Veulettes-sur-Mer

Veulettes-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Veulettes-sur-Mer

La falaise de la butte du Catellier au sommet de laquelle était installée une batterie de deux canons.
La promenade a été réhabilitée depuis.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC de la Côte d'Albâtre
Maire
Mandat
Françoise Guillot
2020-2026
Code postal 76450
Code commune 76736
Démographie
Gentilé Veulettais, Veulettaises
Population
municipale
273 hab. (2018 )
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 52″ nord, 0° 35′ 49″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 81 m
Superficie 4,71 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Veulettes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Veulettes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Veulettes-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Veulettes-sur-Mer
Liens
Site web http://www.ville-veulettes-sur-mer.fr

    Géographie

    Description

    Vue de la vallée de la Durdent.

    Surnommé la « perle du pays de Caux », ce petit village français sur la Manche est également une station balnéaire réputée pour sa plage en arc de cercle, la plus longue du département de Seine-Maritime (près de km). La digue a fait l'objet, au milieu des années 2010, de travaux de réhabilitation, incluant des matériaux nobles tels que le bois, s'inscrivant dans le paysage, offrant ainsi à Veulettes une magnifique promenade, accessible aux personnes handicapées et apte à convaincre les promeneurs.

    On retrouve des falaises identiques à celles de la ville d'Étretat40 km environ de Veulettes), encerclant la plage. Mais, à la différence d'Étretat, la plage de Veulettes s'insère dans une grande vallée sauvage (peu bâtie), à l'embouchure de la Durdent. Le conservatoire du littoral a fait en 2005 l'acquisition de 10 ha de prairies dans cette vallée, protégée au titre des sites classés depuis plusieurs années. Ce monument naturel de la vallée de la Durdent offre un panorama spectaculaire entre ciel, terre et mer.

    Une rivière, aujourd'hui disparue, prenait naissance au pied de l'église et suivait la vallée pour se jeter dans la mer par un estuaire plus important que celui de la Durdent.

    A l'ouest, les hameaux du Mesnil et du Heaume restent aujourd'hui encore en dehors de l'agglomération.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 842 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 67 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Veulettes-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (16,1 %), forêts (2,3 %), zones humides côtières (2,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Welletes (sans date), Terram de Welletes (sans date)[24], Molendinorum de Welletes en 1219[25], Mesnil super Weulletes (sans date)[26], In territorio de Welletes apud Osbermare en 1234[27], Manerium nostrum de Welletes en 1236, Port et perroy de Veulettes en 1510[28], Parrochia de Weuletes en 1268[29], Vulletes vers 1240, Obertivilla super Wulletes en 1252, Inter Welletes et Paluel en 1263, Capella de Veulettes (variante Veulletes) en 1337, Veulettes en 1494[30], Veulettes sur la Mer en 1409 et 1411[31], Veulettes en 1715, Veulette en 1757 (Cassini)[32].

    Il s'agit du nominatif, diminutif au pluriel, de l'appellatif toponymique du vieil anglais wella / wiella signifiant «  petites source, petites fontaine, petits cours d'eau », il s'agit ici de la rivière la Veulette et du fleuve côtier la Durdent.

    Veulettes a pris le nom de Veulettes-sur-Mer en 1937. Toutefois, dès 1900, l'abbé Jules Gayraud, curé de la paroisse, indiquait sur la page de garde de son livre Don Gilles, ou le magicien du XIIIe siècle , curé de Veulettes-sur-Mer[réf. nécessaire].

    Histoire

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    Carte de Cassini

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Veulette est un village avec une église située à environ 1,5 km de la côte.

    La station balnéaire n'ayant été créée qu'au début du XXe siècle, les maisons sont construites loin de la mer.

    Une batterie de 2 canons, installée au sommet de la falaise de la Butte du Catellier[Quand ?], protégeait le port de Saint-Valéry-en-Caux, situé à 15 km à l'est, des éventuelles attaques de navires anglais.

    Les villas de 1900 et d'autres ...

    Une ligne de chemin de fer venant de Caudebec-en-Caux et passant par Cany-Barville a été abandonnée en 1914[réf. nécessaire].

    Station balnéaire très en vogue dans les années 1900, sa belle époque prend fin après la Seconde Guerre mondiale. Mais il reste encore beaucoup de belles villas marquées par l'architecture 1900.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1967 Émile Servan-Schreiber   Journaliste et homme de lettres
    1967 1983 Denise Brésard (ép. Servan-Schreiber)   Journaliste
    1983 1995 Paul de Buyer RPR Industriel
    1995 2014[33] Christian Legrand UMP Boulanger retraité
    2014[34] En cours
    (au 10 août 2020)
    Françoise Guillot   Retraitée
    Vice-présidente de la CC de la Côte d'Albâtre (2014 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[35],[36]

    Politique de développement durable

    Un projet d'implantation d'un parc de 21 éoliennes en mer est actuellement en cours[Quand ?] au large de la commune, à environ 7 km du rivage. Ce parc sera le premier parc éolien en mer français[réf. nécessaire].

