Sauveterre (Hautes-Pyrénées)
Sauveterre est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Sauveterre.
Sauveterre | |||||
Paysage dans les environs du village de Sauveterre | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Adour Madiran | ||||
Maire Mandat |
Philippe Pirotte 2020-2026 |
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Code postal | 65700 | ||||
Code commune | 65412 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sauveterrois | ||||
Population municipale |
169 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 28′ 32″ nord, 0° 06′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 151 m Max. 246 m |
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Superficie | 10,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tarbes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Sauveterrois.
Géographie
Localisation
La commune de Sauveterre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 6 km de Maubourguet[3], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Maubourguet[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Monfaucon (2,6 km), Auriébat (2,7 km), Saint-Justin (3,7 km), Lafitole (4,1 km), Buzon (4,4 km), Ansost (4,6 km), Barbachen (4,8 km), Sembouès (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Sauveterre fait partie du pays de Rivière-Basse, qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude pour s’orienter vers l’Aquitaine[5].
Paysages et relief
- Localisation de Sauveterre dans le département des Hautes-Pyrénées.
- Vue du village.
Géologie
La superficie de la commune est de 1 038 hectares ; son altitude varie de 151 à 246 mètres[7].
Hydrographie
Le Larté, ruisseau affluent de rive gauche de l’Arros, qui prend sa source sur la commune, la traverse en partie est en direction du département du Gers.
Le ruisseau de l'Estéous (affluent droit de l'Adour) traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec les communes de Lafitole et Maubourguet.
Le canal d'Alaric traverse la commune du sud au nord en partie ouest.
Le ruisseau de Lauzue du canal d'Alaric arrose la commune du sud au nord en direction d’Auriébat.
Climat
Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 1,3 | 2,7 | 5,2 | 8,3 | 11,6 | 14,1 | 13,9 | 11,7 | 8 | 3,6 | 1,3 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 5,3 | 6,1 | 7,8 | 10 | 13,3 | 16,7 | 19,3 | 19 | 17,2 | 13,3 | 8,5 | 5,8 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,9 | 11 | 12,9 | 14,8 | 18,3 | 21,7 | 24,5 | 24 | 22,6 | 18,6 | 13,4 | 10,4 | 16,8 |
Ensoleillement (h) | 108,8 | 118,8 | 155,6 | 157,2 | 181,3 | 191,5 | 215,5 | 196,4 | 194,5 | 164,4 | 124,4 | 104,4 | 1 912,8 |
Précipitations (mm) | 112,8 | 97,5 | 100,2 | 105,7 | 113,6 | 80,7 | 57,3 | 70,3 | 71 | 85,2 | 93 | 112,1 | 1 099,4 |
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[9],[10],[11].
Urbanisme
Typologie
Sauveterre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), forêts (11,1 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 86[18].
Parmi ces logements, 83,6 % sont des résidences principales, 11,7 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par les routes départementales D 5, D 50 et D 31.
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[19] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- de Salva Terra, latin (1256, Trésor des Chartes) ;
- Salvam Terram, latin (1265, procès Bigorre ; 1300, enquête Bigorre) ;
- Saube Terre (ibid.) ;
- De Salvaterra, latin (1342, pouillé de Tarbes ; 1379, procuration Tarbes) ;
- Sauba Terre en Ribera (1429, censier Bigorre) ;
- Sauveterre (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : du gascon sauva tèrra (= terre sauve).
Nom occitan : Sauvatèrra.
Histoire
Comme l'indique son nom, Sauveterre est une « sauveté », c'est-à-dire un village fondé par le pouvoir religieux de l'Église au milieu du XIe siècle. Celui qui vient s'y fixer, est « sauvé », ou définitivement protégé. L'initiative de cette création est due à la puissance de la très proche abbaye de la Casedieu, près de Marciac, qui contrôlait déjà, au XIe siècle, la route d'Arles du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui traverse toujours Sauveterre.
Si l'église a pesé lourd dans l'histoire du village, le problème de sa défense stratégique a compté bien longtemps avant. À l'emplacement du château actuel, a très certainement fonctionné, déjà dès le Ve siècle av. J.-C., une forteresse en terre et en bois, que l'armée conquérante de Jules César baptise « oppidum », et la fortifie elle-même, au Ier siècle de notre ère.
