Tota pulchra es Maria

La Tota pulchra es, Maria est une prière catholique dédiée à la Vierge Marie. C'est l'incipit de la formule latine qui signifie Tu es toute belle, Marie en français. Le chant était pratiqué dans la tradition des franciscains. Cette prière fut promue, à la suite de la proclamation du pape Pie IX en faveur du dogme de l'Immaculée Conception, déclarée le 8 décembre 1854[1].


Titre :
Tota pulchra es, Maria (incipit)

Titre en français :
Tu es toute belle, Marie

Usage liturgique (fête) :
Immaculée Conception

Usage traditionnel :
chez les franciscains

Manuscrit le plus ancien :
1645 (manuscrit franciscain de Zadar)

Publication la plus ancienne :
1657 (Lyon)

Lieu et date de composition :
inconnus

Auteur :
inconnu ou anonyme


Image :
statue de l'église de Michelau.

Si celle-ci souligne la beauté de la Vierge Marie, son sujet est la pureté et la sainteté de la Vierge Marie. Cette idée de pureté de Marie peut associer à celle de la prédestination éternelle à la Mère de Dieu, qui est comparable à celle de Jésus-Christ[2].

La première strophe est un texte biblique issu du Cantique des Cantiques et qui inspira une strophe de l'O Sanctissima ajoutée au XIXe siècle. En outre, il s'agit d'un texte officiel du rite romain.

Texte

latin français texte issu de

Tota pulchra es, Maria.
Et macula originalis non est in te.
Tu gloria Jérusalem. Tu lætitia Israel.
Tu honorificentia populi nostri[3].
Tu advocata peccatorum.
O Maria. Virgo prudentissima.
Virgo clementissima. Ora pro nobis.
Intercede pro nobis ad Dominum Jesum Christum[4],[5].

Tu es toute belle, Marie.
Et la faute originelle n'est point en toi.
Toi qui es la gloire de Jérusalem, la joie d'Israël.
Toi qui es l'honneur de notre peuple.
Toi l'avocate des pécheurs.
Ô Marie, Vierge très prudente.
Vierge très clémente. Prie pour nous
Intercède pour nous au Seigneur Jésus-Christ[4].

Cantique des Cantiques : IV, 7

Livre de Judith : XV, 10




Issus de la Bible, les deux premiers versets, Tota pulchra et Tu gloria, sont officiels dans le rite romain depuis 1476, d'abord en faveur de l'office, puis pour la messe de l'Immaculée Conception . Il s'agit d'un verset du Cantique des Cantiques (IV, 7) hormis le terme Maria et d'un du Livre de Judith (XV, 10)[3],[4].

Il ne faut pas confondre avec un simple extrait de ce cantique, Tota pulchra es, amica mea, et macula non est ne. Plusieurs compositions musicales, celle de Charles Gounod par exemple, sont d'après le texte de Cantique, même si l'utilisation est réservée à la Vierge Marie.

Historique

Origine

Dans le fonds ancien du chant grégorien, le texte était enregistré singulièrement issu du Cantique des Cantiques . Cette version Tota pulchra es anima mea était réservée, en général, au 15 août, fête de l'Assomption, et au 8 septembre, Nativité de Marie[6]. Le chant se trouve dans des manuscrits assez anciens, par exemple, Antiphonaire de Hartker mais sans doute une ajoute du XIIIe siècle.

Quant au texte Tota pulchra es, Maria, l'origine exacte reste encore floue. L'auteur n'est pas connu, tout comme de nombreux chants anciens. Auparavant, celui-ci était attribué au XVIe siècle [7]. L'attribution au XIVe siècle est de nos jours assez fréquente (par exemple Pie Raymond Régamey, 1962[8]), mais sans indice concret.

Texte peu étudié, encore faut-il des recherches scientifiques pour identifier l'origine.

Origine théologique

Il est vraisemblable que le texte actuellement utilisé fut établi dans le contexte théologique et non liturgique. Car c'était exactement au XIVe siècle que le premier verset avait été lié au dogme de l'Immaculée Conception. Et c'est la raison pour laquelle le chant est réservé, à la différence de la tradition grégorienne, à la fête de l'Immaculée Conception, le 8 décembre.

