Saint-Martory
Saint-Martory est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Saint-Martory | |||||
Église de Saint-Martory sur les rives de la Garonne. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cagire Garonne Salat | ||||
Maire Mandat |
Raoul Raspeau 2020-2026 |
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Code postal | 31360 | ||||
Code commune | 31503 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Martoryens | ||||
Population municipale |
1 000 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 120 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 08′ 34″ nord, 0° 55′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 269 m Max. 485 m |
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Superficie | 8,30 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bagnères-de-Luchon | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.commune-saintmartory.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Martory se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 66 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 17 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 48 km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-du-Salat[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Mancioux (2,4 km), Arnaud-Guilhem (2,6 km), Lestelle-de-Saint-Martory (2,9 km), Laffite-Toupière (3,1 km), Montsaunès (3,5 km), Mazères-sur-Salat (3,7 km), Roquefort-sur-Garonne (4,3 km), Auzas (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Martory fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].
Saint-Martory est limitrophe de huit autres communes dont Lestelle-de-Saint-Martory au sud-ouest par un quadripoint[7].
Hydrographie
La commune est arrosée par la Garonne qui la traverse d'ouest en est. Le ruisseau de Peyroutou, en rive gauche, marque la limite de communes avec Arnaud-Guilhem à l'ouest. La commune inclut aussi le début du canal de Saint-Martory avec sa prise d'eau dans la Garonne[7].
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 830 hectares ; son altitude varie de 269 à 485 mètres[8].
Le bourg historique est bâti sur la rive gauche de la Garonne au pied du front rocheux de l'Escalère. Le faubourg s'est lui développé sur la rive droite, dans la plaine alluvionnaire de la Garonne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cerizols », sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[14] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 21 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[25], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] : les « bois de la Hage et massifs de Laffite-Toupière à la Garonne » (1 069 ha), couvrant 8 communes du département[28] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] :
- « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[30] ;
- les « Petites Pyrénées en rive gauche de la Garonne » (3 525 ha), couvrant 12 communes du département[31].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martory est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,5 %), forêts (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (12,9 %), prairies (4,5 %)[37].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès :
- En voiture, depuis Toulouse ou Tarbes, par l'autoroute A64 sortie no 20 (« Saint-Martory ») ; et par la route nationale 117.
- En autocar, avec les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
- En train, accès direct par la gare de Saint-Martory (4 trains par jour) ou indirect par la gare de Boussens à 8 km.
Toponymie
Le toponyme Calagorris ou Calagurris, est identifié avec l’actuelle ville de Saint-Martory, et présente un parallélisme précis et unique dans la Calagurris vasconne de la vallée de l’Èbre, l’actuelle Calahorra (La Rioja, Espagne)[38].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Montagne-sur-Garonne[39].
Le nom de la commune en occitan est Sent Martòri.
Ses habitants sont appelés les Saint-Martoryens.
Le saint patron de la ville est saint Martory[40].
Histoire
Préhistoire
- Grotte de la Tourasse
La grotte de la Tourasse, parfois appelée grotte de Montpezat[41] car située pratiquement à l'aplomb de l'ancien château de Montpezat au nord-est de la ville[42], au lieu-dit la Tourasse[43]. En 1872 Gabriel de Mortillet choisit ce site pour caractériser un étage stratigraphique, le Tourassien, entre le Magdalénien et le Néolithique. Cet étage est aujourd'hui tombé en désuétude au profit du terme Azilien[44]. La stratigraphie de ce site inclut[45] du Magdalénien[46] ; un niveau qui est selon Huot (1985) soit un mélange Magdalénien / Azilien soit une véritable période transitionnelle[47], mais Barbaza (1997) l'attribue au Laborien[48] ; un niveau d'Azilien ancien[49] ; un niveau d'Azilien[50] ; et plusieurs niveaux de Sauveterrien[51].
