Bully-les-Mines
Bully-les-Mines est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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Bully-les-Mines | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
François Lemaire 2020-2026 |
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Code postal | 62160 | ||||
Code commune | 62186 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
12 117 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 582 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 26′ 33″ nord, 2° 43′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 92 m |
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Superficie | 7,66 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bully-les-Mines (bureau centralisateur) |
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Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | bullylesmines.fr | ||||
Elle fait partie de la communaupole de Lens-Liévin (communauté d'agglomération) qui regroupe 36 communes et comptait 244 561 habitants en 2010.
Géographie
La commune est à proximité de l'A21 et de l'A26, et près de Lens dans la banlieue de Liévin. Elle est située en Gohelle.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Bully-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (70,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (59,4 %), terres arables (29,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), mines, décharges et chantiers (4,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le nom et l'orthographe de la commune a beaucoup évolué et fluctué au cours du temps. Nommée Bulgi en 1135, elle est passée par les appellations de Bugi (1152), Builli (1157, 1202 et 1219), Bullia (1198), Bulli (1266, 1327), Bully (1270), Builly (1218, 1295, 1312, 1396, 1426 et 1539), Boulli (1303), Buylly (1410), Builly-lez-Aix (1486), Bully-lez-Grenay (1511, 1513 et 1517), Builly-en-Gohelle (1569), Bully-en-Gohelle (1709), Buli en Goèle (1713), Buily-en-Gohelle (1733), Builly-en-Goelle et Builly-en-Gohelle au XVIIIe siècle, Bully-Grenay (1750, 1762 et au XIXe siècle), Bully-en-Gohelle (1702, 1782, 1847) et enfin Bully-les-Mines depuis 1925, en raison de la vigueur de l'activité minière de l'époque[11].
Le nom, selon plusieurs sources, serait d’origine gauloise[réf. souhaitée]. La gare, située à cheval sur la commune de Bully-les-Mines et la commune de Grenay, a gardé le nom de Bully-Grenay, ce qui entraîne parfois des confusions.
Histoire
Bien que la région ait été habitée dès la préhistoire, on ne trouve rien à Bully-les-Mines. La plus ancienne découverte est un bracelet celte. Les découvertes gallo-romaines sont en revanche nombreuses. Bully-les-Mines appartient au Pagus Silvinus, région administrative des Atrébates, la future Gohelle. En 2006, des fouilles effectuées lors de la construction d'un lotissement ont mis au jour une nécropole gallo-romaine[12].
Au VIe siècle, Bully est rattaché spirituellement à l'évêque de Cambrai-Arras en résidence à Cambrai et civilement à l'Artois primitif, chef-lieu Arras.
Bully, partie intégrante de l'Artois, a subi lui aussi les avatars de sa mère de 862 à 1191, c'est la domination des comtes de Flandre en 1191 a lieu le passage à la France jusqu’en 1384 avec gouvernement direct par la Couronne de 1191 à 1237. De 1384 à 1477, on subit la domination bourguignonne, puis retour bref à la France de 1477 à 1492 après la mort de Charles le Téméraire, puis période espagnole de l’année 1492 au , date de la réunion définitive à la France par le traité des Pyrénées.
Heurs et malheurs de Bully
Le voisinage de trois places fortes, Arras, Béthune et Lens, est souvent funeste à Bully qui sert de terrain de combat ou de passage des armées. En 1213, le village est ravagé. En 1303, il est rasé, même les arbres sont abattus. En 1348, un tiers de la population meurt de la peste noire. La peste sévira encore quatre fois le siècle suivant alternant avec des disettes et des guerres.
En 1537, Bully est ravagée par les troupes de Louis XII qui emportent tout et les malheurs continueront jusqu'à la prise de Lens par les Français en 1556-1557. Le receveur ne peut prélever aucun impôt à Bully, tant la population est éprouvée. En 1648, le village supporte la présence des armées pour la bataille de Lens.
De 1709 à 1712, Bully subit les marches et contremarches des armées lors de la guerre de succession d’Espagne. La situation est aggravée par une épidémie qui fit vingt-quatre morts. En 1796, un incendie détruit la moitié du village (en souvenir un lieu-dit sera nommé ‘’Chemin brûlé’’).
