Montgaillard (Hautes-Pyrénées)

Montgaillard est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Montgaillard.

Montgaillard

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute-Bigorre
Maire
Mandat
Dominique Pujol
2020-2026
Code postal 65200
Code commune 65320
Démographie
Gentilé Montgaillardais
Population
municipale
849 hab. (2018 )
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 32″ nord, 0° 06′ 32″ est
Altitude Min. 419 m
Max. 602 m
Superficie 9,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Haute-Bigorre
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montgaillard
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Montgaillard
Géolocalisation sur la carte : France
Montgaillard
Géolocalisation sur la carte : France
Montgaillard

    Ses habitants sont appelés les Montgaillardais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Montgaillard se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 12 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Hiis (1,4 km), Antist (1,8 km), Vielle-Adour (2,4 km), Ordizan (2,6 km), Trébons (2,8 km), Loucrup (3,1 km), Arcizac-Adour (3,6 km), Visker (3,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montgaillard fait partie de la province historique du Haut-Adour, autrefois incluse dans l’ancien comté de Bigorre. Il s’agit d’une zone montagneuse constituée des prolongements occidentaux des massifs de Néouvielle et de l’Arbizon[5],[6].

    Carte de la commune de Montgaillard et des proches communes.
    Communes limitrophes de Montgaillard[7]
    Hiis Vielle-Adour Orignac
    Loucrup Antist
    Astugue Trébons Ordizan

    Paysages et relief

    Vue en été.

    Hydrographie

    Les terres de la commune sont arrosées par l'Arrêt-Darré, affluent de l'Arros et par la Gailleste, affluent gauche de l'Adour, qui conflue sur la commune.
    Le canal d'Alaric traverse la commune du sud au nord en partie est.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Montgaillard.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[8].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie [11]. Un espace protégé est présent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[12].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Adour »[14], d'une superficie de 2 694 ha, un espace où les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiée, avec la présence de la Loutre et de la Cistude d'Europe.[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[16] :

    • « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées[17] ;
    • le « réseau hydrographique de l'Arrêt-Darré » (63 ha), couvrant 13 communes du département[18] ;
    • le « réseau hydrographique de l'Oussouet et de la Gailleste » (111 ha), couvrant 8 communes du département[19] ;
    • le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » (260 ha), couvrant 35 communes du département[20] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 4],[16] :

    • l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[21] ;
    • les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[22] ;
    • le « massif du Monné, vallée de l'Oussouet » (6 955 ha), couvrant 11 communes du département[23];
    • le « plateau et vallons des Coustalats » (7 832 ha), couvrant 25 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Montgaillard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].

    Place de la Mairie.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,2 %), forêts (24,6 %), prairies (19 %), zones urbanisées (7,6 %), terres arables (5,5 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Passage à niveau de l'ancienne ligne de Morcenx à Bagnères-de-Bigorre en 2021.

    Cette commune est desservie par les routes départementales D935, D937 et par les routes départementales D8 et D28.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Montgaillard.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[31] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • de Monte Gailhardo, latin (1285, montre Bigorre) ;
    • Mongailhard (ibid.) ;
    • de Monte Galhardo, latin (1300, enquête Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre ; 1379, procuration Tarbes) ;
    • Mongalhart (1344, livre vert de Bénac ; 1384, ibid.) ;
    • Mont Galhart, Montgalhart (1429, censier de Bigorre) ;
    • Mongaillard (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : du gascon mont (= mont) et galhard (= fort, solide, vaillant).

    Nom occitan : Montgalhard.

    Histoire

    Préhistoire

    Les grands ateliers de plein air d'Hibarette (Hautes-Pyrénées) ont exploité le silex du flysch de Montgaillard depuis le Paléolithique moyen jusqu'au Néolithique[32].

    Époque gallo-romaine

    Montgaillard tire son nom du monticule situé à l'ouest de la commune. Celui-ci porte une castrénation, l'oppidum d'« eras Puyolas » édifié par les romains.

    Moyen Âge

    Montgaillard est une bastide fondée en 1327.

    Époque contemporaine

    La commune a disposé d'une gare sur la ligne de Morcenx à Bagnères-de-Bigorre.

    Politique et administration

    La mairie en 2020.
    Le foyer rural en 2020.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 mars 2008 Louis Baget    
    mars 2008 mars 2014 Jean-Paul Barthe    
    mars 2014 mars 2020 Patrick Bornuat    
    mars 2020[33] en cours Dominique Pujol    

    Intercommunalité

    Montgaillard appartient à la communauté de communes Haute-Bigorre, créée en et qui réunit 24 communes.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 849 habitants[Note 7], en augmentation de 5,47 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8718799641 0441 0861 1081 0891 1491 171
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1661 1121 1121 0611 054963924905834
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    805821780677734684677643615
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    614629628695737724723791847
    2018 - - - - - - - -
    849--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    L’école.
    Le stade de football.

    Enseignement

    L'école se situe en contrebas d'une éminence sur laquelle a été construite l'église Saint-Hilaire. Elle y surplombe le village depuis 1848.

    Manifestations culturelles et festivités

    Le festival de musique des Truca Taoules se déroule à Montgaillard tous les étés, en plein air, depuis 1998[38],[39].

    Économie

    Salon de thé Védère.

    Biscuiterie et usine hydroélectrique

    La biscuiterie Védère fait revivre l'ancienne ligne de chemin de fer qui reliait Tarbes à Bagnères-de-Bigorre en transformant, dans sa boutique, une voiture SNCF DEV en salon de thé. Une locomotive BB 4240 construite en 1934 à Tarbes y est également visible.

    Une usine hydroélectrique et sa haute cheminée en brique rouge longent la D 935 en direction de Tarbes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    À l'image de nombreuses demeures dans le village, la mairie, ses encadrements en pierre grise et ses cheminées monumentales correspondent à l'architecture typique de la région. Un monument aux morts et une fontaine agrémentent la place attenante.

    De nombreux lavoirs et croix monumentales jalonnent les rues du villages.

    Berges de l'Adour et pont du Diable

    L'un des lavoirs se situe sur les accueillantes berges de l'Adour. On y appréciera la vue sur le pont du Diable.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur au chevron d'argent, accompagné aux trois besants d'or[40].
    Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.

    Articles connexes

    Liens externes

    • Ressource relative à la géographie :
    • Ressource relative aux organisations :
    • Article dans Paleorevue "Le silex du Flysch de Montgaillard et son exploitation sur les ateliers du Paléolithique supérieur à Hibarette (Hautes-Pyrénées)" http://paleo.revues.org/951

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Montgaillard », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Montgaillard et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Montgaillard et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Montgaillard », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. « la Haut-Adour », sur www.tourisme-en-france.com (consulté le )
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 323-324.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    9. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    10. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montgaillard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montgaillard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Arrêt-Darré » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Oussouet et de la Gailleste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « massif du Monné, vallée de l'Oussouet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « plateau et vallons des Coustalats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    32. [Barragué et al. 2001] Jean Barragué, Élisabeth Barragué, Marc Jarry, Pascal Foucher et Robert Simonnet, « Le silex du Flysch de Montgaillard et son exploitation sur les ateliers du Paléolithique supérieur à Hibarette (Hautes-Pyrénées) », Paléo, no 1, , p. 29-52 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ), notamment p. 426 : .
    33. Viktoria Telek, « Montgaillard. Dominique Pujol maire, le conseil municipal installé », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. http://www.truca-taoules.com/
    39. http://festivaltrucataoules.free.fr/
    40. Passion Bigorre
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