Saint-Genis-d'Hiersac

Saint-Genis-d'Hiersac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Genis (homonymie).

Saint-Genis-d'Hiersac

Saint-Genis vue de la route d'Angoulême.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes du Rouillacais
Maire
Mandat
Wilfried Fournier
2020-2026
Code postal 16570
Code commune 16320
Démographie
Gentilé Saint-Genissois
Population
municipale
901 hab. (2018 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 03″ nord, 0° 01′ 46″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 147 m
Superficie 19,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Genis-d'Hiersac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Genis-d'Hiersac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Genis-d'Hiersac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Genis-d'Hiersac
Liens
Site web saintgenisdhiersac.fr

    Ses habitants sont les Saint-Genissois et Saint-Genissoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Genis-d'Hiersac est une commune située à 15 km au nord-ouest d'Angoulême et km au sud-est de Rouillac, sur la route d'Angoulême à Saint-Jean-d'Angély et la rive droite de la Charente dont elle surplombe la large vallée.

    Le bourg de Saint-Genis est aussi à km à l'est de Vars et km au nord d'Hiersac, chef-lieu de son canton, d'où le nom de la commune située à son extrémité nord[2].

    La route principale est la D 939, route d'Angoulême à La Rochelle par Saint-Jean-d'Angély, qui traverse toute la commune en restant sur les hauteurs et passe à 0,3 km au nord du centre-bourg. La D 11, route de Rouillac à Chasseneuil par Vars, bifurque aussi de cette route et traverse le nord de la commune d'ouest en est. La D 19, route d'Angoulême à Genac et Aigre par la rive droite de la Charente, bifurque aussi de la D 939 près du bourg et va vers le nord. Ce dernier est traversé par la D 53 en direction d'Hiersac[3].

    Saint-Genis-d'Hiersac fait partie des 80 communes de l'aire urbaine d'Angoulême.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte quelques hameaux relativement importants : Basse au nord-est, au bord de la Charente et sur la route de Vars, Boisrouffier, Grosbot, plus près du bourg et dominant la vallée, les Avenants à l'ouest, Roissac, les Chênasses, les Grillauds et Boursandreau au sud, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien). Le Portlandien occupe le sud de la commune et forme une cuesta faisant face au nord-est qui correspond aussi au versant ouest de la vallée de la Charente, très large au nord d'Angoulême.

    On trouve quelques zones de grèzes datant du Quaternaire, sur le sommet du plateau 500 m à l'est du bourg. Les vallées mêmes de la Charente (partie inondable, à l'extrême nord-est de la commune) et de la Nouère (à l'ouest) sont composées d'alluvions plus récentes (limon, argile sableuse, tourbe)[4],[5],[6].

    La commune occupe les hauteurs comprises entre les vallées de la Nouère à l'ouest, et celle de la Charente à l'est. La Charente se divise en de nombreux bras, et la Grande Île ou île de Saint-Genis fait partie du territoire communal.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 147 m, situé à Grosbot et dominant la vallée de la Charente, correspondant aussi à la crête de la cuesta. Le point le plus bas est à 41 m, situé le long de la Charente à l'extrémité nord-est. Le bourg est à environ 130 m d'altitude, et le clocher de son église est visible de loin. À l'ouest, la Nouère quitte la commune à une altitude de 59 m[3].

    Hydrographie

    La commune est à la fois arrosée par la Charente en amont d'Angoulême à son extrémité nord-est (hameau de Basse), et, sur sa limite occidentale, par la Nouère, affluent de la Charente en aval d'Angoulême.

    De nombreuses sources et fontaines sont disséminées dans la commune, comme la Font des Rosiers près de la Nouère, ou la source de la Prévôté, la source du Tillet et la fontaine de Sérignac près du bourg [3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Genis-d'Hiersac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,3 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), cultures permanentes (15,2 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (2,6 %), prairies (1,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Sanctus Genesius en 879[13], Sanctus Genesius de Moleriis en 1307[14].

    Genesius est le nom de plusieurs saints, dont un martyr chrétien à Rome. Les noms dérivés Saint-Genis , Saint-Genès, Saint-Geniès, Saint-Geniez, Saint-Gineis sont nombreux en France; voir aussi Saint-Genis-de-Blanzac dans le sud du département[15].

    Saint-Genis-d'Hiersac était appelé autrefois Saint-Genis-les-Meulières, parce qu'il existait des carrières importantes d'où l'on extrayait des meules de moulins[16].

    Pendant la Révolution, elle s'est appelée provisoirement Genis-les-Meulières[17], et la commune a été créée Saint-Genis en 1793, avant de s'appeler Saint-Genis-d'Hiersac en 1897[18].

