Saint-Nicolas-de-la-Grave
Saint-Nicolas-de-la-Grave est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Nicolas.
Saint-Nicolas-de-la-Grave | |||||
Château de Richard-Cœur-de-Lion - mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Castelsarrasin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres des Confluences | ||||
Maire Mandat |
Bernard Bouché 2020-2026 |
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Code postal | 82210 | ||||
Code commune | 82169 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nicolaïtes | ||||
Population municipale |
2 283 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 78 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 03′ 52″ nord, 1° 01′ 25″ est | ||||
Altitude | 76 m Min. 59 m Max. 88 m |
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Superficie | 29,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Nicolas-de-la-Grave (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Moissac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Garonne-Lomagne-Brulhois (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-stnicolas82.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Commune située en Rivière-Verdun au carrefour des provinces de la Gascogne, de la Guyenne et du Quercy. Bordé de vergers et de cultures, le village domine la plaine de la Garonne et de la Sère. Édifié sur la rive gauche de la Garonne, à proximité de son confluent avec le Tarn, le village se trouve à 70 km de Toulouse, à 32 km d'Agen, à 11 km de Castelsarrasin et à 8 km de Moissac.
Communes limitrophes
Saint-Nicolas-de-la-Grave est limitrophe de huit autres communes.
Hydrographie
La commune est arrosée par le lac du barrage de Malause formé par la Garonne et le Tarn qui y confluent.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 934 hectares ; son altitude varie de 59 à 88 mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec l'autoroute A62 puis les routes départementales D 813 (ex RN 113) et D 26.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[9]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[13] à 14 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Nicolas-de-la-Grave est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nicolas-de-la-Grave, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 283 habitants en 2018, constituant une ville isolée[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moissac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), cultures permanentes (9,3 %), eaux continentales[Note 6] (8,8 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), prairies (0,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Nicolas, porte les noms de La Grave-Bec-du-Tarn, La Grave-du-Bec et La République[24].
En 1892, la terminaison de-la-Grave est ajoutée au nom de la commune[24].
En occitan, la ville est nommée Sent Micolau de la Grava.
Ses habitants sont appelés les Nicolaïtes[25].
Histoire
Les environs de Saint-Nicolas-de-la-Grave sont occupés dès l'époque gallo-romaine ; les ruines d'une villa ont été retrouvées près du lieu-dit Marcassus, sur la rive gauche de la Sère et un chapiteau corinthien en marbre blanc a été découvert au lieu-dit les Arênes. Des fragments de tuile, de poteries et d'amphores ont également été trouvés à l'ouest du village et au lieu-dit les Patots, un très vieux chemin serait une ancienne voie romaine.
Mais c'est au XIIe siècle que les moines de Moissac édifient un château sur la rive gauche de la Garonne, face au confluent du Tarn, sur le bord du plateau qui domine la plaine d'alluvions. Car le lieu est un carrefour stratégique et il leur est disputé par les vicomtes de Lomagne. Des souterrains permettent de sortir du château et de rejoindre l'abbaye de Moissac. Autour du château, une agglomération se développe peu à peu, avec un port au pied du château. En 1135, Guillaume, Abbé de Moissac s'associe au vicomte Saxetus de Lomagne et à la vicomtesse Sybille d'Auvillar pour accorder une charte à ce bourg qui devient la « sauveté » de Saint Nicolas (une sauveté est une agglomération fondée par les monastères antérieurement au mouvement de création des bastides) : les habitants sont libres dans l'enceinte de la ville. Dans un acte additionnel à la charte, le vicomte de Lomagne jure aux moines et aux habitants de Saint-Nicolas de ne jamais leur enlever leur ville ni leur château et de les protéger contre les envahisseurs.