Il s'agissait du dit procès de Jean de Montson. En 1386, ce dominicain originaire du royaume d'Aragon contesta à Paris, publiquement, la conviction de l'Immaculée Conception de Sainte Marie, en enseignant que cette dernière serait née avec le péché originel. Cela provoqua une grosse dispute théologique[9],[N 1]. La querelle fut finie par la défense de la conviction, grâce à de nombreux religieux mobilisés. L'un des franciscains espagnols Jean Vital dénonça son sermon Tota pulchra es, amica mea et macula non est in te, qui aurait été présenté devant le roi Charles VI[10],[N 2].

La chapelle royale sous Charles VI commença en conséquence la célébration de l'Immaculée Conception, sans doute à partir du 8 décembre 1389[11]. Or, le texte reste inconnu. Et il est probable que, plus tard, le terme amica mea fut remplacé par Maria, afin de préciser cette conviction. Une autre hypothèse, c'est que les franciscains diffusèrent ce chant à la suite de cet événement, ce qui reste à confirmer. Mais, par exemple, un manuscrit franciscain corse du XVIIe siècle contenait le chant Tota pulchra es, Maria[12] (voir aussi ci-dessous, manuscrit de Zadar). Tels sont ceux qui se commencèrent à la fin du XIVe siècle.

Intervention de Sixte IV

L'histoire raconte que le conflit entre les dominicains et les franciscains se continuait, quoiquie le 36e session du concile de Bâle, tenue le 17 septembre 1439[2], ait déclaré que la doctrine de l'Immaculée Conception de la Sainte Vierge est pieuse, conforme au culte de l'Église catholique, à la foi catholique, à la raison et à l'écriture sainte[13]. À la suite de la propagande du dominicain Vincenzo Bandello contre la doctrine, le pape franciscain Sixte IV († 1484) fut obligé d'intervenir en interdisant les excommunications réciproques entre les deux ordres[14] (bulle pontificale Grave nimis, révisée plus tard en 1482[2]). Puis, le protonotaire apostolique Léonard Nogarole, franciscain, demanda au pape d'autoriser l'office et la messe de l'Immaculée Conception. Sixte IV donna son approbation le 27 février 1476 avec sa constitution Cum praeexcelsa en faveur de l'Église universelle[2]. Et dans cet office, fut inseré le verset Tota pulchra es, Maria, et originalis ↔ macula non est in te[15].

  • Extrait de l'office de l'Immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Marie (rédigé par Léonard Nogarole, approbation de Sixte IV en 1476) :
Incipit officium Immaculatæ Conceptionis Virginis Mariæ
In Primis Vesperis.

Sicut lilium inter spinas, sic amica mea inter filias Adæ. Alleluia.

Tota pulchra es, Maria, et originalis macula non est in te. Alleluia.

Tu gloria Jerusalem, tu lætitia Israel, tu honorificentia populi nostri. Alleluia.

Immaculata Conceptio est hodie Sanctæ Mariæ Virginis. Alleluia.

Oratio : Deus, qui per Immaculatam Virginis Conceptionem dignum Filio tuo etc[16].

Dans ce texte de l'office, Léonard Nogarole employait tout à fait le terme Maria. Il s'agit du remplacement le plus ancien du mot amica mea. Ces premières vêpres, qui se commencent avec le verset II, 2 de Cantique des Cantiques[17], annonçaient le texte de l'antienne Tota pulchra es. On peut considérer qu'il y a trois possibilités hypothétiques :

  1. L'office et la prière actuelle seraient, tous les deux, issus d'un texte inconnu ou perdu.
  2. Cet office serait l'origine de la prière actuelle.
  3. Au contraire, la prière serait plus ancienne que le texte de l'office.

Chant en alternance

Abbaye franciscaine Saint-François-d'Assise à Zadar, qui conserve un manuscrit de Tota pulchra es Maria, daté du XVIIe siècle[18]. À cette époque-là, la Croatie était étroitement liée à l'Italie, notamment à Venise.

Il est assez possible que l'antienne Tota pulchra es Maria était, à l'origine, exécutée par le double-chœur et en alternance[19],[N 3]. Un manuscrit retrouvé et copié jadis à un monastère franciscain de Zadar[N 4] présente cette caractéristique[18] (manuscrit de frère franciscain Divnić de Zadar, 1645). Celui-ci est une partition en quatre lignes et en carrés[20],[18], donc en monodie.

