Sausheim

Sausheim (prononcé /saʊsaɪm/ ou /sosajm/) est une commune française de la banlieue de Mulhouse[1] située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Sausheim

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Guy Omeyer
2020-2026
Code postal 68390
Code commune 68300
Démographie
Gentilé Sausheimois, Sausheimoises
Population
municipale
5 489 hab. (2018 )
Densité 325 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 47′ 15″ nord, 7° 22′ 26″ est
Altitude 230 m
Min. 226 m
Max. 236 m
Superficie 16,91 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rixheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Sausheim
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Sausheim
Géolocalisation sur la carte : France
Sausheim
Géolocalisation sur la carte : France
Sausheim
Liens
Site web http://www.ville-sausheim.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et est membre de Mulhouse Alsace Agglomération.

    Géographie

    La ville de Sausheim est à la croisée des autoroutes A35 et A36 (croix de la Hardt, au milieu du territoire communal). Elle est incluse dans l'unité urbaine de Mulhouse et se situe à moins de cinq kilomètres de Mulhouse intra-muros. Son ban est traversé par l'Ill, le Quatelbach et le canal du Rhône au Rhin.

    Sausheim est situé au cœur de l'Île Napoléon, site partagé entre les communes de Sausheim, Illzach et Rixheim.

    La forêt de la Hardt, 2e forêt d'Alsace, couvre 4,64 km2 de la superficie de Sausheim. Cette forêt est traversée par l'A35 et l'A36, ainsi que par les CD55 et CD39.

    La surface de la ville est divisée en :

    • 31 % de surface urbanisée ;
    • 30 % de bois et forêts ;
    • 21 % de cours d'eau, réseau autoroutier et routier, jardin, parc ;
    • 18 % d'espaces agricoles.

    La ville est divisée en quatre grandes zones :

    • Le centre-ville (Le Vieux Sausheim) ;
    • Les quartiers nord (Sausheim Oiseaux,Sausheim Muses, Sausheim Fleurs,Sausheim Vergers, Sausheim Hardt) ;
    • Les quartiers sud (Sausheim Parc Sausheim Napoléon, Sausheim Poètes, Sausheim Quartiers Sud, Sausheim Banlieue 89, Sausheim Zone Industrielle Sud) ;
    • Les zones est :
      • Sausheim ZA 201 (Île Napoléon),
      • Sausheim Parc de L'Île (Île Napoléon),
      • Sausheim ZA Espale Autoport-Sud-Alsace (Île Napoléon),
      • Sausheim ZA Jean Monnet (Île Napoléon),
      • Sausheim PSA Peugeot Citroën (2,3 km2),
      • Sausheim Sivom de Mulhouse.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Sausheim
    Kingersheim Baldersheim Baldersheim
    Illzach Ottmarsheim
    Illzach Illzach quartier de Modenheim Illzach quartier de l'Île Napoléon

    Urbanisme

    Typologie

    Sausheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[5] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (39,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (33,4 %), forêts (29,1 %), terres arables (17,3 %), zones urbanisées (11 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), eaux continentales[Note 3] (3,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    La Commune de Sausheim a traversé plusieurs guerres sans avoir à souffrir de dégâts trop importants, exception faite de ceux dus à la Seconde Guerre mondiale.

    Sausheim, village autrichien, resta catholique au moment de la Réforme protestante. Durant la Guerre de Trente Ans, Sausheim fut épargnée par les grands événements militaires mais connut des cantonnements comme celui des troupes impériales en 1620 et des Suédois (1632 - 1634). En 1648, Sausheim passa à la couronne de France.

    Le XIXe siècle est essentiellement marqué par le développement industriel avec la construction de la fabrique « Dollfus Noack » en 1843. Sausheim souffrit peu de la guerre 1914-1918. La commune fut beaucoup plus durement touchée par la Seconde Guerre mondiale. Elle fut détruite à 75 % et libérée seulement le , après la liquidation de la terrible "Poche de Colmar".

    Sausheim put compter sur les habitants de Cusset, dans l'Allier, où une usine mulhousienne avait été déplacée pendant la guerre, usine qui employait plusieurs techniciens sausheimois. Avertis de la détresse des Sausheimois, qui venaient de retrouver leurs maisons détruites ou pillées, les gens de Cusset se mobilisèrent, envoyant couvertures, matelas, vêtements chauds et vivres. De son côté le directeur des Ets Dullfus Noack, M.Brand, a pu mettre en marche une "roulante" de l'armée, distribuant de la nourriture chaude. L'élan de solidarité des Cussettois s'est transformé en longue amitié, toujours vivante.

