'échapper avec trois sorties dont une qui menait au château de Castelginest.
Vie pratique
Enseignement
Saint-Alban fait partie de l'académie de Toulouse.
La ville dispose de deux écoles primaires et maternelles : Jean-Jaurès et La Peyronnette (en occitan : « petite pierre »), cette dernière étant la plus fréquentée.
Événements
- Le 9 mai, le comité de jumelage Saint-Alban-Salgareda fête la Journée de l'Europe avec la contribution des écoliers et de Chor'alban.
- Chaque mois de novembre, l'École de l'Europe ouvre ses portes aux citoyens pour mieux faire connaitre l'Europe et ses institutions.
Activités sportives
Skatepark assez fréquenté et comprend de multiples installations sportives (tennis, football...).
Le parcours sportif également très fréquenté à proximité de la piscine intercommunale. Une boucle de 1 115 m de longueur.
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[30].
Une déchèterie est présente sur la commune .
Pour approfondir
Personnalités liées à la commune
- Martine Biard (née Puig, à Saint-Alban, le [31]) Poète, romancière, historienne et essayiste, a vécu dans cette commune toute son enfance et la première partie de sa jeunesse jusqu'en 1975. Saint-Alban revient souvent dans ses romans sous le nom de Sainte-Artémis. L'un d'entre eux Clarté d'enfance[32] est directement inspiré par la vie au château de Saint-Alban dans les années 1960-1970. Martine Biard vit et travaille dans le sud de la France entre Fraissé-des-Corbières et Lunel, en Petite Camargue.
- Jacques du Puget (né en 1544-mort le 10/01/1625, il est enterré aux Cordeliers à Toulouse). Il épouse le 03/03/1573 Françoise de Barthes. Seigneur de Castillon de Gaffelas, avocat et capitoul à Toulouse où sa famille s'est installé à la mort de Louis II d'Anjou. Trésorier des deniers pour la construction du pont de Toulouse. Maître de cérémonie, élu par la ville, pour organiser les honneurs funèbres célébrés à l'occasion de la mort du roi Henri IV. Très fortuné, il fait l'acquisition pour le prix de 3 375 livres de la Seigneurie de Gaffelaze à l'abbaye de Saint-Sernin, le , avec " toutes justices haute, moyenne et basse, droits de censive, de tasque, lods, et ventes, captes et arrières captes et tous autres droits et devoirs seigneuriaux, prééminences, préséances, voix et actions dont jouissait le Sieur Abbé de Saint Sernin, à la condition de prêter serment, foy, hommage et fidélité à chaque mutation de d'Abbé, la veule est homologuée par ordonnance royale le ." Cette seigneurie de Gaffelaze, anciennement appelée Matte, est un vaste et riche domaine, en raison des nombreuses terres et immeubles que Jacques du Puget y possédait déjà par voie d'héritage ou achats. Par acte du , Jacques du Puget, requiert de Gilles Ragouste, recteur à Castelginest " licence de faire construire une petite chapelle " hors et près de la maison qu'il a fait bâtir depuis peu. Cela permet de fixer à 1612 ou 1613 l'édification de ce qui deviendra le château.
- Pierre du Puget, neveu du précédent, pour perpétuer le nom de ses aïeux de Provence (du Puget-Theniers où vivaient les seigneurs portant le nom de Saint Auban ou Saint Alban et dont le plus ancien seigneur est Bosson l'ancien, mort en 857, époux d'Engeltrude), obtient en 1675, la substitution du nom de Saint Alban à celui de Gaffelaze et l'érection de cette terre en baronnie.
- Étienne du Puget, fils de Jacques du Puget et de Françoise de Barthes, est né vers 1580 et décédé le 27/11/1647. Il est Trésorier Général des Finances, capitoul, chevalier conseiller et secrétaire du roi Louis XIII, et Grand Voyer de France. Ses biens sont la Seigneurie de Gaffelaze, le terroir du Ser, la terre de Croix Bénite et 3 arpents de vignes à Castillon.
- Guillaume du Puget est né le , il est le fils d' Étienne du Puget et de Marie de Lafont épousée en secondes noces le (née le 31/08/1585 et décédée le 03/07/1650 à Toulouse). Conseiller au Parlement de Toulouse, seigneur de la Croix bénite, il épouse Marguerite d'Assézat (décédée en 1666). C'est par son frère aîné, Jacques du Puget (1607-1670), conseiller du roi, Trésorier Général et Grand Voyer, époux de Claire de Relongues, et mort sans enfant que la seigneurie de Gaffelaze va passer à son fils aîné:
- Pierre du Pujet, né le 28/12/1645, Baron du Puget de Saint Alban, de Vabres, Blaignac et Fausin, Comte du Prat, Seigneur de Castillon, Lieutenant des Maréchaux de France et 6 fois Capitoul de Toulouse. Il épouse en premières noces, le , Bourguine de Garaud Montesquieu de Lescure, née le 11/05/1647 et décédée le 28/03/1692.