Tota pulchra es Maria.
Tota pulchra es Maria.
Et macula originalis non est in te.
Et macula originalis non est in te.
Tu gloria Jerusalem.
Tu lætitia Israel.
Tu honorificentta populi nostri.
Tu advocata peccatorum.
O Maria.
O Maria.
Virgo prudentissima.
Mater clementissima.
Ora pro nobis.
Intercede pro nobis ad Dominum Jesum Christum.
Alleluia, alleluia.

Tradition des franciscains

Quelle que soit l'origine de ce texte, les publications indiquent que c'était la tradition des franciscains. Ainsi, cette alternance était respectée auprès du Tiers-Ordre franciscain. Sa Séraphique règle à reciter, publiée en 1863, contenait cette prière, en tant qu'antienne après l'office de la Sainte Marie, dont la pratique était demandé lors des complies et chaque jour. Il s'agissait de l'alternance entre le verset (V) et le répons (R) [N 5], tout comme le manuscrit de Zadar.

Le texte connaissait deux versets supplémentaires :

verset répons

In conceptione tua Virgo immaculata fuisti.

Dans ta conception, ô Vierge,
tu as été immaculée
.

Ora pro nobis Patrem, cujus Filium peperisti.

Prie pour nous Dieu le Père,
qui t'a choisie pour la Mère de son Fils.

De nombreux livres, sortis au XIXe siècle, contenaient le même texte, ce qui témoignait l'évolution de l'enthousiasme en faveur de Notre Dame de l'Immaculée Conception. La Tota pulchra es devint une prière universelle.

Ce texte avait été établi plus tôt. La publication remonte au XVIIe siècle. Le Rituel ou cérémonial, à l'usage des monastères de Sainte Cécile, qui avait été publié à Lyon en 1657, précisait qu'il s'agissait du chant qui pouvait remplacer la bénédiction du soir [N 6]. La publication au XVIIe siècle n'était pas nombreuse tandis que dans les archives en ligne, il n'y a pas de publication du XVIe siècle.

Par ailleurs, une forte uniformité de texte suggère que la prière était officielle auprès de cet ordre. Or, aucune approbation par le supérieur n'est connue.

Composition en polyphonie

À la Renaissance, la plupart des œuvres en polyphonie de Tot pulchra es sont, en fait, du texte du Cantique des Cantiques. Francisco Guerrero († 1599) composa son œuvre à six voix, avec le nom de Maria . Comme il s'agissait simplement des versets du Cantique, IV, 7 - 9, à partir de Tota pulchra es, la particularité de Guerrero n'était autre que ce titre de Marie. Cette pièce suggère que le texte des franciscains au-dessus n'était pas encore habituel à l'époque de sa composition, au XVIe siècle.

Toutes les sources suggèrent que le chant soit finalisé, ou retrouvé dans un document ancien, au XVIIe siècle ou dans le siècle précédant.

Dogme de l'Immaculée Conception

Le conflit entre les dominicains et les franciscains était tellement fort que le dogme de l'Immaculée Conception n'eut pas lieu, jusqu'à ce que le pape Pie IX l'officialise en 1854. Cependant, au début du XIXe siècle, l'utilisation de texte avec le terme Maria était déjà universelle. Ainsi, un bréviaire sorti à Lyon, Bréviaire à l'usage des religieuses hospitalières de saint Augustin (1820), contenait cette hymne, en usage de prédication. Mais le texte était inclus dans l'incipit Ave, filia Dei Patris . Il faut remarquer qu'il s'agissait maintenant d'un livre destiné à l'ordre de Saint Augustin.

Aussitôt le dogme déclaré, l'hymne est dorénavant préférée pour la composition musicale. En 1855, un maître de chapelle à Bruxelles, Venance Van Huffel, dédia son œuvre tant en honneur de l'Immaculée Conception qu'en hommage au pape Pie IX, qui avait fait officialiser ce dogme.

