La Genevraye

La Genevraye est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Ne doit pas être confondu avec La Genevraie.

La Genevraye

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Maire
Mandat
Marie-Claire Périni
2020-2026
Code postal 77690
Code commune 77202
Démographie
Gentilé Genevriens
Population
municipale
796 hab. (2018 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 15″ nord, 2° 44′ 59″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 79 m
Superficie 13,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
La Genevraye
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
La Genevraye
Géolocalisation sur la carte : France
La Genevraye
Géolocalisation sur la carte : France
La Genevraye

    En 2018, elle compte 796 habitants.

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Genevraye dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Genevraye se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Son territoire s'étend le long de la rive droite de la rivière le Loing et de son canal.

    Elle se situe à 31,38 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 14,88 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 8,72 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de La Genevraye.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Montigny-sur-Loing (2,0 km), Épisy (3,3 km), Montcourt-Fromonville (3,6 km), Bourron-Marlotte (3,7 km), Grez-sur-Loing (4,3 km), Nonville (5,4 km), Darvault (5,6 km), Villemer (6,2 km).

    Géologie et relief

    Carte géologique vectorisée et harmonisée de La Genevraye.

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

    L'altitude varie de 51 mètres à 79 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 58 mètres d'altitude (mairie)[6].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire), à l'exception d'une très faible couche de craie blanche datant du Crétacé supérieur (Mésozoïque)[7],[8].

    Géologie de la commune de La Genevraye selon l'échelle des temps géologiques[7],[8].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    X :Dépôts anthropiques, remblais.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Fy :Alluvions anciennes (basse terrasse de 0-10 m) : sables et graviers, colluvions, alluvions et apports éoliens.
    Pléistocène
    Néogène Pliocène non présent.
    Miocène non présent.
    Paléogène Oligocène non présent.
    Éocène
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, marnes de Nemours.
    e4AP :Argile plastique sables et grès.
    e4PP :Poudingue à chailles conglomérat à silex, formation de Pers-en-Gâtinais ((Loiret)).
    Paléocène non présent.
    Mésozoïque Crétacé Supérieur
    C5Cr-BE :Craie blanche à silex à Belemnitida.
    inférieur non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[9].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de la La Genevraye.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de onze cours d'eau référencés :

    • la rivière le Loing, longue de 142,73 km[10], affluent en rive gauche de la Seine, ainsi que :
      • un bras[Note 3] de 2,64 km[11] ;
      • le cours d'eau 01 de la Trentaine, 0,31 km[12], et ;
      • la Clairette, 4,44 km[13], qui confluent avec le Loing ;
        • le ru de Décharge de l'Etang, 2,69 km[14], qui conflue avec la Clairette ;
      • la rivière le Lunain, longue de 51,45 km[15], affluent du Loing, en bordure est de la commune, ainsi que :
        • un bras du Loing de 2,28 km[16], qui conflue avec le Lunain ;
        • un bras de 0,89 km[17] ;
        • un bras de 1,23 km[18] ;
      • le canal du Loing, long de 47,84 km[19] ;
        • un bras de la Clairette de 0,36 km[20], qui conflue avec le canal du Loing.

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par un bras secondaire de l'aqueduc du Loing[21] de 1,73 km.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 14,58 km[22].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[23].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[24]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[25].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,7 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 680 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[26].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[27]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[26]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[28]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau[29], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[30] à 11,6 °C pour 1991-2020[31].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].

    La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est également un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[34],[35],[36],[37].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[38].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[39],[Carte 1] : les « Rivières du Loing et du Lunain », d'une superficie de 400 ha, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière[40],[41].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Genevraye comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 5],[42],[Carte 2] :

    • le « Bois du Larris Vert » (1,26 ha)[43] ;
    • les « Champs Captants de Villeron » (32,56 ha), couvrant 2 communes du département[44] ;
    • les « Étangs de Pleignes » (33,65 ha), couvrant 2 communes du département[45] ;
    • les « prairies et bois de la Herse » (23,02 ha), couvrant 2 communes du département[46] ;
    • la « vallée du Bois-Guyon » (41,49 ha)[47] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[42] :

    • la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » (1 749,77 ha), couvrant 13 communes du département[48] ;
    • la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » (1 224,01 ha), couvrant 9 communes du département[49].

    Urbanisme

    Typologie

    La Genevraye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[50],[51],[52].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[53],[54].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,27 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terre arable (47,04 %), forêts (40,99 %), eaux continentales[Note 9] (7,13 %), zones urbanisées (3,60 %), prairies (1,23 %)[55].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[55].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    28,29 ha 2,12 % 48,02 ha 3,60 % 19,74 ha 
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
    672,78 ha 50,49 % 643,30 ha 48,27 % −29,49 ha 
    Forêts et milieux semi-naturels
    (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
    536,56 ha 40,26 % 546,31 ha 41,00 % 9,75 ha 
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    94,97 ha 7,13 % 94,97 ha 7,13 % 0 ha 

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[56],[57],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[58].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[59]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Carte du cadastre de la commune de La Genevraye.

