Givenchy-en-Gohelle

Givenchy-en-Gohelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Communaupole de Lens-Liévin (communauté d'agglomération) qui regroupe 36 communes et comptait 244 561 habitants en 2010.

Givenchy-en-Gohelle

L'église Saint-Martin.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Pierre Senechal
2020-2026
Code postal 62580
Code commune 62371
Démographie
Population
municipale
1 990 hab. (2018 )
Densité 334 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 37″ nord, 2° 46′ 23″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 148 m
Superficie 5,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Liévin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Givenchy-en-Gohelle
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Givenchy-en-Gohelle
Géolocalisation sur la carte : France
Givenchy-en-Gohelle
Géolocalisation sur la carte : France
Givenchy-en-Gohelle
Liens
Site web mairie-de-givenchy.com

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La ville se trouve dans l'arrondissement d'Arras mais se situe dans la banlieue de Liévin (arrondissement de Lens).

    Communes limitrophes de Givenchy-en-Gohelle
    Angres Liévin Avion
    Souchez
    Neuville-Saint-Vaast Vimy

    Urbanisme

    Typologie

    Givenchy-en-Gohelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,3 %), forêts (16,6 %), zones urbanisées (14,7 %), prairies (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Photographie allemande des ruines du village, en 1914.

    Le village de Givenchy a été complètement détruit lors de la Première Guerre mondiale, dès 1914.

    Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement d'Arras pour intégrer l'arrondissement de Lens[11].

    Politique et administration

    Givenchy-en-Gohelle dans son canton et dans l'arrondissement d'Arras.

    Situation administrative

    La commune de Givenchy-en-Gohelle se situe dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Lens7,5 km) et au canton de Liévinkm).

    La commune est membre de la Communaupole de Lens-Liévin, qui rassemble 36 communes (Ablain-Saint-Nazaire, Acheville, Aix-Noulette, Angres, Annay, Avion, Bénifontaine, Billy-Montigny, Bouvigny-Boyeffles, Bully-les-Mines, Carency, Éleu-dit-Leauwette, Estevelles, Fouquières-lès-Lens, Givenchy-en-Gohelle, Gouy-Servins, Grenay, Harnes, Hulluch, Lens, Liévin, Loison-sous-Lens, Loos-en-Gohelle, Mazingarbe, Méricourt, Meurchin, Noyelles-sous-Lens, Pont-à-Vendin, Sains-en-Gohelle, Sallaumines, Servins, Souchez, Vendin-le-Vieil, Villers-au-Bois, Vimy et Wingles) pour une population totale d'un peu moins de 250 000 habitants.

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953  ? Louis Cayet    
    1971 1975 [réf. nécessaire] Émile Telliez   Cultivateur
    1975 mars 1983 Jean Dubois    
    mars 1983[12] mars 2014 Robert Mieloch PS Professeur de lycée
    Vice-président de la CA de Lens-Liévin [Quand ?]
    mars 2014[13],[14] En cours
    (au 15 janvier 2015)
    Pierre Sénéchal MRC puis MDC Principal de collège
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[16].

    En 2018, la commune comptait 1 990 habitants[Note 3], en diminution de 0,85 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1251 1901 4531 4021 4921 4761 4151 4641 460
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3591 3641 3511 3731 4411 4911 5841 6091 712
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7311 8771 8277791 2101 2291 2011 2441 333
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5081 5551 6271 7551 9732 0512 0882 0932 024
    2017 2018 - - - - - - -
    1 9471 990-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 20 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 23,9 %, plus de 60 ans = 18 %) ;
    • 51,6 % de femmes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 15,3 %, 30 à 44 ans = 20,7 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 20,4 %).
    Pyramide des âges à Givenchy-en-Gohelle en 2007 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,2 
    5,2 
    75 à 89 ans
    6,8 
    12,7 
    60 à 74 ans
    13,4 
    23,9 
    45 à 59 ans
    22,8 
    21,3 
    30 à 44 ans
    20,7 
    16,7 
    15 à 29 ans
    15,3 
    20,0 
    0 à 14 ans
    20,7 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Givenchy-en-Gohelle présente la particularité d'avoir planté de nouveau de la vigne (chardonnay et pinot gris). Les premières vendanges ont eu lieu en 2000.

    Les églises

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2015). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    L'église.

    Ainsi que bien d'autres églises de la région, l'église de Givenchy-en-Gohelle fut fondée à l'époque mérovingienne comme en témoigne son vocable de saint Martin. Contrairement à l'édifice actuel, la première église était située sur les monts, à flanc de coteau et plus précisément en bordure de l'actuelle rue Renan.

    Pillée et ruinée à plusieurs reprises lors des campagnes militaires des XIVe et XVe siècles, elle fut restaurée à la fin du XVe siècle. Flanquée d'une tour-clocher aux puissants contreforts, elle assurait la surveillance aux abords de la paroisse et la tradition rapporte que cette tour protégeait l'entrée d'un souterrain (carrière de craie).

