Voulême
Voulême est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).
Voulême | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Montmorillon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Civraisien en Poitou | ||||
Maire Mandat |
Alain Fonteneau 2020-2026 |
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Code postal | 86400 | ||||
Code commune | 86295 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Voulêmois | ||||
Population municipale |
385 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 06′ 00″ nord, 0° 13′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 92 m Max. 167 m |
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Superficie | 11,12 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Ruffec (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Civray | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Les habitants de la commune sont appelés les Voulemois et les Voulemoises.
Localisation
Voulême est situé à 2 km au sud-ouest de Saint-Macoux la plus grande ville à proximité.
La commune est située à l’extrémité sud du département de la Vienne, à la limite des départements de la Charente et des Deux-Sèvres.
C’est une commune essentiellement rurale.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La région de Voulême présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1]:
- de Terres Rouges pour 82 % sur les plateaux. Ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central.
- de 18 % de calcaire qui se trouve dans les vallées alluviales.
Hydrographie
La commune est traversée par 8 km de cours d'eau, avec comme rivière principale la Charente sur une longueur de 6 km.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Civray », sur la commune de Civray, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 53 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Voies de communication et transports
Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :
- la halte d'Épanvilliers 14,2 km,
- la gare de Saint-Saviol à 5,5 km,
- la halte ferroviaire d'Anché-Voulon à 27,9 km,
- la gare de Ruffecà 8,3 km,
- la halte de Luxé à 25,5 km.
Les aéroports les plus proches de la commune sont :
- aéroport international Angoulême-Cognacà 41 km,
- aéroport de Poitiers-Biard à 55 km,
- aérodrome de Niort - Souché à 54 km.
Urbanisme
Typologie
Voulême est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), forêts (12,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (2,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom du bourg dérive de "Volesma", graphie mentionnée en 1195. Elle devint "Voulesme" en 1398[21].
Histoire
Le territoire de la commune a été occupé par l’homme dès la préhistoire. Un important outillage datant du paléolithique inférieur a été retrouvé en 1886 ainsi que des haches polies et des pointes de flèche datant du néolithique. Ces verstiges ont été découverts aux lieudits des Bois Sourds, des Petits Champs, du Coudret, autour du hameau de Nieuillet, de la cCoix de Nieuil et de la Croix de Chambe. Une partie de ces objets est exposée au Musée de Civray et une autre à la mairie de Voulême.
Plusieurs villas gallo-romaines étaient implantées sur le territoire. Des photographies aériennes ont révélé l’existence de vestiges de constructions datant de cette époque. Cette présence d’un habitat ancien a été confirmée par des découvertes au sol. En effet, lors de fouilles, des pierres et des tuiles à rebord ont pu être déterrées. De même, au lieu-dit le Rochetas, a été mis au jour un vaste domaine composé d’une villa et de son chauffage au sol, ainsi que des traces d’un vaste domaine agricole allant jusqu’aux rives de la Charente. Sur ce site, ont été découverts des ossements, des poteries, des monnaies qui sont exposés au musée de Civray.
En 1777, un ouragan a ravagé la région et plus particulièrement la commune. Un tiers des noyers er tous les châtaigniers, toutes les treilles et une partie des récoltes furent arrachés du sol ou détruits.
En 1830 et 1835, la commune fut frappée par une épidémie de choléra.
Politique et administration
Intercommunalité
Depuis 2015, Voulême est dans le canton de Civray (no 6) du département Vienne. Avant la réforme des départements, Voulême était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Énergies nouvelles
Sur le sol de la commune, un parc, regroupant douze éoliennes, devrait voir le jour en mai 2014 après neuf ans de procédure. Ce parc, le plus grand du département de la Vienne, est à cheval sur les communes de Saint-Macoux, de Saint-Gaudent, de Lizant et de Voulême. Ce parc représente une puissance totale de 24 MW pour une production estimée à 53 GWh, soit la consommation annuelle moyenne de 26 500 habitants. Les éoliennes sont composées d'un mât de 100 m de hauteur et de pales de 50 m. Cette énergie renouvelable devrait permettre d'économiser chaque année 17 000 tonnes de CO2.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2018, la commune comptait 385 habitants[Note 7], en augmentation de 2,12 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 32 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Voulême ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 378 personnes. À cela, il faut soustraire les résidences secondaires (6 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 372 habitants.
La répartition par sexe de la population est la suivante :
- en 1999 : 49,4 % d'hommes et 50,6 % de femmes.
- en 2004 : 48,6 % d'hommes et 51,4 % de femmes.
- en 2010 : 44,3 % d'hommes pour 55,7 % de femmes.
En 2004 :
- Le nombre de célibataires était de : 24,2 % dans la population.
- Les couples mariés représentaient 60,6 % de la population, les divorcés 4,2 %.
- Le nombre de veuves et veufs était de 11 % .
Enseignement
La commune de Voulême dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école primaire dépend de l'inspection académique de la Vienne. Les communes de Lizant, Voulême et Saint-Gaudent sont en regroupement pédagogique intercommunal. Ainsi, les maternelles sont localisées à Lizant puis les CP et CE1 à l’école de Voulême et enfin les CE2, CM1 et CM2 à l’école de Saint-Gaudent.
