École Saint-Martin-de-France

L’école Saint-Martin-de-France est un établissement scolaire privé situé dans un parc de 35 hectares sur la commune de Pontoise dans le département du Val-d'Oise. Elle comprend un collège et un lycée, et accueille des garçons et des filles, en demi-pension et internat. L’école est dirigée par la congrégation des Oratoriens.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.

École Saint-Martin de France
Couleurs vert et noir
Généralités
Création 1929
Pays France
Académie Versailles
Coordonnées 49° 02′ 33″ nord, 2° 05′ 26″ est
Adresse 1 avenue de Verdun
95300 Pontoise
Site internet saintmartindefrance.fr
Cadre éducatif
Réseau Enseignement catholique
Type Enseignement privé
Directeur Laurent Dumaine
Population scolaire 800
Options Latin
EPS
Théâtre
Arts Plastiques
Musique
Langues étudiées Français
Anglais
Allemand
Espagnol
Italien
Chinois
Latin
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise

Histoire

Vers le milieu du XIe siècle, quelques moines sont venus de Paris pour secourir les Pontoisiens frappés par la peste. Lorsque le fléau disparut, ils établirent sur un terrain voisin du Château fort les premières cellules d’une Abbaye de bénédictins sous le vocable de Saint Germain évêque de Paris.

Elle eut pour premier supérieur en 1069, un moine nommé Gautier qui venait de Picardie. D’une grande pureté et d’une grande charité, il était appuyé par le pape Grégoire VII. Le monastère prospérant, il fallait s’agrandir.

Au sud de Pontoise, sur un plateau dominant l’Oise de chaque côté de la voie gallo-romaine de Paris à Rouen, s’étendait un bourg dont l’église était dédiée à Saint Martin en l’honneur du passage du centurion Martin avec sa légion aux alentours de l’année 340. Ce dernier y revient 20 ans plus tard en tant qu’évêque de Tours.

En 1090, Guiscard comte de Roucy, ami de Gautier, lui donnait ce bourg et son église. Il y installa son Abbaye qui devint l’Abbaye de Saint Martin. En 1671, Louis XIV nomma le cardinal de Bouillon abbé co-mandataire de l’abbaye de Saint Martin, après la démission volontaire de Gautier de Montagu. Le cardinal s’attacha passionnément à son Abbaye.

L’établissement d’un parc et d’un Château le préoccupe jour et nuit. Il força ses religieux à lui céder l’abbatiale et presque tout l’enclos de leur monastère. Au centre, il fit construire un vaste Château sans savoir que trois siècles plus tard, il abriterait des élèves !

Plan d’intendance de Pontoise daté de 1778

Quelques siècles plus tard, en 1928, certaines familles catholiques de Pontoise et des environs s’étaient réunies pour étudier la possibilité de créer une école libre de garçons. À l’époque existait une école pour jeunes filles qui s’appelait « Jeanne d’Arc », actuellement Notre Dame de la Compassion. La création d’un collège d’enseignement secondaire à Pontoise est due à l’initiative de Monseigneur Gibier, évêque de Versailles, qui, le , convoqua Louis Thomassin pour le charger de mener à bien cette création.

La famille Thomassin exploite la ferme du Puiseux depuis 1764, et Louis Thomassin, qui représentait la 5e génération, fut le fondateur et président de la société immobilière de Saint Martin de Pontoise. Louis s’adressa au révérend Père Desforge, provincial des Jésuites pour Paris et le Nord de la France. Ce dernier vint à Pontoise, examina le projet et, après une réflexion de 3 semaines, déclina l’offre.

Entre-temps, Monseigneur Gibier avait fait part de son projet à Monseigneur Courcoux, oratorien, alors évêque d’Orléans. Ce dernier donna immédiatement une réponse favorable, en lui disant que le Père Duprey serait capable de mener à bien ce projet.

