Betchat

Betchat est une commune forestière, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Betchat
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Patrick Galy
2020-2026
Code postal 09160
Code commune 09054
Démographie
Gentilé Betchatois
Population
municipale
346 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 35″ nord, 1° 00′ 46″ est
Altitude Min. 296 m
Max. 491 m
Superficie 22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Girons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes du Couserans
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Betchat
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Betchat
Géolocalisation sur la carte : France
Betchat
Géolocalisation sur la carte : France
Betchat

    Géographie

    Localisation

    La commune de Betchat se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 50 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 16 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture, et à 14 km de Saint-Lizier[4], bureau centralisateur du canton des Portes du Couserans dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-du-Salat[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Marsoulas (1,9 km), Escoulis (2,7 km), Touille (3,4 km), Cassagne (4,0 km), La Bastide-du-Salat (4,5 km), Salies-du-Salat (4,5 km), Belbèze-en-Comminges (4,7 km), His (4,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Betchat fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[6].

    Betchat est limitrophe de douze autres communes dont quatre dans le département de la Haute-Garonne.

    Carte de la commune de Betchat et de ses proches communes.

    Commune des Pyrénées située dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, elle est limitrophe avec le département de la Haute-Garonne au nord-ouest et à l'ouest[7].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Lavin et le Lens, deux affluents du Salat et par le ruisseau de Belloc, le ruisseau Goutè de Chayrous, le ruisseau de Losse, le ruisseau de Soumet...

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 200 hectares ; son altitude varie de 296 à 491 mètres[8].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 918 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14],[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 12 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Betchat est une commune rurale[Note 4],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

    Hameaux

    Hameaux : Belloc, Bernadat, Bousquet, Blanque, Charlat, Clouzet, Hourtigué, Jourdain, Lamonge, Lasserre, Montaut, Pamolle, Soulagnet,

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (17,1 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales D 34 et D 233.

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte de Roquecourbère se trouve dans le nord de la commune en rive gauche (côté sud) du Lens[29]. Sa longueur est d'environ 30 à 35 m[30]. Elle a été occupée au Moustérien, au Solutréen et au Magdalénien. C'est l'un des trois sites solutréens connus en 2000 dans les Pyrénées, avec l'abri des Harpons et la grotte des Rideaux qui font partie de l'ensemble des grottes de Lespugue en Haute-Garonne. Elle a malheureusement été complètement vidée par J. Cazedessus en 1927 ; toute sa collection a été vendue au musée Field de Chicago. Le comte Henri Bégouën a cependant réussi à collecter une trentaine de belles pièces lithiques, qui se trouvent au musée d'histoire naturelle de Toulouse[29]. Les pièces solutréennes sont principalement du type « feuille de laurier », à différents stades de façonnage[31], utilisant du silex « bleu » des Pyrénées. Trois pièces sont faites de silex de provenance éloignée : deux feuilles de laurier dont une entière et une cassée viennent d'un gîte à silex de type « Hibarette[Note 6] » (à environ 100 km à l'ouest, au sud de Tarbes[33]) ; et la matière première d'une pièce foliacée asymétrique du « type de Montaut provient des gîtes de Tercis dans les Landes (à environ 220 km ouest-nord-ouest[34]). La quantité des pièces collectée indique une activité de taille importante dans la grotte[35].
    Des gravures pariétales y sont découvertes en 1975[29] par Robert Simonnet : un petit panneau sur la paroi gauche près de l'entrée de la grotte, comportant des traits et inscriptions[30] dont une rouelle[36], et un bouquetin au centre[37] mesurant 15,4 cm du museau à la croupe ; les contours du dos et du bout du museau sont représentés par des fissures de la roche[36]. Le style rappelle celui des gravures de certains bouquetins solutréens de l'Ardèche. Mais une analyse approfondie révèle que cette gravure est moderne[38].

    Au pied de la falaise portant la grotte se trouve un atelier de plein-air couvrant plusieurs hectares, daté du début de l'Aurignacien dans les années 1930[39] mais une réévaluation de son industrie en 2000 donne ce site pour un solutréen[35].

    Temps modernes

    Après la révolution, 100 à 140 bateaux par an étaient construits à Lacave avec des bois d'œuvre de la forêt de Betchat. Ils étaient acheminés vers Toulouse par le Salat.

