Saint-Michel-de-Rieufret

Saint-Michel-de-Rieufret (Sent Miquèu de Riufred en occitan gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Michel.

Saint-Michel-de-Rieufret

La mairie (juin 2013)
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Jean-Bernard Papin
2020-2026
Code postal 33720
Code commune 33452
Démographie
Gentilé Saint-Michelois
Population
municipale
814 hab. (2018 )
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 22″ nord, 0° 25′ 51″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 66 m
Superficie 18,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Michel-de-Rieufret
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Saint-Michel-de-Rieufret
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Michel-de-Rieufret
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Saint-Michel-de-Rieufret
Liens
Site web www.saintmichel-de-rieufret.fr/

    Elle appartient à la Communauté de communes Convergence Garonne.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Michelois[1].

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Bordeaux et située dans la frange nord de la Haute-Lande-Girondine, en limite des Landes du Cernès, la commune fait partie du vignoble des Graves, mais la forêt domine le paysage. La topographie en est relativement plane et le sol est à dominante sableuse.

    La commune de Saint-Michel-de-Rieufret se trouve à 29 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 19 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7,5 km au sud-ouest de Podensac, chef-lieu de canton[2].

    Saint-Selve (2 685 hab.) à 7 km et La Brède (4 121 hab.) à 11 km sont des bourgs secondaires entre le village et Bordeaux.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Portets au nord, Arbanats au nord-nord-est sur environ 200 mètres, Virelade au nord-est, Illats à l'est, Landiras au sud, Saint-Morillon à l'ouest et Saint-Selve au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Saint-Michel-de-Rieufret
    Saint-Selve                          Portets          Arbanats Virelade
    Saint-Morillon Illats
    Landiras

    Communications et transports

    Les principales routes départementales traversant le village sont la route départementale D109 qui mène à Saint-Selve au nord-ouest et à Illats au sud-est, la route départementale D115 qui mène à Portets vers le nord et à Guillos vers le sud-sud-ouest en permettant de rejoindre la route départementale D116 qui conduit à Landiras au sud, la route départementale D117 qui mène à Cabanac-et-Villagrains vers l'ouest-sud-ouest et à Cérons vers l'est, la route départementale D124 qui mène à Arbanats vers le nord-nord-est et la route départementale D117e1 qui mène à Podensac vers le nord-est.

    L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse), dite autoroute des deux Mers et qui traverse le nord du territoire communal, est le no 2, dit de Podensac, qui est distant de km par la route vers le sud-est.

    L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 31 km vers le sud-est.

    Les gares SNCF les plus proches sont celle d'Arbanats, distante de km par la route vers le nord et celle de Podensac, distante de 7,5 km par la route vers le nord-est, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne, la gare de Langon proposant plus de trafic se trouve à 19 km vers le sud-est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabanac et Vill », sur la commune de Cabanac-et-Villagrains, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 923 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Rieufret (de l'occitan gascon riu freid, qui signifie ruisseau froid). Il prend sa source sur la commune de Cabanac-et-Villagrains entre Landiras et Guillos aux alentours du lac de Troupins, et se jette dans la Garonne à Virelade. Sur la commune de Landiras, il se nomme Batijean, puis Ruisseau de la Fontaine de Manine . À partir du Pas Bordelais jusqu'à la commune de Virelade il est le Rieufret, et enfin jusqu'à sa confluence avec la Garonne il se nomme la Barboue.

    Deux moulins à grains y étaient établis jusqu'au milieu du XXe siècle : le moulin de Manine sur la commune de Landiras, et le moulin de Barreyre sur la commune de Saint-Michel-de-Rieufret.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Michel-de-Rieufret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,6 %), zones urbanisées (3,2 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    La commune est reconnue dans les archives de l'archevêché depuis le XIe siècle sous le nom de Sancto Michaele de Rivo-Frigido.

    Rien n'exclut que la commune soit habitée depuis bien avant le Moyen Âge. L'église serait bâtie sur les fondations d'une église mérovingienne. Symétriquement à l'église par rapport au ruisseau, la configuration surélevée du site (un tuc en gascon) pose l'hypothèse de l'implantation d'un camp pré-gallo-romain.