Il fut décidé d’acheter un terrain de 3,5 hectares à la sortie de Pontoise, là où se trouve actuellement la gendarmerie, pour établir ce qui se serait appelé Saint-Louis de Pontoise. Sous les conseils de son fils, Jean Thomassin, ce lieu fut abandonné en raison de la superficie insuffisante pour construire des bâtiments, avec en plus des terrains de sport.

Louis Thomassin s’adressa donc à Maître Denizot, qui écrivit à la famille de Ronceray, alors propriétaire du Château de Saint-Martin, pour leur demander leur accord concernant l’achat de ce château avec le parc (12 hectares). L’accord a été donné.

Pendant le printemps 1929, commencent les travaux d’aménagement du château, au premier étage duquel s’installe le Père Duprey. Les premières inscriptions affluent et c’est la rentrée des internes le avec 72 élèves. Deux mois plus tard, 140 élèves sont présents dont 73 pensionnaires, 36 demi-pensionnaires et 31 externes, les classes allant de la 11e à la 5e. Tous sont au Château. La chapelle est dans l’Orangerie. À la tour de l’Abbaye, s’adosse un bâtiment où est installé le père Gay, préfet des études.

Organisation

Internat et Externat

L’organisation s'inspire des public schools anglaises et de leurs boarding houses. Les élèves sont répartis au sein de maisons[1], où ils se retrouvent hors temps d'études. Ces maisons sont au nombre de 15, dont une fermée (l'Ermitage). La répartition des élèves est mixte dans les 5 maisons d'externes (chronologiquement, le Vexin, Malebranche, les Pins, Pascal et l'Abbaye), puis est unisexe dans les 10 maisons d'internes. Le but affiché des maisons est de créer un sentiment communautaire entre les élèves, mis à l'épreuve entre autres lors du Sport de maison (compétitions inter‐maisons).

Études

Saint Martin de France comporte une organisation scolaire divisée en trois unités pédagogiques distinctes[2]: les 6e, 5e, 4e ; les 3e, 2des et les 1res, Terminales. Chaque unité pédagogique est dirigée par un directeur (adjoint du chef d'établissement), lui-même aidé de son propre adjoint. De même, chaque unité possède son bâtiment propre au sein de l'établissement: le cycle 6-5-4 est basé à la Cerisaie, le cycle 3-2 au Morvan, et le cycle 1-Terminale dans le Grand Collège. Les classes sont identifiées selon un modèle niveau + numéro (6e1, 5e2, 4e3...)

En outre, l'établissement propose dès la 4e l'entrée dans une des deux classes spécifiques, dites bilingue (ou bilangue) et européenne.

Règlement vestimentaire

À Saint-Martin-de-France, les élèves portent l’uniforme de l’école les jours de rentrée et de sortie (c’est-à-dire, le plus souvent, le dimanche, le lundi et le vendredi). Pour les filles, cet uniforme est composé d’un blazer bleu marine, de la lavallière de Saint-Martin (aux rayures diagonales noires et vertes, couleurs traditionnelles de l'école), d’un chemisier blanc, d’une jupe ou d’un pantalon gris et de chaussures de ville (noir ou marron). Pour les garçons, l’uniforme est composé d’un blazer bleu marine, de la cravate de Saint-Martin (rayée noir et vert), d’une chemise blanche, d’un pantalon gris, et de chaussures de ville (noires ou marron).

Sport

Le sport tient une place importante dans l’éducation donnée à Saint-Martin. Le parc de l’école possède de nombreux terrains. En dehors des heures de cours imposées par le programme de l’Éducation nationale, la vie à Saint-Martin est marquée par le Sport de Maison[3] qui, tout au long de l’année, oppose les maisons. Aussi appelé « Challenge Maurice-Duprey » au sein de l'école, du nom du fondateur de Saint Martin, cette compétition prend place tout au long de l'année, proposant des sports différents à chaque cycle. Le Challenge Maurice Duprey est clôturé par le cross annuel, qui se déroule à des dates différentes selon les unités pédagogiques, puis par une remise des prix aux maisons ayant accumulé les meilleurs scores. L’école participe en outre aux compétitions qui opposent les établissements dans le cadre de l’Union nationale du sport scolaire.

