Liste de bulles pontificales

Une bulle (en latin : bulla, c'est-à-dire le sceau) est un document pontifical scellé. Une bulle désigne, en diplomatique vaticane, un décret du pape rédigé en forme solennelle et scellé soit d'un sceau de plomb (la bulla) pour les documents ordinaires, d’une bulla d’or ou d’argent pour d’autres plus importants, soit plus simplement d'un cachet de cire. Elle est ordinairement désignée par les premiers mots du texte, l'Incipit. Le pape adresse — il « fulmine » — certains types de messages sous la forme de bulles.

La bulle pontificale est normalement un décret traitant du gouvernement de l'Église et présentant un intérêt public (contrairement au bref apostolique qui a un caractère administratif).

L’appellation de « bulle » fait référence à la forme suivant laquelle le document est émis et cette forme peut concerner des documents de nature différente. C'est la forme normalement employée pour convoquer un concile et en publier ses décrets. Une constitution apostolique prend, par exemple, souvent la forme d'une bulle. Certains bénéfices d'évêchés, la collation d'évêchés ou d'abbayes, sont également conférés sous forme de bulle.

On en distingue de plusieurs sortes selon leur destination. Les principales sont les bulles d'excommunication et les bulles doctrinales.

Elles sont très nombreuses, mais parmi les plus connues on peut citer : Ausculta fili, Clericis laicos, Exsurge Domine, In Cœna Domini, Quanta cura...

Xe siècle

998

Bulle contre le roi de France Robert le Pieux. (sujet à caution)

XIe siècle

1059

, In nomine Domini, promulguée par le pape Nicolas II, réservant l'élection du pape aux cardinaux.

1074

Grégoire VII défend aux prélats de recevoir l'investiture des princes séculiers, qui devint le principe de la Querelle des Investitures.

1079

Libertas ecclesiae : bulle relative à la liberté de l'Église.

1095

Bulle contre le roi de France Philippe Ier.

XIIe siècle

1113

 : Pie postulatio voluntatis par Pascal II : création des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem

1119

 : Ad hoc nos disponente par Calixte II : confirmation des privilèges et des possessions des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem

1120 (environ)

Sicut Judaeis par Calixte II : bulle visant à protéger les Juifs lors des croisades et interdisant les conversions de force.

1136

 : Ex commisso nobis, appelée aussi bulle de Gniezno : Innocent II confirme l’indépendance de l’Église polonaise. Contient la première référence écrite de la langue polonaise.

1139

 : Omne datum optimum : création de l'ordre du Temple.

1144

Milites Templi : bulle commandant au clergé de protéger et soutenir les chevaliers de l'ordre du Temple.

1145

Militia Dei : bulle confirmant l'indépendance des chevaliers de l'ordre du Temple vis-à-vis du clergé séculier.
Quantum Praedecessores : première bulle de croisade, qui place le croisé, sa famille et ses biens sous la protection de l'Église.

1155

Laudabiliter par Adrien IV.

1160

Bulle contre l'Empereur Frédéric Barberousse.

1179

Bulle par laquelle le pape Alexandre III reconnait officiellement Alphonse Ier comme le premier roi du Portugal.

1184

 : Ad abolendam, par Lucius III : bulle confirmant la fondation du Chapitre de la Collégiale de Saint-Florent à Roye[1].

1187

Audita tremendi, par Grégoire VIII, appelant à la troisième croisade.

1192

Cum Universi : par Célestin III, l'Église d'Écosse ne relève désormais plus de l'archevêque d'York mais du Saint-Siège.

1198

 : Post Miserabile par Innocent III : bulle donnant des privilèges au futur croisé et lançant l'appel à la Croisade[2].
Dilecti filii par Innocent III : précision de la bulle Militia Dei de 1145 afin de régler un conflit entre le clergé et l'ordre du Temple.

XIIIe siècle

1200

Bulle contre le roi de France Philippe Auguste.

1205

Etsi non displiceat : Innocent III adresse une liste d'accusation à l'encontre des juifs au roi de France

1218

In generali concilio (destinée à l'archevêque de Tolède) : Honorius III ordonne l'exécution des décisions du 4e concile de Latran qui prit plusieurs mesures à l'encontre des juifs.

