Salonnes

Salonnes est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Salone.

Salonnes

l'église Saint-Privat

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Saulnois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Broquard
2020-2026
Code postal 57170
Code commune 57625
Démographie
Gentilé Salonnais, Salonnaises
Population
municipale
184 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 30″ nord, 6° 29′ 49″ est
Altitude Min. 195 m
Max. 308 m
Superficie 12,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Saulnois
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Salonnes
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Salonnes
Géolocalisation sur la carte : France
Salonnes
Géolocalisation sur la carte : France
Salonnes

    Géographie

    Le village est situé à proximité de la route reliant Nancy à Sarreguemines, via Château-Salins.

    Vue générale.

    Urbanisme

    Typologie

    Salonnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,1 %), forêts (29,8 %), prairies (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Salona (777) ; Sallone, Sallonæ (822) ; Salona (950) ; Salonia (1226), Salone (1277) ; Sallonnes, Sallones, Sallonne (1346-1348) ; Haute-Salone et Basse-Salone (1711) ; Salonne (1793).

    Histoire

    Salonnes est un site du briquetage de la Seille, il était donc déjà habité pendant le premier millénaire avant Jésus-Christ.

    Salonnes ou plutôt Salone en se conformant à l'ancienne orthographe Salona, est une des communes du département mentionnées dans les titres les plus anciens. Un diplôme de Charlemagne, daté l'an 777 et dont l'original est aux archives de Meurthe-et-Moselle, confirme un accord fait entre Angelramme, évêque de Metz, Vilhare, archevêque de Sens, et Fulrad, chapelain du palais et abbé de Saint-Denis, au sujet des biens que ce dernier possédait au lieu nommé Salone, construit en l'honneur de la sainte mère de Dieu, les bienheureux martyrs, confesseurs, et où reposent Saint Privat et Saint Hilaire ; lequel accord porte que ni Angelramme, ni ses successeurs, ni leurs archidiacres, ni quelque autre officier que ce soit de l'église de Metz, ne pourront exercer dans ce lieu aucun acte de juridiction, si ce n'est lorsque l'abbé de Saint-Denis invitera l'évêque à y donner les ordres, bénir le saint chrême et les autels, ainsi que cela se pratiquait dans les autres églises dépendant de l'abbaye de Saint-Denis. En 896, Charles le Simple déclare que les religieux de Salone manquant de nourriture et ne percevant plus rien de leurs prébendes, il leur a donné différent biens, parmi lesquels un manse et une vigne à Montenoy, un manse à Pompey, etc. Enfin, en 950, Louis d'Outremer donne aux clercs de l'abbaye de Saint-Denis et de Saint-Privat, l'habitant le prieuré de Salone, une terre dans le lieu de Salone, sur le ruisseau du même nom, à savoir douze manses avec l'église de Vertignécourt, etc.

    En 1348, le procureur de ce prieuré pour le cardinal de Boulogne déclare que la grâce à lui faite par la duchesse-régente de Lorraine Marie de Blois de l'exempter du droit qu'a le duc de Lorraine de prendre un char dudit prieuré quand il va à l'armée ou autre part, ne peut être tirée à conséquence ni à préjudice contre son droit. (T. C. Moyenvic.) En 1379, le duc Jean Ier de Lorraine mande à ses conseillers de requérir les conservateurs des traités d'alliance entre l'évêque de Metz et lui, de défendre audit évêque d'attenter sur la fontaine d'eau salée de Salone, laquelle lui appartient en tous droits. (T. C. Château-Salins.)

    En 1388, le même Jean Ier de Lorraine, et Robert Ier, duc de Bar, voulant indemniser le prieuré de Salone, la ville et les habitants, des dommages qu'ils leur avaient causés pendant la guerre contre l'évêque de Metz, accordent au prieuré différents héritages situés tant sur le ban de Salone que sur celui de plusieurs villages voisins.

    Par un acte daté du , les gens de justice de Salone consentent de suivre pour lois, dans leurs jugements, - les droits, coutumes et usages d'Amance, ainsi qu'il avait été accordé entre le prieur de Salone et les habitants dudit lieu, par devant Simonin Louvion, procureur général de Lorraine au bailliage de Nancy, et de Ilaous Olry, prévôt d'Amance, attendu que, par les guerres entre les duc de Lorraine et comte de Bar et l'évêque de Metz, Salone avait été entièrement détruit et que tous les habitants s'étaient sauvés, en conséquence aucun ne pouvant assurer par quels usages Salone avait été autrefois régi, les titres qui auraient pu le prouver étant tous perdus.

