Coulgens

Coulgens (prononcer [kulʒɑ̃]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Coulgens

L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Véronique Pichon
2020-2026
Code postal 16560
Code commune 16107
Démographie
Population
municipale
535 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 44″ nord, 0° 17′ 16″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 126 m
Superficie 11,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Coulgens
Géolocalisation sur la carte : Charente
Coulgens
Géolocalisation sur la carte : France
Coulgens
Géolocalisation sur la carte : France
Coulgens
Liens
Site web www.coulgens.fr

    Géographie

    Localisation et accès

    Coulgens est une commune située à 21 km au nord-est d'Angoulême.

    Elle est aussi à 11 km de Mansle, 12 km de Saint-Amant-de-Boixe, 13 km de La Rochefoucauld, chef-lieu de son canton, et de Chasseneuil[1].

    La commune est à l'écart des grands axes routiers. Elle est située au carrefour de la D 40 qui va de La Rochefoucauld à Mansle et qui s'appelle la route de la Duchesse, et de la D 45 qui va vers Jauldes et Angoulême au sud-ouest et Chasseneuil au nord-est[2].

    Hameaux et lieux-dits

    Le principal hameau de la commune est Sigogne, avec les Capus où est situé le château, au nord du bourg. D'autres hameaux de moindre importance occupent le territoire communal, comme l'Aiguille à l'ouest, le Puits de l'Appent et le Vieux Logis près du bourg, Chantoiseau et le Pouzeau au sud, les Combes près de Sigogne[2].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Coulgens
    Val-de-Bonnieure
    Aussac-Vadalle La Rochette
    Jauldes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué d'un plateau calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien terminal, Kimméridgien). Il fait partie du plateau de la Boixe et de la Braconne, de nature karstique. Quelques petites zones de grèzes occupent certains endroits, sur les flancs de la vallée de la Tardoire. La vallée elle-même est occupée par des alluvions du quaternaire[3],[4],[5].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par la vallée de la Tardoire, large et peu profonde. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 126 m, situé à l'extrémité ouest. Le point le plus bas est à 66 m, situé le long de la Tardoire sur la limite nord. Le bourg, construit sur un léger promontoire au bord de la Tardoire, est à 90 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    La Tardoire, sous-affluent de la Charente, traverse la commune du sud-est au nord-ouest. Ses eaux s'infiltrent dans le karst de La Rochefoucauld pour donner les sources de la Touvre près d'Angoulême, et ses eaux ne traversent la commune qu'en hiver. Son cours est jalonné de gouffres.

    On trouve aussi la source de Sigogne qui n'alimente qu'un lavoir[2].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Coulgens est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (11,2 %), prairies (9,5 %), zones urbanisées (2,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Colgante en 1281, Colgento en 1290[12], Colganto en 1312[13],[Note 3].

    L'origine du nom de Coulgens est assez obscure. D'après Talbert, elle serait Corte Gantone, où le latin cortem signifie domaine, et Ganto est un nom d'homme germanique (wisigoth ou franc)[14],[15].

    Limite linguistique

    La commune est dans la langue d'oïl (domaine du saintongeais), et marque la limite avec le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est[16].

    Selon Tourtoulon et Terracher, la commune se trouvait encore au XIXe siècle dans la partie occitane de la Charente qui en occupe aujourd'hui le tiers oriental[17]. Elle se nomme Colgent en occitan[18].

    Histoire

    L'Aiguille et la voie d'Agrippa.

    La commune est située au carrefour de deux voies romaines : la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon, et la voie d'Angoulême à Bourges par Argenton, qui se coupent au lieu-dit l'Aiguille. Le village est situé sur la voie d'Agrippa même (actuelle D.45).

    Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Coulgens se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Lichères, Saint-Angeau, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[19].

    Les comtes d'Angoulême attachaient une grande importance stratégique au bourg de Coulgens, paroisse d'Angoumois. Au XIIe siècle, le comte Vulgrin II, après s'être emparé de Mansle, fortifia le bourg et le prit comme base d'opérations, avant d'attaquer le baron de La Rochefoucauld[20].