À une époque, Saint-Martin participait à des rencontres sportives bilatérales, notamment avec l’École des Roches en Normandie, le lycée militaire de Saint-Cyr dans les Yvelines, ou encore l'école de Sevenoaks, en Angleterre.

Musique

L'école possède sa propre école de musique, au sein de l'Orangerie. Des cours optionnels de piano, de guitare, de violon, de percussions ou de chant y sont dispensés[4].

Échanges

Saint Martin de France réalise, à partir de la 4e, des échanges avec des écoles étrangères. Ci-dessous, la liste des écoles réalisant des échanges de nos jours avec l'établissement.

École Ville Pays
St. Peter's Catholic School (en)Guildford Angleterre
Gresham's School (en)Holt Angleterre
Colegio Nuestra Señora del Recuerdo (es)Madrid Espagne
Katholische Schule Salvator (de)Berlin Allemagne
Episcopal High School (en)Bâton-Rouge États-Unis
Apex High School (en)Apex États-Unis
Hangzhou Greentown Yuhua SchoolHangzhou Chine
Trinity College School (en)Port Hope Canada
Colegio Vista Hermosa (en)Mexico Mexique
Piarista Iskola (hu)Kecskemét Hongrie

Patrimoine

Certains des édifices de l’École appartiennent au patrimoine historique ; notamment le Château, et la tour datant du Moyen Âge.

Le Château

À la fin du XVIIe siècle, le cardinal de Bouillon (1643-1715), devenu seigneur du domaine de Pontoise en 1684 et abbé de Saint-Martin en 1671, fait reconstruire le palais abbatial et demande à l’architecte Le Nôtre d’aménager les jardins à la française dans le parc. C’est lui qui se chargea de diriger la réalisation des bassins, des terrasses, des jets d’eau et qui fit construire l’Orangerie. En 1752, le château de Saint-Martin devient la propriété du prince de Conti (1727-1776), grand-prieur de France. En 1929, le château est acquis par l’Oratoire. Il abrite une des maisons de demi-pensionnaires, appelée Malebranche.

Les souterrains

Plusieurs kilomètres de souterrains existent dans l'école où se trouve une église clandestine, des catacombes, diverses gravures. Les entrées des souterrains se situent devant l'Abbaye, dans les caves du Château, dans le bois de Saint-Martin au niveau du lac. Les souterrains sont parfois ouverts au public lors des portes ouvertes de l'école.

L'Abbaye

C'est la plus ancienne maison de Saint-Martin. Cette maison est située à l'emplacement de l’ancienne abbaye bénédictine de Saint-Martin, rasée par un incendie en 1791. Dans la première moitié du XIe siècle, un groupe de moines s’installe à l’intérieur des murs de Pontoise, autour d’une chapelle dédiée à saint Germain. Le premier abbé connu est Gauthier (vers 1030-1099). En 1080, l’abbaye reçoit des terres et les droits sur l’église paroissiale du bourg Saint-Martin. Gauthier transfère l’abbaye sur le plateau au-delà de la Viosne. L’abbaye est alors appelée « Saint-Germain-et-Saint-Martin », puis tout simplement « Saint-Martin ». La communauté s’enrichit rapidement grâce aux donations consenties notamment par une branche cadette des vicomtes de Vexin. À l’époque, la Normandie est un duché souverain et la vicomté de Vexin est une de ses divisions territoriales.

En 1153, l’abbé Gauthier est canonisé. Son tombeau devient l’objet d’un pèlerinage, ainsi qu’un puits à l’eau réputée miraculeuse. Le tombeau sculpté, classé monument historique, a été transféré dans l’église Notre-Dame à la Révolution. Le puits à double margelle proche de l’allée centrale du parc de l’école pourrait être ce puits.