    Histoire

    Deux anciennes voies romaines passaient dans la commune. Au nord, la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon par Limoges et Clermont fait la limite de commune et va d'est en ouest. L'autre voie, celle de Saint-Cybardeaux à Angoulême et Périgueux[19], orientée du sud-est au nord-ouest, est à peu près parallèle à la route actuelle D 939 et passe non loin du bourg. Les deux voies se croisaient au nord-ouest de la commune peu avant Dorgeville[3], et ce carrefour a pu justifier l'existence d'un marché et d'une agglomération, peut-être Sermanicomagus (ou Germanicomagus) au site des Bouchauds[19].

    La période gallo-romaine a laissé quelques vestiges : près des Avenants, une villa a été trouvée, ainsi qu'aux Airaux (il s'agit peut-être du même site) ; près des Grillauds, quatre sépultures. Sous la première marche de l'église, une sépulture du VIIe siècle a été trouvée[20].

    Au Moyen Âge, un château fort occupait la position stratégique de Saint-Genis. C'était un fief qui relevait de la châtellenie de Montignac. Entre le XVe siècle et la fin du XVIIIe siècle, il a appartenu à la famille de La Porte aux Loups. Au XVIIe siècle, le logis actuel a remplacé le château, dont il ne reste que des caves, oubliettes et souterrains-refuges qui débouchaient dans la plaine.

    Les carrières d'où l'on extrayait des meules de moulins étaient situées à l'endroit du champ de foire actuel.

    La Motte (aussi orthographié la Mothe) était un autre fief, qui a donné son nom à la famille Horric de La Motte-Saint-Genis. Cette ancienne famille fait remonter son origine à Horric, un chef des Vikings qui envahirent l'Angoumois au IXe siècle[16].

    L'église paroissiale de Saint-Genis, datant du XIe siècle, était le siège d'un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[21].

    Entre le Xe et XVIIIe siècles, Saint-Genis était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[22].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer départementaux, la ligne d'Angoulême à Matha, appelée le Petit Rouillac. Des foires de fondation assez récente se tenaient au bourg le 3 de chaque mois[16].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2008 Jean-Marie Lapeyronnie    
    2008 2017 Michèle Gaillard SE  
    2017 En cours Wilfried Fournier[23] SE  

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 22,98 % sur le bâti, 53,06 % sur le non bâti, et 9,85 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[24].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 901 habitants[Note 3], en diminution de 0,11 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 3181 3161 3001 2911 4101 3311 4421 4441 350
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 4101 4651 3661 3441 2081 0981 012931938
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    922880767746759743722725727
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    706694724836806838875912901
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Genis-d'Hiersac en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,2 
    5,7 
    75 à 89 ans
    9,5 
    13,2 
    60 à 74 ans
    14,9 
    22,1 
    45 à 59 ans
    22,3 
    21,0 
    30 à 44 ans
    20,4 
    14,6 
    15 à 29 ans
    16,1 
    23,0 
    0 à 14 ans
    15,6 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].

    Commerces

    Restaurant.

    Au bourg, le récent bâtiment des halles comprend un bar-restaurant.

    Il y a une boulangerie, une pharmacie, un médecin, un notaire, deux garagistes, un bureau de poste, des infirmières et des artisans (électricien, tailleur de pierre, maçon...).

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Saint-Genis-d'Hiersac possède une école élémentaire publique comprenant trois classes. Le secteur du collège est Rouillac[31].

    Vie locale

    Le Club des anciens a changé son nom en pour le Club de l'Amitié.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église.

    L'église Saint-Genis date initialement du XIe siècle.

    Patrimoine civil

    • Le logis de la Porte aux Loups a été construit au XVIIe siècle sur l'ancien château[16].
    • Les caves et les vastes souterrains de l'ancien château[16].
    • Le logis de la Motte du XVIIIe siècle comporte un portail en anse de panier qui est muré portant l'inscription Horric de la Mothe-Saint-Genis. Les deux pavillons latéraux ont été construits en 1788 et sont datés sur une cheminée à l'extérieur. Le puits est daté de 1763 : quatre colonnettes avec chapiteaux soutiennent un entablement arrondi ouvragé sur lequel repose une petite coupole.
    • Le logis de Boisrouffier avec un magnifique pigeonnier carré.

    Personnalités liées à la commune

    • Josué Gaboriaud (1883-1955), peintre charentais, y est décédé.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom du club des anciens en 2011
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 50
    14. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 65
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 600.
    16. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 330
    17. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Auguste-François Lièvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, Niort, L.Clouzot, , 2e éd., 127 p. (présentation en ligne, lire en ligne)
    20. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 129-130
    21. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
    22. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 88
    23. Gérard Guidier, « Wilfried Fournier a été élu maire », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Evolution et structure de la population à Saint-Genis-d'Hiersac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. « Faïencerie Roullet-Renoleau » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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