    La commune compte 48 lieux-dits administratifs[Note 10] répertoriés[60].

    • Hameau de Cugny, dont la population compte pour moitié de celle de La Genevraye, situé à km. Anciennement, site d'une usine d'explosifs, créée en 1887 et fermée en 1987, entourée d'une cité ouvrière construite vers 1926-1927.
    • Pleignes, les Genévriers.

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 356 dont 91,1 % de maisons et 6,9 % d'appartements[Note 11].

    Parmi ces logements, 86,3 % étaient des résidences principales, 10 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 76,2 % contre 19,9 % de locataires et 4 % logés gratuitement[61].

    Voies de communication

    Deux routes départementales relient La Genevraye aux communes voisines :

    • la D 40, à Moret-Loing-et-Orvanne, au nord-est ; et à Montcourt-Fromonville, au sud-est ;
    • la D 58, à Nonville, au sud-ouest.

    Transports

    La Genevray est desservie par quatre lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[62],[63],[64] :

    • la ligne 7A, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Fontainebleau ;
    • la ligne 7B, qui relie Nemours à Avon ;
    • la ligne 8B, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Héricy ;
    • la ligne 18A, qui relie qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Montereau-Fault-Yonne.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes La Genevraia vers 1200[65] ; Genuperia en 1369[66] ; La Genevroye vers 1380[67] ; La Genevrois en 1485[68].

    « Lieu où poussent, ou planté de genévriers »[69].

    Histoire

    Préhistoire

    La sépulture de Pleignes, sur la commune, fait partie d'un alignement de six mégalithes orienté N. 25° O, qui inclut le menhir de Chevannes (Loiret), la Pierre aux Aiguilles (Nanteau-sur-Lunain), l'une des Pierres de Saint Barthélémy (Treuzy), la Haute Borne et la Pierre Levée du Moque Baril (tous deux à Nonville)[70].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1874 janvier 1881 Germain Trébuchet    
    décembre 1899 juillet 1922 François Alexandre dit "Xavier" Bender   Directeur de la dynamiterie de Genevraye
    chevalier de la Légion d'honneur[71]
    juillet 1922 mai 1925 Armand Vilain    
    mai 1925 mai 1935 Emile Depresles    
    mai 1935 mai 1945 François Hyronimus   Directeur d'usine
    mai 1945 novembre 1946 Arthur Cloez    
    novembre 1946 décembre 1956 Jean Astruc    
    décembre 1956 mars 1977 Suzanne Burnod    
    mars 1977 juillet 1980 Gérard Xavier    
    juillet 1980 juin 1986 Christiane Josien    
    juin 1986 mars 1989 Albert Bude    
    mars 1989 mars 2001 Jean-Pierre Aunier    
    mars 2001 novembre 2006 Élisabeth Grosshans   Agricultrice
    novembre 2006 En cours Marie-Claire Périni[72]   Retraitée

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [73],[74].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Genevraye est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [75],[76],[77].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[78]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[75],[79].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEAU Moret Seine et Loing qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [75],[80],[81].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[82].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[83]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[84].

    En 2018, la commune comptait 796 habitants[Note 12], en augmentation de 19,7 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    168141151195175206225237242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    270262271216270244255331383
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    386401397403533540576592630
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    581541507507528579639619764
    2018 - - - - - - - -
    796--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[85] puis Insee à partir de 2006[86].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La Genevraye dispose d’une école élémentaire “Maurice Martin”, située 2 route de Montigny. Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770760H, comprend 60 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[87].

    Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.

    La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, La Genevraye est en zone C.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 307, représentant 795 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 340 euros[88].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 170, occupant 395 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,4 % contre un taux de chômage de 6 %.

    Les 17,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,8 % de retraités ou préretraités et 6 % pour les autres inactifs[89].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 63 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l’industrie, 12 dans la construction, 35 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[90].

    Ces établissements ont pourvu 106 postes salariés.

    • Entreprise la plus importante : Adisco-Daugeron et Fils.
    • Sablières (inexploitées), horticulture, pisciculture (à Grattereau).

