Aussac-Vadalle

Aussac-Vadalle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Aussac-Vadalle

Mairie d'Aussac-Vadalle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Gérard Liot
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16024
Démographie
Population
municipale
511 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 02″ nord, 0° 13′ 17″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 163 m
Superficie 17,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Aussac-Vadalle
Géolocalisation sur la carte : Charente
Aussac-Vadalle
Géolocalisation sur la carte : France
Aussac-Vadalle
Géolocalisation sur la carte : France
Aussac-Vadalle
Liens
Site web www.aussac-vadalle.fr

    Géographie

    Localisation et accès

    Aussac-Vadalle est une commune située à 19 km au nord d'Angoulême.

    Aussac-Vadalle est aussi à km au nord-est de Tourriers, 5,5 km au nord-est de Saint-Amant-de-Boixe, chef-lieu de son canton et km au sud de Mansle[1].

    La route nationale 10 entre Angoulême et Poitiers, aménagée en voie express 2x2 voies, traverse l'ouest de la commune. La commune est aussi traversée par la D 15, de Saint-Angeau à Montignac, qui traverse Vadalle, la D 115 qui traverse Aussac, et la D 40 (dite route de la Duchesse) qui va de La Rochefoucauld à Mansle et traverse le nord-est de la commune par Ravaud[2].

    Aussac-Vadalle est à 10 km au nord de l'aéroport d'Angoulême et la gare la plus proche est celle d'Angoulême (TER et TGV, Paris, Bordeaux, Saintes, Royan, Poitiers, Limoges), ou celle de Luxé à 11 km pour aller (TER Angoulême, Poitiers).

    Hameaux et lieux-dits

    Par ordre décroissant d'importance[2] :

    • Vadalle (où est située la mairie)
    • Ravaud
    • Aussac
    • la Grange
    • chez Bourrier
    • Puymerle
    • le Chalet de la Boixe
    • le Moulin de Ravaud

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué d'un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien terminal, Kimméridgien). Il fait partie du plateau de la Boixe et de la Braconne, de nature karstique. Quelques petites zones de grèzes occupent certains endroits : à l'est d'Aussac, et entre le château de la Boixe et la route nationale 10[3],[4],[5].

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 163 m, situé près du bourg d'Aussac (borne IGN). Le point le plus bas est à 84 m, situé sur la limite orientale. Le bourg d'Aussac est à 150 m d'altitude et celui de Vadalle à 120 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    La nature karstique du sol fait qu'aucun cours d'eau ne traverse la commune.

    On peut toutefois signaler le vallon de Vadalle, où il y a quelques fontaines et un ruisseau intermittent. Ce ruisseau n'est permanent qu'entre Ravaud et le moulin de Ravaud. Il s'écoule vers le nord-est et s'infiltre avant d'atteindre la Tardoire plus au nord[2].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    La forêt de Boixe s'étend en partie sur la commune, bien qu'une importante déforestation l'ait décimée à partir du Moyen Âge.

    Dialectes

    La commune marque l'extrémité occidentale de la langue d'oc en Charente, dialecte marchois, avec la langue d'oil, dialecte saintongeais[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Aussac-Vadalle est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), forêts (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %), zones urbanisées (3 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Alciagus en 914[13], Auciacum et Vadales en 1308[14], Aussac au XIIe siècle[15],[Note 3].

    L'origine du nom d'Aussac remonterait à un personnage gallo-romain Alcius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Alcius»[16],[17].

    Histoire

    Au Moyen Âge, la paroisse d'Aussac était entièrement recouverte par la forêt de la Boixe. Au XIe siècle, Aussac et Vadalle n'étaient qu'une large clairière, entourée de tous côtés par la forêt. Les défrichements successifs ont fait reculer la forêt qui n'occupe plus aujourd'hui qu'une petite partie occidentale du territoire communal[18].

    Le prieuré de Notre-Dame de Ravaud, de l'ordre de Grandmont, fondé en 1150, comptait en 1317 une vingtaine de membres. Il a été transféré au XVIIe siècle à l'annexe de Badeix, près de Nontron. Il n'en reste que quelques vestiges.