Quelques propriétaires encaissant des revenus de terres à Bully en 1792 (hors seigneurs et particuliers) :
- la Pauvreté d'Aix-Noulette (bureau de bienfaisance de l’époque)
- la commanderie de l'Ordre de Malte
- les chanoines d'Arras
- le chapitre d'Arras (ou chapelains d’Arras)
- les chapelains de Lens
- les chanoines de Lens
- les chanoines de Béthune
- les religieuses et abbesse de l'abbaye d'Anchin
- la prévôté de Gorre
- l’abbaye de Beaupré
- le curé de Gouy-Servins
- l’hôpital Saint-Jean de Béthune
Histoire industrielle
La ville se développe avec l'exploitation des mines de charbon.
Le , une machine et sa chaudière déclenchent un incendie dans la fosse n°1 de Bully-Grenay appartenant à la compagnie des mines de Béthune. La catastrophe fait 19 morts[13],[14].
Lors de la grève de 1948, le maire et un mineur jaunes sont tabassés par des grévistes[15].
Première Guerre Mondiale
La salle des fêtes de la compagnie des mines de Béthune (toujours existante aujourd'hui sous le nom de salle Jean Vasseur) sert d'hôpital militaire pour les troupes françaises puis pour les troupes britanniques[16].
Seconde Guerre Mondiale
Les troupes allemandes atteignent la ville le 29 mai 1940, prenant le maire Pierre Baillot et 10 autres personnes en otage pendant une journée[17].
Lors de la rafle du 11 septembre 1942, la famille Schwarz, composée d'Israël (né le 12 janvier 1899) et de son épouse Gitla (née Dzialoszynska le 14 décembre 1901), sont arrêtés à Bully-les-Mines parce que juifs, puis déportés le 15 septembre 1942 depuis le camp de rassemblement de Malines en Belgique à Auschwitz. Israël sera le seul à rentrer de déportation[18],[19].
La ville est libérée par les troupes britanniques et canadiennes les 2 et 3 septembre 1944[20]. Le 2 septembre, un enfant de 13 ans, Pierre Carton, est accidentellement tué par le ricoché d'une balle, tirée par un membre des FFI qui cherchait à ouvrir la voie à un convoi[21].
Politique et administration
Situation administrative
La commune de Bully-les-Mines se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Lens (à 10 km) et est le bureau centralisateur du Canton de Bully-les-Mines.
La commune est membre de la Communaupole de Lens-Liévin, qui rassemble 36 communes (Ablain-Saint-Nazaire, Acheville, Aix-Noulette, Angres, Annay, Avion, Bénifontaine, Billy-Montigny, Bouvigny-Boyeffles, Bully-les-Mines, Carency, Éleu-dit-Leauwette, Estevelles, Fouquières-lès-Lens, Givenchy-en-Gohelle, Gouy-Servins, Grenay, Harnes, Hulluch, Lens, Liévin, Loison-sous-Lens, Loos-en-Gohelle, Mazingarbe, Méricourt, Meurchin, Noyelles-sous-Lens, Pont-à-Vendin, Sains-en-Gohelle, Sallaumines, Servins, Souchez, Vendin-le-Vieil, Villers-au-Bois, Vimy et Wingles) pour une population totale d'un peu moins de 250 000 habitants.
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 3]
En 2018, la commune comptait 12 117 habitants[Note 4], en diminution de 4,42 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,2 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 46,8 % d'hommes (0 à 14 ans = 22 %, 15 à 29 ans = 21,9 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 16,9 %) ;
- 53,2 % de femmes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 17,7 %, 30 à 44 ans = 18,9 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 25,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux
- Terril no 52, 2 de Béthune Est, ancien terril conique de la fosse no 2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste que la base.
- Terril no 52A, 2 de Béthune Ouest, ancien terril plat de la fosse no 2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste quasiment plus aucune trace.
- Terril no 53, 1 de Béthune, situé à Bully-les-Mines, est le terril de la fosse no 1 - 1 bis - 1 ter des mines de Béthune. Exploité, il a été reconverti en espace vert.
- Terril n° 52, 2 de Béthune Est
- Restes du terril n° 52A, 2 de Béthune Ouest
- Terril n° 53, 1 de Béthune, reconverti
Monuments
- Église Saint-Maclou : tour-clocher (cad. A. 433), inscription par arrêté du [31].