    Au moment de la catastrophe de l'Amoco-Cadiz, sur les côtes de la Bretagne, la commune de Sausheim et son maire M. Eugène Bader, lançèrent un mouvement d'amitié vers le village de Plounéour-Trez, apportant à cette localité une contribution financière substantielle pour l'aider dans les travaux de réhabilitation de ses plages immenses. De nombreux échanges se sont établis, soutenus par les deux communes, notamment d'écoliers, les jeunes Bretons dans la neige alsacienne, les jeunes Alsaciens à la mer l'été !

    Le , la commune est citée à l'ordre du régiment avec attribution de la Croix de Guerre avec étoile de bronze[12].

    La vie poursuivit son cours et en 1952 la commune avait 1 600 âmes. En 1959, elle passa à 2 199, pour en arriver à 5 000 en 1980.

    Héraldique

    Les armes de Sausheim se blasonnent ainsi :
    « D'argent au gril de sable, la queue en pal vers le chef, soutenant un croissant montant de gueules. »[13]

    Économie

    Sausheim connaît un premier essor industriel avec les usines « Dollfus-Noack ». En 1889, on inaugure un premier atelier de 5 000 m2 qui fut la première entreprise française de textiles techniques[réf. souhaitée]. Quelques années après, un atelier de même grandeur fut construit. Des bureaux d'une surface de 1 000 m2 sont construits en 1911. L'usine emploie 300 ouvriers et 75 cadres. L'usine ferme définitivement ses portes en 1994 après 105 années de production[réf. souhaitée]. Une autre usine a joué un rôle essentiel dans la commune. C'est Zuber-Rieder & CIE qui construit l'usine de l’Île Napoléon, l'usine des Pins, au bord des rives du canal du Rhône au Rhin, rue de la Hardt.

    Au XXe siècle, c'est PSA Peugeot Citroën qui contribue à la mutation de la population de la ville. Sausheim accueille donc la première entreprise d'Alsace avec plus de 9 000 salariés.

    Outre le géant de l'automobile, elle a admis sur son territoire le Centre Routier Autoport Sud-Alsace et Douanier. En 1995, la commune crée la Zone Espale Europe, la ZI Sud, puis la ZA Pôle 201 où se sont implantées des entreprises de toutes les tailles, de l'artisanat aux plus gros employeurs d'Alsace. Elle accueille aussi une partie du centre commercial Carrefour de l'Île Napoléon. Sausheim dispose également de toute une gamme d'hôtels, plus de 500 chambres : Ibis, Mercure, Novotel, Arcotel, Le Roi Soleil, Hôtel restaurant de la Poste, Le Jardin d'Espale. Pour les touristes, la commune dispose également d'un camping « Safary ** » avec 40 emplacements pour caravanes et 170 pour tentes.

    Actuellement, plus de 400 entreprises de toutes sortes sont répertoriées sur le territoire communal.

    Depuis , Sausheim dispose d'une aire d'accueil des gens du voyage réalisée en commun par les communes de Sausheim, d’Illzach et de Rixheim et afin de répondre à leurs obligations légales. D’une capacité de 44 places de caravanes, le site se situe à l'Île Napoléon au bord du CD 39 à Sausheim.

    La commune dispose d'une communauté de brigades de gendarmerie formée avec la brigade d'Ottmarsheim et dont Sausheim est la brigade mère, composée de quatorze agents intervenant sur les communes de Sausheim, Baldersheim, Battenheim, et Ruelisheim, ainsi qu'une police municipale forte de cinq agents. Elle possède également un centre d'incendie et de secours auquel plus de trente sapeurs-pompiers sont rattachés et qui effectue près de 500 interventions par an.

