Saint-Vincent-de-Cosse
Saint-Vincent-de-Cosse est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Vincent.
Saint-Vincent-de-Cosse | |||||
L'église Saint-Vincent. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sarlat-Périgord noir | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Chaumel 2020-2026 |
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Code postal | 24220 | ||||
Code commune | 24510 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vinecossois | ||||
Population municipale |
363 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 28″ nord, 1° 07′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 59 m Max. 265 m |
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Superficie | 7,19 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Sarlat-la-Canéda (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sarlat-la-Canéda | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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S'étendant sur une superficie de 7,19 km2, la commune représente la partie la plus naturellement préservée de la communauté de communes Sarlat-Périgord noir, organisée autour du pôle urbain de Sarlat-la-Canéda. Le village est situé au cœur du Périgord noir, proche des sites de Lascaux et des Eyzies, ainsi qu'à proximité de Beynac dont dépendait le village au Moyen Âge. Le village est également situé non loin de La Roque Gageac, ainsi que des châteaux des Milandes, de Castelnaud et de Fayrac, sur la rive opposée de la Dordogne.
Géographie
Localisation
Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Saint-Vincent-de-Cosse est bordée au sud par la Dordogne.
Au nord de la route départementale 703, le bourg de Saint-Vincent-de-Cosse se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud-est de Saint-Cyprien et dix kilomètres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda.
Communes limitrophes
Saint-Vincent-de-Cosse est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 280 mètres de celui de Veyrines-de-Domme.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 719 hectares ; son altitude varie entre 59 et 265 mètres[1]. L'altitude minimale se situe près du lieu-dit Coustaty, là où la Dordogne quitte le territoire communal en limites d'Allas-les-Mines et de Bézenac. L'altitude maximale est localisée au nord-ouest, en limite de Bézenac, près de Malegat.
Le sol de la commune est fertile, pierreux, calcaire et argilo-calcaire. Il comporte deux zones principales : au nord, des coteaux calcaires datant du Jurassique, et au sud la plaine alluviale de la Dordogne avec des sables, argiles ou graviers holocènes[2].
La tradition paysanne et agricole occupe une place importante dans cette plaine de riches cultures et d'alluvions : blé, vigne, prairies naturelles, genévriers, friches, champs de maïs, de blé, de seigle et de froment, champignons dont des truffes, pommiers, cerisiers, pruniers, noyers, etc. et une multitude d'animaux : bovins, ovins, porcs, ânes, chevaux.
La plupart des terres sont surélevées, à l'abri des crues. Dans la partie haute du bourg se trouvent des bois touffus de chênaies et de châtaigneraies, des cyprès isolés et des amandiers.
Hydrographie
La Dordogne est le cours d'eau abondant, fertile en limon et végétation aquatique, qui coule paisiblement au sud de la commune. Elle reçoit deux de ses affluents, le Brudou et le Beringot, sur le territoire communal. Autrefois dénommée « fluvius dordoniaie » ou « la Grande Eau », elle est classée « réserve mondiale de biosphère » depuis 2012[3].
Au centre du bourg siège la source d'Ayguevive et sa fontaine, autrefois nommée « la Doux ».
Voies de communication et transports
Longeant la Dordogne, la plus importante voie de communication est la route départementale 703, qui relie Bretenoux, dans le Lot et Port-de-Couze, à Lalinde.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[10] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 24 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[16].
Natura 2000
La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait partie du réseau Natura 2000[17],[18]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[17] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).
Sur la commune, elle s'étend sur un peu plus de deux kilomètres carrés et correspond aux coteaux situés au nord de la route départementale 703, en trois sites séparés.
Urbanisme
Typologie
Saint-Vincent-de-Cosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Saint-Vincent-de-Cosse s'est dotée d'une carte communale en 2006. Un projet de plan local d'urbanisme est à l'étude depuis .
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,5 %), terres arables (30,9 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), cultures permanentes (9,1 %), eaux continentales[Note 6] (4,8 %), zones urbanisées (3,6 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Outre le bourg de Saint-Vincent-de-Cosse proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[25] :
- Beyssac
- Birat
- la Blanquie
- Bord
- la Boulmène
- le Brudou
- le Buy
- la Cayre
- la Chapelle
- Coustaty
- la Gare
- Garnazet
- Gaussen
- les Gravières
- Larrit
- Lasfargues
- Malegat
- Molières
- Monrecours
- les Nauves
- Panassou
- le Pech
- Port d'Envaux
- Ravaillac
- Roche
- Roudet
- le Sorbier
- le Tiradou
- la Vieille Église.
La commune est la moins urbanisée de la communauté de communes Sarlat-Périgord noir[réf. nécessaire] ; en 2012, sa densité d'occupation, 50 habitants par kilomètre carré, est faible.
Placé sous le patronage de saint Vincent, patron de la vigne, l'enjeu du village est en 2015 de multiplier les hectares de ceps de vignes qui déclinent depuis le XIXe siècle (de 110 ha en 1832 à 27 ha en 1964).
Logement
En 2015, le nombre total de logements dans la commune était de 260, soit cinq de plus qu'en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 64,2 % étaient des résidences principales, 28,0 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,2 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales propriétés de leurs occupants était de 80,5 %, en hausse par rapport à 2010 (77,4 %)[I 3].
