Taizé-Aizie

Taizé-Aizie est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Taizé-Aizie

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Val de Charente
Maire
Mandat
Daniele Dorfiac
2020-2026
Code postal 16700
Code commune 16378
Démographie
Gentilé Taizéens
Population
municipale
570 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 49″ nord, 0° 14′ 29″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 162 m
Superficie 14,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Taizé-Aizie
Géolocalisation sur la carte : Charente
Taizé-Aizie
Géolocalisation sur la carte : France
Taizé-Aizie
Géolocalisation sur la carte : France
Taizé-Aizie
Liens
Site web http://www.mairie-taize-aizie-charente.com/

    Ses habitants sont les Taizéens et les Taizéennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Taizé-Aizie est une commune du Nord Charente limitrophe du département de la Vienne proche aussi du département des Deux-Sèvres, située à km au nord-est de Ruffec et 47 km au nord d'Angoulême, au bord du fleuve Charente.

    Le bourg de Taizé-Aizie est aussi à 11 km au sud-ouest de Civray, 13 km au sud-est de Sauzé-Vaussais, 34 km à l'ouest de Confolens et 58 km au sud de Poitiers[2].

    Située km à l'est de la N 10 entre Angoulême et Poitiers, la commune est traversée par la D 8, route de Ruffec à Civray, qui passe à 0,5 km à l'ouest du bourg à Chauffour. Le bourg est desservi par la D 176 qui traverse transversalement la commune entre Les Adjots et Bioussac[3].

    La ligne Paris-Bordeaux borde l'ouest de la commune, et la gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER et TGV à destination d'Angoulême, Poitiers, Paris et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Taizé est un peu à l'écart de la route D.8, où est situé l'important hameau de Chauffour à 200 m du village.

    Le village d'Aizie est au sud-est de la commune, où est aussi situé Chadeuil, hameau en vis-à-vis. Plus à l'est, il y a Usseau, et au sud sur la rive droite de la Charente Lavaud. Enfin au nord, on trouve le Peux. La commune compte aussi de nombreuses fermes[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Le Bathonien apparaît sur les flancs de la vallée de la Charente, et le Callovien au nord-ouest de la commune. Le plateau est toutefois recouvert en grande partie par des altérites sous forme d'argile à silex (appelée aussi argile rouge à châtaigniers), et localement par de l'argile à pisolithes de fer au nord de Chadeuil (buttes cuirassées). Ce minerai de fer à l'état naturel a été exploité localement. Le terrain karstique donne naissance aussi à de nombreux petits gouffres, principalement au nord-est de la commune.

    Des alluvions du Quaternaire occupent la vallée de la Charente, dont les plus anciennes se sont accumulées en une terrasse à l'ouest d'Aizie[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un bas plateau traversé du nord au sud par la vallée de la Charente. Il est plus prononcé dans la partie orientale, où on trouve la vallée de la Lizonne, et des combes comme la vallée Driet ou la Vallée blanche.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 162 m, situé à l'est près d'Usseau. Le point le plus bas est à 83 m, situé le long de la Charente en limite sud. Le bourg de Taizé, construit sur la rive droite, s'étage entre 90 et 120 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Charente à Taizé-Aizie.

    La commune est traversée par la Charente entre Civray et Ruffec. Le bourg est construit sur le méandre central des trois que fait le fleuve dans la commune.

    La Lizonne, ruisseau descendant de Moutardon, se jette sur la rive gauche de la Charente au pied d'Aizie.

    Le Fontaniou est un court affluent de la Charente sur sa rive droite, et rejoint un bras du fleuve qui passe au pied du bourg, formant ainsi une île[3],[Note 1].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département aux abords du seuil du Poitou.

    Urbanisme

    Typologie

    Taizé-Aizie est une commune rurale[Note 2],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,1 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), prairies (14,3 %), forêts (6,2 %), zones urbanisées (3,5 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes de Taizé sont Taisec vers 1100[13], Teisico (non datée)[14].

    L'origine du nom de Taizé remonterait à un nom de personne gallo-romain Tatius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Tatiecum, « domaine de Tatius »[15],[Note 4]. Taizé-Aizie est au nord de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en , -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny[3].

    Les formes anciennes d'Aizie sont Iseia vers 1100[13], Yssia (non datée)[16].

    L'origine du nom d'Aizie remonterait à un nom de personne gallo-romain Asius, Atius ou Avitus , ce qui correspondrait à Asius fundus, « domaine d'Asius ». La commune voisine d'Aizecq a aussi cette étymologie[17],[18].

    En 1793, la commune de Taize Aisie a été formée à partir de la paroisse[19], orthographiée Tésé-Aisy sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle)[3].

