Vergongheon

Vergongheon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Vergongheon

Mairie de Vergongheon rénovée en 2011.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes Auzon Communauté
Maire
Mandat
Jean-Paul Pastourel
2020-2026
Code postal 43360
Code commune 43258
Démographie
Gentilé vergongheonnais
Population
municipale
1 833 hab. (2018 )
Densité 145 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 19″ nord, 3° 19′ 13″ est
Altitude Min. 403 m
Max. 483 m
Superficie 12,61 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Brassac-les-Mines
(ville-centre)
Aire d'attraction Issoire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Florine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Vergongheon
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Vergongheon
Géolocalisation sur la carte : France
Vergongheon
Géolocalisation sur la carte : France
Vergongheon

    Géographie

    Urbanisme

    Typologie

    Vergongheon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brassac-les-Mines, une agglomération inter-départementale regroupant 6 communes[4] et 10 457 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,7 %), prairies (27,4 %), zones urbanisées (10 %), forêts (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 029, alors qu'il était de 991 en 2013 et de 945 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 80,6 % étaient des résidences principales, 3,5 % des résidences secondaires et 15,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vergongheon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,5 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Vergongheon en 2018.
    Typologie Vergongheon[I 1] Haute-Loire[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 80,6 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,5 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 15,9 12,4 8,2

    Toponymie

    • Les Vandales font une incursion dans le Velay en 406[11], et sont renforcés de Suèves, d'Alains et de Burgondes. Une bande de ces derniers resta, semble-t-il, dans le secteur. Elle a laissé son nom à Vergongeon, qui est nommé en 1220 Villa de Burgondione[12].

    Une autre version avance que l'origine du toponyme provient d'un nom de personne germanique Burgundio(n)[13].

    • Différentes orthographes du nom se sont succédé au fil des époques. Cette évolution se retrouve par la trace écrite des noms de lieux liés à la commune [14] :
    • Ecclesia Sanctæ de Mariæ de Verginici (Église Sainte-Marie de Vergongheon), XIe siècle[15]
    • Ecclesia de Vergungo (Église de Vergongheon), XIe siècle (cartulaire de Sauxillanges, no 680)
    • Villa de Burgundione, 1220 (Spicilegium[16] Br.)
    • Vergonio, XIIIe (Spicilegium Br., no 951)
    • Vergonjo, 1320 (J . de Peyre, notaire)
    • Ecclesia B. Mariæ de Vergongione, 1323 (Spicilegium Br.)
    • Vergongho, 1371 (Archives nationales P. 1375², c. 2539)
    • Vergonghon, 1398 (compte de B. Sannadre) et 1401 (spic. Br.)
    • Verguonghon, 1511 (coustume D’Auvergne, folio 80 verso).
    • Vergonghon, 1793.

    Histoire

    Dès les premiers siècle de notre ère, la romanisation des campagnes profite à la valorisation du territoire. Débute alors la construction de nouvelles voies qui traversaient l'Arvernie du nord au sud et d'est en ouest. La grande voie de circulation de Clermont à Saint-Paulien franchissait l'Alagnon et traversait ensuite Vergongheon ou Lempdes, en direction de Brioude. La route antique mettait déjà la région en relation avec les ports de la Méditerranée et le reste de la Gaule.

    La fête patronale se tient le en l'honneur de l'Assomption de Marie, ce qui est visible dans les noms données à l'église au fil des ans.

    La commune a connu une exploitation de charbon.