En 1170, les moines obtiennent le droit de foire. C'est l’origine de la foire Saint-Martin de Pontoise, qui se tient aujourd’hui au mois de novembre, à l’occasion du 11 novembre, qui est le jour de la Saint-Martin.

En 1788, l’abbaye est dévastée par un orage. Les bâtiments, en mauvais état, sont rasés en 1791. Il n’en reste aujourd’hui plus que la tour-clocher, qui date du XIIe siècle, et une grange céréalière probablement construite après la guerre de Cent Ans.

La tour fait partie de l’actuelle maison de pensionnaire « Abbaye », tandis que la grange est utilisée pour des réunions, réceptions, recueillements et messes.

Il existe encore quelques souterrains ouverts sous l'abbaye, accessibles depuis un escalier et qui présentent la particularité d'être construits avec des clefs de voûte très rapprochées. On pense que leur construction a servi d'école aux apprentis maçons. Ces souterrains se terminent au bout de quelques centaines de mètres par des éboulis. On raconte qu'ils passaient sous l'Oise et faisaient plusieurs kilomètres en direction des châteaux alentour. On y organisait, avec les animateurs de la maison, dans les années 1970, des messes, mais aussi des soirées « peur et fantômes », avant goût de la fête d'Halloween d'aujourd'hui.

Les Maisons

La maison est l'équivalent des unités pédagogiques hors du temps de travail. Ce sont des lieux de vie où les élèves se trouvent lorsqu'ils n'ont pas cours. Plusieurs activités peuvent y être organisées.

Le Verger

Encore en 2011 le Verger était une maison interne pour les garçons de 3e et de 2de. Entre et , elle devient une maison de filles internes composée de 6e, 5e, 4e, 3e, mais aussi 1re et Terminale.

Les Cèdres

Les Cèdres est une maison de garçons internes, elle est composée de 6e et 5e.

La Ferme

La Ferme tire son nom de son ancienne utilisation. Elle a servi de maison de filles internes en de 1re et Terminale. À la rentrée 2016, elle devient une maison de garçons internes en 4e.

Normandie

Normandie était une maison de filles internes composée de 3e et de 2des devenu la maison des garçons interne en terminal.

Saint-Philippe

Cette maison est nommée d’après Philippe Néri, fondateur de la congrégation de l'Oratoire. Jusqu'en 2013, Saint-Philippe était une maison interne pour les garçons de 3e et 2de. Puis, elle est devenue une maison de garçons internes composée de 2des et de 1res, afin de compenser la fermeture de l'Ermitage. Depuis , Saint-Philippe accueille des 2des et des 1res.

Saint-Benoît

Cette maison s'appelle ainsi en hommage à Saint-Benoît, fondateur de l’ordre des Bénédictins. Aujourd'hui, Saint-Benoît est une maison de garçons. Elle comporte des 3e, des 1res et des Terminales.

Saint-Gauthier

Il s'agit d'une maison de garçons internes abritant des 3e, 1res et Terminales. Elle porte ce nom en l'honneur du premier abbé de Saint-Martin.

Martimprey

Cette maison s'appelle ainsi en l'honneur d'Éric de Martimprey, ancien élève résistant, déporté pendant la Seconde Guerre mondiale en Allemagne, le , et mort d'exténuation au camp de concentration de Hinzert le . En plus de garçons internes de 1re et de Terminale, elle accueille dès 2016 des 3e.

La Pommeraie

C'est une maison abritant des 2des. Elle est jointe au bâtiment de cours des 3e - 2des (le Morvan).

Béthanie

Construite en 1995, c'est la maison la plus récente de Saint-Martin. Auparavant, elle abritait certains prêtres de l'Oratoire. Elle est vite devenue une maison de filles internes en 1re et Terminale.

Le Vexin

Cette maison s'appelle en référence au Vexin français, situé non loin de l'établissement. Le Vexin est une maison mixte d'externes, composée de 6e et d'une classe de 5e.