    À la Révolution, l'église ne cessait de se délabrer, petite, ne comportant qu'une seule nef, mal éclairée, elle ne convenait plus à la population devenue nombreuse. Le à 16 h la nef s'écroula, il n'y eut aucune victime. Le maire décida alors de la raser mais le curé et les paroissiens s'y opposèrent et se regroupèrent dans le petit chœur.

    En 1871, la vieille tour-clocher s'effondra, il fallait donc procéder à la reconstruction d'une nouvelle église. Afin de réunir Givenchy et le hameau Givenchisel, l'église fut reconstruite au lieu-dit la Chapelle au milieu des terrains agricoles. De style néogothique, elle fut construite entre 1871 et 1873. En 1874, on construisit le cimetière derrière l'église. Elle fut détruite lors de la Première Guerre mondiale.

    L'église Saint-Martin fut à nouveau reconstruite au même emplacement et sur des plans identiques à la précédente. La reconstruction débuta en 1924, cependant les travaux furent arrêtés en à la suite de la faillite de l'entrepreneur Société régionale d'entreprise de la Seine. Ils reprirent seulement en 1931.

    L'église fut inaugurée le par monseigneur Dutoit, évêque d'Arras.

    Elle possède deux cloches :

    • la grosse cloche Marie Henriette Alfreda Thérèse Ghislaine fut baptisée le par monseigneur Dutoit, elle pèse 850 kg et donne le fa # (fondeur Wauthy à Douai) ;
    • la petite cloche Aloyii Arsenii Victoris Joannis Francisci, Petri, Pauli, Marcelii, Hippolyti (Eloi Arsène Victor Jean François, Pierre, Paul, Marcel, Hippolyte) daterait de 1870 (provient de l'église provisoire). Elle pèse 350 kg et donne le mi bémol (fondeur P. Drouot à Douai). L'église fait partie de la nouvelle paroisse Notre-Dame des collines d'Artois dans le diocèse d'Arras.

    Le Mémorial canadien de Vimy

    C'est sur le territoire de Givenchy-en-Gohelle que se trouve le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens. Les deux pylônes, représentant le Canada et la France, culminent 27 mètres au-dessus de la base du monument. En raison de l'altitude du site, la figure la plus élevée - l'allégorie de la paix - domine la plaine de Lens d'environ 110 m.

    Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au Canada par la France en 1922. Cela en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la Grande Guerre et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'.

    En s'avançant à l'avant du monument, on peut remarquer une statue de femme voilée, tournée vers l'est, vers l'aube d'un nouveau jour. Elle représente le Canada, une jeune nation, pleurant ses fils tombés au combat. La crête de Vimy est aujourd'hui boisée, chaque arbre a été planté par un Canadien et symbolise le sacrifice d'un soldat.

    Les pierres calcaires choisies par Walter Allward viennent de Croatie. Elles sont montées sur une structure en béton. Les pierres d'origine s'étant abîmées avec le temps, des travaux de restauration ont été entrepris en 2005 et se sont achevés en 2007. La reine Élisabeth II a participé à l'inauguration le .

    Mémorial de la Division marocaine

    Un monument édifié en , sur le plateau de Vimy, en face du mémorial canadien, rend hommage à la Division marocaine et aux centaines de milliers de soldats étrangers engagés pour la France pendant la Grande Guerre[21].

    Autres monuments

    Le monument aux morts.
    • Le monument aux morts.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d'argent à trois merlettes de sable à plomb rangées en barre, au franc-canton de gueules.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
    12. Édouard Wayolle, « Bilan des maires: à Givenchy-en-Gohelle, malgré les contretemps, Robert Mieloch reste ambitieux pour sa commune : Robert Mieloch, à la tête du bourg de Givenchy-en-Gohelle depuis trente ans, compte se représenter aux élections municipales de 2014. Quel bilan tirer de son dernier mandat  », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    13. Clément Landouzy, « Pierre Sénéchal, maire de Givenchy: « Je travaille pour mon village, pas pour la gloire ! » : Depuis quelques semaines, la commune de Givenchy a changé d’ère : Pierre Sénéchal a succédé à Robert Mieloch qui était installé dans le fauteuil de maire. Sa victoire, son nouveau rôle, ses projets… Entretien avec le nouveau maire. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    14. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. « Évolution et structure de la population à Givenchy-en-Gohelle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    20. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    21. Maxime Pedrero, « Givenchy-en-Gohelle: le maire veut sauver le monument à la mémoire de la division marocaine : Passionné depuis des années des lieux de mémoire qui entourent son village, Pierre Sénéchal s’est donné pour mission de sauver l’un d’entre eux de l’oubli, le monument à la division marocaine. Un édifice soulignant la mémoire de centaines de milliers de soldats étrangers tombés pour la France. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.