    Politique et administration

    Liste des maires

    • 1793 - 1797 : Jacques Bardy
    • 1797 - 1800 : François Soligoux
    • 1800 - 1805 : Pierre Dorel
    • 1805 - 1815 : François Soligoux
    • 1815 - 1822 : André Grenier
    • 1822 - 1830 : Louis Touzet
    • 1830 - 1832 : Christophe Touzet
    • 1832 - 1835 : Doniol
    • 1835 - 1840 : Jean Marion
    • 1840 - 1846 : Jacques Varennes
    • 1846 - 1848 : Christophe Touzet
    • 1848 - 1852 : Gabriel Bardy
    • 1852 - 1858 : Julien Sadourny
    • 1859 - 1863 : Gaspard Michel de La Chapelle (maire provisoire à la suite du décès de Julien Sadourny)
    • 1863 - 1869 : Adhémar de La Chapelle (remplace son père décédé)
    • 1869 - 1870 : Jean Pradon
    • 1870 : Antoine Fontès
    • 1870 : Adhémar de La Chapelle
    • 1871 : Antoine Fontès
    • 1871 - 1874 : Alexandre Virollet
    • 1874 - 1876 : François Dorel
    • 1876 : Antoine Ribeyre
    • 1876 : Jean Laurenson
    • 1876 - 1880 : Antoine Ribeyre
    • 1880 - 1881 : Jean Pradon
    • 1881 - 1884 : Jean Ribeyre
    • 1884 - 1896 : Antoine Robert
    • 1896 - 1908 : Jean Veysseyre
    • 1908 - 1913 : Antoine Robert
    • 1913 - 1935 : Célestin Bardy
    • 1935 - 1941 : Jean Pomel (SFIO)
    • 1941 - 1944 : délégation spéciale confiée à Henri Sabatier, aidé par Eugène Bardy et Julien
    •  : fin du régime spécial instauré par le gouvernement de Vichy
    • 1945 - 1965 : Jean Pomel (SFIO), conseiller général (1945-1961)
    • 1965 - 1971 : André Pomel
    • 1971 - 1985 : Marcel Ustachon
    • 1985 - 1986 : Jean Robert, à titre provisoire
    • 1986 - 1995 : Bernard Clamadieu
    • 1995 - actuel (réélu le ) : Jean-Paul Pastourel[17] (DVG), président d'Auzon Communauté depuis 2014.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

    En 2018, la commune comptait 1 833 habitants[Note 3], en diminution de 0,7 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    508599648621676608744757797
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9641 0011 0121 1491 2141 2261 3471 3091 468
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4831 4361 4241 2331 3931 4071 5201 5701 643
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 6431 6861 6641 8591 7251 6081 7441 8351 834
    2018 - - - - - - - -
    1 833--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Répartition de la population selon l'âge en 2009
    Hommes %Femmes %
    0-14 ans17019,016918,0
    15-29 ans13214,710511,2
    30-44 ans20122,518119,3
    45-49 ans17019,018019,1
    60-74 ans15917,818219,4
    75-89696,611512,2
    ≥90 ans40,480,9
    Ensemble895100,0940100,0

    Associations sportives de football

    Le football, sport populaire, a une place importante dans la vie associative de la commune de Vergongheon. La présence quasi permanente d'un club de football actif depuis le début des années 1920 en est la preuve.

    En 1928, Jean Joachim jeune instituteur originaire du Gard et en poste à Vergongheon depuis 1925, fonde l'Union Sportive Vergongheonnaise (U.S.V.). Ce passionné de football est alors le créateur du premier club de la commune.

    En 1935, au vu des mauvais résultats du club, Eugène Seniquette et la compagnie des chemins de fer située à Arvant décident d'un commun accord de créer par fusion l'Union Sportive Arvant-Vergongheon présidée par Jean Gaubens, renommée en 1937 en Union Sportive Arvant P.L.M. (Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée). L'équipe de football connaît alors plusieurs succès qui s'interrompront en 1939 avec l'entrée en guerre du pays qui marquera une pause dans les activités sportives des communes.

    Après guerre, de 1944 à 1945, les joueurs de Bergoide monte l'Association des Travailleurs Vergongheonnais (A.T.V.), présidé par M. Dessimond. Cette association ne pourra s'affilier à la F.F.F. puisque l'U.S.V. restait affiliée officiellement.