    Plusieurs titres du XVIe siècle font mention de conflits de juridiction soulevés entre les officiers du duc et le prieur de Salone, au sujet des droits seigneuriaux dont le prince et le prieur jouissaient dans ce lieu. Les droits de ce dernier sont ainsi énumérés dans des comptes et des procès verbaux de plaids annaux : Le prieur est seigneur haut justicier, moyen et bas en la Haute et Basse Salone, et par tout le ban d'icelle.... Tout habitant tenant charrue lui doit, par chacun an, trois fois les corvées. Il a aussi droit de revêture, qui est tel que chacun héritier succédant à immeubles assis su bau et finage dudit lieu, est lents de revêtir et reprendre desdits immeubles dans quarante jours à compter du jour du trépas de celui qui lui a fait échutte ; et doit chacun héritier deux setiers de vin, à peine de commise des héritages pour lesquels ledit droit se doit payer... Les habitants paient chacun an au duc de Lorraine 5 francs à sa recette d'Amance, à cause du bois de la Jurée, qu'ils tiennent pour leurs affouages.

    Quand il y a un malfaiteur des sujets du prieur ou autres délinquants en sa seigneurie dudit Salone, il peut le faire appréhender au corps par ses officiers et le tenir en sa prison, et si le fait le requiert, le peut mettre ès mains du maître des hautes œuvres pour lui donner la question et sur ses confessions lui faire faire son procès jusqu'à la sentence inclusivement rendue, puis le faire délivrer à un prévôt d’Amance, hors le ban dudit Salone, en lieu nommé Saulcirup, faisant séparation du ban dudit lieu et de celui de Chambrey; auquel lieu, ledit prévôt d'Amance reçoit ledit prisonnier avec son procès en son sein, ensemble la sentence, pour en faire faire ' l'exécution aux frais du duc, demeurant néanmoins les biens acquis et confisqués au prieur… >(Coll. S.-G. et P.)

    Par un acte passé le , il est fait défense à tous habitants de Salone d'aller moudre leurs grains ailleurs qu'au moulin banal joignant le prieuré, et à celui de Seraincourt, et d'aller pressurer leurs marcs et raisins à d'autres pressoirs qu'à ceux de la maison seigneuriale dit prieuré.

    Une nommée Catherine Dieudonnée, de Salone, avait été brûlée comme sorcière à Amance en 16l5.

    Une sentence rendue, le , défend aux avocats et procureurs de faire les contestations au cabaret dites les instances où ils occuperont en la justice de Salone, mais au greffe de ladite justice. (Coll. St.-G. et P.)

    Le prieuré

    Le prieuré et l'église ont été fondés en ces lieux paisibles par Fulrad, abbé de Saint-Denis qui vivait sous Pépin le Bref et Charlemagne. Dès cette époque, le corps de Saint Privat, évêque de Mende, allait y reposer. L'abbaye de Saint-Denis sera propriétaire du prieuré jusqu'en l'an 815, date à laquelle elle cède à l'abbé de Saint-Mihiel. En 896, Charles le Simple fait des donations aux moines des lieux puis en 950 des terres dans le lieu de Salonnes sont offertes par Louis d'Outre-mer. En 1106 le pape Pascal II confirmera l'indépendance du prieuré de Salonnes de juridiction de l'évêché de Metz. Pendant près de huit cents ans, les bénédictins gouverneront le prieuré.

    Après la mort du dernier titulaire, Pierre de Saint-Vincent, décédé en 1598, le cardinal Charles de Lorraine, abbé de Saint-Mihiel et légat du Saint-Siège, unit en 1602 le prieuré de Salone à la Primatiale de Nancy.

    La saline

    Outre son prieuré, fondé par Fulrad, dès le VIIe siècle, Salone possédait, ainsi qu'il a été dit plus haut, des salines qui paraissent remonter à une époque fort éloignée : le diplôme 1e Louis-le-Débonnaire portant donation du prieuré de Salone à l'abbaye de Saint-Mihiel, en 815, et rappelé par l'auteur de l'histoire de cette ville, fait mention du village de Courcelles, qui était contigu à Salone, et des eaux salées de ce lieu : donamus villam Curcella cum..... aquis salsalis... S'il faut en croire quelques historiens, le prieuré de Salone aurait même été construit sur l'emplacement d'une ancienne saline.