Vers 1185, lors de sa campagne victorieuse en Quercy au cours de laquelle il conquiert seize châteaux, le roi d'Angleterre Richard Cœur-de-Lion aurait séjourné au château et y aurait fait construire la tour de devant dite tour des Anglais. L'abbé Bernard de Montaigu, qui occupe la chaire abbatiale de Moissac de 1260 à 1295, fait construire l'aile ouest du château et ses deux tours de quatre mètres de côtés et hautes de 25 et de 28 mètres.
À la fin du XIIIe siècle, le château est donc achevé avec ses quatre tours ; il mesure 125 mètres dans son axe est-ouest et 100 mètres dans son axe nord-sud. Le plan du bourg est simple ; il s'agit d'un rectangle orienté est-ouest, de 440 mètres de long sur 200 de large, traversé par un axe principal et ceinturé de remparts (aujourd'hui disparus et remplacés par les boulevards) avec en son centre une vaste place.
En 1345, Saint-Nicolas-de-la-Grave était une forteresse[26].
Avant 1806, la commune absorbe celle voisine de Moutet[24].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Terres des Confluences et du canton de Garonne-Lomagne-Brulhois (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Nicolas-de-la-Grave était le chef-lieu du canton de Saint-Nicolas-de-la-Grave) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Sère - Garonne - Gimone.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2018, la commune comptait 2 283 habitants[Note 7], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[32] | 1975[32] | 1982[32] | 1990[32] | 1999[32] | 2006[33] | 2009[34] | 2013[35] |
Rang de la commune dans le département | 20 | 16 | 16 | 16 | 17 | 18 | 18 | 18 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
Économie
Au cœur de la vallée de la Garonne, le village vit pour l'essentiel de l'arboriculture et la culture des céréales (maïs notamment). La principale usine, créée en 1968, la scierie Desmazels a connu depuis la fin des années 90 de nombreux problèmes de gestion. Avec 44 salariés, en , l'entreprise spécialisée désormais dans la fabrication de volet a été rachetée en 2006 par le groupe Sothoferm[36]. Après une première vague de licenciements (), le PDG du groupe poitevin Sothoferm, Bernard Paineau a finalement décidé de fermer cette scierie familiale et de licencier les 35 salariés restants[37].
- Marché fermier tous les lundis.
Enseignement
Saint-Nicolas-de-la-Grave fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par le groupe scolaire Jean Lafougère et par une école privée Saint Joseph[38].
Santé
La commune possède des infirmiers, des médecins généralistes, des dentistes des kinésithérapeutes un Psychologue, une pharmacie et un vétérinaire[39].
Culture et festivités
Médiathèque, musée Lamothe-Cadillac[40], office de tourisme,
Activités sportives
Football la nicolaite, basketball, gymnastique, cyclisme, tennis[41]...
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Terres des Confluences[42].
Sur la commune, il existe une déchèterie située dans la Zone artisanale La Biarne.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Richard-Cœur-de-Lion, château des abbés de Moissac, (XIIe siècle-XIIIe siècle), actuelle mairie, inscrite au titre des monuments historiques en 1978[43].
- L'église paroissiale Saint-Victor de Saint-Nicolas-de-la-Grave : construite vers 1685, l'église ferme à moitié la place centrale du bourg. Elle possède un porche et un clocher octogonal de style toulousain. Son portail comporte des éléments Renaissance. Elle contient la chasse de saint Ansbert, un abbé légendaire de Moissac.
- L'église Notre-Dame du Moutet, inscrite au titre des monuments historiques en 1978[44]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[44].
- La chapelle Notre-Dame-de-Pitié ou des-Sept-Douleurs actuelle, construite sur une initiative privée, date de 1836. Elle était destinée à remplacer la chapelle Notre-Dame-de-Pitié détruite en 1793, qui fut jadis un lieu de pèlerinage pour les marins. En effet, la ville antique était dotée d'un port fluvial et c'est donc naturellement sous la protection de saint Nicolas que cette population de pêcheurs s'est placée. Lorsque cette population s'est déplacée, une nouvelle église lui a été affectée et la paroisse primitive s'est muée en chapelle, mais elle n'a pas été abandonnée pour autant. La dévotion des mariniers se conserva d'autant plus jalousement qu'à Auvillar, la même corporation dépendait d'une chapelle particulière : il y avait échange de pèlerinages. Cependant, avec le retrait des eaux de la Garonne, la libération de la plaine basse et l'éloignement de plus en plus grand du port, les mariniers ont disparu et, avec eux, les pèlerinages en vue des « choses de la mer ».
