Sarrance

Sarrance est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sarrance

Sarrance se détachant sur la vallée d'Aspe.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Bruno Jungalas
2020-2026
Code postal 64490
Code commune 64506
Démographie
Gentilé Sarrançais
Population
municipale
163 hab. (2018 )
Densité 3,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 03′ 08″ nord, 0° 36′ 03″ ouest
Altitude Min. 314 m
Max. 1 869 m
Superficie 46,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sarrance
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Sarrance
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrance
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrance

    Le gentilé est Sarrançais.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sarrance se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 50 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 18 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Escot (2,9 km), Lourdios-Ichère (5,1 km), Bedous (5,7 km), Osse-en-Aspe (6,3 km), Lurbe-Saint-Christau (7,0 km), Aydius (7,3 km), Issor (7,4 km), Asasp-Arros (8,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sarrance fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    La commune fait partie de la vallée d'Aspe.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Sarrance.

    La commune est drainée par le gave d'Aspe, l’Arrec de la Poursiouque, l'Aygue Bère, l’Arrec de Gousset, l’Arrec de la Méninère, l'Aulouret, le Gassat, le Soulé, le ruisseau Arric, le ruisseau de Bosdapous, le ruisseau de Bourdiou, le ruisseau de Coucourou, le ruisseau de la Coume, le ruisseau de la Lie, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 59 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 704 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Accous », sur la commune d'Accous, mise en service en 1952[14]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 679,6 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 41 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22],[Carte 2] :

    • le « massif du Montagnon », d'une superficie de 8 694 ha, présentant de nombreux habitats de l'annexe I dont certains sont rares dans les Pyrénées[23] ;
    • le « massif du Layens », d'une superficie de 5 597 ha, un massif de montagne moyenne exploitée par le pastoralisme, qui recèle d’une grande richesse écologique[24] ;
    • « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[25] et une au titre de la « directive Oiseaux »[22],[Carte 3] :
    • l'« Eth Thuron des Aureys », d'une superficie de 2 182 ha, un massif montagneux situé en position avancée sur le piémont des Pyrénées, très favorable aux grands rapaces[26].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6]sont recensées sur la commune[27],[Carte 4] :

    • le « massif calcaire du pic du Trone du roi » (1 258,31 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;
    • le « massif calcaire du pic Roumandares au sommet de Houndarete, bois de la pene d'Escot, bois d'Aran et bois de Gey » (6 133,51 ha), couvrant 5 communes du département[29],
    • le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[30] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[27],[Carte 5] :

    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[31] ;
    • la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Sarrance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,5 %), prairies (10,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,6 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    • le bois d'Aran ;
    • Araut ;
    • le Bourg ;
    • Gey ;
    • Ichère ;
    • Sayquet.

    Toponymie

    Le toponyme Sarrance apparaît sous les formes Sarrancia (Oratorium Beatæ de Sarrancia, 1345[39], titres de Béarn[40]), Sarransce et Nostre-Done de Sarranse (respectivement 1396[39] et 1450[39], notaires de Lucq-de-Béarn[41]).

    Il vient du latin médiéval serrare (fermer), suivi du suffixe -antia et signifie fermeture, rétrécissement, défilé[42].

    Son nom béarnais est Sarrança[43] ou Sarrance[44].

    Le bois d'Aran et Araut sont mentionnés en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[39].

    Histoire

    Lieu de pèlerinage depuis qu'un pâtre du Moyen Âge a trouvé, dans la vallée d'Aspe, une statue de la Vierge. La commune de Sarrance est devenue indépendante de celle de Bedous le 22 mai 1778[39]. Paul Raymond[39] note l'existence d'une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. Marguerite de Navarre (1492-1549) écrivit son Heptaméron (recueil inachevé de contes] à Sarrance.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Jean-Pierre Chourrout-Pourtalet    
    2008 2014 Jean-Pierre Chourrout-Pourtalet    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de cinq structures intercommunales[45] :

    • la communauté de communes de la Vallée d'Aspe ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de télévision d'Oloron - Vallée d'Aspe ;
    • le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe ;
    • le syndicat mixte du Haut-Béarn.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].