    Jumelage

    Veulettes est jumelée avec la ville de Greenock en Écosse depuis 1946. Charles Corruble (1899-1966), Français libre), décida en 1940 de rejoindre l'Angleterre. Installé avec sa famille à Greenock jusqu'en 1944, ils demandèrent lors de leur retour à Veulettes le jumelage des deux villes, qui fut le premier parrainage européen.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 273 habitants[Note 6], en diminution de 9,9 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442352340432430455447447424
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    398356336316308313322298305
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    318324356293326294354392457
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    439363342369299296308318290
    2018 - - - - - - - -
    273--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La commune organise chaque année un feu d'artifice pour le , précédé d'une marche aux flambeaux qui remonte vers la mer. Le feu est tiré depuis le bout de la plage, au pied des falaises.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Valery.
     Classé MH (1910).
    Le casino.
    • Église Saint-Valery (XIIe siècle) [41].
    • La statue de saint Valery est à gauche, face à l'autel, faisant pendant à celle de saint Ouen.
      Un écusson en bas relief, daté de 1635, incrusté dans le mur extérieur de la sacristie, supporte les armes de Veulettes.
    • École de voile de la Côte d'Albâtre.
    • Promenade de la digue Jean-Corruble.
    • Falaise du Catelier, sur laquelle s'étendait un vaste oppidum gallo-romain, est creusée de grottes dites "tombeau de Gargantua".
    • Chemin des Vicly, où l'on peut admirer des grottes artificielles d'où les cultivateurs ont extrait la marne pour la répandre dans leurs champs, afin d'améliorer le rendement de ces derniers.
    • Les anciens du village racontent encore qu'un tunnel piéton relie le hameau du pont Rouge à la commune de Saint-Valery-en-Caux. Ce tunnel aurait été creusé lors de la seconde guerre mondiale afin de permettre une dispersion des troupes militaires.[réf. nécessaire]
    • Un casino est installé à l'extrémité de la promenade aménagée.

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Gayraud[43] (1839-1914), orientaliste, poète, disciple de Saint Pierre-Julien Eymard et curé de Veulettes de 1895 à 1912, repose à Veulettes. Son livre de poèmes Sur le galet, publié en 1905, contient 44 textes consacrés à divers aspects de la vie à Veulettes-sur-Mer : métiers, villas, personnages, panoramas, etc. L'éditrice, Marthe Gayraud, l'a illustré de 16 photogravures reprenant les clichés de cartes postales de l'époque.
    • Émile Servan-Schreiber (1888-1967), journaliste et maire de Veulettes, décédé à Veulettes.
    • Anne-Marie Seghers (en) (1911-2012)[44] (double quart de finaliste à Roland-Garros en 1949 et 1954), membre du Tennis Club de Veulettes, donne son nom le au court no 1[44] du Club.
    • Jean-Jacques Servan-Schreiber (1924-2006), fils aîné d'Émile Servan-Schreiber, journaliste, essayiste et homme politique français, repose à Veulettes.
    • Jacques Calvet (1931-2020), homme d'affaires et ancien PDG de PSA, propriétaire d'une maison à Veulettes-sur-Mer. Membre et contributaire du Tennis Club de Veulettes.
    • Jean-Pierre Desthuilliers (1939-2013), poète et préfacier, résida régulièrement à Veulettes-sur-Mer entre 1947 et 1974, tous les étés et à d'autres époques, villa Don Gilles (ses parents se sont mariés en 1938 dans la commune).
    • David Servan-Schreiber (1961-2011), médecin et docteur ès sciences français, fils aîné de Jean-Jacques Servan-Schreiber et petit-fils d'Émile Servan-Schreiber, repose à Veulettes.
    • Charles Corruble (1899-1966), Français libre, décida en 1940 de rejoindre l'Angleterre. Sa famille s’installa à Greenock. Il est à l'initiative du jumelage de Veulettes et de la commune écossaise de Greenock[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Les armes de la commune de Veulettes-sur-Mer se blasonnent ainsi :
    d'azur à deux roses d'or rangées en fasce, accompagnées en chef d'un croissant d'argent et en pointe d'un cœur croiseté du même, le tout surmonté d'un lambel aussi d'argent

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • L'ouvrage Veulettes-sur-Mer, de Françoise Guillot et Bernard Ras, publié en 2007 par le Comité des lettres de Grainville-la-Teinturière et d'histoire de la Vallée de la Durdent, 480 pages, de très nombreuses illustrations.
    • La Durdent raconte Veulettes-sur-Mer, , 460 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Veulettes-sur-Mer », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Veulettes-sur-Mer et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Veulettes-sur-Mer et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Bib. Rouen ms. 1207 f. 51, 74.
    25. Archives départementales de la Seine-Maritime, 7 H.
    26. Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H. — charte de G. de Weulletes.
    27. Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H.
    28. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H. 638, 639.
    29. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H.
    30. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267, 1634, 737.
    31. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen, Reg. 14 f. 65 v.
    32. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1057.
    33. « Christian Legrand, nommé maire honoraire », Paris Normandie, (lire en ligne).
    34. « Liste des maires élus en 2014 » [PDF], Liste des élus, Préfecture de Seine-Maritime, (consulté le ).
    35. « Municipales 2020. À Veulettes-sur-Mer, Françoise Guillot parée pour un nouveau mandat : La maire sortante présente une liste à parité homme-femme et équilibre entre les générations », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    36. « Veulettes-sur-Mer. Un second mandat pour Françoise Guillot élue maire », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Église Saint-Valery », notice no IA00022736, base Mérimée, ministère français de la Culture- Recensement.
    42. « La basse vallée de la Durdent », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    43. Bio-bliographie de Jules Gayraud en ligne
    44. Scores d'Anne-Marie Seghers
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