Il est à noter que, cette fois-ci, le premier verset Tota pulchra es, Maria, et macula originalis non est in te fut choisi pour la messe de l'Immaculée Conception, en tant que verset de l'alléluia qui a une fonction plus importante, puisqu'il s'agit d'un chant juste avant l'Évangile [21]. À la différence de l'office de Sixte IV, celui de Pie IX employait au contraire le texte du Cantique Tota pulchra es, amica mea[22].

En résumé, ce chant franciscain ne fut jamais formel dans le rite romain alors que sa partie biblique (deux premiers versets) est toujours officielle.

Usage liturgique

Depuis 1476, le premier verset de la prière est formellement en usage de la célébration de l'Immaculée Conception.

Ce premier verset Tota pulchra es, Maria, et macula originalis non est in te reste, dans le Calendarium Concilii Vatican II, le verset alléluiatique de la messe. Celui-ci est réservé à la fête de Beatæ Mariæ Virginis de Lourdes (le 11 février, Première Apparition) ainsi qu'à celle de l'Immaculée Conception (le 8 décembre)[23].

Mise en musique

À la Renaissance

Musique classique

Musique contemporaine

  • Maurice Duruflé (1902 - † 1986) : motet pour chœur, dans le recueil Quatre motets sur des thèmes grégoriens, op. 10, n° 2 (1960)[31]

Composition selon le Cantique des Cantiques

Ce sont des compositions musicales d'après le texte Tota pulchra es, amica mea, et macula non est ne, et non celles qui concernent :
Gaspar van Weerbeke, Heinrich Isaac, Giovanni Pierluigi da Palestrina, André Campra, Benedetto Giacomo Marcello, Charles Gounod et le reste.

Discographie

  • Anton Bruckner, Tota pulchra es, WAB46
    • Ludwig Berberich avec le Münchner Domchor, 1929 (78 tours Polydor/Grammophon 27119) enregistré la première fois en 1929
    • Eugen Jochum, Chœur et Orchestre de la Radio bavaroise (24-, LP DG 139134/5 / CD 457 743-2) (OCLC 220301566 et 9964287)
    • Hans Zanotelli, Philharmonia vocal-ensemble de Stuttgart - Anton Bruckner, Motets latins (1979, Calig CAL 50477) (OCLC 990792048)
    • Matthew Best, Corydon Singers, Bruckner, Motets (1-, Hyperion CDA66062) (OCLC 911785158)
    • Elmar Hausmann, Capella Vocale St. Aposteln de Cologne, Heinz Heidbüchel, ténor - Missa solemnis in B, Motetten (, Aulos AUL 53 569) (OCLC 70353516)
    • Wolfgang Schäfer, Ensemble Vocal de Fribourg, Hans Peter Blochwitz, ténor - Anton Bruckner, Motetten (1984, Christophorus Records 74 501) (OCLC 31849629)
    • Herbert Böck, Concentus Vocalis Wien - Bruckner, Motets ; Distler, Totentanz (1988, Koch-Records/Schwann 317 008) (OCLC 42528518 et 315913243)
    • Wolfgang Mayrhofer, Linzer Jeunesse Chor, Tota pulchra – CD édité par la chorale, 2005
    • Michael Stenov, Cantores Carmeli, Benefizkonzert Karmelitenkirche Linz - CD/DVD édité par la chorale, 2006
    • Erwin Ortner, Arnold Schoenberg Chor, Anton Bruckner, Tantum ergo - CD : ASC Edition 3, édité par la chorale, 2008

Partition en monodie

Le musicologue Henri de Villiers présente, dans son article de la Schola Sainte Cécile, une notation publiée en 1923 sous l'autorité . Dans la publication, cette mélodie du premier mode était affectée au XIVe siècle. Néanmoins, comme celle du texte, son origine reste floue. D'une part, la mélodie ne ressemble pas à celui du chant grégorien [N 7]. Surtout, il n'est pas normal que la notation emploie le symbole 𝄮 , qui n'existait pas avant la musique contemporaine[32].