À la suite probable d'une importante réparation ou d'une réfection, l'autorité ecclésiastique a alors orienté les dévotions dans un sens différent, ce qui expliquerait les pèlerinages des femmes venant prier pour une heureuse délivrance, et l'appellation suivante de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs.
- Église Notre-Dame
- Église Saint-Victor
- L'intérieur de l'église Saint-Victor
- Maison natale du chevalier de Lamothe-Cadillac, inscrite au titre des monuments historiques en 1973[45].
- La Halle : construite en 1898 à l'emplacement d'un édifice plus ancien, la halle est située face à l'église, sur la place centrale du bourg, la place Nationale, où se tient le marché. C'est un simple parapluie métallique qui repose sur des colonnes de fonte. Elle possède deux rangées de couverts en équerre, « les cornières ».
- Le kiosque à musique a été construit en 1932 sur les allées Joseph-Lasserre. C'est le dernier témoin de l'époque où la musique était un élément dynamique de la vie sociale. Les harmonies s'y installaient le dimanche pour un concert gratuit, suivi par un public assis sur les chaises installées à l'ombre des platanes de la Promenade.
Il ne reste plus beaucoup de kiosques dans la région Midi-Pyrénées, celui de Saint-Nicolas est le point fort des festivités locales : carnaval, bal du 14-Juillet et concerts de la Lyre de Castelsarrasin.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Laumet, dit Antoine de Lamothe-Cadillac, fondateur de la ville de Detroit (Michigan) en 1701 et gouverneur de la Louisiane de 1710 à 1716, y est né le . Sa maison natale est devenue un musée.
- Thomas Goulard (1697-1784), né à Saint-Nicolas, était démonstrateur royal de chirurgie et d'anatomie à Montpellier et chirurgien-major de l'hôpital militaire de cette ville. On a de lui un traité des effets des préparations de plomb, et principalement de l'extrait de saturne. Son nom est resté attaché à l'extrait de saturne, qu'on appelle communément eau de Goulard (acétate de plomb). Grand-père d'Eugène de Goulard.
- Louis-Bernard Aÿral (1736-1810), conventionnel régicide né et mort dans la commune.
Héraldique
Blason | D'azur à la colombe d'argent tenant un rameau d'olivier de sinople en son bec. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Castelsarrasin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-la-Grave et Castelsarrasin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Castelsarrasin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Saint-Nicolas-de-la-Grave », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Moissac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- Firmin Galabert, Désastres causés par la guerre de Cent ans au pays de Verdun-sur-Garonne à la fin du XIVe siècle.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Max Lagarrigue, Plan de licenciements chez Desmazels, La Dépêche du Midi, 6/2/2009.
- Max Lagarrigue, Desmazels: 23 ex-salariés aux prud'hommes, La Dépêche du Midi, 05/12/2009 et Ex-Desmazels: les licenciés...désabusés,La Dépêche du Midi, 26/03/2010.
- http://www.ville-stnicolas82.fr/fr/jeunesse/temps-scolaire.html
- http://www.ville-stnicolas82.fr/fr/cadre-de-vie/sante.html
- http://www.tourismesnlg.fr/musee.html
- http://www.ville-stnicolas82.fr/fr/culture-loisirs/la-vie-associative/sports.html
- http://www.ville-stnicolas82.fr/fr/cadre-de-vie/environnement.html
- « Château dit de Richard Cœur de Lion », notice no PA00095882, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Notre-Dame du Moutet », notice no PA00095883, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison natale du chevalier de Lamothe-Cadillac », notice no PA00095884, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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