Sainte-Eulalie-d'Ans

Sainte-Eulalie-d'Ans est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Eulalie.

Sainte-Eulalie-d'Ans

Vue aérienne du village au bord de l'Auvézère.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Bernard Durand
2020-2026
Code postal 24640
Code commune 24401
Démographie
Gentilé Eulalais
Population
municipale
291 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 49″ nord, 1° 01′ 06″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 262 m
Superficie 11,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Haut-Périgord noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Eulalie-d'Ans
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Sainte-Eulalie-d'Ans
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eulalie-d'Ans
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Eulalie-d'Ans

    Géographie

    Généralités

    Au nord-est du département de la Dordogne, la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans est traversée du nord-est au sud-ouest par l'Auvézère, un important affluent de l'Isle.

    L'altitude minimale, 122 mètres, se situe à l'ouest, au nord-ouest du Camp de César, là où l'Auvézère quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Pantaly-d'Ans. L'altitude maximale avec 262 mètres se trouve à l'extrême nord, dans le causse de Cubjac, en limite des communes de Coulaures et Tourtoirac, au nord du lieu-dit Toulifaut.

    Le bourg de Sainte-Eulalie-d'Ans, traversé par la route départementale 5 qui longe l'Auvézère, se situe en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud-sud-ouest d'Excideuil et autant à l'ouest d'Hautefort.

    Le GR 646, entre Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac, traverse le territoire communal au nord de la commune.

    Communes limitrophes

    Carte de Sainte-Eulalie-d'Ans et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Cubjac-Auvézère-Val d'Ans.

    Sainte-Eulalie-d'Ans est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Sainte-Eulalie-d'Ans
    Coulaures Tourtoirac
    Cubjac-Auvézère-Val d'Ans
    Gabillou Chourgnac

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 934 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[7] et qui se trouve à 33 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Eulalie-d'Ans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), zones agricoles hétérogènes (41,5 %), prairies (5,2 %), cultures permanentes (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), terres arables (0,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Sainte-Eulalie-d'Ans tire ses origines de son appartenance à la châtellenie d'Ans et de sainte Eulalie[20], martyre chrétienne morte au début du IVe siècle[21].

    La première apparition du nom remonte au XIIe siècle sous la forme latine de Sancta Eulalia[20].

    En occitan la commune se nomme Senta Eulàlia d'Ans[22].

    Histoire

    Au Moyen Âge, Sainte-Eulalie-d'Ans dépendait de la châtellenie d'Ans[23].

    En 1824, l'ancienne commune de Saint-Pardoux-d'Ans a fusionné avec Sainte-Eulalie-d'Ans avant d'être rattachée en 1875 à Saint-Pantaly-d'Ans.

    Dans la nuit du 23 au , tout un côté du parapet du pont qui franchit l'Auvézère s'est écroulé dans l'eau[24]. La circulation y est totalement interdite, y compris aux piétons, ce qui oblige à faire un détour de cinq kilomètres par Coulaures ou Saint-Pantaly-d'Ans pour passer d'une rive à l'autre[24]. L'ouvrage qui date du XIXe siècle a été remis en service en , et sa réparation a coûté plus de 380 000 euros, dont 34 % à la charge de la commune[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Sainte-Eulalie-d'Ans a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimés en 1795, et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Hautefort, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[26].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Hautefort disparaît aux élections départementales de mars 2015[27]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.

    En 2017, Sainte-Eulalie-d'Ans est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[28],[29].

    Intercommunalité

    Au , Sainte-Eulalie-d'Ans intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mai 1840   Jacques Baspeyras    
    novembre 1846 1848 François Lagorce   Médecin
    mars 1848   Jacques Baspeyras    
      août 1851 François Lagorce[Note 5]   Médecin
    août 1851 septembre 1863 Élie Richard[Note 6]    
    septembre 1863 septembre 1870 Jean Baptiste Merlet    
    septembre 1870 décembre 1870 Gustave Hector Brousseaud    
    décembre 1870 janvier 1881 Pierre Tronche    
    janvier 1881 octobre 1908 Gustave Brousseaud[Note 7]    
    février 1909 novembre 1936 Léonard Baleyte[Note 7]    
    janvier 1937 (octobre ou novembre) 1937 Jean Pinet    
    (octobre ou novembre) 1937 décembre 1937 Délégation spéciale chargée
    d'administrer la commune
       
    décembre 1937 mai 1945 Léo Baleyte    
    mai 1945 juin 1995 Pierre Durand    
    juin 1995[32]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Bernard Durand SE[33] Gérant de société

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Sainte-Eulalie-d'Ans relève[34] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage avec Ans.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 291 habitants[Note 8], en augmentation de 1,39 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7027717468041 077980962998991
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0251 0151 028914783813760756698
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    665665677594572540524447400
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    402376362311304269302291287
    2018 - - - - - - - -
    291--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Lors des recensements de 1831 à 1872 inclus, le village de Saint-Pardoux-d'Ans était intégré à la commune.

