La Serre

La Serre est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir La Serre (homonymie).

La Serre

La mairie de La Serre.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Franck Couderc
2020-2026
Code postal 12380
Code commune 12269
Démographie
Gentilé Serrois(e)
Population
municipale
123 hab. (2018 )
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 06″ nord, 2° 40′ 58″ est
Altitude Min. 398 m
Max. 668 m
Superficie 18,52 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
La Serre
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
La Serre
Géolocalisation sur la carte : France
La Serre
Géolocalisation sur la carte : France
La Serre

    Géographie

    Généralités

    Dans la moitié sud du département de l'Aveyron, dans le parc naturel régional des Grands Causses, la commune de La Serre s'étend sur 18,52 km2.

    L'altitude minimale, 398 mètres, se trouve localisée au nord, là où le ruisseau de Goussilles quitte la commune et entre dans celle de Martrin. L'altitude maximale avec 668 mètres se situe à l'ouest entre les lieux-dits la Borie d'Alricie et Lestrade[1].

    Traversé par la route départementale (RD) 151, le village d'Anglas  où est implantée la mairie de La Serre  est situé, en distances orthodromiques, dix-huit kilomètres au sud-ouest de Saint-Affrique.

    La commune est également desservie par la RD 501.

    Communes limitrophes

    Carte de La Serre et des communes avoisinantes.

    La Serre est limitrophe de quatre autres communes.

    À l'ouest, son territoire est distant de moins de quatre-cents mètres de celui de Coupiac.

    Communes limitrophes de La Serre
    Martrin Saint-Juéry
    Saint-Sernin-sur-Rance Combret

    Villages

    Anglas, Monteils et Saint-Christophe.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de la La Serre.

    La commune est drainée par le Merdanson, la Gravière, le ruisseau de Goussilles et par divers petits cours d'eau[2].

    Elle est bordée au sud sur environ six kilomètres par le Merdanson, un affluent du Rance et au nord sur trois kilomètres par la Gravière, un affluent du Gos. Elle est également arrosée par le ruisseau de Goussilles, un autre affluent du Gos.

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 036 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[5]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 39 km à vol d'oiseau de la commune[6], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[7], à 10,9 °C pour 1981-2010[8], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[9].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, qui s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[11],[12],[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de La Serre comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[14], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Serre est une commune rurale[Note 3],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de La Serre.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (77,5 %), forêts (22,5 %)[21].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[22].

    La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[23].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Serre est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[24],[25].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[24], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[27]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[28]

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[30].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de La Serre est classée à risque moyen à élevé[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

    Histoire

    Créée à la Révolution, la commune de Monteils fusionne en 1833 avec celle de Saint-Sernin-sur-Rance. En 1880, la commune de La Serre est créée depuis le territoire de Saint-Sernin-sur-Rance[34].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de La Serre est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[35], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[35]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[37], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Serre, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 75,4 %[42]. Franck Couderc, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [43].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[45].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours Franck Couderc[46],[47] DVD Professeur, profession scientifique

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2018, la commune comptait 123 habitants[Note 4], en augmentation de 1,65 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    118120516505507481510420415
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    404362344329311337345326259
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    204176140144129118123--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    D’azur, à deux pals d’argent, chargés en fasce d'une croix de Malte de gueules; au chef de sinople, chargé d’une tête de Méduse accostée de deux statues menhir, le tout d’argent.
    Détails
    L’azur symbolise les cours d’eau communaux qui sont au nombre de trois: La Gravière, le ruisseau de Goucille et le Merdanson.

    La commune actuelle est le résultat du regroupement de trois anciennes paroisses: Monteils, Anglas et Saint-Christophe. Ils sont également représentés par chacune des parties azur.

    L’argent et la croix de Malte proviennent des armes des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem qui dirigeaient la commanderie de Monteils. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d'en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Le chef qui symbolise la hauteur permet de traduire le nom du village; il est de sinople pour indiquer la présence de vastes pâturages propices à l’élevage surtout ovin.

    Les deux statues menhir représentent celles qui ont été trouvées à Anglas et à Monteils.

    La tête de Méduse symbolise le sanctuaire gallo romain découvert au Fraysse. Il était dédié à Minerve, la déesse de la guerre, de la sagesse et des arts. Dans l'antiquité elle était représentée en guerrière avec une chouette, un bouclier sur lequel figure la tête de Méduse, puissante divinité qui transformait instantanément en pierre quiconque la regardait.

    Les ornements sont deux gerbes de blé d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'azur pour honorer l'activité agricole.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF35529736)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. 43° 53′ 34″ N, 2° 37′ 50″ E . Ne pas confondre avec la commune de Monteils à l'ouest du département.

    Références

    1. « 668 » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2019)..
    2. « Fiche communale de la Serre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Orthodromie entre La Serre et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    7. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    8. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
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    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    22. « Le SCOT du PNR des Grands Causses - présentation générale », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
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    28. « Carte de zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de La Serre », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    29. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    30. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    31. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
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    38. Article L. 252 du Code électoral
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    45. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
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    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    50. Église de l'Assomption, Clochers de France, consulté le 18 juillet 2019.
    51. Chapelle Saint-Amand, Clochers de France, consulté le 18 juillet 2019.
    52. Chapelle Saint-Christophe, Clochers de France, consulté le 18 juillet 2019.
    53. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, lire en ligne sur Gallica
      Monteils et Sainte-Eulalie ne faisaient pas partie du grand prieuré de Toulouse mais les archives de certaines commanderies du grand prieuré de Saint-Gilles se trouvaient à Toulouse dont celles de Sainte-Eulalie.
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