    Seconde Guerre mondiale

    Un maquis a fonctionné sur Betchat, attaqué par les Allemands le 10 juin 1944[40].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[41],[42].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du canton des Portes du Couserans (avant le redécoupage départemental de 2014, Betchat faisait partie de l'ex-canton de Saint-Lizier).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Paul Durroux    
    mars 2008 2014 André Courset    
    mars 2014 En cours Patrick Galy SE Agent technique

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

    En 2018, la commune comptait 346 habitants[Note 7], en augmentation de 8,46 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0109449981 1051 3941 4131 3921 4171 437
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3421 2771 3301 2601 2241 2121 2241 2351 222
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2131 2111 120819813730633595503
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    448418386307314293348356364
    2013 2018 - - - - - - -
    319346-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 74 78 83 89 94 87 85 100
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Enseignement

    Betchat compte une école primaire publique, et fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Chasse, randonnée,

    Écologie et recyclage

    La déchetterie la plus proche se trouve au lieudit Casséjoul, à Mercenac.

    Économie

    • Bar-restaurant-gîte de groupe Le Bistrot de Betchat, au village.
    • Coutellerie artisanale La Forge de Soulagnet, couteaux L'Estelas et le Couserannais.
    • Élevage biologique de vaches de la race locale casta longtemps menacée de disparition, à la ferme du Pioulet.
    • Fromages biologiques de chèvre et poules pondeuses, à Belloc.


    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • François Joseph de Saint-Jean (1744-1825), maréchal de camp de la Révolution française, se retire au château de Castelbon et devient maire.
    • Oscar Auriac (1878-1949)[51], philosophe né à Betchat, inspecteur général de l'instruction publique.
    • Jean Durroux, député de l'Ariège de 1946 à 1962, né sur la commune le .

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les ateliers de plein air d'Hibarette (Hautes-Pyrénées) ont exploité le silex du flysch de Montgaillard depuis le Paléolithique moyen jusqu'au Néolithique[32]. Voir l'article « Hibarette », section « Préhistoire ».
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Betchat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Betchat et Saint-Lizier », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Betchat », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
    7. « Betchat, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Cerizols - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Betchat et Cérizols », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    19. « Orthodromie entre Betchat et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. [Foucher & San Juan 2000] Pascal Foucher et Cristina San Juan, « La grotte de Roquecourbère (Betchat, Ariège) : ses industries lithiques solutréennes et la révision critique de son art pariétal », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 97, no 2, , p. 199-210 (lire en ligne [sur persee]), p. 199.
    30. Foucher & San Juan 2000, p. 206.
    31. Foucher & San Juan 2000, p. 201.
    32. [Barragué et al. 2001] Jean Barragué, Élisabeth Barragué, Marc Jarry, Pascal Foucher et Robert Simonnet, « Le silex du Flysch de Montgaillard et son exploitation sur les ateliers du Paléolithique supérieur à Hibarette (Hautes-Pyrénées) », Paléo, no 1, , p. 29-52 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
    33. « Trajet et distance Betchat / Hibarette », sur google.fr/maps (consulté en ).
    34. « Trajet et distance Betchat / Tercis-les-Bains », sur google.fr/maps (consulté en ). Tercis est à km au sud-ouest de Dax.
    35. Foucher & San Juan 2000, p. 205.
    36. Foucher & San Juan 2000, p. 208.
    37. Foucher & San Juan 2000, p. 207.
    38. Foucher & San Juan 2000, p. 209.
    39. [Bégouën & Townsend Russell 1933] Henri Bégouën et J. Townsend Russell, La campagne de fouilles de 1931, à Marsoulas, Tarté et Roquecourbère, Toulouse, éd. É. Privat, , 19 p. (présentation en ligne). Lire en ligne le rapport de Russell sur ces fouilles : [1932] (en) J. Townsend Russell, « Report on archaeological research on the foothills of Pyrenees », Smithsonian miscellaneous collections, Washington, vol. 87, no 11, (lire en ligne [sur babel.hathitrust.org], consulté le ) ; Roquecourbère : p. 5.
    40. « Histoire et mémoires de la Seconde Guerre mondiale », sur resistance-ariege.fr (consulté le )
    41. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    42. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    48. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    49. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. « Oscar Auriac »
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