    Le village de Ravaud est traversé par la D 40, dite route de la Duchesse[Note 4]. Une source prend naissance au centre du bourg, où se trouve une fontaine et le ruisseau traverse un beau lavoir avant de s'éloigner vers le moulin de Ravaud. On s'y rendait en pèlerinage lors de grandes sécheresses[18].

    D'autres sources, la Font Bénite et Font Carabin, rejoignent le ruisseau en l'alimentant de façon régulière.

    À Puymerle, dans la forêt, on trouve encore une petite chapelle qui faisait l'objet de frairies[Note 5] le 22 mai, fête patronale. C'était une cénobie dépendant de l'abbaye de Grosbot nommée Sainte-Quitterie, abandonnée après la campagne protestante de 1568.

    Du logis de Puychaussac, qui a appartenu à différentes familles entre le XVIe et le XVIIIe siècle, il ne reste plus rien[19],[20].

    Au XVIIIe siècle, les dindes élevées sur le territoire d'Aussac dans la forêt et nourries en automne aux glands et faînes étaient réputées sur le marché d'Angoulême[19].

    En 1124, Vadalle a été le lieu d'un duel judiciaire entre l'abbé de Saint-Amant et une famille qui lui contestait une donation. L'affaire s'est finalement terminée en transaction[18].

    Le bourg de Vadalle a depuis toujours une vocation économique dynamisée par la circulation sur la D.15 avant l'arrivée du chemin de fer, en particulier des rouliers qui transportaient du vin de Vars et Saint-Amant vers le Limousin et le Centre de la France[18], puis s'est ajoutée une activité administrative avec l'implantation de l'école et de la mairie.

    Politique et administration

    La commune d'Aussac-Vadalle a été créée en 1793, puis elle est devenue Aussac en 1801. En 1985 elle est redevenue Aussac-Vadalle afin d'éviter des confusions avec d'autres communes[21].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Henry Jean-Pierre DVG  
    avant 1995  ? Alain Laty    
    depuis 1995 En cours Gérard Liot DVD Directeur du SDITEC à la retraite
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2018, la commune comptait 511 habitants[Note 6], en augmentation de 0,59 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
    747728775874698861854840807
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    710724769728667567519515596
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    454400421359330427323292320
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    315333387385400402502513511
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Aussac-Vadalle en 2007 en pourcentage[25].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,6 
    75 à 89 ans
    10,2 
    10,2 
    60 à 74 ans
    12,1 
    28,1 
    45 à 59 ans
    24,3 
    24,0 
    30 à 44 ans
    21,8 
    11,7 
    15 à 29 ans
    17,0 
    18,4 
    0 à 14 ans
    14,6 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Aussac-Vadalle a commencé sa baisse démographique dans la deuxième moitié du XIXe siècle et l'a continuée durant un siècle. Elle a maintenant retrouvé sa population de 1931, moins de la moitié de celle du milieu du XIXe siècle.

    Économie

    Les éoliennes vues de la route d'Aussac à Vadalle.

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].

    Industrie

    Sur 1 760 ha desservis par 50 km de chemin vivent 400 habitants (en 2006). L’activité économique principale est l’agriculture, bien que l’on trouve une petite entreprise de transport, une carrière et le restaurant "La Belle Cantinière" sur la N 10.

    Le parc éolien d'Aussac-Vadalle a été construit en 2010. Il comporte quatre éoliennes, d'une puissance totale de MW ce qui assure une production électrique et un nouveau revenu financier pour la commune et la communauté de communes de Boixe[28].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Anais, Aussac-Vadalle et Tourriers.

    Aussac-Vadalle et Tourriers accueillent des écoles élémentaires, Anais accueille l'école maternelle et l'école primaire[29].

    Autres équipements et services

    Une salle des fêtes a été inaugurée en 2008 à Vadalle près de la mairie.

    Vie locale

    La vie associative est très présente avec sept associations qui animent la commune.