    Anthonin Michel, fondera en 1946, l'Association des Mineurs Vergongheonnais.

    Enfin, c'est en 1951, que l'Association des Mineurs Vergongheonnais et l'Union Sportive Arvant Cheminots (U.S.A.C.) fusionneront pour donner naissance à l'Association Vergongheon-Arvant (A.V.A.), présidé par Joseph Pelissero, qui est encore aujourd'hui l'association qui regroupe les joueurs de football des communes d'Arvant et de Vergongheon. Le stade Joseph Pelissero de Vergongheon porte, en hommage, le nom du fondateur de ce club de football.

    Culture locale et patrimoine

    L'église

    Église romane de Vergongheon.

    De style roman, l'église a été récemment restaurée et la toiture du clocher entièrement refaite en ardoise. Son clocher comporte trois cloches, sonnant les heures, les demi-heures et l'angélus, outre bien sûr les baptêmes, les mariages et les enterrements.

    En 1837, l'église menaçait de s'écrouler et une reconstruction partielle fut lancée en 1844. Lors des travaux une partie de la voûte de la nef s'effondra, obligeant à consolider les flancs du bâtiment. Fermée au public en temps normal, elle sert néanmoins pour les messes et autres célébrations.

    La gare d'Arvant

    La commune est desservie par la gare SNCF d'Arvant d'une importance autrefois particulière et aujourd'hui modérée. En effet, la gare d'Arvant constitue un point de bifurcation important, où se rejoignent la ligne des Cévennes et la ligne Figeac - Arvant, qui rejoint la ligne des Causses (Béziers-Neussargues). À partir de la gare d'Arvant, la ligne devient à deux voies jusqu'à Clermont-Ferrand.

    Hameau et Lieu-dit

    • Arvant
    • la Taupe
    • Bergoide
    • le Feu (le Puits du Feu)
    • Morny
    • Pied Joubert
    • la Métairie Blanche
    • la Jarrige
    • la Petite Jarrige
    • Bouxhors
    • la Pierraille
    • la croix de Bayoux
    • la Chaud
    • le Monteil
    • les Barthes

    Le Curtis de Loubière

    À l'époque carolingienne, ce centre d'exploitation était dépendant du domaine comtal. Il regroupait alors un ensemble de terres agricoles et vraisemblablement un enclos peut-être déjà fortifié dans lequel était construit un manoir. Cette résidence fiscale était utilisée par les collecteurs d'impôts pendant leurs déplacements. La villa regroupait également des terres et dépendances à usage collectif. Les fondations de la maison forte féodale, dont il reste une tour difficile à dater, reposent peut-être sur les vestiges de ce domaine.

    Le château de Rilhac

    Blason de la maison d'Auzon

    Les ruines du château prennent place sur une vaste terrasse alluviale, qui se développe sous la forme d’un large plateau surplombant le lit de l'Allier. Le site offre une véritable position stratégique permettant de contrôler les passages sur la rivière ainsi que le tout proche Chemin Français (voie royale) traversant la plaine de Brioude. Rilhac fait aujourd'hui partie de la commune de Vergonheon.