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont et ses rives, qui concerne donc les zones basses du territoire de Saint-Vincent-de-Cosse[26],[27].
Toponymie
Le nom de la commune fait référence à saint Vincent, diacre espagnol martyrisé en l'an 304[28], saint patron des vignerons. La seconde partie du nom « Cosse » dérive de l'occitan còs latinisé en cossa et signifiant « hauteur »[28], le lieu étant situé au pied du coteau en rive droite de la Dordogne.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Montagne-Regénérée[29].
En occitan, la commune porte le nom de Sent Vincenç de Còssa[30].
Histoire
Le territoire communal a été occupé à l'époque gallo-romaine, comme le montrent les fouilles effectuées au lieu-dit Coustaty[28]. La première mention écrite connue du lieu, datant de l'an 1365 sous la forme latine Sanctus Vincentius de Cossa, se réfère à l'église édifiée à l'époque romane[28]. Plus récent, le château de Panassou, en limite de Bézenac, date de la Renaissance[28].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Vincent-de-Cosse est rattachée au canton de Saint-Cyprien qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (qui devient en 1965 l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda)[29].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[31]. La commune est alors rattachée au canton de Sarlat-la-Canéda.
Intercommunalité
Depuis 1997, la commune a adhéré à la communauté de communes du Périgord noir. Au , cette dernière fusionne avec la communauté de communes du Sarladais. La nouvelle intercommunalité prend le nom de communauté de communes Sarlat-Périgord noir.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Vincent-de-Cosse relève[36] :
- du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Les habitants de Saint-Vincent-de-Cosse se nomment les Vinecossois[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2018, la commune comptait 363 habitants[Note 7], en augmentation de 3,13 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 311 €, ce qui plaçait Saint-Vincent-de-Cosse au 27 446e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[41].
Emploi
En 2015[42], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 152 personnes, soit 42,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (17) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,6 %.
Établissements et entreprises
Au , la commune compte cinquante établissements[43], dont trente-huit au niveau des commerces, transports ou services, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans la construction, et deux dans l'industrie[44].
En 2017, trois entreprises ont été créées à Saint-Vincent-de-Cosse[I 4].
Culture locale et patrimoine
Monuments et objets historiques
La commune compte deux édifices répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[45], et aucun objet n'y figure[46] :
- l'église Saint-Vincent-le-Salvadou (également appelée « la Vieille Église »), datée du XIIe siècle, est inscrite en totalité depuis le 12 décembre 2013[47] ;
- le château de Panassou de style Renaissance[48], construit aux XVe et XVIe siècles, est inscrit depuis le 6 décembre 1948[49] ; il est principalement accessible depuis le bourg de Bézenac.
Autres lieux et monuments
Une église plus récente, également dédiée à saint Vincent, a été édifiée dans le bourg au XIXe siècle[50].
Entre le bourg et la RD 703, le château de Monrecour (ou de Monrecours) est une vaste demeure de style néo-Renaissance[51], transformée en hôtel[52].
La chartreuse d'Aiguevive (ou de Lagilardie)[53],[54] a été bâtie à côté du château d'Aiguevive, construit à l'époque médiévale[55].
Parmi les autres édifices de la commune figurent notablement le pigeonnier de Garnazet, la cabane en pierre sèche du Brudou, l'ancienne école (aujourd'hui fermée) bâtie en 1864 et la mairie construite en 1880.
Par ailleurs, les proches châteaux de Beynac et des Milandes sont visibles depuis le territoire communal.
Le château de Panassou. Le château de Beynac visible à travers les champs de maïs de Saint-Vincent-de-Cosse. Le château des Milandes perçu depuis les coteaux de Saint-Vincent-de-Cosse.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Casimir de Mirandol (1759-?), homme politique français prend possession du domaine de Monrecour.
- (Antoine) Georges Escande (1847-1928), homme politique français, né à Saint-Vincent-de-Cosse[56].
- Louis Delluc (1894-1974), écrivain en français et en occitan, a été nommé instituteur à Saint-Vincent-de-Cosse où il à enseigné pendant vingt-cinq ans.
- Jean-Luc Joinel (1953), joueur de rugby à XV, né à Saint-Vincent-de-Cosse[57].
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1 - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2017.
Autres sources
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501-4761-5), p. 18-19.
- Chantal Gibert, « La Dordogne labellisée », Sud Ouest édition Dordogne, 13 juillet 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Vincent-de-Cosse et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Vincent-de-Cosse et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- [PDF] Saint-Vincent-de-Cosse - Plan de prévention du risque inondation p. 27, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
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- « Liste des objets historiques de la commune de Saint-Vincent-de-Cosse », base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 juin 2015.
- « Église Saint-Vincent », notice no PA24000085, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juin 2015.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 98.
- « Château de Panassou », notice no PA00082906, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 juin 2015.
- Paroisse "St. Cyprien la Vallée" sur le site du Diocèse de Périgueux et Sarlat, consulté le 16 juin 2015.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 182.
- Domaine de Monrecour, consulté le 16 juin 2015.
- Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 268.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 148.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 12.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 358.
- Fiche de Jean-Luc Joinel sur le site en.espn.co.uk, consulté le 17 juin 2015.
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