- Église Sainte-Barbe de la cité des Brebis, démolie en 1982. Une chapelle est réaménagée sous ce vocable.
- Église Sainte-Thérèse, à la cité des Alouettes, désaffectée en 1974 pour devenir le centre culturel Jean-Macé.
- Monument au soldat Marche, inscrit depuis 2012 au patrimoine mondial de l'UNESCO.
- Monument aux morts de la Compagnie des Mines de Béthune, classé aux monuments historiques.
- Église Saint-Maclou
- Église Sainte-Barbe vers 1910
- Ancienne église Sainte-Thérèse, reconvertie
- Monument au soldat Marche
- Monument aux morts de la Compagnie des mines de Béthune
Personnalités liées à la commune
- Suzanne Blin (1913-1944), enseignante et résistante française, née à Bully-en-Gohelle.
- Paul Vanuxem (1904-1979), général, né à Bully-Grenay.
- Édouard Pignon (1905-1993), peintre, né à Bully-les-Mines.
- César Marcelak (1913-2005), cycliste sur route, polonais puis français, mort à Bully-les-Mines.
- Liliane Berton (1924-2009), artiste lyrique, soprano colorature, née à Bully-les-Mines.
- Jules Bigot (1915 -2007), footballeur, né à Bully-les-Mines.
- Henri Trannin (1919-1974), footballeur, né à Bully-les-Mines.
- Albert Eloy, (1927-2008), footballeur, né à Bully-les-Mines.
- André Strappe (1928-2006), footballeur, né à Bully-les-Mines.
- René Dereuddre (1930-2008), footballeur international, né à Bully-les-Mines.
- Jean-Marie Vanlerenberghe (1939), homme politique, né à Bully-les-Mines.
- Yves Devraine (1939-2008), scénographe et muséographe, né à Bully-les-Mines.
Héraldique
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Les armes de Bully-les-Mines blasonnent ainsi : chevronné d'argent et de gueules de douze pièces. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Histoire de la ville », sur www.bullylesmines.fr (consulté le ).
- rapport d'activité 2006 de l’Inrap page 107
- « Bully-les-Mines : une stèle pour les 150 ans de la catastrophe minière du 18 novembre 1869 », sur La Voix du Nord, (consulté le )
- Almanach du Pas-de-Calais,
- Marion Fontaine, Xavier Vigna « La grève des mineurs de l'automne 1948 en France », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 2014/1 no 121, p. 28.
- « Bully, un riche heritage », sur www.bullylesmines.fr (consulté le )
- « 29 Mai 1940 - Arrivée des Allemands - Le Maire de Bully-les-Mines pris en otage - Bully-les-Mines d'hier et d'aujourd'hui », sur histobullymines.canalblog.com, (consulté le )
- « Bully-les-Mines en 1939-1945 », sur www.ajpn.org (consulté le )
- « Liste des déportés victimes de persécutions raciales (Juifs et Tsiganes) », sur memoiresdepierre.pagesperso-orange.fr (consulté le )
- « Libération de Bully-les-Mines: on se souvient de la fête, mais aussi du deuil », sur La Voix du Nord (consulté le )
- « Pierre CARTON - victime innocente de la Libération de Bully - Bully-les-Mines d'hier et d'aujourd'hui », sur histobullymines.canalblog.com, (consulté le )
- Les maires successifs, site de la mairie
- Nicolas Chauty, « Le bilan de François Lemaire, maire de Bully-les-Mines: « Globalement, nous avons atteint 80 % des objectifs que l’on s’était fixés » : François Lemaire va boucler ces prochaines semaines un deuxième mandat à la tête de la commune de Bully. Aujourd’hui, l’élu se prête à l’exercice du bilan depuis 2008. Et dans le rétroviseur, quelques réussites se mêlent à d’autres frustrations pour celui qui aimerait bien repartir pour un tour (ou deux) au printemps prochain. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Virginie Pruvost, « Bully-les-Mines: François Lemaire entame son troisième mandat : C'est samedi matin à la mairie de Bully-les-Mines que François Lemaire a officiellement commencé son troisième mandat de maire. À la tête de la ville depuis 2002, il compte bien, avec sa nouvelle équipe, continuer le travail entamé depuis maintenant douze ans. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Bully-les-Mines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Notice no PA00108241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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