Saint-Paul-la-Roche

Saint-Paul-la-Roche est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Paul et La Roche.

Saint-Paul-la-Roche

Le bourg de Saint-Paul-la-Roche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Didier Garnaudie
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24481
Démographie
Population
municipale
521 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 43″ nord, 0° 59′ 59″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 342 m
Superficie 39,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Thiviers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Paul-la-Roche
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Paul-la-Roche
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-la-Roche
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Paul-la-Roche

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    Partie intégrante du parc naturel régional Périgord-Limousin et localisée à l'extrême nord-est de la Dordogne, la commune de Saint-Paul-la-Roche est arrosée du nord au sud par la Rochille, à l'ouest par la Valouse et au sud par l'Isle, les deux dernières servant de limite naturelle à la commune sur plusieurs kilomètres.

    L'altitude minimale, 165 mètres, se situe au sud-est, là où l'Isle quitte la commune pour s'écouler en limite de celles de Nantheuil et Sarrazac. Le point culminant, 342 mètres, se trouve deux kilomètres au nord-est du bourg de Saint-Paul-la-Roche.

    Ce dernier est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud-sud-est de La Coquille et neuf kilomètres au nord-est de Thiviers. Il est traversé par la route départementale 67.

    La commune est également desservie au sud par la route départementale 78 qui longe l'Isle et au sud-ouest par l'axe Limoges-Périgueux, la route nationale 21.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Géologie

    Le site de la Roche blanche en 2009.

    Il y avait à Saint Paul deux géants qui se faisaient face, deux titans minéraux, l'un noir, un bloc de serpentine et l'autre blanc, un bloc de quartz. Les deux connurent hélas le même destin. Ils furent la proie des carriers et donc les victimes de la dynamite...

    Dans les temps anciens, un sentier conduisait tout en haut de la Roche blanche ; elle était, dans l'esprit de la population, symbole de fertilité et ce, depuis longtemps sans doute.

    Mais au XIXe siècle, ce quartz de toute beauté fut découvert puis utilisé par les porcelainiers puis, au XXe siècle par les industriels de l'optique et de l'électronique et même par la Nasa qui l'utilisa pour fabriquer divers éléments de ses capsules et navettes spatiales.

    Exploité jusqu'en 1995, il ne reste plus aujourd'hui que quelques blocs épars, perdus dans les herbes folles attendant que quelqu'un se souvienne de leur splendeur d'antan...

    Le quartz clivé

    Quartz clivé de Saint-Paul-la-Roche.

    Le quartz de Saint-Paul-la-Roche avait deux propriétés exceptionnelles. Il était ultra-pur, d'une part, d'où l'intérêt de l'industrie, mais aussi clivable, c’est-à-dire qu'il se délitait en lames minces, de quelques millimètres d'épaisseur, un peu comme des ardoises.

    Cette deuxième propriété fut l'objet d'une controverse dans son explication. Pour les uns, il s'agissait de la conséquence d'un impact météoritique géant suggérée par la proximité de l'impact de Rochechouart-Chassenon. Pour d'autres il s'agissait d'un mode de formation purement terrestre, mais rare.

    Aujourd'hui, la controverse est éteinte et l'origine terrestre a été confirmée par Philippe Lambert[1] en 1974, et Claudia Trepmann[2] en 2006.

    Il est vrai que les quartz « choqués » formés lors des impacts météoritiques présentent un « pseudo-clivage » microscopique, qui nécessite pour être distingué un grossissement de plusieurs centaines de fois, alors que le quartz de Saint-Paul-la-Roche montre son clivage à l'œil nu.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Paul-la-Roche et des communes avoisinantes.

    Saint-Paul-la-Roche est limitrophe de huit autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 093 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 46 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Paul-la-Roche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,8 %), forêts (33,5 %), prairies (16,4 %), terres arables (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Panneau d'entrée au bourg de Saint-Paul-la-Roche (avec une faute : devrait s'écrire Sent Pau la Ròcha).

    Le nom de Saint-Paul-la-Roche fait référence à l'apôtre saint Paul[22]. « La Roche », tiré de l'occitan ròca, correspond souvent à un château établi sur un site élevé[23].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Pau la Ròcha[24].

    Histoire

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Paul.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Aux environs de 1140, Guy Flamenc de la Roche-Saint-Paul, seigneur du château de Bruzac (Saint Paul la Roche relevant de la seigneurie de Bruzac) fait don de terres et bois aux Templiers (venus en Périgord en 1138) qui édifient une commanderie, qui devient rapidement la plus importante de la région. Le seul vestige restant est la maison du commandeur de la commanderie, dite « Templars ».

    Guy IV (1113-1148) et Adhémar IV (1110-1148), co-vicomtes de Limoges qui disputaient le territoire à Guy Flamenc, viennent l'assiéger en 1143, avec l'aide de Boson II (1110-1143), vicomte de Turenne (beau-frère d'Adhémar IV). Lors du siège de la commanderie de Saint-Paul-la-Roche, Boson II est tué d'un coup de flèche[25]. Effrayés, les deux vicomtes s'empressent de lever le siège et quittent la contrée.