    Agriculture

    La Genevraye est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[91].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[92]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 134 ha en 1988 à 98 ha en 2010[91]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Genevraye, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à la La Genevraye entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[91],[Note 14]
    Nombre d’exploitations (u) 5 6 3
    Travail (UTA) 10 16 4
    Surface agricole utilisée (ha) 670 606 293
    Cultures[93]
    Terres labourables (ha) 654 599 293
    Céréales (ha) 512 465 s
    dont blé tendre (ha) 259 243 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 166 s s
    Tournesol (ha) 59 19
    Colza et navette (ha) 43 77 s
    Élevage[91]
    Cheptel (UGBTA[Note 15]) 11 1 12

    Culture locale et patrimoine

    Architecture civile

    • Château de la Tour
    • Château de Berville
    • Cité ouvrière de Cugny construite entre 1926 et 1927 par l'architecte Georges-Henri Pingusson pour le compte de la Société française des explosifs.
    • Canal du Loing (canal à petit gabarit)

    Patrimoine religieux

    Patrimoine naturel

    Rives du Loing, rives du canal du Loing (écluses de Berville et de Bordes), bois des Bauges, étangs et les marais.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    parti : au 1) mi parti de gueules à l'aigle d'argent armée et lampassée d'or, au 2) d'argent à la croix pattée au pied fiché de gueules et à la champagne d'azur chargée de trois fasces ondée du champ.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Nature en attente de mise à jour.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    11. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    13. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    15. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Genevraye » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Genevraye » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    3. « La Genevraye - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de La Genevraye », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre La Genevraye et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Distance entre La Genevraye et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Distance entre La Genevraye et Nemours », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de La Genevraye », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. « La Genevraye » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    7. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    8. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    9. « Plan séisme consulté le 8 novembre 2020 ».
    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Loing (F4--0200) » (consulté le ).
    11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Loing (F4379501) » (consulté le ).
    12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Trentaine (F4378500) » (consulté le ).
    13. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Clairette (F4379001) » (consulté le ).
    14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Décharge de l'Etang (F4378000) » (consulté le ).
    15. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Lunain (F4380600) » (consulté le ).
    16. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Loing (F43-0451) » (consulté le ).
    17. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Lunain (F4384001) » (consulté le ).
    18. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Lunain (F4384501) » (consulté le ).
    19. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le canal du Loing (F4--3692) » (consulté le ).
    20. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Clairette (F4379051) » (consulté le ).
    21. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras secondaire de l'aqueduc du Loing (F4379101) » (consulté le ).
    22. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 17 janvier 2019
    23. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    24. « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    25. « le Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur www.sage-beauce.fr (consulté le ).
    26. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    27. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    28. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    29. « Orthodromie entre La Genevraye et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    31. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    32. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    33. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « Réserve de biosphère de « Fontainebleau et Gâtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    35. « la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « la zone tampon de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    39. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Genevraye », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. « Rivières du Loing et du Lunain - ZSC - FR 1102005 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    41. « site Natura 2000 FR1102005 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    42. « Liste des ZNIEFF de la commune de Genevraye », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    43. « ZNIEFF le « Bois du Larris Vert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    44. « ZNIEFF les « Champs Captants de Villeron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    45. « ZNIEFF les « Étangs de Pleignes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    46. « ZNIEFF les « prairies et bois de la Herse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    47. « ZNIEFF la « vallée du Bois-Guyon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    48. « ZNIEFF la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    49. « ZNIEFF la « vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    50. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    51. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    52. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    53. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    54. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    55. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    56. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    57. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    58. « Le SCOT Seine et Loing », sur www.scot-seine-loing.fr (consulté le ).
    59. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    60. Site territoires-fr.fr consulté le 14 septembre 2018 sous le code commune 77202
    61. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 21 juin 2020
    62. « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 72 : secteur de Nemours).
    63. « Réseaux de bus - Transdev Ile-de-France Nemours », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    64. « Plans & horaires - La Genevraye », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    65. Ann. Gâtinais, XXXI, 1913, p. 335.
    66. Longnon, Pouillés de Sens, p. 90.
    67. Archives nationales, P 130, fol. 22.
    68. Archives nationales, P 8, n° 2791.
    69. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1248 - (ISBN 2600001336).
    70. [Viré 1926] Armand Viré, « La Vallée du Lunain aux âges préhistoriques », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 23, nos 3-4, , p. 65-109 (lire en ligne [sur persee]), p. 94.
    71. Recherches de Robert Depardieu
    72. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne) (consulté en ).
    73. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    74. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    75. « Commune de La Genevraye - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    76. « SIDASS de Moret Seine et Loing - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    77. « SIDASS de Moret Seine et Loing - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    78. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    79. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    80. « SIDEAU Moret Seine et Loing - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    81. « SIDEAU Moret Seine et Loing - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    82. « Schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consulté le ).
    83. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    84. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    85. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    86. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    87. Site écoles primaires consulté le 8 novembre 2020
    88. Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 9 novembre 2020
    89. Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 9 novembre 2020
    90. Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 9 novembre 2020
    91. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Genevraye », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    92. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    93. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Genevraye », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    94. Notice no PA00087009, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    • Portail de Seine-et-Marne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.