    Environnement

    Sausheim héberge un incinérateur, ainsi qu’une station d’épuration des eaux usées. Après modernisation, la station récupèrera le phosphore des boues (voir Phosphore#Une future pénurie) puis produira du biogaz réinjecté dans le réseau à hauteur de deux millions de mètres cubes par an. Les boues seront incinérées[14].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1983 Eugène Bader[15]    
    mars 1983 mai 2000[16] Jean-Jacques Weber UDF-CDS Journaliste
    Député de la 6e circonscription du Haut-Rhin (1988 → 2000)
    Conseiller général du canton d'Illzach (1982 → 2000)
    Président du conseil général du Haut-Rhin (1988 → 1998)
    juin 2000 2020 Daniel Bux DVD Cadre
    9e vice-président de Mulhouse Alsace Agglomération (2017 → )
    2020 En cours Guy Omeyer DVD Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[17] :

    • total des produits de fonctionnement : 9 655 000 , soit 1 728  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 8 357 000 , soit 1 495  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 3 769 000 , soit 674  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 2 344 000 , soit 419  par habitant ;
    • endettement : 2 913 000 , soit 521  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 5,81 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,38 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 19,26 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 5 489 habitants[Note 4], en augmentation de 0,79 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6306377128839621 1981 1901 3501 318
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 3011 3721 3181 3141 2411 3331 2881 3091 288
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2701 2871 3981 3851 4571 7711 8411 5391 929
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 4473 1564 9404 7374 7485 4705 2995 2805 262
    2013 2018 - - - - - - -
    5 4465 489-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Laurent[22].

    Sausheim est labellisée ville fleurie quatre fleurs.

    Elle offre à ses habitants et à ses visiteurs de multiples prétextes pour se détendre : circuit de promenade en forêt de la Hardt, au square de la bibliothèque, le long des berges de l’Ill et du canal du moulin (Quatelbach), parcours sportif, colline de jeux, skate park…

    L’art de vivre dans la convivialité se décline aussi autour de temps forts animés par les associations locales. La commune dispose de près de 50 associations culturelles et sportives. Elle dispose d'un complexe sportif au sud, du complexe sportif Peugeot avec un circuit automobile de près de 1 km, et de plusieurs salles polyvalentes.

    Depuis peu, la ville de Sausheim dispose d'un nouveau centre culturel,l'Eden. D'une surface utile de près de 1 893 m2, il peut accueillir près d'un millier de personnes assises et deux mille debout. Il propose de nombreuses animations, expositions, concerts, spectacles de danses, pièces de théâtre, thés dansants, conférences, fêtes diverses. Il se trouve sur l'ancien site de l'usine Dollfus & Noack. Un espace destiné à certaines activités est prévu pour les enfants qui fréquenteront le périscolaire ou les centres de loisirs.

    Située non loin de l'Île Napoléon, l'usine d'incinération du Sivom a été achevée en 1999. Elle est dotée d'une technologie et d'équipements de pointe, notamment en matière de protection de l'environnement. Elle permet également de valoriser les ordures ménagères : brûler les déchets libère une énergie qui est valorisée sous forme d'électricité. Celle-ci est utilisée par l'usine elle-même et également par la station d'épuration. Trente-six communes l'utilisent, soit près de 300 000 habitants.

    Au bord du CD201 se trouve un monument napoléonien remarquable, la stèle méridionale,édifiée sur l'ordre du Maréchal Berthier, alors chef d'état-major de Napoléon, d'une base de 19,045 km, dont l'extrémité septentrionale est située à Oberhergheim, destinée à établir des mensurations géodésiques universelles et notamment de la Suisse (1804)[23],[24].

    On peut aussi remarquer un ouvrage d'art au croisement des autoroutes A35 et A36. Il s'agit d'un échangeur à trois niveaux, presque unique en France.

    Également à voir : les fontaines à l’architecture très variée, le moulin[25] à turbine alimenté par la rivière, le square Dollfus-Noack, l'écluse 43.

    Personnalités liées à la commune

    • Roger Hassenforder (1930-2021), né à Sausheim, coureur cycliste français.
    • Jacques Müller (1828-1917), second valet de chambre (valet de jour) de Napoléon III.

    Bibliographie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    13. Archives Départementales du Haut-Rhin
    14. DNA en date du mardi 13 novembre 2018 ; voir page 15 article intitulé « Le premier méthanisateur qui récupère le phosphore ».
    15. « Eugène Bader a été porté en terre », Dernières nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
    16. Condamné à deux ans d'inéligibilité et sur décision du Conseil Constitutionnel, il est déchu de ses fonctions de maire.
    17. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Eglise paroissiale Saint-Laurent », notice no IA00096026, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Stèle géodésique », notice no PA00085672, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. Notice no IM68004353, base Palissy, ministère français de la Culture stèle géodésique dite pyramide de Sausheim
    25. « Moulin à farine, tissage », notice no IA00095968, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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