Tinténiac
Tinténiac est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.
Tinténiac | |||||
![]() L'église de la Sainte-Trinité. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bretagne Romantique | ||||
Maire Mandat |
Christian Toczé 2020-2026 |
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Code postal | 35190 | ||||
Code commune | 35337 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tinténiacois | ||||
Population municipale |
3 704 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 158 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 19′ 44″ nord, 1° 50′ 05″ ouest | ||||
Altitude | Min. 31 m Max. 90 m |
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Superficie | 23,40 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Tinténiac (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Combourg | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.tinteniac.fr/ | ||||
En 2018, avec 3 704 habitants[Note 1], elle est la 69e commune la plus peuplée d’Ille-et-Vilaine et la 207e de Bretagne[1].
Géographie
Localisation
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La ville de Tinténiac est située le long de la route nationale 137, à 28 km de Rennes et 43 km de Saint-Malo.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par deux cours d'eau :
- la Donac ;
- le canal d'Ille-et-Rance, dont deux écluses sont situées sur la commune.
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 714,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Tinténiac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tinténiac, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 635 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), prairies (14,1 %), zones urbanisées (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), forêts (1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Elle est attestée sous les formes de Tinteniacum en 1032[25], et de Teinteniac au XVe siècle[réf. nécessaire].
Tinténiac est un toponyme composé de deux éléments : Tinténi-, qui représente peut-être l'anthroponyme gallo-romain Tintinius et -ac, qui est un suffixe usuel généralement noté -acum par les spécialistes[26]. Ce suffixe, qui marque la localisation, puis la propriété, est d'origine celtique (gauloise) -acon et remonterait au celtique commun *-āko qui explique également le brittonique -ogon, à l'origine du gallois -og et du vieux breton -oc, breton moderne -ec (noté -eg dans l'orthographe actuelle). « Le domaine de Tintinius »[25].
L'évolution régulière en *Tintégny ou plutôt *Tinténé dans l'ouest, propre aux pays de langue d'oïl, ne s'est pas effectuée dans ce cas, car la commune était bretonnante au IXe siècle et le -acum [en réalité gallo-roman -ACU] a ainsi évolué en -ac et non en -ay, -é, ou -y comme dans les zones de langue d'oïl. Par contre, le nom de la commune homonyme de Tintigny (Belgique) est conforme à la phonétique d'oïl. Probable homonymie également avec Tintignac, hameau de la Corrèze, dont le -ac est caractéristique de la phonétique occitane.
La commune est appelée Teintenyac en gallo et Tintenieg en breton.
Histoire
Le site de Tinténiac est fréquenté depuis le Néolithique. Des vestiges, dont un abondant mobilier lithique et des céramiques du Néolithique moyen, sont retrouvés lors du tracé de la voie express Rennes-Saint-Malo. Tinteniac est cité au VIe siècle comme « Tendenaco villa… civis Rhedonica » dans la Vie de saint Pair, fondateur de l'abbaye de Sesciacum (aujourd'hui Saint-Pair-sur-Mer, Manche), écrite par Venance Fortunat[28]. Un village carolingien découvert à la Cocherais, a également livrés de nombreuses céramiques.
Ce n'est qu'en 1032 que l'on trouve la première mention officielle de Tinténiac, dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Georges de Rennes. L'église et le village qualifié de « gros bourg », sont alors donnés par le duc de Bretagne Alain III à sa sœur, Adèle, abbesse de Saint-Georges, à l'occasion de la fondation de l'abbaye. L'abbesse rétrocède par la suite une grande partie de son fief.
La seigneurie de Tinténiac passe ensuite, par le jeu des alliances successives, aux Laval, Coligny, Coëtquen et La Motte. Un membre de la branche cadette de cette dernière famille, Vincent de Tinténiac connu comme chevalier de Tinténiac, est l'un des grands noms de la Chouannerie. Il participe à l'organisation du débarquement de Quiberon, le .
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La Révolution française institue la commune de Tinténiac; qui absorbe entre 1790 et 1794 celle de Saint-Méloir-sous-Hédé, également nommé Saint-Méloir-des-Bois[29],[30]. La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795 ; l’anniversaire de la fondation de la République est aussi célébré à partir de 1797[31].