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[27], il n'y a plus que huit exploitations agricoles en 2010 contre treize en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont stagné et sont passées de 1 075 hectares en 2000 à 1 035 hectares en 2010[27]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[28].
43 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 29 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 16 % pour le fourrage et 6 % restent en herbe. En 2000, un hectare (zéro en 2010) était consacrés à la vigne[27].
Quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage de bovins (468 têtes en 2010 contre 309 têtes en 2000). L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (57 têtes réparties sur trois fermes en 2000)[27].
Activité et emploi
Le taux d'activité était de 64,6 % en 2004 et 60,5 % en 1999.
Le taux de chômage en 2004 était de 9,5 % et en 1999 il était de 13 %.
Les retraités et les pré-retraités représentaient 36,3 % de la population en 2004 et 28,2 % en 1999.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église saint-Hilaire est un parallélogramme terminé par une abside carrée voutée en ogive et percée de trois fenêtres en plein cintre, allongées, étroites en dehors et évasées en dedans. La nef est sans voute. La porte ogivale, située sur le côté sud, est ornée de moulures simples. Le toit est plat et les contreforts sont peu saillants. Le clocher est carré. Il est sur deux étages. Il est percé de baies étroites et carrées comme des meurtrières. Il s'élève au-dessus du chœur. Le mur du fond de l'abside est terminée par un pignon avec une croix en pierre. La nef a été réédifiée au début du XVIe siècle.
Patrimoine civil
- Le logis seigneurial de Chambe est construit au lieu-dit Chambes. Le logis est le témoin de l'existence d'un ancien château du XVe siècle qui dominait la vallée de la Charente. Il ne reste que quelques traces des fortifications, une tour et une maison du XVIIIe siècle.
- Le logis de Nieuil-sur-Charente qui date du XVe siècle.
- Les moulins : le territoire communal est traversé par la Charente qui était bordée d’anciens moulins. Ces moulins servaient pour fabriquer de la farine ou de l’huile. Cette activité a disparu. Il ne reste plus que des vestiges de ce passé industrieux et certains moulins ont pu être depuis transformés en résidence ce qui a permis de les conserver : moulin à eau datant du Moyen Âge de l’Etourneau, situé en bas du hameau de Nieuillet et qui a gardé son mécanisme de fabrication d’huile, le moulin du Roc et le moulin de Chambes.
Coteau de l'Étourneau
Le coteau de l’Étourneau est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) qui couvre 1 % de la surface communale. Il domine la Charente qui, après avoir infléchi son cours vers le sud-ouest en aval de Civray, décrit de profonds méandres dus à la faible pente de son lit. Alors que la partie concave des boucles du fleuve, est plane et est occupée par des habitats alluviaux de plus en plus remplacés de nos jours par des cultures intensives ; la partie convexe est dominée par des coteaux avec des versants abrupts qui font passer en quelques dizaines de mètres de 130 m d’altitude sur le plateau à moins de 100 m au niveau du fleuve.
Les pentes du coteau de l’Étourneau sont orientées au nord. Son sol est composé de calcaires bajociens à silex. Les pentes sont couvertes par des chênes pédonculés et des charmes, mêlés d’érables champêtres. La strate arbustive est caractérisée par la présence du buis.
En bas de versants, sur les terrasses alluviales bordant la Charente, la chênaie-charmaie laisse la place, sur des sols franchement hydromorphes, à une aulnaie-frênaie. L’orientation au nord du coteau et la forte humidité atmosphérique entretenue par la proximité de la rivière créent, au sein du bois, un microclimat très frais qui est renforcé par le feuillage dense des essences arborées. Ces conditions particulières ont favorisé le développement d’un humus propice à l’implantation d’une flore forestière très diversifiée. Elle se répartit sur les pentes en fonction de ses exigences en humidité : Jacinthe des bois et Ornithogale des Pyrénées sur les pentes moyennes, Fétuque géante et Ail des ours à proximité de l’eau.
Sur le plan botanique, le coteau de l’Étourneau présente un grand intérêt biologique du fait de la présence de plusieurs espèces rares ou menacées qui ont justifié son classement et sa protection. Ainsi, ont été recensées :
- La Lathrée écailleuse : C’est une plante appartenant à la famille des Scrophulariacées. C’est une curieuse plante de couleur ivoire, dépourvue de chlorophylle, qui trouve ses substances nutritives en parasitant les racines d’arbres divers tels que les ormes, les noisetiers, les érables ou les frênes.
- La Corydale à bulbe plein. C’est une Fumariacée aux élégantes fleurs panachées de violet et de blan qui est très localisée en région Poitou-Charentes.
- L'Isopyre faux-pigamon.
- La Moschatelline.
- L'Épiaire des Alpes.
Personnalités liées à la commune
- La famille Chambe. C'est une des familles les plus anciennes du Poitou. Jean de Chambe a été gouverneur de La Rochelle en 1460. Charles de Chambes (1549-1621), comte de Montsoreau, né vers 1543, Grand veneur d'Anjou, a épousé, en 1576, Françoise de Maridor. Charles de Chambe tua le gouverneur d'Anjou, Bussy d'Amboise, qui s'était vanté d'avoir une liaison avec la comtesse de Montsoreau.
Voir aussi
Articles connexes
Sources
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Civray - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Voulême et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Civray - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Voulême et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ruffec », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Enquête Structure 2007
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