1219

, Super specula : Honorius III interdit l'enseignement du droit civil (droit romain) à l'Université de Paris.

1223

, Solet annuere : Honorius III approuve la Règle des Franciscains.

1227

Bulle contre l'Empereur Frédéric II du Saint-Empire.

1231

Parens scientiarum : Grégoire IX accorde autonomie et privilèges à l'université de Paris.

1232

, Ille humani generis : Grégoire IX confie l' « affaire de la foi », c'est-à-dire l'Inquisition aux dominicains.

1233

Etsi Judaeorum : Grégoire IX demande aux prélats de tous niveaux de prévenir et de limiter les attaques des chrétiens envers les juifs.
Vox in Rama par Grégoire IX : Première bulle contre les sorcières.

1239

Si vera sunt : Grégoire IX demande la confiscation et l’inspection des livres du Talmud par les prélats de France et d'Espagne

1244

, Impia Iudaeorum perfidia : Innocent IV exhorte le roi Saint Louis à brûler le Talmud et divers autres livres juifs dans tout son royaume.

1245

, Dei patris inmensa : Lettre d'Innocent IV aux Mongols leur exposant la foi chrétienne. Cette lettre ne semble pas avoir été transmise.
, Cum non solum : Lettre d'Innocent IV aux Mongols leur enjoignant de ne pas s'attaquer aux Chrétiens, et sondant leurs intentions.
, Ad Apostolicae Dignitatis : Innocent IV prononce la déposition de l'Empereur Frédéric II du Saint-Empire.

1247

Lachrymabilem Judaeorum par Innocent IV

1248

Viam agnoscere veritatis : Lettre d'Innocent IV aux Mongols leur enjoignant de ne pas s'attaquer aux Chrétiens, et sondant leurs intentions.

1252

, Ad extirpanda : Innocent IV autorise l'Inquisition à recourir à la torture contre les hérétiques et y légitime cette décision.

1263

Bulle contre le roi de Naples Manfred Ier de Sicile.

1267

Turbato corde : Clément IV autorise la poursuite des chrétiens reniant leur foi et lui préférant le rite juif.

1274

, Ubi periculum : Grégoire X établit le conclave comme mode d'élection des papes.

1295

, Romanus pontifex : Boniface VIII érige le diocèse de Pamiers en enclave dans celui de Toulouse pour Bernard Saisset lorsqu'il est en conflit avec le comte de Foix.

1296

, Clericis laicos : Boniface VIII proteste contre une levée de décimes par le roi de France Philippe IV le Bel.
, Ineffabilis amor : Le pape autorise les membres du clergé à faire des dons au roi.

1297

, Romana mater Ecclesia : Les clercs ne sont plus applicables à la bulle Clericis laicos.
, In excelso throno
, Lapis abscissus : Boniface VIII déclare formellement les anciens cardinaux Giacomo et Pietro Colonna comme étant blasphémateurs et schismatiques.
, Ab dim : Le Royaume de France n'est plus autorisé à lever des revenus, qui serviraient à payer la rançon du roi, sur ses vassaux.
, Etsi de Statu : Boniface donne de nouveau la possibilité au roi d'imposer des bénéfices ecclésiastiques sans l'accord préalable du pontife.

1299

, Sacrosanctæ Romanæ Ecclesiæ : Boniface VIII promulgue son recueil de droit canonique, le Sexte ou Sextus Liber Decretalium.
, Scimus fili : Boniface VIII condamne l'invasion et l'occupation de l'Écosse, qu'il considère comme un fief papal, par le roi d'Angleterre Édouard Ier.
, Detestande feritatis : Boniface VIII condamne la pratique de démembrement des défunts alors à la mode chez les nobles.

XIVe siècle

1300

, Super cathedram

1301

, Ausculta fili : Le pape Boniface VIII rappelle la supériorité du pouvoir spirituel sur le temporel et convoque le roi de France Philippe IV le Bel devant un concile à Rome.