Voir aussi

Liens externes

Site du Vatican

  • Angélus de saint Jean-Paul II, le 8 décembre 2003 :
  • Angélus de saint Jean-Paul II, le 8 décembre 2004 :

Listes

  • Biographie avant 1960 :

Notes

  1. La conviction de l'Immaculée Conception était issue de l'Angleterre et par conséquent introduite en Normandie où la fête du 8 décembre était pratiquée à partir du XIe siècle. Or, saint Bernard de Clairvaux et saint Thomas d'Aquin n'étaient pas d'accord. D'où, ce conflit. (Françoise Thelamon, Marie et la Fête aux Normands, 2011 )
  2. Il est à noter que ce sermon était affecté depuis longtemps à Jean de Gerson. Or, les études récentes identifièrent qu'il s'agit de l'œuvre de Jean Vital.
  3. Il est à noter que cette forme se trouve très souvent dans le rite byzantin ou le rite romain issu du byzantin tel le Trisagion. Or, aucune étude ne mentionne ce lien hypothétique.
  4. Ce monastère est l'abbaye franciscaine Saint-François d'Assise de Zadar , car saint François d'Assise aurait visité Zadar.
  5. Le même texte se trouve dans le Petit manuel de dévotion au thaumaturge des frères mineurs Saint Antoine de Padoue (Lyon, 1876), qui était placée dans la rubrique Prières extraites du bréviaire franciscain
  6. Un livre publié à Toulouse en 1691 le présentait comme Antienne de l'Immaculée Conception qui se chante tous les jours dans l'Ordre de S. François .
  7. Le manuscrit AM signifie Antiphonale monasticum de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Références

  1. Site du Vatican , le 8 décembre 1854
  2. Martina Wehrli-Johns, L'Immaculée Conception après le concile de Bâle dans les provinces dominicains et franciscains de Teutonie et de Saxe, 2012
  3. Académie de chant grégorien (Belgique)
  4. Dictionnaire encyclopédique de Marie, p. 3484, 2015
  5. Manuel paroissial à l'usage de l'église Notre-Dame de Senlis, p. 92, 1847
  6. Université de Ratisbonne
  7. Hubert Du Manoir, Maria, tome V, p. 817, 1961
  8. Francis Gag, L'espace spirituel, p. 21, 2007
  9. Georges Bourgin, Notice sur le manuscrit latin 870 de la reine Christine, p. 547- 548, note n° 1, 1904
  10. Xavier de la Selle, La cour de Charles VI, lieu de vie religieuse, p. 64, note n° 26 et 27, 2019  ; Françoise Thelamon, Marie et la Fête aux Normands, p. 240, 2011
  11. Louis Archon, Histoire ecclésiastique de la Chapelle des rois de France, p. 307, 1711
  12. Notice Bnf  ; Harmonia Mundi Tota pulchra es Maria
  13. Adolphe Charles Peltier, Dictionnaire universel et complet des conciles, p. 290, 1843
  14. Philippe Barbarin (éd.), Dictionnaire encyclopédique de Marie, p. 1576, 2015
  15. Pierre-Louis Parisis, Démonstration de l'Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, mère de Dieu, p. 52,
  16. Thomas-Marie-Joseph Gousset, La croyance generale et constante de l'Église touchant l'Immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Maris, p. 800, 1855
  17. Académie de chant grégorien
  18. Brochure du disque DALMATICA from oral to written transmission : chants of the Adriatic, p. 8 et 24 (texte), Outhere Music France et Fondation Royaumont, 2016
  19. Henri de Villiers (Schola Sainte Cécile), Tota pulchra es, Maria - antienne à la Vierge du XIVe siècle, 2015
  20. Hana Breko Kustura, Project Croatian musical and liturgical chant codies, p. 10, 2017
  21. Assemblée générale des Catholiques en Belgique, p. 593, 1865
  22. Thomas-Marie-Joseph Gousset, ibid, p. 802
  23. Académie de chant grégorien (Belgique)
  24. Notice CMBV
  25. Le Guide musical, 1855, p. 168
  26. Notice Bnf  ; Journal de l'imprimerie et de la librairie en Belgique, première année, p. 68, 1854
  27. Notice Bnf
  28. Notice Bnf
  29. Notice Bnf
  30. Notice Bnf
  31. Notice bnf
  32. Cette anormalité est aussi constatée dans une image de laquelle l'authenticité du manuscrit n'est pas fiable ni l'autographe (MCM = 1900 ?).
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