    Les principales manifestations sont la fête de Puymerle à l'Ascension, la course cycliste régionale en mai, le feu de la Saint-Jean et les championnats internationaux, nationaux et régionaux de tir sportif, et notamment le championnat de France de tir sur silhouette métallique tous les quatre ans.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre

    L'église paroissiale Saint-Pierre d'Aussac dont l'existence est citée en 922 possède la litre funéraire de François VI, duc de La Rochefoucauld[28] datant de 1680. L'origine de cette église donnée à l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe remonte au Xe siècle. Elle fut en partie reconstruite à la fin du XVIe siècle après les guerres de religion, avec un presbytère adjacent encore existant, vendu comme bien national à la Révolution. La voûte a été refaite au XIXe siècle et un clocher-mur ajouté. C'est lors de cette restauration que la litre funéraire a été découverte sur le latéral nord[30]. Dans les années 2000, un chemin de croix a été peint par les peintres bénévoles de l'association Bandiat-Tardoire en réutilisant les cadres de chêne noir d'époque.

    Ermitage de Puymerle

    La clairière de Puymerle et le petit hameau abandonné qui abrite toujours les ruines de l'ermitage de Puymerle, une chapelle à demi enterrée dédiée à sainte Quitterie[Note 7] et dépendant de l'abbaye de Grosbot. Cette cénobie fût construite au XIIe siècle. L'endroit faisait l'objet d'un pèlerinage annuel le 22 mai, d'autant qu'il y avait un puits miraculeux[31],[32].

    Celle grandmontaine

    À Ravaud, on trouve les vestiges d'une celle grandmontaine, fondée entre 1150 et 1160 par le comte d'Angoulême Guillaume VI. En 1317, elle devient prieuré et les petites celles de Gandory, Beusault, Rauzet (Charente) et Badeix (Dordogne) lui sont unies[33],[30]. Le bâtiment actuel date en partie du XVe siècle[34].

    Chapelle funéraire

    La chapelle néo-gothique située à côté de l'église d'Aussac était celle de l'ancien cimetière, et l'ancienne chapelle mortuaire de la famille Vallier, famille de notables d'Aussac, que la municipalité a tenu à conserver[30].

    Croix

    Toujours à Aussac, une croix de pierre marquée des signes des compagnons fait face à la petite chapelle funéraire située sur la place JB.Hériard qui fut le premier maire en 1790.

    Patrimoine civil

    Un réseau de souterrains médiévaux relie les maisons et les villages[réf. nécessaire].

    Sont aussi à citer le chalet de la Boixe, où a séjourné le peintre Eugène Delacroix, et trois puits communaux.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les formes Alterio, Auterio du XIIe siècle, dans ce même cartulaire, identifiées aussi à Aussac, peuvent aussi identifier Altier, un personnage.
    4. En l'honneur de la duchesse de La Rochefoucauld au château de laquelle cette route aboutit après avoir traversé la forêt de la Braconne.
    5. Dans les Charentes, une frairie est un rassemblement festif annuel.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. Appelée aussi sainte Quitière ou sainte Acquittière en Charente.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. BRGM, « Notice de la feuille de Mansle » [PDF], sur Infoterre, (consulté le )
    6. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Louis Adolphe Terracher, Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), vol. 212, Bibliothèque de l'École des hautes Études, éd. Honoré Champion, Paris, , 450 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 57
    14. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 114
    15. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 190
    16. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 34-35.
    18. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 64-65
    19. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 189-191
    20. Étienne Munier, L'Angoumois à la fin de l'Ancien Régime, (réimprimé en 1981 par Bruno Sépulchre, Paris), , 307 p., p. 209
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Evolution et structure de la population à Aussac-Vadalle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    28. Site de la mairie
    29. Site de l'inspection académique de la Charente
    30. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 54
    31. « Site d'Aussac-Vadalle, l'ermitage de Puymerle », sur aussac-vadalle.fr, (consulté le )
    32. P. Saulnier, études locales, 11e année, 101, mai 1930, p.151-152 in, « Lieux de cultes dédiés à sainte Quitterie », (consulté le )
    33. « Celle grandmontaine de Ravaud », sur grandmont.pagesperso-orange.fr, (consulté le )
    34. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 88

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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