Saint-Didier-d'Aussiat

Saint-Didier-d'Aussiat est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Didier.

Saint-Didier d'Aussiat

Mairie de la commune.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse
Maire
Mandat
Catherine Picard
2020-2026
Code postal 01340
Code commune 01346
Démographie
Population
municipale
865 hab. (2018 )
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 25″ nord, 5° 03′ 42″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 223 m
Superficie 15,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bourg-en-Bresse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Attignat
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Didier d'Aussiat
Géolocalisation sur la carte : Ain
Saint-Didier d'Aussiat
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Didier d'Aussiat
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Didier d'Aussiat
Liens
Site web saint-didier-daussiat.com

    Géographie

    Territoire de la commune.

    Localisation

    Située à km, au sud-ouest de Montrevel-en-Bresse dont elle est limitrophe, la commune est située dans la région naturelle de la Bresse. Le relief est typique de la plaine bressane, c'est-à-dire vallonné, l'altitude variant de 192 m à 221 m aux Belouzes.

    La superficie de la commune atteint exactement 1 521,72 ha divisés en 2 577 parcelles, l'habitat y étant très dispersé (une trentaine de hameaux et des maisons isolées). Il y a notamment le hameau de Remondange attesté sous le nom de Hermondangis en 1100 et de Armondanges en 1345.

    Ce territoire est très étiré d'ouest en est sur km, alors que l'on ne compte que quatre entre les limites nord et sud.

    Communes limitrophes

    Localisation de la commune dans l'Ain et le canton d'Attignat.

    Hameaux et lieux-dits

    Abréviations : a., ancien(ne); chn, chemin; crf, carrefour; crx, croix; h., hameau; l.d., lieu-dit; pt, pont; r., rue; rau, ruisseau; rte, route.

    • Aussiat (h)
    • Les Belouse ou la belouse (h) : le hameau est mentionné dès 1318. Fief avec maison forte.

    Hydrographie

    Les eaux se partagent sur deux versants : au sud, elles se dirigent vers un vallon où se succèdent plusieurs étangs, depuis l'étang Pétrus où le Menthon prend sa source, avant de rejoindre la Veyle par le bief de l'Attaque.

    Au nord, elles gagnent le Reysouzet qui forme la limite avec Montrevel-en-Bresse, et se trouvent grossies par le ruisseau des Bruelles, le bief Bracan lui-même alimenté par le bief des Carniers. Les ruisseaux des Lioux et Loëze rejoignent la Reyssouze.

    Quelques plans d'eau se trouvent à l'est du village dont l'étang des Marais.

    Les sols appartiennent au tertiaire (limon ferrugineux sur les hauteurs, sables et marnes bleues sur les pentes) et au quaternaire (alluvions déposées dans les fonds de vallées).

    Climatologie

    Le climat est tempéré à légère tendance continentale. Les relevés sont ceux de Mâcon, la station de référence, étant donné sa proximité. Les valeurs climatiques de 1981 à 2010 sont les suivantes.

    Relevés Mâcon 1981-2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 1 3,5 6 10 13,5 15,5 15 11,5 8 3,5 1 7,5
    Température moyenne (°C) 2 4,5 8 11 15 19 21 20,5 17 12 7 3,5 12
    Température maximale moyenne (°C) 5,5 8 12 16 20 24 27 26 22 16,5 10 6 16
    Ensoleillement (h) 61,9 91,5 154,9 182 212,9 245,3 267,7 242,4 185,6 116,9 70,3 50,5 1 881,9
    Précipitations (mm) 59 53 49 75 88 75,5 71 72 79,5 85,5 84 70 861,5
    Source : Météo-France/Infoclimat : Mâcon (1981-2010)[1]
    Température

    minimale

    Température

    maximale

    Hauteur de

    précipitations

    Nombre de jours

    avec précipitations

    Durée

    d’ensoleillement

    Nombre de jours avec

    bon ensoleillement

    7,4 °C 16,1 °C 859,3 mm 113,9 j 1881,9 h 73,25 j

    Voies de communication et transport

    Voies de communication.

