La Coquille (Dordogne)

La Coquille est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir La Coquille.

La Coquille

L'église de La Coquille.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Michèle Faure
2020-2026
Code postal 24450
Code commune 24133
Démographie
Gentilé Coquillard(e)
Population
municipale
1 300 hab. (2018 )
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 32″ nord, 0° 58′ 35″ est
Altitude Min. 259 m
Max. 432 m
Superficie 22,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Coquille
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
La Coquille
Géolocalisation sur la carte : France
La Coquille
Géolocalisation sur la carte : France
La Coquille
Liens
Site web www.ville-lacoquille.fr

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    À son extrémité orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (à gauche) et Mialet (à droite)

    En Périgord vert, au nord du département de la Dordogne, la commune de La Coquille est arrosée par un affluent de la Dronne, la Côle qui, à l'ouest, alimente l'étang de la Monnerie et la branche orientale du plan d'eau de Mialet. À l'est, la Valouse, un affluent de l'Isle, alimente l'étang de la Barde et sert sur quatre kilomètres de limite territoriale entre la commune et celles de Saint-Pierre-de-Frugie et Saint-Priest-les-Fougères.

    L'altitude minimale, 259 mètres, se situe à l'extrême sud, là où la Valouse quitte le territoire communal et sert de limite entre Chalais et Saint-Paul-la-Roche, au sud-ouest du lieu-dit Piangaud. Le point culminant avec 432 mètres se trouve au nord-ouest, au nord du lieu-dit le Meygnaud, en bordure de la route nationale 21.

    Dans une région très boisée composée de feuillus, des prés en bocage entourent le bourg de La Coquille situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest de Jumilhac-le-Grand et quinze kilomètres au nord-nord-est de Thiviers, au carrefour de la route nationale 21 (l'axe Limoges - Agen) et des routes départementales 67 et 79.

    La commune est desservie par la ligne de chemin de fer Limoges - Périgueux au bourg, en gare de La Coquille.

    Communes limitrophes

    La Coquille est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 090 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1982 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records LA COQUILLE (24) - alt : 324m, lat : 45°32'36"N, lon : 00°58'54"E
    Statistiques établies sur la période 1982-2010 - Records établis sur la période du 01-06-1982 au 30-11-2015
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,8 3,7 5,7 9,1 11,9 13,9 13,6 11 8,7 4,4 2,3 7,3
    Température moyenne (°C) 4,7 5,5 8,2 10,5 14,2 17,3 19,7 19,5 16,4 12,9 7,8 5,4 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 7,8 9,2 12,7 15,2 19,3 22,7 25,5 25,3 21,8 17,2 11,2 8,6 16,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −18,7
    16.01.1985
    −15
    08.02.1991
    −12
    01.03.05
    −5
    12.04.1986
    −0,9
    16.05.12
    2,3
    03.06.1989
    5,5
    04.07.1990
    3,1
    29.08.1986
    1,3
    27.09.10
    −3,1
    26.10.03
    −9,6
    21.11.1993
    −10,5
    31.12.1985
    −18,7
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,1
    05.01.1999
    22,1
    15.02.1998
    25,1
    19.03.05
    28,8
    30.04.05
    32,5
    30.05.01
    37,5
    27.06.11
    38,4
    16.07.15
    39,5
    07.08.03
    34,4
    03.09.05
    30
    02.10.11
    23
    07.11.15
    19,5
    29.12.1983
    39,5
    2003
    Précipitations (mm) 121,1 99,7 90 113 98,3 81,8 68,3 76,4 86,1 115,2 124,9 124,2 1 199
    Source : « Fiche 24133002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    La Coquille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (30,2 %), forêts (30 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), zones urbanisées (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), terres arables (1,6 %), eaux continentales[Note 4] (0,8 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Coquilha[13].

    Histoire

    Située sur l'un des cinq chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, c'est dans cette paroisse que l'on donnait aux pèlerins une coquille Saint-Jacques, d'où le nom de « La Coquille » et l'emblème qui lui est lié.

    L'église, située sur la route Richard Cœur-de-Lion, fut ré-inaugurée par le souverain et l'accueillit pendant son voyage. Il y annonça plusieurs édits.[réf. nécessaire])

    En tant que commune, le nom de La Coquille n'apparaît officiellement qu'en 1856, en remplacement de Sainte-Marie-de-Frugie[14].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de La Coquille (appelée Sainte Marie de Frugie à l'époque) a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[15].

    Intercommunalité

    En 1995, La Coquille intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[16] puis en en communauté de communes Périgord-Limousin[17].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[18],[19].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1957 1977 Henri Frugier UDR Négociant-artisan
    1977 1983 Guy Besse PCF Conseiller général (1967-1985)
    1983 1989 Henri Frugier RPR  
    1989 mars 2008 Claude Boyer    
    mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Massaloux SE[20] Cadre de l'industrie retraité
    mars 2014
    (réélue en mai 2020)
    En cours Michèle Faure[21] PS Retraitée

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, La Coquille relève[22] :

    Jumelages

    La Coquille est jumelée avec la municipalité allemande de Romrod depuis 1990 ; ce jumelage a été étendu aux huit autres communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand en 2012[23].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 1 300 habitants[Note 5], en diminution de 3,27 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9309049231 1091 0811 1081 1411 2001 141
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1021 1421 1119971 1221 2511 3661 4211 524
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6171 7931 6911 5851 5501 5741 5591 5441 539
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 5311 5561 6921 5751 5151 4891 4071 3641 343
    2018 - - - - - - - -
    1 300--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[27], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 459 personnes, soit 34,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (87) a fortement augmenté par rapport à 2010 (49) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 145 établissements[28], dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, trente-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, et neuf dans l'industrie[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'actuelle église Saint-Joseph date de 1873.
    • Couvent orthodoxe Sainte Marie[30] (route de Saint-Pierre-de-Frugie).
    • Château de la Meynardie, XVIe siècle

    Patrimoine naturel

    En sus du parc naturel régional Périgord-Limousin[31], La Coquille est entièrement incluse dans la « zone tampon  » de la vaste « réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », un espace protégé et géré Natura 2000[32] (5 070 km2).

    Pèlerinage de Compostelle

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’or à la coquille renversée d’argent, les cotes de sinople, surmontée d'une couronne murale de trois tours d'argent, maçonnée de sable; au chef de gueules chargé de trois lions d’or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 février 2014.
    14. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 118, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. [PDF] « Arrêté no 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, p. 165-169.
    17. [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
    18. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
    19. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
    20. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 10.
    21. Charlie Mazière, Un nouveau maire, Sud Ouest édition Périgueux du 31 mars 2014, p. 24.
    22. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    23. Philippe Pagès, Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], sur Sud Ouest du 30 octobre 2014, p. 19.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.
    28. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    29. Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.
    30. / visite de mgr Nicolas
    31. « Parc naturel régional Périgord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
    32. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone tampon » - FR6400011. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.
    33. Charlie Mazière, Les militaires n'oublient pas la barbarie nazie, Sud Ouest du 23 mai 2011.
    34. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 119-120.
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.