- Grotte de Montconfort
La grotte de Montconfort, à proximité de la précédente, est une grotte ornée occupée au Magdalénien, fouillée en 1882 par L. Darbas[52]. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1993[53]. Elle a livré des sagaies de type Lussac-Angles, ce qui ajoute Montconfort à la courte liste des sites pyrénéens connus qui témoignent des relations entre le nord de l'Aquitaine et les régions méridionales avec la diffusion de ces sagaies en direction du sud (Quercy, Pyrénées, région cantabrique)[54].
Moyen-Âge
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[55],[56].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Martory était le chef-lieu de l'ex-canton de Saint-Martory) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Martory.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[58].
En 2018, la commune comptait 1 000 habitants[Note 8], en augmentation de 6,72 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[60] | 1975[60] | 1982[60] | 1990[60] | 1999[60] | 2006[61] | 2009[62] | 2013[63] |
Rang de la commune dans le département | 64 | 80 | 100 | 130 | 146 | 171 | 173 | 170 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Enseignement
Saint-Martory fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un groupe scolaire Louise-Michel : maternelle et primaire
Manifestations culturelles et festivités
- Festival annuel de bandas, dernier week-end de juillet, vide-grenier annuel organisé par l'association des parents d'élèves de l'école Louise-Michel de Saint-Martory, le premier dimanche de mai
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Saint-Martory.
- Chapelle Notre-Dame de Monconfort : après la destruction de l'ancienne chapelle pendant la révolution en 1793, elle fut reconstruite de 1834 à 1837 par les paroissiens de Saint-Martory avec les pierres en grès jaune de l'abbaye de Bonnefont, et bénite le sous le vocable de Notre-Dame de Montconfort par Mgr d'Astros en présence des curés de paroisses voisines, des magistrats, des officiers municipaux, militaires et personnes notables qui participèrent à la procession de l'église vers la chapelle. L'autel en marbre, les reliques et la statue de la Vierge à l'Enfant (1 mètre de haut) ont été transférées à l'église Saint-Martory[64].
- Oratoire Notre-Dame de Poueich, construit en 1880 sur la colline dominant la ville de Saint-Martory, au Bout du Poueich. Sur le socle est gravé en latin : « Posuerunt me custodem » (« Ils m'ont placé comme gardienne ») et « Salve Regina » (« Salut, ô Reine »).
- Grotte de la Tourasse (voir plus haut la section « Préhistoire »).
- Grotte de Montconfort (voir plus haut la section « Préhistoire »).
- Le canal de Saint-Martory
- Le pont magistral sur la Garonne date de 1724 et est l'œuvre de l'intendant Antoine d'Étigny à qui l'on doit aussi les deux arcs de triomphe. L'ensemble formé par le pont et ces deux anciennes portes de la ville est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1950[65].
- La famille des Montpezat, comtes de Comminges, a successivement construit deux châteaux à Saint-Martory : le premier, du XIe siècle, surplombe la ville au nord-est sur la colline de Montpezat ; l'autre, d'architecture Renaissance, est bâti sur la rive droite de la Garonne à 280 m en aval du pont principal. Ce dernier château est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1993[66].
- À côté de l'église, le menhir Peyro-Hitto est classé monument historique depuis 1962[67].
- L'ancienne gendarmerie présente des éléments architecturaux des XIIe et XIIIe siècles provenant de l'ancienne abbaye de Bonnefont. L'immeuble a dans un premier temps été inscrit au titre des monuments historiques en 1927, avant d'être classé en 1994[68].
- Rue du Centre, un immeuble du XVIIIe siècle attenant à des vestiges de remparts est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1988[69].
- Papeterie de Foulon, usine du groupe des Papeteries Navarre.
L'église Saint-Martory Chapelle Notre-Dame de Monconfort Le menhir de Peyro-Hitto. Le pont de Saint-Martory
sur la Garonne.La porte du pont. La porte de ville dans le prolongement du pont.
Personnalités liées à la commune
- Jean de Montpezat de Carbon (1605-1685), évêque de Saint-Papoul, puis archevêque de Bourges puis à Sens.
- Joseph de Montpezat de Carbon (1615-1687), frère du précédent, archévêque de Toulouse.
- Henri Joseph Vincent Latour (1751-1828), général, blessé le suivant lors des émeutes à Saint-Martory.