1302

, Unam Sanctam : Le pape Boniface VIII revendique la suzeraineté mondiale pour la papauté et établit les règles d'une sorte de « théocratie pontificale ».:::La bulle Unam sanctam sur Wikisource (lat.)

1303

(non fulminée), Super patri solio : Le pape Boniface VIII prononce une sentence d'excommunication contre le roi de France Philippe IV le Bel.

1307

, Pastoralis preeminentie : ordonne l'arrestation de tous les Templiers de la Chrétienté.

1308

, Subit assidue : indique qu'il y aura deux procédures distinctes dans le cadre du procès de l'ordre du Temple. L'une concernera les personnes physiques et l'autre l'Ordre en tant que personne morale.
, Faciens misericordiam : définit les accusations portées contre l'ordre du Temple.
, Regnans in coelis : convoque le concile de Vienne.

1310

, Alma mater : reporte la date du concile de Vienne en .

1312

, Vox in excelso : supprime l'ordre du Temple.
, Ad providam transfère les biens du Temple aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
, Considerantes dudum : établit la situation juridique des anciens Templiers en trois catégories.

1317

, Ad fructus uberes : reconnait l'existence de l'ordre de Montesa dans le royaume d'Aragon.
Sane Considerante : créé six nouveaux évêchés dans le diocèse de Toulouse qui est érigé en archevêché.

1319

, Ad ea ex quibus : reconnait l'existence de l'ordre du Christ dans le royaume du Portugal.

1323

Cum inter nonnullos : Le pape Jean XXII déclare hérétique une thèse sur le Christ.

1327

Bulle contre l'empereur Louis IV de Bavière.

1346

Bulle contre Louis IV de Bavière.

1377

Bulle de Grégoire XI contre les erreurs de John Wyclif.

XVe siècle

1425

, Sapientie immarcessibilis : Martin V fonde l'Université Catholique de Louvain à la demande du Duc de Brabant Jean IV.

1435

Sicut dudum : Eugène IV condamne l'esclavage des habitants Noirs des îles Canaries. Sous peine d’excommunication, tout maître d’esclave a quinze jours à compter de la réception de la bulle pour rendre leur liberté antérieure à toutes et chacune des personnes de l’un ou l’autre sexe qui étaient jusque-là résidentes desdites îles Canaries [...] Ces personnes devaient être totalement et à jamais libres et devaient être relâchées sans exaction ni perception d’aucune somme d’argent.

1439

Laetantur Coeli : Réunification des Églises d'Orient et d'Occident au concile de Florence.

1442

Illius qui : Eugène IV entérine les conquêtes du prince Henri le Navigateur en Afrique[3].

1452

, Dum Diversas : Donne au roi du Portugal Alphonse V de Portugal toute latitude pour soumettre les Sarrasins, païens et autres incroyants - voire les réduire à un esclavage perpétuel[3].

1455

, Romanus pontifex : Approuve ce que le prince Henri le Navigateur et les Portugais ont déjà entrepris, souhaite que les populations naturelles soient bientôt converties au christianisme et donne son approbation expresse au monopole commercial des Portugais en Afrique. Les conquêtes dans ces derniers territoires seraient à jamais portugaises, de même que « toute la côte de Guinée, incluant les Indes » (ce nom désignant alors à peu près tous les territoires censés se situer sur la route de la Chine). Cette bulle parle également des conséquences salutaires qui résulteront de l'asservissement des païens[4].

1456

mars, Inter caetera : Calixte III affirme que l'administration des nouvelles possessions portugaises et leurs intérêts devraient être confiés à l'ordre du Christ, la confrérie chevaleresque dont le prince Henri le Navigateur était le chef[5].

1460

, Exsecrabilis et pristinis : Pie II défend les appels au futur concile.
, Fonde l’université de Nantes.

1478

, Exigit sinceræ devotionis : Autorise les Rois catholiques à instaurer l'Inquisition en Espagne.

1481

Aeterni regis : Les terres conquises en Afrique sont accordées au Roi du Portugal.

