Martrin

Martrin est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Martrin

Mairie de Martrin

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons
Maire
Mandat
Christiane Cailliau-Deleu
2020-2026
Code postal 12550
Code commune 12141
Démographie
Gentilé Martinol(le)
Population
municipale
224 hab. (2018 )
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 22″ nord, 2° 37′ 12″ est
Altitude Min. 311 m
Max. 630 m
Superficie 23,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Martrin
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Martrin
Géolocalisation sur la carte : France
Martrin
Géolocalisation sur la carte : France
Martrin

    Géographie

    Localisation

    Site

    Martrin se situe sur un petit plateau. Plus au nord coule le Tarn. À 4,5 km de Martrin se situe le hameau pittoresque du Cayla.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Martrin.

    La commune est drainée par le Gos, le Ruisseau de Mousse, la Gravière, le ruisseau de Goussilles, le ravin de la Mole et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Gos, d'une longueur totale de 17 km, prend sa source dans la commune de Saint-Juéry et se jette dans lele Rance à Plaisance, après avoir arrosé 4 communes[2].

    Le Ruisseau de Mousse, d'une longueur totale de 13,4 km, prend sa source dans la commune de Martrin et se jette dans le Rance à La Bastide-Solages, après avoir arrosé 5 communes[3].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 055 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[6]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Albi le Sequestre, qui se trouve à 40 km à vol d'oiseau de la commune[7], où la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 13,4 °C pour 1981-2010[9], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[10].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[12],[13],[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Martrin comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[15], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Martrin est une commune rurale[Note 3],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Martrin.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,3 %), forêts (32,1 %), prairies (11,7 %)[22].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons, dont la commune est membre[23].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[24].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Martrin est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[25],[26].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[27].

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[28].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Martrin est classée à risque moyen à élevé[29]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[30] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].

    Histoire

    À proximité du village se trouve la chapelle sanctuaire dédiée à Saint Clément. Dans tous les villages de cette zone limitrophe du département du Tarn, au début du XXe siècle, l'Assistance publique de l'Hérault à Montpellier plaçait des enfants en nourrice, orphelins ou abandonnés, et ils devenaient généralement ouvriers agricoles dès l'âge de 13 ans. Cela a été davantage réglementé par la loi de .

    Les Hospitaliers

    Martrin était une ancienne commanderie hospitalière des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Plusieurs bâtiments en témoignent :

    • La Tour-clocher bâtie en 1392 servait de refuge à la population en temps de guerre.
    • L'église, juxtaposée à la Tour, est plus récente. Elle renferme dans une de ses chapelles un tombeau de la fin du XVe siècle, celui de Penavayre de Sales, commandeur de l'ordre des Hospitaliers.
    • Le château, reconstruit au XVe siècle et surnommé la Commanderie, a conservé la majeure partie de ses pièces.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Martrin est membre de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[32], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vabres-l'Abbaye. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[32]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[32], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[34].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Martrin, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[35] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-deux candidats en lice[37], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[38]. Christiane Cailliau-Deleu est élue nouvelle maire de la commune le [39].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[40]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[41].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mai 2020 Claude Boyer[42]   Retraité des artisans, commerçants et chefs d'entreprise
    mai 2020 en cours Christiane Cailliau-Deleu[42],[43]   Ancienne cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

    En 2018, la commune comptait 224 habitants[Note 4], en diminution de 5,49 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    3503361 1551 3091 0631 2481 2361 2551 204
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0911 0591 0401 0321 0051 055969862820
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    828825668651587581551475423
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    366305272241238219216235226
    2018 - - - - - - - -
    224--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame-de-Septembre

    Tombeau de Penavayre de Sales

     Inscrit MH (1927)[48]. Il s'y trouve le tombeau de Penavayre de Sales, Commandeur des Hospitaliers.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Lavalette, né « Valete » le à Martrin (France) et décédé le à Toulouse était un prêtre jésuite français, missionnaire en Martinique. Bien qu'il ait quitté la Compagnie de Jésus en 1762, Lavalette est à l'origine d'un scandale financier qui contribua beaucoup à jeter l'opprobre sur la Compagnie de Jésus et précipita son bannissement de France en 1763.

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er coupé au I d'or au saule de sinople, les branches en redorte d'une pièce, au II d'or à l'aigle couronnée de gueules, au 2d d'or à la tour hospitalière au trait de sinople ; le tout sommé d'un comble à la Religion (ou de gueules à la croix d'argent)[49].
    Détails
    Le comble et le saule sont ceux de Penavayre de Sales, ancien commandeur de la commanderie locale, représentée dans le second parti. L'aigle est celle de la famille de Martrin.

    Création d'Élian Molinié-Tavernier utilisée par la commune.

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF35529736)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Martrin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Gos »
    3. Sandre, « le ruisseau de Mousse »
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Orthodromie entre Martrin et Le Sequestre », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Albi le Sequestre - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Albi le Sequestre - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Albi le Sequestre - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    12. « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
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    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Martrin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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    23. « Le SCOT du PNR des Grands Causses - présentation générale », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
    24. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    25. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Rapport présentant les risques affectant la commune », sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le )
    28. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    29. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    30. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Arrêté du 27 juin 2018 portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
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    35. Article L. 252 du Code électoral
    36. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
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    40. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
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    43. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. Notice no PA00094058, base Mérimée, ministère français de la Culture
    49. « 12141 Martrin (Aveyron) », sur armorialdefrance.fr (consulté le )
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