Mille ans après, vers 1050-1100, le premier château médiéval en bois est bâti par un petit seigneur féodal du pays. Sur ce lointain passé, les travaux d'aménagements plus récents seront d'abord une puissante forteresse maçonnée du XIVe siècle, en galets et en pierre dorée du pays. Il en subsiste les deux belles tours rondes d'angle, et les bases de l'actuelle construction.
Tout le site sera enfin aménagé au XVIIIe siècle en manoir résidentiel de qualité, par la puissante famille des Ducs d'Antin, avec la grande façade est, mais aussi de l'élevage de chevaux de selle, de la vigne, un jardin à l'anglaise, etc.
La guerre passe par le château à la fin du mois de mars 1814. L'armée d'Espagne de Napoléon Ier, et du maréchal Soult fait retraite vers Toulouse, bousculée par le duc de Wellington. S'il n'est pas passé lui-même au château, mais à cinq kilomètres, l'état major de sa cavalerie y a conduit une action décisive avec ses meilleurs officiers, dont plusieurs seront à Waterloo un an après.
Propos de Guy Cassagnet, historien
Monographie
"Si l'on a sous les yeux la section de Castelnau Rivière-Basse n°228 de la carte du Dépôt de la guerre, les regards sont frappés par la belle plaine qui la divise du sud au nord en deux parties à peu près égales ; de part et d'autre, les coteaux du Béarn et les collines d'Armagnac.
La partie orientale de cette plaine est arrêtée par une suite de coteaux qui viennent expirer à Saint Aunis entre Castelnau et Plaisance, et laisser l'Arros mêler ses eaux à celles de l'Adour. Sur cette crête mamelonnée, au levant et bien en face de Maubourguet, on aperçoit un château d'aspect antique, qui a survécu à son redouté voisin, celui de Lafitole.
Là est Sauveterre, une des 11 communes du canton de Maubourguet, département des Hautes-Pyrénées, la moins considérable de toutes ou peu s'en faut, mais non la moins gracieuse d'aspect. Sa latitude est de 48 grades 31 minutes, graduation primitive 43°, 28' sa longitude de 2 grades 48 minutes, graduation primitive 2°, 14'.
Bornée à l'ouest par les territoires de Maubourguet et de Lafitole, à l'est par celui de Saint-Justin, Gers, au sud par Monfaucon et au nord par Auriébat, notre commune se trouve à égale distance des deux dernières, 3 kilomètres environ, et à 6 kilomètres de Maubourguet. La distance jusqu'à Tarbes, chef lieu d'arrondissement et de département est de 30 kilomètres. D'après les indications consignées au plan cadastral que le géomètre Verdier termina en 1824, la surface totale de la commune, distribuée en six sections, est d'environ 1038 hectares. Trois sont en plaine, A et F au couchant du village, C au levant, et 3 en côte, au centre B, D, E, comprenant vallons et coteaux.
Le sol en est argilo-calcaire dans la côte, argilo-caillouteux à l'ouest et argilo-siliceux à l'est.
Des hauteurs du château, 226 m d'altitude, un panorama de toute beauté s'offre à nos regards. A nos pieds se déroule la magnifique plaine de Bigorre, parsemée de villages et sillonnée par les voies ferrées de Tarbes à Bordeaux et de Vic à Auch-Agen. Il est majestueusement encadré, au midi, par les Pyrénées, dont la vue charme le travailleur de nos collines ; à l'ouest, par les coteaux du Béarn où se dressent l'un au sud-ouest et l'autre au nord-ouest les squelettes des châteaux de Montaner et de Castelnau Rivière-Basse, qui semblent immobiles représentants du passé, protester contre l'activité du présent.
Au nord apparait, imposante, la flèche élancée d'Auriébat et une ravissante perspective vers les Landes ; à l'est la plaine de l'Arros sur laquelle on a une très belle vue de la maison Bacqué - Saint-Martin - la Bïsto. Cette plaine confine aux collines du Gers, couronnées par les villages de Samasan, Saint-Justin, Semboués et Cazaux.
Six constructions exceptées, sises au quartier du Baniou, le gros du village, aux maisons disposées en amphithéâtre se trouve dans une excavation, sorte de fer à cheval dont l'arête la plus relevée, au nord, est parcourue par le chemin classé dit du Poutéou. À l'endroit le plus élevé, voisin de la minson le Bïsto, l'altitude est de 244 m, inférieure de 12 m à celle d'Auriébat, point culminant de la région, mais supérieur de 18 m à celle du château.