1493

Piis Fidelium : Lance les missions sur le Nouveau Monde, affirmant l'unité du genre humain.
Inter caetera : Répartit les terres du Nouveau Monde entre l’Espagne et le Portugal.

XVIe siècle

1506

, Cum tam divino : annule toute élection simoniaque et prévoit de lourdes peines pour les membres du conclave se laissant acheter.

1508

, Universalis ecclesiae regimini : le pape Jules II accorde le droit au roi de Castille de présenter les candidats aux évêchés du Nouveau Monde. Cette bulle établit le patronage royal en Amériques, et permet au roi de percevoir la dîme.

1511

, Pontifex romanus : crée les trois premiers évêchés d’Amérique

1520

, Exsurge Domine ou Contra errores Martini Lutheri et sequacium : condamne les « erreurs » de Martin Luther et ses adhérents.

1522

Exponi nobis : reprend le bref pontifical omnimoda qui offre aux réguliers du Nouveau Monde, notamment les Franciscains observants, des pouvoirs épiscopaux.

1534

Clément VII condamne le divorce d'Henri VIII, cette bulle fut le prétexte du schisme d'Angleterre.

1536

In Cœna Domini : prononce une excommunication générale contre tous les hérétiques, les contumaces et les ennemis du Saint-Siège.

1537

, Veritas ipsa
, Sublimis Deus : reconnaît les Indiens d'Amérique comme des « hommes véritables » et dénonce l'esclavage.

1540

, Regimini militantis Ecclesiae : donne l'approbation papale de Paul III à la formation de la Société de Jésus.

1548

Paul III crée l'Université de Reims.
, Pastoralis officii : par lequel Paul III approuve les Exercices spirituels de saint Ignace de Loyola.

1550

, Exposcit Debitum : remplace Regimini militantis Ecclesiae de 1540, Jules III confirme la Compagnie de Jésus.

1554

, Cum sicut nuper : par laquelle Jules III ordonne que certains livres juifs, y compris le Talmud, soient damnés et brûlés.

1555

, Cum nimis absurdum : par laquelle Paul IV établit le Ghetto de Rome

1559

, Cum ex Apostolatus : Paul IV déclare nulle et non avenue la nomination d'un prélat coupable d'hérésie
Paul IV défend aux Catholiques d'Angleterre de prêter le serment d'allégeance.

1564

, Injunctum nobis : par laquelle Pie IV impose désormais la Professio fidei tridentina profession de foi tridentine »), issue du Concile de Trente, à tous les clercs, supérieurs d'ordre et professeurs d'université[6]

1569

, Hebraeorum gens : par laquelle saint Pie V interdit la présence des Juifs dans les États pontificaux en dehors de Rome et Ancône 1570
, Quo primum : organisant définitivement la célébration du Saint Sacrifice de la Messe

1572

, In supereminenti : Grégoire XIII crée l'université de Pont-à-Mousson.

1581

, Alias piae memoriae : Grégoire XIII confirme l'interdiction aux médecins juifs et infidèles de guérir des chrétiens malades.

1582

, Inter gravissimas : Création du calendrier grégorien.

1585

Sixte Quint prive l'héritier Henri de Bourbon de ses droits au trône de France, parce qu'il est protestant.

1586

, Coeli et terrae creator : Sixte V condamne les pratiques démoniaques après les avoir énumérées : astrologie, géomancie, chiromancie, nécromancie, sortilèges, augures, etc.

1593

, Caeca et obdurata : confirme les bulles Cum nimis absurdum et Hebraeorum gens concernant les habitations des juifs dans les États pontificaux.
, Cum Hebraeorum malitia : le pape Clément VIII ordonne que les livres qui contiennent des blasphèmes contre la foi chrétienne (en particulier, les livres talmudiques et cabalistiques) soient livrés au clergé ou aux inquisiteurs afin d'être brûlés.

XVIIe siècle

1616

Bulle pour l'autorisation de la création de l'Ordre des Ursulines. [7]

1653

Cum occasione : Innocent X condamna les 5 fameuses propositions de Jansénius.

