Saint-Izaire

Saint-Izaire est une commune française du sud Aveyron, en région Occitanie.

Saint-Izaire
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons
Maire
Mandat
Christian Vernhet
2020-2026
Code postal 12480
Code commune 12228
Démographie
Population
municipale
304 hab. (2018 )
Densité 8,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 32″ nord, 2° 43′ 17″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 620 m
Superficie 34,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Affrique
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Affrique
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Izaire
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
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Saint-Izaire
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Saint-Izaire

    Géographie

    Localisation

    Site

    Situé à 265 mètres d'altitude dans un méandre du Dourdou, le village se trouve au cœur du Rougier de Camarès.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Izaire.

    La commune est drainée par le Tarn, le Dourdou de Camarès, le Gos, le Len, le ruisseau de Bucels et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380,2 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère (48) et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave (82), après avoir arrosé 99 communes[2].

    Le Dourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune de Murat-sur-Vèbre (81) et se jette dans le Tarn à Saint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[3].

    Le Gos, d'une longueur totale de 17 km, prend sa source dans la commune de Saint-Juéry et se jette dans lele Rance à Plaisance, après avoir arrosé 4 communes[4].

    Le Len, d'une longueur totale de 16,8 km, prend sa source dans la commune de Saint-Affrique et se jette dans le Dourdou de Camarès à Saint-Izaire, après avoir arrosé 5 communes[5].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 858 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Il est caractérisé par une moyenne annuelle de température élevée (supérieure à 13 °C) et un nombre élevé (> 23) de jours chauds tandis que les jours qui présentent un gel inférieur à −5 °C sont rares[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[8]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau de la commune[9], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[14],[15],[16].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18] :

    • La « Vallée du Tarn (de Brousse-le-Château jusqu'aux gorges) », d'une superficie de 3 713 ha, s'étend sur dix communes de l'Aveyron. Il s'agit d'une vallée encaissée offrant une grande diversité de situations aquatiques et géologiques (terrains calcaires et acides) entrainant une végétation originale. Des grottes à chauves-souris sont présentes ainsi qu'une population remarquable d'Odonates rares, notamment Macromia splendens[19] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Saint-Izaire comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[20], la « Rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[21] ; et la « Vallée du Tarn à Brousse » (1 398 ha), couvrant 6 communes du département[22] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[20] :

    • le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[23] ;
    • la « Vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), qui s'étend sur 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, 1 dans la Lozère et 25 dans le Tarn[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Izaire est une commune rurale[Note 4],[25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Izaire.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,6 %), zones agricoles hétérogènes (39,2 %), terres arables (7,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), prairies (0,2 %)[30].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons, dont la commune est membre[31].

    La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[32].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Izaire est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[33],[34].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Saint-Izaire.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Dourdou de Camarès. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[35]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du bassin de la « Sorgues et du Dourdou de Camarès aval »[36], approuvé le 23 mai 2017[37].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[38].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[39],[40].

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[41].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Izaire est classée à risque moyen à élevé[42]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[43] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[44].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Rive-Libre[45].

    Histoire

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Saint-Izaire est membre de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[46], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vabres-l'Abbaye. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[47].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[46]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Affrique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[46], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[48].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Saint-Izaire, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[49] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[50]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[51] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 64,65 %[52]. Christian Vernhet est élu nouveau maire de la commune le [53].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[54]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[55].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 mai 2020 Jean-Jacques Sellam[56]   Retraité de l'enseignement
    mai 2020 en cours Christian Vernhet[56],[57]   Technicien
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].

    En 2018, la commune comptait 304 habitants[Note 6], en augmentation de 0,66 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    5174711 7341 0951 2631 1241 2341 2561 246
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 2751 2471 2431 2611 2931 3421 1911 1731 118
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5491 387995965907863790622589
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    495410337284317330304305304
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Statues-menhirs dont des reproductions sont exposées sur un circuit pédestre de découverte.
    • Dolmen de Saint-Antonin.
    • Dans le bourg, des bâtisses du XVe et XVIe siècle aux fenêtres à meneaux.
    • Musée d'art traditionnel, au château.


    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean-Luc Malet), Sent-Africa : La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 429 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-54-8, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF38977452)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Saint-Izaire », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Tarn »
    3. Sandre, « le Dourdou de Camarès »
    4. Sandre, « le Gos »
    5. Sandre, « le Len »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Izaire et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    19. « site Natura 2000 FR7300847 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
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    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    61. Notice no PA00094237, base Mérimée, ministère français de la Culture
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