Au sud-est de la commune et confinant au territoire de Monfaucon, sont trois mamelons, les Tucos, dont le plus haut à 239 m. Dans notre idiome local, ce nom de Tucos fait image. Entre les deux branches du fer-à-cheval et comme pour fermer le passage de la plaine de l'Adour à celle de l'Arros est un énorme trons de cône, à pente rapide du côté de l'ouest, et dont le versant est descend mollement pour venir expirer au vallon de Laprade, à travers lequel fuit vers l'Arros le ruisseau de Marseillan, déversoir des ravins qui creusent nos coteaux.
À une époque peu éloignée, nos bons vieillards s'en souviennent, de nombreux bosquets de chênes et châtaigniers couronnaient encore les divers sommets, et les récoltes d'alentour étaient rarement endommagées par la grêle, on connaissait à peine le fléau. Depuis que l'appât d'une abondante récolte de vin en a amené le défrichement, notre territoire est continuellement sinistré. À l'appui de cette réflexion, il convient de dire que la forêt du Courrau a été à peine atteinte. La science ne professe-t-elle pas que les plantes polarisent et équilibrent l'atmosphère, pourquoi donc les bois de nos coteaux n'exerceraient ils pas la même influence sur le nuage désastreux?
À l'ouest, rasant la côte, le canal Alaric, plus connu sous le nom de Baniou. Le nom français en rappelle clairement l'origine et les constructeurs. Sorti de l'Adour à Pouzac, ce canal arrose le levant de la Bigorre que les eaux limpides du fleuve ne sauraient atteindre. Après avoir fertilisé de nombreuses prairies sur un parcours de 60 kilomètres, l'Alaric retourne à celui qu'à regret il avait quitté.
Le Baniou dont l'Auzue n'est qu'une déviation est le seul cours d'eau qui alimente Sauveterre ; encore l'avons nous souvent à sec, à la saison des grandes chaleurs. Préciser davantage sur le débit de ce cours d'eau serait nous exposer sans raison à contredire la plupart des collègues qui auront occasion d'en parler et, aussi, de fournir des résultats très erronés, même avec le concours de l'Administration hydraulique.
Des puits particuliers et six fontaines publiques approvisionnent abondamment les ménages. Les viviers et les citernes fournissent de quoi abreuver les bestiaux. Parmi les fontaines citées, il en est une, lou puit dou presbytère, dont les eaux, légèrement séléniteuses, cuisent mal les légumes, le savon s'y forme en grumeaux. N'y aurait-il pas là un indice certain de la présence de couches gypseuses dans le sous-sol du voisinage ?
Au sud et au nord du plateau de Sauveterre, l'affaissement du sol forme trois gorges où les courants atmosphériques se font plus vivement sentir que partout ailleurs, et par suite, les pluies sont assez fréquentes sur notre territoire. La température y est néanmoins assez égale, froide sur les sommets et douce sur les versants.
La salubrité ne laisse rien à désirer, aussi les habitants sont ils robustes et rarement atteints de maladies épidémiques. Ils sont d'une longévité remarquable : on y trouve bon nombre de septuagénaires et même quelques octogénaires."Cadastre napoléonien de Sauveterre
Le plan cadastral napoléonien de Sauveterre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[20].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[21],[22].
Liste des maires
Historique administratif
Sénéchaussée de Lectoure, élection d'Armagnac, pays de Rivière-Basse, canton de Maubourguet (depuis 1790)[23].
Intercommunalité
Sauveterre appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.
Services publics juridictions
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26]. En 2018, la commune comptait 169 habitants[Note 4], en augmentation de 4,97 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[29].
Économie
L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture (céréales : maïs, blé…).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jacques de Sauveterre.
- Lavoir.
- Le château de Sauveterre du XVIe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Joseph Dulac (1827-1897), botaniste, auteur d'une « Flore du département des Hautes-Pyrénées », fut curé à Sauveterre.
Héraldique
Blasonnement :
D'or à la bande de gueules chargée de trois coquilles du champ et accompagnée d'une clef de sable et en pointe d'une épée abaissée de même[30].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie). |
Signification des symboles :
- les 3 coquilles saint Jacques symbolisent le Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ;
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Sauveterre sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Sauveterre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sauveterre et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sauveterre et Maubourguet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Sauveterre », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 362-363.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sauveterre
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sauveterre en 1824
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Sauveterre (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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