    La seigneurie de Sigogne est attestée avant le XIIIe siècle, elle est passée des Sigogne aux Acarie. Les La Rochefoucauld la vendent au XVIe siècle aux Tizon qui la revendent aux Bordage[21].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau et Champagne-Mouton, appelée affectueusement par les habitants le Petit Mairat[20].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    20-05-1888 29-11-1896 Arthur Delord   avocat
    29-11-1896 13-12-1896 Jean Chambaud   propriétaire
    13-12-1896 17-01-1897 Arthur Delord   avocat
    17-01-1897 27-01-1897 Pierre Tétaud   propriétaire
    27-01-1897 17-05-1908 Jean Chambaud   propriétaire
    17-05-1908 16-10-1910 Jean Lacourly   propriétaire
    16-10-1910 11-12-1919 Jean-Emile Broussard   propriétaire
    11-12-1919 19-05-1929 Jean Hymonnet    
    19-05-1929 19-05-1935 Jean Jean    
    19-05-1935 14-09-1944 Pierre Rousseau    
    14-09-1944 02-11-1947 Louis Ferrand   médecin
    02-11-1947 28-03-1965 Henri Pénigaud   agriculteur
    28-03-1965 28-03-1971 Georges Vigier    
    28-03-1971 14-02-1974 Pierre Darconnat   agriculteur
    14-02-1974 03-05-1982 Gilles Pénigaud   représentant
    03-05-1982 24-03-1989 Camille Mounier   agriculteur
    24-03-1989 10-05-1991 Serge Figier    
    10-05-1991 28-05-2020 Rémy Merle PCF retraité de La Poste
    28-05-2020 05-06-2020 Stéphane Nadaud    
    29-10-2020 En cours Véronique Pichon    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2018, la commune comptait 535 habitants[Note 4], en augmentation de 3,88 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
    762717748844796793844798802
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    744758717659628589532529521
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    523474436450419411394413399
    1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 -
    379418389382457482529535-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Coulgens en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,8 
    6,7 
    75 à 89 ans
    10,7 
    10,5 
    60 à 74 ans
    10,7 
    20,5 
    45 à 59 ans
    18,1 
    26,4 
    30 à 44 ans
    22,6 
    14,6 
    15 à 29 ans
    20,2 
    20,9 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[28].

    Commerces

    En 2014, il n'y a plus de commerce dans la commune mais le dimanche matin, un marché réunissant plusieurs commerçants est installé place de la Mairie.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Coulgens et Jauldes. Coulgens accueille deux classes à l'école élémentaire Alexis-Desmoulin et Jauldes une classe à l'école élémentaire et deux classes à l'école maternelle[29].

    Autres équipements

    Bureau de poste.

    Il y a un bureau de poste de plein exercice.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église.

    L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est une église romane construite aux XIe et XIIe siècles qui a été classée monument historique le 25 mars 1955[30].

    Patrimoine civil

    Le château de Sigogne.

    Le logis de Sigogne est à l'état de vestiges, classés monument historique le 8 octobre 1986. Il ne reste que la tour d'entrée du XIVe siècle flanquée d'une tour polygonale du XVe siècle, les logis et autres bâtiments ont disparu[21].

    La restauration de ces vestiges a été entreprise en 1985 par le Club Marpen et s'effectue lors de chantiers d'été par de jeunes bénévoles.

    Patrimoine naturel

    Sur Coulgens se trouvent la source de Sigogne et la vallée de la Tardoire.

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Gounin (1885-1973) : célèbre auteur de textes et poèmes sur la Charente, sur Angoulême, sur la campagne charentaise qu'elle affectionnait. Elle est enterrée au cimetière communal. Une rue d'Angoulême est à son nom[31].
    • Louis Ferrand : médecin à Coulgens, précurseur de l’accouchement sans douleur[32], nommé maire de Coulgens par le gouvernement provisoire de la République française et sur proposition du Comité départemental de la Libération de la Charente par arrêté du 14 septembre 1944 puis élu en 1945. Maire-adjoint d'Angoulême en 1956.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. En occitan, le o non accentué se prononce ou, la forme écrite actuelle a reflété la forme orale d'autrefois, comme Engolesme.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 288
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 94,153,186,250
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 217.
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928, p. 192
    16. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    17. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
    18. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    19. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 146
    21. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 240
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Evolution et structure de la population à Coulgens en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    29. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    30. « Église de Coulgens », notice no PA00104341, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Auguste Pierre Garnier, La Muse française, vol. 17, éditions Garnier, (ISBN 2-7483-3465-5, lire en ligne), p. 465-468
    32. Marianne Caron-Leulliez et Jocelyne George, L'accouchement sans douleur : histoire d'une révolution oubliée, Paris, éditions de l'Atelier, , 254 p. (ISBN 2-7082-3751-9, lire en ligne)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.