Malebranche

Cette maison s'appelle ainsi en l'honneur de Malebranche, philosophe français, membre de l'Oratoire. Elle se situe à la place de l'ancienne bibliothèque de l'école au rez-de-chaussée du Château. Auparavant maison d'internes, puis maison mixte d'externes composée de 1re et de Terminales, elle devient à la rentrée 2016 une maison de 5e demi-pensionnaires.

Les Pins

Cette maison s'appelle ainsi car elle se situe au cœur d'un parc de grands pins. C'est une maison mixte d'externes, composée de 4e.

Pascal

Cette maison s'appelle ainsi en l'honneur du mathématicien français Blaise Pascal. C'est une maison mixte d'externes, composée de 3e et 2des.

L'Abbaye

L'Abbaye est une maison ayant servi d'internat de garçons de 4e. Fermée durant l'année 2015‐2016, elle rouvre à la rentrée 2016 en tant que maison mixte de demi-pensionnaires en 1re et Terminale.

L'Ermitage

Grand pavillon situé à l’extrémité ouest du parc. D'architecture du XIXe siècle, la maison possède un perron et l'Oise coule en contrebas. Cette maison est actuellement fermée pour rénovation. C'était une maison de garçons internes composée de 1res et de Terminales.

Incidents

En , une rixe éclate entre des élèves et des gens du voyage, établis dans un camp jouxtant l'établissement. Après avoir essuyé des jets de pierre, les gens du voyage ont frappé une quinzaine d'élèves. En résulte plusieurs blessés, mais aucune interpellation[5].

Dans la nuit du 20 au , à 3 h 30, le « bar » de la maison vexin est cambriolé. Des riverains, alertés par le bris d'une vitre, avertissent la BAC. Des adolescents sont retrouvés sur les lieux, équipés de sac à dos et de lampes torches, et en possession de plusieurs canettes de boissons gazeuses. 4 seront placés en garde à vue[6].

Identité visuelle

Sur le blason de Saint-Martin apparaît Saint-Martin chevauchant, en train de couper son manteau en deux avec son épée de militaire. Le vert et le noir sont les couleurs traditionnelles de l'école.

Personnalités

Bibliographie

  • Joseph Depoin, Le Livre de Raison de l'Abbaye Saint-Martin-de-Pontoise (XIVe et XVe siècles), édit. Société historique du Vexin, Pontoise, 1900
  • Joseph Depoin (dir.), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise, vol. 1-2, Pontoise, aux bureaux de la Société historique du Vexin, , 266 p. (lire en ligne)
  • Joseph Depoin (dir.), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise, vol. 3, Pontoise, aux bureaux de la Société historique du Vexin, , 92 p. (lire en ligne)
  • Joseph Depoin (dir.), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise, vol. 4-5, Pontoise, aux bureaux de la Société historique du Vexin, , 169 p. (lire en ligne)
  • Annick Pegeon, L'Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : le temporel au Moyen Âge, du XIe au XIVe siècle, Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Condé-sur-Noireau, 1995, (ISBN 2907912089)
  • Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français, première série : Abbaye Saint-Martin de Pontoise, Évreux, Imprimerie de l'Eure, , 278 p. (lire en ligne), p. 134-148

Notes et références

  1. « Les maisons : lieu de vie des élèves », sur www.saintmartindefrance.fr (consulté le )
  2. « Unités pédagogiques », sur www.saintmartindefrance.fr (consulté le )
  3. « Le sport de maison », sur www.saintmartindefrance.fr (consulté le )
  4. « L’activite musicale », sur www.saintmartindefrance.fr (consulté le )
  5. « Rixe violente à Saint-Martin-de-France », sur leparisien.fr, (consulté le )
  6. Thomas Hoffmann, « Pontoise Les ados cambriolent l'établissement Saint-Martin-de-France pour...du soda et des jus de fruits », sur La Gazette du Val d'Oise, (consulté le )
  7. Who's Who in France, Editions Lafitte-Hébrard,

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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