    Enseignement

    Début 2015, Chourgnac, Sainte-Eulalie-d'Ans[38], Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire. Chourgnac et Saint-Pantaly-d'Ans n'ayant plus d'école, Tourtoirac accueille les enfants en maternelle, en cours préparatoire et en cours élémentaire 1re année ; Sainte-Eulalie-d'Ans s'occupe du cours élémentaire 2e année et du cours moyen (CM1 et CM2).

    Culture

    Sainte-Eulalie-d'Ans fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction attribuée par Espéranto info.

    Manifestations culturelles et festivités

    Exposition de paniers lors de la Fête des paniers 2016.

    En octobre, « Fête des paniers » (17e édition en 2019 avec la présence d'artisans d'art de la vannerie mais également de la bijouterie, du bois, du cuir, de la poterie, etc.)[39].

    Économie

    Emploi

    En 2015[40], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 113 personnes, soit 39,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (onze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-quatre établissements[41], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[42].

    Entreprises

    Tous secteurs confondus, parmi les entreprises de la Dordogne ayant leur siège social dans le département, les « Établissements Durand » (commerce de gros  commerce interentreprises  alimentaire spécialisé divers), implantés à Sainte-Eulalie-d'Ans, se classent 47e, en termes de chiffre d'affaires à l'exportation en 2015-2016 avec 815 k€[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Au nord de la commune, le GR 646 traverse le causse de Cubjac.

    ZNIEFF

    Toute la zone située au nord de l'Auvézère hormis sa plaine, soit environ un tiers du territoire communal, fait partie du causse de Cubjac[44],[45] qui est classé comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, principalement pour sa flore.

    Sites remarquables

    Le moulin des Ormeaux.

    Le site du moulin sur l'Auvézère, en amont du bourg de Sainte-Eulalie-d'Ans, est classé depuis 1976 [46].

    Le site du bourg, sur plus de 10 hectares, est inscrit depuis 1975[47].

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Dreyfus-Sée (1901-1944), agriculteur installé à Sainte-Eullaie-d'Ans en 1940, il entre dans la Résistance. Arrêté le 2 mars 1944, il est fusillé par les Allemands de la division Brehmer le 27 mars suivant au lieu-dit les Potences, à Sainte-Marie-de-Chignac, avec vingt-quatre autres personnes, dont deux ont survécu, en se faisant passer pour mortes[48].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Suspendu par le Préfet.
    6. Démissionnaire.
    7. Décédé en fonctions.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie-d'Ans et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie-d'Ans et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 376-377, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
    21. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, p. 586, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 mars 2014.
    23. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, p. 238, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1).
    24. « Pont effondré, déviation forcée », Sud Ouest édition Périgueux, 26 janvier 2016, p. 13.
    25. Michel Pitout, « La réouverture du pont à la circulation », Sud Ouest édition Périgueux, 30 janvier 2017, p. 23.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    29. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    30. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
    31. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    32. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
    33. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 9.
    34. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. École primaire de Sainte-Eulalie-d'Ans sur le site de l'Académie de Bordeaux, consulté le 21 janvier 2015.
    39. « Les vanniers à l'honneur », Sud Ouest édition Périgueux, 9 octobre 2019, p. 23.
    40. Dossier complet - Commune de Sainte-Eulalie-d'Ans (24401) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 décembre 2018.
    41. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    42. Dossier complet - Commune de Sainte-Eulalie-d'Ans (24401 - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 décembre 2018.
    43. « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
    44. [PDF] Causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
    45. Carte du causse de Cubjac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 4 août 2013.
    46. [PDF] Moulin à eau, bief et les abords du moulin sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
    47. [PDF] Bourg - Ste-Eulalie-d’Ans sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
    48. Guy Penaud, préface de Roger Ranoux, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 143-163 et 401.
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