- Emmanuel du Puget de Saint Alban, né le 22/06/1672, baron de Saint Alban, héritier de tous les titres de son père Pierre du Puget, chevalier, baron de Vabre et autres lieux, capitaine de cavalerie. Il épouse le , Marie du Fayot de Cuisy, née le .
- Geneviève du Puget de Saint Alban, dite Mademoiselle Lescure, fille d'Emmanuel et de Marie, elle est née vers 1703 et décédée sans enfant le 25/05/ 1773 à Toulouse. Elle est la légataire particulière de son grand-père, Pierre du Puget de Saint Alban époux de Bourguine de Garaud Montesquieu de Lescure dont elle reçoit 4000 livres et d'autres legs. Geneviève donne la jouissance de tout son héritage à son frère Emmanuel qui n'a pas d'enfant et institue, enfin, pour héritier universel son neveu et filleul Julien de Papus, le fils de sa sœur Marie-Rose du Pujet de Saint-Alban (1706- 05/02/1671) qui a épousé Tristan-François de Papus(12/09/1709- 20/08/1786 à Toulouse), Conseiller au Parlement de Toulouse, seigneur de Cugnaux et baron du Fourneret.
- Emmanuel du Puget de Saint Alban, né le 8/10/1709, baron de Saint-Alban, Vabre, Fausin, Comte du Prat, Lieutenant des Maréchaux de France. Il est institué héritier général et universel de son grand - père : Pierre (époux de Bourguine de Garaud Montesquieu Lescure) par testament du . Il est l'époux de Marie de Custos réputée pour sa très grande beauté; le couple vivra à la Cour de Versailles, ce qui semble avoir précipité la ruine d'une fortune considérable.
- Marie de Custos, veuve Puget, voit les scellés apposés à Saint Alban, abîmé par la Révolution de 1789, le 5 ventose an VI ; sa succession est placée sous séquestre en raison de l'émigration de son petit-fils Fortune de Miéjeville.
- Jean Joseph Magdeleine Pijon, général, devient le 19 pluviôse an VII propriétaire des biens vendus par Marie-Rose Catherine de Miejeville, veuve Denjean et Marie-Catherine Antoinette de Miéjeville, veuve Messeau, le 17 nivôse, an IX. C'est à ce moment là que « tout le reste de la fortune du Baron du Pujet fut anéantie, par la suite de cette vente, y compris le château de Saint-Alban avec tous ses trésors : meubles, tapisseries, portraits de famille et même probablement, le riche chartier que possédait la branche aînée des Puget ». François-Victor Pijon, le 24 messidor an VII, hérite du château et des terres.
- Bernard Pujos achète ces biens à François-Victor Pijon, le .
- Hippolyte-Marie-Bernard Pujos, maire de Saint-Alban, en fait l'acquisition en 1871.
- Pauline Louise Pujos, veuve de Marie-Joseph, Marcellin, Victor Figeard, demeurant à Pamiers, hérite de Saint-Alban et vend le domaine le 17/12/1920 à la famille Courrèges qui le lèguera, dans la deuxième partie du XXe siècle, à la famille Arlat. C[33]'est cette période que l'auteure Martine Biard, devenue historienne moderniste, a vécu et raconte dans "Clarté d'enfance".
Articles connexes
Liens externes
Voir aussi
Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Métadonnées de la commune de Saint-Alban », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Alban et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Alban et Castelginest », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Alban », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Alban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Alban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Alban », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Transmission des recherches effectuées par Guilhermine Arlat et Martine Biard à partir des archives municipales de la commune de Saint-Alban à la fin du XXe siècle.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031467.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- brax2, « Collecte des déchets », .
- État civil de Saint-Alban, enregistrement pour Martine, Geneviève, Françoise Puig, née le 22 septembre 1961 à la clinique du Berceau, quartier des Minimes, à Toulouse, de Marcel Puig (06/08/1932-25/04/1998), cadre à la Société d'Alimentation de Provence située à Fenouillet(31) et de Renée-Simone Bacou-Puig (14/11/1931), sous-officier dans le Personnel féminin de l'Armée de Terre à Toulouse (31), service des transmissions de la Ve Région. Les parents, mariés à Toulouse depuis 7 ans, sont domiciliés à Saint-Alban. La déclaration à la mairie, le 23/09/61 à Saint-Alban, se fait par l'intermédiaire du chauffeur du père dans des conditions assez rocambolesques qui ont été romancées dans Les rivages du père de Martine Biard (publié en 2015, (ISBN 978-2-332-83807-0)).
- Martine Biard, Clarté d'enfance, Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), France., Editions Aparis-Edilivre, , 84 p. p. (ISBN 978-2-8121-2266-8).
- À partir des témoignages, par transmission orale et écrite de Guilhermine Arlat et de Martine Biard, fondés sur leur bonne connaissance des lieux et les recherches effectuées, à la fin du siècle dernier, dans les archives municipales de la commune de Saint-Alban (31140) dont deux volumes (confiés, en 2002, par Monsieur le Maire) sur la lignée des Puget.
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