- Norbert Casteret (1897-1987), considéré comme le père de la spéléologie moderne, mais aussi préhistorien et écrivain, né dans la commune.
- Ernest Pugibet (1853-1915), industriel franco-mexicain, né dans la commune.
- Hubert Clément (1915-2012), militaire français qui s'illustra durant la guerre d'Algérie, décédé dans la commune.
- Vigilance de Calagurris, prêtre né sur le territoire de la commune connu par des lettres et un traité de saint Jérôme, Contre Vigilance.
Héraldique
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Les armes de Saint-Martory se blasonnent ainsi : De sable au marteau au long manche d'argent posé en bande[70] |
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Voir aussi
Bibliographie
- [Manière 1969] Gabriel Manière, « Voies et ponts antiques dans la commune de Saint-Martory (Haute-Garonne) », Gallia, t. 27, no 2, , p. 163-170 (lire en ligne [sur persee]).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Saint-Martory sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Notes sur la démographie
Références
- « Métadonnées de la commune de Saint-Martory », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Martory », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- « Saint-Martory, carte IGN interactive » sur Géoportail..
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Saint-Martory et Cérizols », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Saint-Martory et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Martory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Martory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Linguistique et peuplement en Aquitania par Joaquín Gorrochategui. Si on isole l’élément -gurri, nous sommes limités géographiquement à une zone vasconne avec Grachurris en parallèle ; s’il faut isoler -gorri, les parallélismes aquitains et basques sont clairs et répétés.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Saint Martory », sur nominis.cef.fr (consulté le ).
- [Chamaison 1891] Chamaison, « Découvertes préhistoriques (1891) - La grotte de Montpezat », Revue de Comminges, t. 6, 1er trimestre 1891, p. 303-309 (lire en ligne [sur gallica]).
- « Montpezat sur Saint-Martory, carte IGN interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- Chamaison 1891, p. 304.
- [Orliac 1975] Michel Orliac, « II. — La grotte de Tourasse-Saint-Martory (Haute-Garonne) », Bulletin de l'Association française pour l'étude du Quaternaire, vol. 12, nos 3-4, , p. 189-190 (lire en ligne [sur persee]).
- [Huot 1985] Jean-Paul Huot (responsable d'opération), « Saint-Martory – Grotte-abri de la Tourasse. Fouille programmée », Archéologie de la France - Informations Occitanie, (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
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- [Barbaza 1997] Michel Barbaza, « L'Azilien des Pyrénées dans le contexte des cultures de la fin du Tardiglaciaire entre France et Espagne », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 94, no 3, , p. 315-318 (lire en ligne [sur persee]), p. 317.
- Huot 1985, paragr. 5.
- Huot 1985, paragr. 4.
- Huot 1985, paragr. 3.
- [Boche 2005] Élisa Boche, « Saint-Martory - Grotte de Montconfort », Bilan scientifique 2005 du Service Régional de l'Archéologie de Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication, Service régional de l'archéologie (SRA), , p. 87 (lire en ligne [PDF] sur culture.gouv.fr, consulté le ).
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- [Sauvet et al. 2008] Georges Sauvet, Javier Fortea, Carole Fritz et Gilles Tosello, « Échanges culturels entre groupes humains paléolithiques entre 20.000 et 12.000 BP », Bulletin de la Société Préhistorique Ariège-Pyrénées, t. 63, , p. 73-92 (lire en ligne [PDF] sur researchgate.net, consulté le ), p. 79.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- [Dumail 1999] Alphonse Dumail, Les Églises du diocèse de Comminges - Chapelles et monuments dédiés à Notre-Dame, Société des Études du Comminges, (ISBN 2-9511114-1-X).
- « Pont, porte de pont et porte de ville », notice no PA00094470, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Château », notice no PA00125570, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Menhir dit Peyro-Hitto », notice no PA00094469, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Immeuble dit Ancienne gendarmerie », notice no PA00094466, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 16 novembre 2011.
- « Immeuble du XVIIIe siècle », notice no PA31000069, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- Source: Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d'Hozier
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