Dingé

Dingé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 633 habitants[Note 1].

Dingé

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Bretagne Romantique
Maire
Mandat
Patricia Bénis
2020-2026
Code postal 35440
Code commune 35094
Démographie
Population
municipale
1 633 hab. (2018 en diminution de 2,04 % par rapport à 2013)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 27″ nord, 1° 42′ 58″ ouest
Altitude Min. 54 m
Max. 108 m
Superficie 52,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Combourg
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Dingé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Dingé
Géolocalisation sur la carte : France
Dingé
Géolocalisation sur la carte : France
Dingé
Liens
Site web dinge.fr

    Géographie

    Commune de Haute-Bretagne, Dingé est située entre Rennes et Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, à proximité de Combourg.

    Carte de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 767 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Dingé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,2 %), forêts (28,3 %), terres arables (18,7 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), zones urbanisées (0,7 %), eaux continentales[Note 7] (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Dingiaco en 1080 et en 1122, Dingeum en 1146, Dinge en 1199 et 1453[21],[22].

    Le nom est formé du gaulois din « eau »[source insuffisante][23], mais on ne voit pas comment analyser la mécoupe -giaco > -gé. En outre, *din « eau » est absent des dictionnaires de la langue gauloise.

    Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -(i)acum[24], comme le montrent d'ailleurs les formes anciennes latinisées de 1080 et de 1122 qu'Albert Dauzat ne connaissait pas. En effet, le suffixe -(i)acum a régulièrement abouti à la terminaison , caractéristique de plusieurs centaines de noms de lieux à l'ouest de la France. Alors qu'ailleurs au nord et au centre, la terminaison est plutôt -y.

    Le premier élément Ding- représente pour le même Dauzat, l'anthroponyme latin Dimius, d'où un hypothétique *Dimiacum « propriété de Dimius ». Il rapproche en outre Dingé de Dingy en Savoie, bien qu'il n'en connaissait pas non plus les formes anciennes[24]. Cependant, certaines formes anciennes de Dingy (Dungiacus en 1227) sont effectivement proches de celles de Dingé. On interprète Dingy par *Tinciacum, toponyme basé sur le nom de personne latin Tincius[25], hypothèse également plus satisfaisante pour Dingé.

    Histoire

    La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[26]. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans.

    Durant la première guerre mondiale, le village perd 84 jeunes soldats au front.[27]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dingé appartient à l'arrondissement de Saint-Malo depuis 2017 et au canton de Combourg depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Hédé.

    Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis 2017 par Laurence Maillart-Méhaignerie (MoDem).

    Intercommunalité

    Depuis le , Dingé appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
        Michel François    
    Élu maire en 1912  ? Eugène Papail Républicain Propriétaire
    Chevalier du Mérite agricole
    décembre 1919[29]  ? M. Bataille    
    Maire en 1927  ? Armand Chabot (?-1954) RGR Marchand de bois, résistant[30]
    Conseiller général du canton de Hédé (1945 → 1949)
             
    Maire en 1974 Constant Girouard    
    1984
    (démission)
    André Arribard (1905-2008)   Agriculteur retraité, maire honoraire (1989)
    Chevalier du Mérite agricole
    1984 [31] Jean-Yves Aoustin (1950- ) DVD Agriculteur
    Suppléant du député Yvon Jacob (1993 → 1997)
    Rémy Bourges (1947- ) PS Cadre supérieur retraité
    1er vice-président de la CC Bretagne Romantique
    [32] [33]
    (démission)
    Pierre Girouard (1951- )   Agriculteur retraité
    [34] En cours Patricia Bénis (1963- )   Aide médico-psychologique, ancienne 1re adjointe
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2018, la commune comptait 1 633 habitants[Note 8], en diminution de 2,04 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5381 6251 6471 7631 8271 8291 7571 9021 874
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9471 8922 0322 1082 2142 2492 3382 5112 513
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5142 5072 1081 8011 8101 7571 6531 7041 585
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5121 4361 2591 2681 2651 3271 4721 4931 653
    2017 2018 - - - - - - -
    1 6361 633-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Ancienne motte féodale du Plessis aux Chats vraisemblablement située au lieu-dit la Butte d’Ille et appartenant à la famille Le Chat branche issue de la famille des seigneurs de Combourg et Dol[39].
    • Le château du Plessis-au-Chat (XVIIe siècle). Le premier château date du XIe siècle et est édifié par Haimon Cattus et son père Gimondus. En 1445, est mentionnée l'existence d'un château de bois. L'ancien manoir ou château du Plessis-au-Chat appartient d'abord à la famille Le Chat alias Bouttier ; puis successivement aux familles Plesguen : en 1445 et 1552, Pierre de Plesguen le possède en 1480 ; La Haye en est propriétaire en 1580 et en 1674 ; puis à nouveau la famille Bouttier  branche des seigneurs du Boishamon en 1678 ; Thierry en 1704 ; Fresne, seigneurs de Virel au XVIIIe siècle. Le manoir du Plessix-au-Chat tirait vraisemblablement son nom de la famille Le Chat, premier seigneurs et dont le nom fut changé pour Bouttier à l'époque de Thomas Le Chat surnommé Bouttier[40], puissante famille au XIIe siècle tant à Dingé qu'à Combourg. Les seigneurs du Plessix-au-Chat, qui devaient au seigneur de Combourg une paire de gants blancs à chaque Angevine, fondèrent la chapelle voisine de leur demeure et desservie en 1663 par Julien Mary[41].
    • Le manoir de Hanault ou de Hunault (XVe siècle). Propriété successive des familles Langan en 1441, Plesguen en 1540, de La Haye en 1580 et 1622, et enfin propriété de Julienne le Liepvre, veuve et donataire de Bertrand Bouttier, sieur du Boishamon.
    • Église paroissiale Saint-Symphorien, œuvre néo-romane de Jacques et Jules Mellet[42].
    • Marais des Petits-Vaux[43].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Dingé et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Dingé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. KEROFIS : base de données du service Patrimoine linguistique de l'Office public
    22. « Étymologie et histoire de Dingé », infobretagne (consulté le ).
    23. François Falc'hun, Les noms de lieux celtiques, Volume 1, Page 80.[réf. incomplète].
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 247a.
    25. Henry Suter, « Dingy-Saint-Clair », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
    26. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    27. « Monument à Dingé | Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le )
    28. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
    30. http://memoiredeguerre.free.fr/cvr/prison-vitre.htm
    31. « Élections municipales 2001 », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Municipales à Dingé. Pierre Girouard a été élu maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    33. « Dingé. En désaccord avec ses adjoints, le maire, Pierre Girouard, démissionne », Ouest-France, (lire en ligne).
    34. « Dingé. Patricia Bénis a été élu maire, samedi », Ouest-France, (lire en ligne).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Manoirs et château dans le comté de Rennes. Michel Brand’Honneur, PUR, Rennes
    40. Les descendants de la famille Boutier auraient dû normalement s'appeler Le Chat. Ce fut Thomas filius Buterus Catus qui en décida autrement en se faisant appeler Thomas Boutier.
    41. Chanoine Guillotin de Corson, pouillé de Rennes
    42. « Église paroissiale Saint-Symphorien », notice no IA00130842, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 67.

    Liens externes

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