    Sous l'empire romain, le territoire est inclus dans la Gaule aquitaine lors de la création des provinces romaines par Auguste en 27 av. J.-C..

    L'église, bâtie ou rebâtie au XVIe siècle, fut le lieu d'un pèlerinage relativement important en comparaison à la taille du village, consacré à l'archange saint Michel. En témoignent trois grandes nefs et trois retables de la fin du XVIIe siècle, dus à la générosité de Montferrand, barons de Landiras, et de Langoiran. A la fin du XIXe siècle, la famille de Joseph de Carayon Latour contribue à sa rénovation. La vie s'organise pendant des siècles autour du système agro-pastoral propre à cette grande zone humide. Saint-Michel-de-Rieufret appartient au pays de la Guyenne girondine. Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[22].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Michel-de-Rieufret forme la commune de Saint-Michel-de-Rieufret[23] et le territoire est inclus dans le canton de Podensac.

    Au XIXe siècle,la forêt des Landes est plantée, ici comme sur une grande partie des départements français des Landes et de la Gironde. Elle modifie durablement le paysage et les pratiques agricoles (forêt grandement monospécifique de pins maritimes).

    La population a doublé en 20 ans, des années 1980 aux années 2000, amorçant une nouvelle évolution du bourg vers une dynamique périurbaine (fermeture du café / station service, puis ouverture d'un commerce multi-service comprenant un bar et une épicerie avec dépôt de pain ; augmentation du nombre de véhicules par ménage, agrandissement de l'école…). Dans les années 2000, le bourg est mis en valeur (enterrement des lignes électriques, requalification pavée autour de l'église, construction d'une salle des fêtes, aménagement d'un rond-point).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1960 1983 Jean-Pierre Blancand    
    mars 1983 1999 Henry Marche RPR  
    1999 mars 2008 Christian Barbot   Retraité
    mars 2008 2020 Marc Gauthier[24] PS Architecte
    2020 En cours Jean-Bernard Papin    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

    En 2018, la commune comptait 814 habitants[Note 6], en augmentation de 44,58 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    204158166214180228229229221
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    210219213203204198203227227
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    237247230198155160144166148
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    144141153278471498517520522
    2013 2018 - - - - - - -
    563814-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie locale est peu développée. Une épicerie / dépôt de pain permet un approvisionnement local. Divers artisans des secteurs secondaire et tertiaire (coiffeur, traiteur…) sont établis sur la commune. Le nord du territoire est occupé par des gravières desquelles sont extraits sables et graves. Avant la création de la Communauté de communes, la commune bénéficiait de recettes fiscales de deux aires de l'autoroute A 62 .

    Vie locale

    La commune est équipée d'une école et d'une salle des fêtes. Elle propose à ses habitants un programme annuel de rencontres et de concerts et participe depuis 2015 au festival Festes baroques en terres de Graves et du Sauternais.[29]

    Elle est également dotée de quelques équipements sportifs (tennis, football, terrain de basket, terrain de pétanque). De nombreux chemins permettent la pratique de la randonnée pédestre ou cycliste.

    Plusieurs associations (gymnastique volontaire, tennis, MJC, chasse, pétanque, troisième âge…) participent à la dynamisation de la communauté.

    Le culte catholique est pratiqué à l'église.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Clément Janequin, auteur de chansons « profanes », fut curé de la paroisse de 1526 à 1530.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 12 avril 2013.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 27,1 km pour Bordeaux, 16,4 km pour Langon et km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 19 août 2014.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Cabanac et Vill - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Rieufret et Cabanac-et-Villagrains », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cabanac et Vill - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Rieufret et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XII, pages 79-105
    23. Historique des communes, p. 56, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 avril 2013.
    24. Commune de Saint-Michel-de-Rieufret sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 12 avril 2013.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Festes baroques », .
    30. « Inscription MH de l'église », notice no PA00083789, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 12 avril 2013.
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