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le , la commune est libérée par le Combat Command A de la 6e division blindée.
La vie économique du bourg, fondée principalement sur l'agriculture jusqu'en 1950, connaît à cette date un nouvel essor, dû à la création d'établissements scolaires et au développement des activités tertiaires, ainsi que de l'industrie, dans les années 1960, avec l'usine de salaisons d'Ille-et-Rance (SIRSA)[32].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Malo du département d'Ille-et-Vilaine . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine .
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Tinténiac. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Combourg.
Intercommunalité
Depuis le , Tinténiac appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[33].
Liste des maires
Jumelages
Redgrave (Grande-Bretagne).
Botesdale (Grande-Bretagne).
Rickinghall (Grande-Bretagne).
Bersenbrück (Allemagne).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2018, la commune comptait 3 704 habitants[Note 7], en augmentation de 9,85 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
- École publique René-Guy-Cadou.
- École Notre-Dame.
- Collège Théophile-Briant[45].
- Collège Saint-Joseph.
- Lycée Bel-Air enseignement technique public.
- Lycée professionnel rural privé.
Sports
- L'USTSD est le club tinténiacois associé avec Saint-Domineuc, comprenant quatre sections sportives : football, volley-ball, basket et badminton.
- Tinténiac Tennis Club.
- Tinténiac-Combourg Handball Club.
- Amicale Cyclo-touriste d'Ille-et-Rance.
- Club du Dragon Vert (Qwan Ki Do).
- Les Archers du Canal.
- Canoë-kayak.
- Courir à Titéniac-Québriac
Manifestations culturelles et festivités
- Festival Tinté Festi'Live (dernière édition en 2015).
- Festival Tinté Art Rue (dernière édition en 2012).
- Festival Les Hivernales.
- Festival Les Jeux divers.
- Les 6 Heures de Tinténiac.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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- La Motte Boutier, motte féodale de 30 m de diamètre très érodée située dans la forêt de Tanouarn, en Tinténiac, juste en limite de la paroisse de Dingé. Ce site semble appartenir à la famille Boutier[Note 8], issue des seigneurs de Combourg et Dol, et qui possédait, à l’époque moderne, de nombreux biens sur le territoire de la paroisse de Dingé. De plus, Thomas, fils de Boutier, concéda le don de Guillaume de Montfort dans la foresta de Tanouarn et Hubert Boutier céda ce qu’il avait sur la Haie Pleebosq en 1223, nom donné par le cadastre de 1836 à la parcelle où se situe la motte nommée le Bois de la Plesse. La seigneurie de la Motte Boutier est citée à la fin du XIVe siècle[46].
- Dans le bourg, plusieurs maisons du XVe siècle, XVIe et XVIIe siècles : manoir de la Grand Cour (rue des Dames) ; hôtel de Mélesse ; hôtel Préciaux Des Cours ; grenier à sel (sur les bords du canal d'Ille-et-Rance).
- Manoir de la Besnelais (XVIe – XVIIe siècles).
- Canal d'Ille-et-Rance ; écluses et maisons éclusières (Tinténiac et la Moucherie).
- Musée de l'Outil et des Métiers[47].
- Prieuré Notre-Dame[48].
- Église de la Sainte-Trinité : église paroissiale (1908), construite sur les plans d'Arthur Regnault.
- Chapiteau de l'ancienne église (début XIVe siècle).
- Chapelle du prieuré : reste de l'ancienne église (XVe siècle). Cette chapelle du transept nord est l'unique partie de l'ancienne église qui a été modifié en 1444. Aujourd'hui cette chapelle abrite le retable attribué à Tugal Caris.
Personnalités liées à la commune
- En 1351, le seigneur Jean de Tinténiac s'illustre dans le combat des Trente, qui a lieu à Mi-Voie près de Josselin. Sa femme Jeanne de Combourg, lui donne une seule fille, Isabeau de Tinténiac. Celle-ci en épousant Jean de Laval-Châtillon, fait entrer la seigneurie dans la famille de Laval. De cette nouvelle union naît Jeanne de Laval qui devient, le , la seconde épouse de Bertrand Du Guesclin.