1656

Gratia Divina : définit l'hérésie, lance la procédure inquisitoriale et instaure la délation.

1665

prescrit un formulaire qui contenait une adhésion à la condamnation de Jansénius, et que tous les ecclésiastiques étaient forcés de signer.

1689

Clement X

XVIIIe siècle

1712

Unigenitus : Clément XI, à la demande des évêques de France, condamne 101 propositions extraites d'un livre du père Quesnel, prêtre de l'Oratoire et janséniste. C'est la condamnation du jansénisme. cette bulle fut l'occasion de longs troubles en France.

1738

In eminenti apostolatus specula : le pape condamne la franc-maçonnerie et excommunie ses membres (position rappelée, au nom de Jean-Paul II, par le cardinal Ratzinger en 1983).

1751

Providas romanorum : nouvelle condamnation de la Franc-maçonnerie.

1755

Beatus Andreas : contre la béatification de Andréas de Rinn.

1776

Romanus pontifex : Création de diocèses en Slovaquie par Pie VI.

XIXe siècle

1801

, Ecclesia Christi : entérine le Concordat de 1801.
, Qui Christi Domini : supprime les 157 sièges épiscopaux français, ôtant ainsi toute juridiction aux évêques de l'Ancien Régime qui n'ont pas démissionné.

1809

, Pie VII lance une bulle contre l'empereur Napoléon Ier, sans toucher toutefois aux droits politiques du souverain ; elle fut suivie de la captivité du pape.

1814

, Sollicitudo omnium ecclesiarum: Pie VII rétablit universellement la Compagnie de Jésus
1817
, Commissa Divinitus : à la suite du concordat du , rétablit un certain nombre de diocèses en France. Le concordat n'ayant pas été ratifié la bulle n'est pas suivie d'effets.

1822

, Paternae Caritatis : rétablit plusieurs diocèses en France.

1864

, Quanta Cura : le souverain pontife critique principalement le naturalisme appliqué à la société civile. En reprenant les propos de Mirari vos, il dénonce le laïcisme et l'anticléricalisme.

1868

, Æterni Patris : convoque les évêques du monde catholique pour le concile de Vatican I.

1896

Apostolicae curae : Léon XIII frappe tous les sacrements anglicans de nullité.

XXe siècle

1910

Quam singulari : Pie X permet l'accession à la communion des enfants ayant atteint l'âge de raison (autour de sept ans).

1950

, Munificentissimus Deus Pie XII : définit le dogme de l'Assomption de Marie.

1961

, Humanae salutis : Jean XXIII convoque les évêques au concile Vatican II.

1965

, Dei Verbum Paul VI.

1998

, Incarnationis mysterium Jean-Paul II : appel du jubilé de l'an 2000.

XXIe siècle

2015

, Misericordiae vultus François : appel du Jubilé de la Miséricorde

Notes et références

  1. Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie T5
  2. (en) Vincent Ryan, « Richard I and the and the Early Evoltution of the Fourth Crusade », in The Fourth crusade: event, aftermath, and perceptions, éd. Ashgate Publishing, Ltd., 2008 extrait en ligne
  3. Hugh Thomas, La Traite des Noirs, éditions Robert Laffont, 2006, p. 51
  4. Hugh Thomas, La Traite des Noirs, éditions Robert Laffont, 2006, p. 51-52
  5. Hugh Thomas, La Traite des Noirs, éditions Robert Laffont, 2006, p. 52
  6. Marc Smith, Philippe Levillain (dir.), Dictionnaire historique de la papauté, Fayard, Paris, 2003, p. 1326–1327. - (ISBN 2-213-61857-7)
  7. Marie de Pommereuse, Chroniques de l'ordre des Ursulines, Hérault, (ASIN B001BU7NMG, lire en ligne), p. 152

Voir aussi

Bibliographie

  • Il a été publié divers recueils des bulles des papes. Le plus complet est le Bullarium magnum, imprimé à Rome de 1733 à 1748, en 14 volumes in-folio, et complété par un supplément de Andrea Barberi en 20 volumes, in-folio, 1835-1860.

Liens externes

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