    Le , les Templiers de Saint-Paul-la-Roche et leur commandeur, Bernard de Villars (1271-1311) sont arrêtés par les soldats du sénéchal du Limousin, et emmenés à Limoges. Les Hospitaliers reçoivent les biens templiers vers 1316, et sont rattachés à la commanderie de Condat du grand prieuré de Toulouse.

    La commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem est mentionnée en 1373 (Præceptoria de Rupe S. Pauli)[22], quelques années avant la première apparition du nom du village en 1382 sous la forme Sanctus Paulus de Rupe[23].

    La commanderie souffre lors des guerres de Religion. Elle est dévastée par les calvinistes qui incendient les bâtiments. Les biens des hospitaliers sont vendus à la Révolution[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Paul-la-Roche a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[27].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Saint-Paul-la-Roche rejoint la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[28] puis en en communauté de communes Périgord-Limousin[29].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1983 1995 Georges Cheval   Retraité
    1995 2001 André Michel Habon    
    mars 2001 mars 2008 Jean-Michel Gendraud    
    mars 2008 mars 2014 Jean-Antoine Bordas[Note 6] SE[32] Cadre retraité
    avril 2014[33]
    (réélu en juillet 2020[34])
    En cours Didier Garnaudie    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Paul-la-Roche relève[35] :

    Jumelages

    Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Saint-Paul-la-Roche, sont jumelées avec la municipalité allemande de Romrod depuis 2012, La Coquille l'étant depuis 1990[36].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2018, la commune comptait 521 habitants[Note 7], en diminution de 0,76 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3181 4361 2441 6921 7611 6461 6861 6461 665
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6801 5801 6461 4441 4471 5381 7661 8001 818
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8151 8141 7831 6191 5311 3571 2401 1351 001
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    872794616591555551524520527
    2017 2018 - - - - - - -
    525521-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque été, l'association « Les Arts à Saint-Paul » organise sur huit jours une exposition d'œuvres artistiques (13e édition en 2018)[40].

    Économie

    Emploi

    En 2015[41], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 206 personnes, soit 39,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-sept) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (vingt-six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,1 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 61 établissements[42], dont vingt-cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize au niveau des commerces, transports ou services, dix dans la construction, huit dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[43].

    Entreprises

    Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « AES » (traitement et élimination des déchets non dangereux), implantée à Saint-Paul-la-Roche, se classe en 32e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 8 246 k€[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château du Chalard (ruines du), XIe, XIIe et XVe siècles. Détruit pendant la guerre de Cent Ans
    • Château de Montardy, XIVe, XVIIIe et XIXe siècles
    • Château de la Valade, XVIIIe et XIXe siècles, ancienne propriété de la famille Chapelle de Jumilhac[45] puis des Dubut de Saint Paul
    • « Templars » ou la maison templière, XIIe et XVIe siècles, seul vestige de l'une des plus importantes commanderies en Périgord, achetée en 2004 par des Anglais et maintenant restaurée[46]
    • Église Saint-Pierre et Saint-Paul
    • Site de la Roche blanche

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Décédé en fonctions. Source : Jacques Guine, Le maire est décédé, Sud Ouest édition Périgueux du 15 mars 2014, p. 22.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. P. Lambert, Thèse de doctorat de 3e cycle en pétrographie : La structure d'impact de météorite géante de Rochechouart, soutenue le 28 juin 1974 à l'université Paris-Sud, centre d'Orsay, sous la présidence de R. Brousse, examinateur : J. Mercier, invités : Z. Johan, F. Kraut, E. Raguin
    2. Trepmann, C. A., Quartz Microstructures in Rocks From the Rochechouart Impact Structure, France - High Stress Deformation and Subsequent Annealing, American Geophysical Union (2006)
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Paul-la-Roche et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Paul-la-Roche et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 228-229.
    23. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 358.
    24. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 3 avril 2014.
    25. Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France ou recueil général des généalogies, volume 14, page 186
    26. André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord, Éditions Pilote 24, 2002
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. [PDF] « Arrêté no 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, p. 165-169.
    29. [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
    30. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    31. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 24 novembre 2020.
    32. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 11.
    33. À Saint-Paul-la-Roche, Sud Ouest édition Périgueux du 15 avril 2014, p. 20.
    34. Daniel Syriex, « L'équipe municipale est en ordre de bataille », Sud Ouest édition Dordogne, 10 juillet 2020, p. 27.
    35. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    36. Philippe Pagès, Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], sur Sud Ouest du 30 octobre 2014, p. 19.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Michèle Syriex, « 300 œuvres à découvrir avec Les Arts à Saint-Paul », Sud Ouest, édition Périgueux, 30 juillet 2018, p. 20.
    41. Dossier complet - Commune de Saint-Paul-la-Roche (24481) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    42. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    43. Dossier complet - Commune de Saint-Paul-la-Roche (24481) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    44. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
    45. Bibliothèque nationale de France - Carré d'Hozier 168.FR.303097.
    46. (en) Templars
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