- Bertrand Du Guesclin (1320-1380) connétable de France, seigneur de Montmuran et de Tinténiac, il épouse en secondes noces Jeanne de Laval, dame de Tinténiac.
- Gaspard IV De Coligny (1620-1649), maréchal de France, seigneur de Montmuran et de Tinténiac, pair de France (1648), a offert la porte des Morts (église de Tinténiac).
- Eugène Durand, né à Tinténiac le et mort à Paris le , agrégé en droit et homme politique français. Il fut sous-secrétaire d'État à la présidence du Conseil, à l'Instruction publique et des Beaux-Arts de 1883 à 1885 dans le deuxième gouvernement de Jules Ferry.
Héraldique
![]() |
Blasonnement :
D’or à la jumelle d’azur, au bâton de gueules brochant sur le tout, à la bordure d’hermine. |
En 1384, figure parmi la noblesse de robe française[49][pas clair].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site municipal
- « Dossier complet : Commune de Tinténiac (35337) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Inventaire préliminaire du conseil régional
Notes et références
Notes
- Population municipale 2018, légale en 2021.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Les descendants de la famille Boutier auraient dû normalement s'appeler Le Chat. Ce fut Thomas filius Buterus Catus qui en décida autrement en se faisant appeler Thomas Boutier.
Références
- « Populations 2021 : quel est le rang de votre commune dans le top/flop breton ? », Le Télégramme, (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tinténiac et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tinténiac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons », Éditions Jean-paul Gisserot (ISBN 2877474828, consulté le ), p. 114-115, sur Google books.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1979.
- « Un week-end chargé pour les footballeurs tinténiacois », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Émile-Aubert Pigeon, Vies des saints du diocèse de Coutances et Avranches, Avranches, 1891, p. 53.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Notice communale - Saint-Méloir-des-Bois », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399 et 401.
- Le Patrimoine des communes de France, Flohic Éditions.
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Les maires de Tinteniac », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Tinténiac : Élection d'un maire », L'Ouest-Éclair, 14 mai 1911 (archives du journal Ouest-France)
- « L'hommage à Roger Rebours, ancien maire : Beaucoup de monde était présent, jeudi, à l'Espace Ille-et-Donac, pour un dernier hommage à Roger Rebours, disparu en début de semaine. », Ouest-France, édition Ille-et-Vilaine, vol. Ouest-France, (ISSN 1285-7688, lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales à Tinténiac. La liste de Louis Rochefort est complète », Ouest-France, édition de Rennes, (lire en ligne, consulté le ) « Louis Rochefort, « bientôt 70 ans », conseiller municipal de la majorité en 1989, puis dans l’opposition en 1995, Louis Rochefort a été élu maire en 2001, réélu en 2008 et c’est à la tête d’une liste sans étiquette qu’il briguera, en mars prochain, un troisième mandat de maire ».
- « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
- « Tinténiac (35190) - Municipales 2014 », sur http://elections.ouest-france.fr (consulté le ).
- « Municipales. À Tinténiac, scrutin serré et victoire de Christian Toczé », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Municipales à Tinténiac. Christian Toczé a été élu maire samedi matin », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Renfermait dans le réfectoire de l'établissement une peinture a fresco Les Amazones de la chouannerie (1955) de Geoffroy Dauvergne (1922-1977) d'après le roman de Théophile Briant (1891-1956) , d'environ 60 m2, dans le cadre du 1% artistique, œuvre disparue (cf. Alain Valtat (préf. René Quillivic, introduction:Mickaël Compagnion), Catalogue Raisonné du Peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), Sceaux, Lévaña (auto-édition), , 483 p. (OCLC 463998037, notice BnF no FRBNF35857851). pp. 359-371.
- Michel Brand’Honneur, Manoirs et château dans le comté de Rennes, Rennes, PUR.
- Site officiel du musée de l'Outil et des Métiers.
- Fiche d'Inventaire préliminaire.
- Quid 2004.
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