    Histoire

    Époque romaine et médiévale

    Des photos aériennes ont révélé l'existence d'une voie antique et de villas[20].

    Près du Bourgneuf, les vestiges d'une arche de pont témoignent peut-être de ce chemin antique se dirigeant vers Charroux, dit Chemin ferré[21].

    Ancien Régime

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1603.

    De l'église primitive de Taizé, il ne reste que les murailles latérales et la base de la façade, accusant le XIIe siècle. Mais l'église a subi de gros dégâts lors des guerres de religion à la fin du XVIe siècle; elle a été notamment saccagée par les protestants.

    L'ancien château d'Aizie, dont il ne reste qu'un pan de mur surplombant la Charente, était le siège d'une importante seigneurie, indépendante de Ruffec. Son possesseur s'intitulait seigneur d'Aizie et de Ruffec en partie, car il possédait la moitié des droits de châtellenie et de justice sur la châtellenie de Ruffec. Au XIIIe siècle, Guillaume Chenin était le seigneur d'Aizie. La seigneurie passa entre différentes mains, par mariages successifs, dont les Martreuil, famille poitevine, les La Rochefoucauld au XVe siècle (Jeanne de Martreuil épouse Aymar de La Rochefoucauld-Montbazon, fils cadet de Guy VIII de La Rochefoucauld), et aussi les Rohan (leur petite-fille Renée du Fou de Montbazon épouse Louis III de Rohan-Guéméné). En 1467, la seigneurie a appartenu à Marguerite de La Rochefoucauld-Barbezieux (pas issue cependant des Montbazon), qui fit reconstruire le château de Barbezieux. En 1584, les Rohan vendirent Aizie à Philippe de Volvire, le très catholique baron de Ruffec, bras armé catholique des comtes d'Angoulême et du roi de France, et depuis cette date Aizie a suivi la destinée de Ruffec.

    Au début du XVe siècle, l'abbaye de Nanteuil fonda un prieuré à Aizie. Celui-ci passa rapidement aux mains des chanoines de la Réau, en Poitou, qui construisirent l'église et le logis prieural, qui furent saccagés lors des guerres de religion. À la Révolution, les biens restant de ce prieuré furent vendus comme biens nationaux.

    La paroisse de Taizé-Aizie comportait aussi deux autres fiefs, moins importants qu'Aizie : Puipastrop (aussi orthographié Puypatrot, aujourd'hui le Peux) et Boistillet (aujourd'hui orthographié Bois Tillet et situé près de Chadeuil).

    • Le logis de Puipastrop a probablement été édifié par les Templiers de Villegats. Les chevaliers de l'ordre de Malte conservèrent Puipastrop jusqu'à la fin du XVIe siècle. Le fief fut alors acquis par la famille Jay[22], qui dut se dessaisir de leur possession de Boisseguin (à Lizant) au profit de Philippe de Volvire, baron de Ruffec. En 1716, Puipastrop passa par mariage à Charles Henri Bouchard d'Esparbès de Lussan, marquis d'Aubeterre, qui conserva cette terre jusqu'en 1782, un peu avant la Révolution. La famille d'Esparbès de Lussan d'Aubeterre était une des plus puissantes familles de l'Angoumois. À la Révolution, les acquéreurs, les ducs de Choiseul-Praslin (Renaud-César-Louis), furent soupçonnés d'avoir émigré et leurs biens furent mis sous séquestre. En particulier les vastes bâtiments servirent de greniers nationaux. Mais ils recouvrirent leurs biens, et le domaine fut morcelé et vendu en 1827.
    • Le logis de Boistillet (Boistillé) appartenait au XVIe siècle à la famille de Brilhac de Nouzières[23]. Par mariage, cette maison noble passa aux Jourdain, seigneur de Trallebost, en Poitou. Après la Révolution, le domaine resta dans la famille et passa par mariage aux Mimaud-Longchamps[24].

    Les forges

    Les forges de Ruffec, situées au pied du bourg d'Aizie, furent fondées dans la première moitié du XVIIIe siècle.

    En 1731[Note 5], Jean Armand de Rouvroy, marquis de Ruffec et duc de Saint-Simon, obtient du roi Louis XV des lettres patentes l'autorisant à les établir. La proximité du fer (minerai des alentours), du bois (forêt de Ruffec) et de l'eau (la Charente) faisait d'Aizie l'emplacement idéal.

    Un haut fourneau et deux feux d'affinerie furent alors construits au lieu-dit les Forges.

    En 1762, le marquisat de Ruffec est acquis par le comte de Broglie, qui achète la forge au duc de Saint-Simon. Il donne une nouvelle impulsion à la fabrication en obtenant du ministère de la Marine la fourniture de l'acier nécessaire aux ports de Brest, Rochefort et Toulon. Elle produisait alors des boulets.