    Quoi qu'il en soit, il résulte de différents documents que cette usine était exploitée dans les XIIIe et XIVe siècles ; elle fut probablement ruinée dans le courant du siècle suivant, car on trouve, à la date du , des lettres patentes dans lesquelles le duc René II de Lorraine dit que son receveur général, Antoine Varrin, ayant fait construire et dresser une nouvelle saline à Salone, sur les terres du prieuré, il assigne à ce dernier, par forme de dédommagement et à perpétuité, dix muids de sel à prendre chaque année sur cette saline. Par d'autres lettres patentes, du , le même prince permet à plusieurs particuliers de bâtir aux environs de la nouvelle usine sur des terrains qu'il leur concède. (Coll. St.-G. et P.) En 1541, son fils, le duc Antoine II, complète le douaire de Christine de Danemark sa belle-fille, par une assignation sur les salines de Salone. (T. C. Blâmont 3.) En 1583, Charles III donne l'office de baucheur de ces salines à Jacques Chastan, fils de Fauquet Chastan, sieur de La Routte. (L. p. 1583.) Il est encore fait mention de cette usine dans le compte du receveur général des salines de Lorraine, pour l’année 1631.

    L'église

    D'une restauration effectuée au XVIe siècle, viendra s'ajouter au bel édifice de style lorrain, un remarquable portail d'entrée. Aux propositions majestueuses et fines, aux sculptures merveilleusement disposées, ce portail témoigne de toute la parfaite harmonie et de l'élégance de l'art gothique français. Le début du XVIIe siècle sera un épisode sanglant pour la bourgade car, comme toute la région, se sera la cruelle marque laissée par la guerre des Suédois, amenant destruction, peste et famine. Salonnes sera ravagé en 1635 par les troupes suédoises et l'église pillée. Le chef de Saint-Privat conservé avec dévotion dans le sanctuaire depuis des siècles sera jeté dans le puits du prieuré et les précieux livres déchirés. Mille cinq cents Suisses allaient mourir en ces lieux. Didier Chaumont, alors curé de la paroisse, écrivit qu'il fut obligé de faire amener de la terre dans toute l'église pour couvrir les morts.

    Plus d'un siècle plus tard, en 1749, une entente sera conclue entre le chapitre de la Primatiale de Nancy et la population du village pour réparer le sanctuaire alors en ruine. Une cuve baptismale octogonale datée 1549 est une des merveilles de cette petite église. Elle a de belles ornementations dont les blasons, l'un avec trois fleurs de lys, soulignent les contours de ce chef-d'œuvre de pierre d'un mètre cinquante de haut et large d'un mètre.

    Depuis douze siècles, ce petit village s'enorgueillit de son église qui a su, malgré les vicissitudes de l'histoire, parvenir jusqu'à nous avec toute sa pureté et sa beauté.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au puits d'argent; au chef cousu de gueules chargé d'un alérion d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Les maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1914 1914 César    
    1914 1915 Larue    
    1915 1920 Célestin Brulfer    
    1920 1939 Émile Neveux    
    1939 1945 Lenel Sous régime nazi  
    Fin 1945 1977 Gaston Messin   Agriculteur
    Juillet 1977 Mars 2008 Robert Messin   Agriculteur
    Mars 2008 En cours Jean-Pierre Broquard   Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[9].

    En 2018, la commune comptait 184 habitants[Note 3], en diminution de 8,91 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    229286313336395460428473458
    1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
    397383368347361395382400424
    1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    439394318303299298263249192
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    172143138157164166169172202
    2018 - - - - - - - -
    184--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[11]. |recens-prem=2008 |nom.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Château de Burthecourt

    Le domaine de Burthecourt a été construit entre 1812 et 1830 par Vivant-Pierre-Nicolas Thouvenel, commissaire aux poudres et salpêtres de Lorraine avant la Révolution, il a vraisemblablement acquis des biens nationaux provenant de l’ancien prieuré. Le château, composé de deux pavillons en saillie encadrant la façade, ses dépendances et les deux fermes situées à proximité présentent des caractéristiques stylistiques communes et apparaissent comme un projet de construction concerté. Ce sont des témoins importants de l’architecture du XIXe siècle. En 1873, au moment de la création de la ligne de chemin de fer, le maréchal-comte Molitor, alors propriétaire du domaine, obtient une dérivation de la ligne en bordure du parc et la création d’une gare desservant Burthecourt. Le domaine est dévasté pendant la Première Guerre mondiale et les propriétaires dispersent leurs biens sans doute au début du XXe siècle : les fermes sont vendues, le château acheté en 1929 par la Congrégation des missionnaires Oblats de Marie-Immaculée qui le transforme en scolasticat. La gare, désaffectée en 1934, est vendue à des propriétaires privés. En 1952, ces derniers vendent à leur tour le château à la Congrégation du Sacré Cœur de Picpus qui y ouvre un collège privé, fermé en 1990. En 2003, le château est racheté par la communauté de communes du Saulnois.

    Personnalités liées à la commune

    Gaston et Robert Messin, maires du village pendant 63 ans à eux deux (de 1945 à 2008).

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    9. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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