Lucq-de-Béarn

Lucq-de-Béarn (en béarnais Luc) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Lucq.

Pour les articles ayant des titres homophones, voir Luc, Lucques et Luke.

Lucq-de-Béarn

Château.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Albert Lasserre-Bisconte
2020-2026
Code postal 64360
Code commune 64359
Démographie
Population
municipale
927 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 18″ nord, 0° 39′ 27″ ouest
Altitude Min. 136 m
Max. 329 m
Superficie 48,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lucq-de-Béarn
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Lucq-de-Béarn
Géolocalisation sur la carte : France
Lucq-de-Béarn
Géolocalisation sur la carte : France
Lucq-de-Béarn

    Le gentilé est Lucquois[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lucq-de-Béarn se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 14 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Saucède (3,0 km), Aren (3,8 km), Poey-d'Oloron (4,5 km), Ogenne-Camptort (4,5 km), Préchacq-Navarrenx (4,9 km), Préchacq-Josbaig (5,0 km), Lay-Lamidou (5,0 km), Geüs-d'Oloron (5,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lucq-de-Béarn fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    OpenStreetMap Limite communale

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Lucq-de-Béarn.

    La commune est drainée par le Laà, l'Auronce, le Geü, le Laüs, le Layoû, un bras du Layoû, le Bounchoun, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 54 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le Laà, d'une longueur totale de 29,5 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Orthez, après avoir traversé 9 communes[9].

    L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Saucède, après avoir traversé 10 communes[10].

    Le Geü, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 5 communes[11].

    Le Laüs, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Navarrenx, après avoir traversé 6 communes[12].

    Le Layoû, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Jasses, après avoir traversé 7 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 231 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monein », sur la commune de Monein, mise en service en 1971[19]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 183,3 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 22 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 13,4 °C pour 1981-2010[24], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[25].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[26],[27]. Un espace protégé est présent sur la commune : les « Graves du Larus », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 17,3 ha[28].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[30],[Carte 2] :

    • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 6] encore vivace[31] ;
    • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[32] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7]est recensée sur la commune[33],[Carte 3] : le « vallon du Larus » (58,81 ha), couvrant 2 communes du département[34].

    Site du CEN Aquitaine

    Les graves du Larus forment un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[35] depuis 1999. Ce site offre un paysage et une nature uniques et préservés dans un environnement très agricole. Traversé par le ruisseau du même nom, sa situation en fond de vallon a favorisé le maintien de milieux humides rares à l'origine d'une biodiversité remarquable. En lien avec un circuit local de randonnée, ce site constitue un lieu de découverte naturaliste de grand intérêt. Un livret pédagogique a été réalisé pour agrémenter la balade. Il est disponible dans plusieurs lieux touristiques locaux tels que certains gîtes.

    Urbanisme

    Typologie

    Lucq-de-Béarn est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[36],[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,3 %), prairies (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), terres arables (18,1 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Les Affites ;
    • Auronce ;
    • Bernateix ;
    • Bieilh ;
    • Bordes ;
    • Broucaret ;
    • Cap de Layoû, où naît le Layoû ;
    • Labaigt ;
    • Lamarquette (premier quartier du Lucq en venant de l'ouest) ;
    • Marquemale 'limite dangereuse' ;
    • Marquessouquere ;
    • Parlayoû 'environs du Layoû', vallon au sud de Cap de Layoû ;
    • Saint-Michel.

    Toponymie

    Le toponyme Lucq, du latin lucus 'bois sacré', apparaît sous les formes Villa de Luco, villa quœ vocatur Luc et Sanctus-Vincentius de Sylva-Bona (respectivement Xe[42] et XIe[42] siècles, cartulaire de l'abbaye de Lucq[43]), Lucus (1323[42], censier de Béarn[44]), Sent-Bisentz de Luc et lo mostier de Sent-Vinssentz de Luc (respectivement 1365[42] et 1426[42], notaires de Lucq-de-Béarn[45]).

    Il vient du latin lucum, 'bois' ou 'forêt'[46].

    Son nom béarnais est Luc.

    Les Affites, hameau de Lucq-de-Béarn, apparaît sous les formes La marque de las Afiites (1562, censier de Lucq[47]) et Les Affittes (1691, comptes de l'évêché d'Oloron[48]).

    Histoire

    La ville se développa autour de l´abbaye Saint-Vincent de Lucq. Paul Raymond[42] note que la commune comptait une abbaye de bénédictins fondée au Xe siècle par Guillaume Sanche.

    En 1385, Lucq dépendait du bailliage de Navarrenx et comptait 241 feux.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Lucq-de-Béarn a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau[49].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Joseph Domecq    
    2001 2008 Albert Lasserre-Bisconte    
    2008 2014 Albert Lasserre-Bisconte    
    2014 2020 Albert Lasserre-Bisconte    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de deux structures intercommunales[50] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

    En 2018, la commune comptait 927 habitants[Note 10], en diminution de 4,43 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6432 6392 6852 5432 6072 6132 6072 4222 505
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3472 1752 0642 2082 3022 0611 9621 8541 868
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8491 8821 8921 5651 5681 4881 4441 4071 263
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2201 1001 0211 007933969966974941
    2018 - - - - - - - -
    927--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn, et de celle de l'Ossau-Iraty.
    L'activité principale de la région est l'agro-alimentaire et l'élevage.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    La commune est située sur une voie alternative du chemin du Piedmont pyrénéen (ou el cami deu pé de la coste), itinéraire secondaire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    L'ancienne abbaye date[55] du XIIe siècle et a été classée aux monuments historiques en 1990.

    L'église Saint-Vincent-Diacre est également très ancienne[56] (XIe siècle) et a été remaniée plusieurs fois jusqu'au XIXe siècle.

    Équipements

    La commune dispose notamment d'une école primaire, d'une salle de spectacles, et d'une salle multi-sports où réside le Hand-Ball Club Lucq-de-Béarn.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
    6. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Lucq-de-Béarn » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lucq-de-Béarn », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lucq-de-Béarn », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Alexis Ichas - éditions gascogne 2020.

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lucq-de-Béarn et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lucq-de-Béarn et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Lucq-de-Béarn », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Lucq-de-Béarn », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le Laà ».
    10. Sandre, « l'Auronce ».
    11. Sandre, « le Geü ».
    12. Sandre, « le Laüs ».
    13. Sandre, « le Layoû ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Monein - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Lucq-de-Béarn et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Monein - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Lucq-de-Béarn et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    27. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « les « Graves du Larus » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    30. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF le « vallon du Larus » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. Le site du CEN Aquitaine
    36. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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    40. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    42. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    43. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    44. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385..
    45. Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    46. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, notice BnF no FRBNF35515059)., page 195
    47. Manuscrit de 1562 - Archives de la mairie de Lucq-de-Béarn
    48. Manuscrit du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    49. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
    50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    55. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'ancienne abbaye
    56. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent-Diacre

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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