    La famille de Broglie ayant émigré à la Révolution, les forges furent d'abord séquestrées, puis mises en régie. Mais en 1809, elles retournèrent à la famille de Broglie de par leur achat, pour 127 500 francs, par madame de Marcieu, née Adélaïde-Charlotte de Broglie.

    Sa fille, la marquise de la Porte, la vendit, vers 1830, à Marsat, l'exploitant de la forge qui avait ajouté un deuxième haut fourneau et un troisième feu d'affinerie. Vers 1840 elle emploie 40 personnes et produit 800 t de fonte.

    En 1860, la forge est vendue à Pierre-Émile Martin, célèbre inventeur de l'acier Martin, et qui est aussi le maire de Sireuil, où il a développé son procédé. La forge fournit alors l'acier nécessaire à la fabrication de canons à fusils par la manufacture de Châtellerault.

    Mais la matière première se raréfie et les industries se déplacent. Arrêté en 1879, le haut fourneau est démoli en 1884 puis la forge s'arrête en 1889 et une minoterie s'installe dans l'ancienne affinerie, la minoterie Baudinaud[24],[25].

    Temps modernes

    À la fin du XIXe siècle, un moulin à blé, au lieu-dit Moulin de l'Isle, a été transformé en minoterie, la minoterie Bernard[26].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 2014 Marcel Picaud PS Enseignant à la retraite
    2014 En cours Danièle Dorfiac    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 570 habitants[Note 6], en diminution de 3,06 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    648740698824845809844936927
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    775724693707690704659587563
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    571543513532512521514568458
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    408412485544564562562561588
    2018 - - - - - - - -
    570--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Taizé-Aizie en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90  ans ou +
    0,7 
    7,7 
    75 à 89 ans
    11,6 
    14,8 
    60 à 74 ans
    16,2 
    28,5 
    45 à 59 ans
    27,8 
    15,1 
    30 à 44 ans
    15,5 
    19,0 
    15 à 29 ans
    10,5 
    14,1 
    0 à 14 ans
    17,7 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Les Adjots et Taizé-Aizie, qui accueillent chacune une école élémentaire. L'école de Taizé-Aizie, située au bourg, comprend deux classes. Une école maternelle avec deux classes est située aussi à côté. Le secteur du collège est Ruffec[32].

    Culture

    Un musée de la cafetière, visitable sur rendez-vous, est ouvert depuis 2001 dans l'ancienne minoterie qui a succédé aux forges[33].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église et son clocher.

    L'église paroissiale Saint-Pierre, est d'origine romane et a été restaurée au XIXe siècle. Elle était à l'origine le prieuré Sainte-Radegonde d'Aizie de Yissia qui dépendait de l'abbaye de la Réau.

    Elle possède une cloche en bronze datée de 1666 qui porte l'inscription « JESUS MARIA JOSEPH. SANCTE PETRE ORA PRO NOBIS. FRANÇOIS TOUZALIN, PRIEUR DE CEANS. DAMOISELLE MARIE POISSON, MARINE, FILLE DE FRANÇOIS ESCUYER, SEIGNEUR DE OISIOLLE. 1666 ». Elle porte des armoiries qui n'ont pu être identifiées. Elle a été classée monument historique au titre objet le [34].

    Patrimoine civil

    • Minoterie construite au XIXe siècle, sans doute à l'emplacement d'un ancien moulin.
    • Fonderie et minoterie datant de 1731[25].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux ruisseaux ayant cette même configuration portent le même nom dans les communes d'Aunac et de Lichères.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Neuf communes de France ont cette étymologie, comme Taizé en Saône-et-Loire.
    5. Erreur de Martin-Buchey, qui écrit 1631.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Cartulaire de Saint-Cyprien de Poitiers
    14. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 241
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 667.
    16. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 271
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 7.
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. « Taizé-Aizie (photographies) », base Mémoire, ministère français de la Culture
    21. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 187
    22. Jean-Marie Ouvrard, « Famille Jay - Blasons de Charente », (consulté le )
    23. « Boistillé et les Brilhac de Nouzières, par Patrice Lucquiaud, novembre 2009 », sur Les Cyber-généalogistes de Charente-Poitou (CGCP)
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 383-385
    25. « Les Forges », notice no IA00066408, base Mérimée, ministère français de la Culture
    26. « Moulin de l'Isle », notice no IA00066407, base Mérimée, ministère français de la Culture
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Evolution et structure de la population à Taizé-Aizie en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    33. Rémy Papot (Taizé-Aizie) in Julie Pasquier, « Taizé-Aizie, entre rivière et vallons », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    34. « Cloche », notice no PM16000281, base Palissy, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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