    En 2018, la commune comptait 163 habitants[Note 10], en diminution de 10,93 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1089151 0791 1301 2261 2121 2711 2301 206
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1711 1401 008953910868785777753
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    722765815569585602495452342
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    429214224229228233218196170
    2018 - - - - - - - -
    163--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
    La pureté des gaves permit le développement de la pisciculture.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Maisons des XVIIe et XVIIIe siècles (étable, four à pain).
    • Maison de maître du XVIIIe siècle.
    • Fontaine et lavoir du XIXe siècle.
    • Gare sur la ligne Pau-Canfranc, dont le tronçon Oloron-Bedous a été rouvert à la circulation des trains en 2016.

    Patrimoine religieux

    • Monastère de Sarrance, à nouveau actif depuis septembre 2011 avec un prêtre prémontré et sa communauté[réf. nécessaire] :
      • prieuré de chanoines Prémontrés (possession des chanoines de Saint-Jean de La Castelle au moyen-âge[50]), XIe et XIIe siècles, rénové aux XVIIe et XIXe siècles ;
      • cloître à étage du couvent des Prémontrés, contigu à l'église Notre-Dame[51], XVIIe siècle ;
      • chapelle Notre-Dame-de-la-Pierre, fin XVIIIe siècle ;
      • étape de la via Tolosana, nom latin d'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Musée

    • Écomusée de la vallée d'Aspe.

    Cinéma

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Sarrance » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Sarrance », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sarrance », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sarrance et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sarrance et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Sarrance », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Sarrance », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le gave d'Aspe ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Accous - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Sarrance et Accous », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Accous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sarrance et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sarrance », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR7200745 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7200747 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200792 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7212007 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sarrance », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif calcaire du pic du Trone du roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « massif calcaire du pic Roumandares au sommet de Houndarete, bois de la pene d'Escot, bois d'Aran et bois de Gey » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF la « vallée d'Aspe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    39. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    40. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    41. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    42. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, notice BnF no FRBNF35515059), p. 46..
    43. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    44. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    45. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    50. Stéphane Abadie, La circulation des chanoines prémontrés à travers les Pyrénées (xiie-xve siècle) In : Monastères et couvents de montagne : circulation, réseaux, influences au Moyen Âge, Paris, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, (ISBN 9782735508907, DOI 10.4000/books.cths.4887, lire en ligne).
    51. « Eglise de Sarrance à Sarrance », sur monumentum.fr (consulté le ).
    52. « Après le tournage en Béarn l’an dernier, "Le Daim" sera au festival de Cannes », sur La-République-des-Pyrénées, .
    53. Le livre récemment sorti de Gérard Caubet Pays pyrénéens de cols en vallées (p. 58, Rando Éditions, avril 2018) présente le 10 mai 1483 (sic, année du trépas de ce roi, donc 10 mai 1463) sans noter sa source. Le 15 mai 1463 reste plus probable : L. Debaix Louis XI à Sarrancele 15 mai 1463 dans le Bulletin de l'Association des amis de Caubin, n° 28, 1er trimestre, p. 4 et n° 29, 2e, p. 14, puis date citée dans plusieurs revues.
    54. L'année de visitée varie entre 1461 et 1465 selon les documents. Cependant, les parcours de ce roi étaient bien établis avec un grand nombre de lettres expédiées. Si l'on ne peut pas exclure l'année 1462 (le 3 mai à Sauveterre de Béarn), il est plus vraisemblable que le roi visita Sarrance entre les 12 et 22 mai 1463. D'abord, en raison d'un immense incendie à Toulouse, Louis XI traversa exactement cette région. Ensuite, son existence à Sorde-l'Abbaye, à Lescar, à Pau, à Morlaàs et à Tarbes furent bien documentée. Enfin, comme celui-ci n'hésitait pas à effectuer ses déviations en faveur des établissements religieux dédiés à Notre Dame et à Saint Martin, sa visité à Sarrance n'est pas inhabituel. D'ailleurs, l'année 1461 (jusqu'à Pâques 1462 (18 avril) selon le calendrier à l'époque) n'est pas possible, si plusieurs documents mentionnaient cette date. Voir l'article Voyages de Louis XI.
    55. Gustave Bascle de Lagrèze et Ligaran,, Les Pèlerinages des Pyrénées, , 298 p. (ISBN 978-2-335-16856-3, lire en ligne), p. 18.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail des Pyrénées
    • Portail du Béarn
    • Portail des Pyrénées-Atlantiques
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.