    Les origines du fief de Rilhac demeurent assez obscures avant le XIIIe. La villa surement antique, doit être rapprochée d'une ancienne dépendance du domaine fiscale de Lubières-Brassac. Le nom de Rilhac est connue depuis le IXe siècle[22], avant que la maison forte féodale soit édifiée en marge de la cour. Au Xe siècle, le vicomte du Vellay Armand de Polignac et sa femme Berthilde (de Chanteuge?), également maître de la cour de Fontannes, profitent des revenues de cette terre pour l’exercice de leur charge vicomtale[23]. cependant, sans que cela ne soit prouvé par l'archéologie, quelques vestiges du donjon pourrait faire remonter sa construction aux Xe-XIe siècle et peuvent se rattacher à un premier état de construction.
    Il faut attendre Le XIIIe siècle pour que le château et sa forteresse apparaissent clairement dans les textes comme un fief comtal. Il est dépendant du chapitre de Brioude et fut "concédé" aux d'Auzon. Il en est fait mention pour la première fois en 1206 par le comte de Clermont[24]. Son histoire accompagne cette famille féodale qui tiendra le gros bourg et son château jusqu’à la fin du XIIIe siècle. Viendra la puissante famille de Montorrin qui avec les Polignac ensuite, hériteront de la châtellenie alzonienne et des hautes murailles de Rilhac
    Les vestiges de l'enceinte actuelle datent du XIIe - XIIIe siècle. Les fortifications et la basse-cour sont renforcées à la fin du Moyen Âge. Les matériaux de construction sont en partie composés de galets de l'Allier ainsi que de basalte. L'évolution des bouches à feu est typique de l'époque des guerres de religion.

    Les riches terriers du domaine regroupait Lubière, Bergoide, Ouillandre, Le Monteil, Pont-Servier.
    En 1729, les Chalet de Rochemonteix achètent Rilhac et le transmettent aux Domangeville. Cette dernière acquisition amènera le château à la ruine.

    Fin 2016, une partie du batiment, en cours de restauration est mise en vente pour 96.000 euros[25]

    Personnalités liées à la commune

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    • Louis-Marcel Gauthier (1903-1938) : enfant de Vergongheon, il fit partie de l'équipage du « Croix-du-Sud » qui était l'un des trois avions à avoir traversé l'Atlantique Sud, soit 19 767 km en 127 h 57 min. Le record du monde de distance en hydravion était battu. Louis-Marcel Gauthier fut décoré de la Légion d'honneur. Une rue porte son nom à Vergongheon.
    • Jean Pomel (1881-1966) : maire de 1935 à 1965 (interrompu entre 1941 et 1945 par l'occupation allemande et le régime de Vichy), il fut à l'origine d'un grand nombre d'améliorations dans la commune (construction d'école et de HLM, distribution de l'eau du Cézallier, réfection du réseau électrique...). La rue reliant Vergongheon à Arvant porte son nom.
    • Auzon de Montravel.
    • Alix de Lachapelle d’Apchier (1871-1954), ayant recueilli la littérature orale de l'Auvergne (comme Henri Pourrat), elle est l'auteur de nombreux contes[26].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Brassac-les-Mines », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Document Monographie du patronyme Saby, complément au document de 2013, de Claude-Alain Saby, page 11.
    12. Livre Histoire du Velay, d'Albert Boudon-Leshermes, édition année 1930.
    13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2.
    14. Dictionnaire topographique de la France : département de la Haute-Loire, Ministre de l'instruction publique et des beaux-arts. Imprimerie nationale, , 444 p. (lire en ligne).
    15. cartulaire de Sauxillanges, no 679
    16. Spicilegium en latin « action de glaner » traduisible par Spicilège : un recueil de notes, de documents, de textes. Synonyme d'anthologie.
    17. « Jean-Paul Pastourel, réélu maire de Vergongheon (Haute-Loire) », sur La Montagne, (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. 817, In aice Brivatensi, in cultura Ruillacensi, Cartulaire de Brioude, Ch. 252
    23. Christian Lauranson-Rosaz, L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIIIe au XIe siècle La fin du monde antique ? Les Cahiers de la Haute-Loire - Le Puy-en-Velay, 1987
    24. P. Chazaud,« Un serment féodal », dans Tablettes historiques du Velay, 1878, vol. 3, p. 80-81.
    25. « Maison Médiévale à vendre en France », sur www.chateauxpourtous.fr (consulté le ).
    26. Colette Rouchouse et Bernard Chouvier, Alix de Lachapelle d’Apchier (1871-1954), une conteuse brivadoise et son œuvre : in Cahiers de la Haute-Loire 2021, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
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