    Axes routiers

    La route principale de la commune est la route départementale D26 qui fait la liaison entre Marlieux à Pont-de-Vaux. Elle permet de rejoindre Marsonnas et Montrevel-en-Bresse en se dirigeant au nord. En direction du sud, on rejoint les communes de Confrançon et Mézériat. Au sud du bourg, afin de rejoindre Saint-Genis-sur-Menthon en passant par La Terrasse, un de ses hameaux, la route départementale D26a traverse le sud-ouest de la commune.

    La route départementale D92, séparée en deux par la D26 au bourg fait la liaison entre la commune voisine de Saint-Sulpice et Viriat. En se dirigeant vers l'est, les habitants rejoignent Curtafond et Saint-Martin-le-Châtel.

    À l'extrême ouest de Saint-Didier, la route départementale D47 passe près de La Reveyriat. Elle rejoint Vonnas à Chevroux en passant par Saint-Genis-sur-Menthon et Dommartin.

    Aucune autoroute ne traverse la commune, mais l'autoroute A40 (Mâcon - Genève) y passe à proximité dans la commune de Confrançon.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Didier-d'Aussiat est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-en-Bresse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,7 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), terres arables (23 %), forêts (5,8 %), zones urbanisées (4,3 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Panneau d'entrée du village.

    Origine du nom

    Le nom de la commune se décompose en deux parties. La première est Saint-Didier, le saint patron qui est cité depuis 1163. La seconde partie, Aussiat hésite, sur ce qui semble avoir été le point de départ d'une communauté d'habitants, entre Ouciacum, Auciacum ou Oncieux en 1096, Arciacum en 1266, Ouciaci en 1415 puis Auxiaci en 1444. Vient ensuite Auxiat en 1496, Oucia en 1510, Aussiaz en 1636, Oussiat en 1784 et enfin Aussiat.

    Anciens noms

    La première mention du village date de 1236 et se trouve dans les titres de Laumusse où Sancto Desiderio est cité[9]. Une quarantaine d'années plus tard, Sanctus Desiderius de Aucia est mentionné en 1272 par la même source qui va aussi évoqué Sanctus Desiderius de Auciaco vers 1285.

    Le pouillé du diocèse de Lyon utilise Sanctus Desiderius de Alciaco pour citer le village vers 1325 alors qu'on trouve Sanctus Desiderius de Arciaco vers 1365. Dans les archives de la Côte-d'Or, on trouve en 1399 le nom de Sanctus Desiderius d'Oucia, celles du Rhône parlent de Sanctus Desiderius Ouciaci en 1425. Enfin celle de l'Ain évoquent Sanctus Desiderius Auxiaci en 1494 ainsi que Sanctus Desiderius Ouxiaci la même année.

    La pancarte des droits de cire mentionne en 1548 Sanctus Desiderius d'Aucia, les archives de la Côte-d'Or parlent de Sainct Didier d'Ouciaz en 1563. Afin de se référer au village, les archives de l'Ain utilisent Sainct Didier d'Aussiaz en 1636. En 1670, le nom du village est Saint Didier d'Oussiac selon l'enquête Bouchu. Cinq années plus tard, on trouve Sainct Didier d'Ouzia, Sainct Didier d'Auciat, ou Sainct Didier d'Ouziat.

    Avant la Révolution française, Saint Didier d'Auciaz est le nom donné en 1763 par les archives de l'Ain qui l'orthographie aussi Saint Didier d'Auciat. Enfin, Saint-Didier-d' Oussiat est cité en 1789 par le pouillé de Lyon. On trouve durant ce siècle le nom actuel de Saint-Didier-d'Aussiat dans les archives de Cassini.

    La Révolution française marque un changement de nom pour la commune qui doit ôter toute référence à la religion. Le nom est alors Aussiat et le nom actuel sera établi au début du XIXe siècle[10].

    Histoire

    Depuis 1163, le nom de la paroisse se réfère constamment au personnage de Saint Didier.

    À l'époque de la Gaule romaine, une voie qui reliait Bourg-en-Bresse à Bâgé-le-Châtel et Mâcon traversait la commune actuelle par la Valette, la Tribaudière, les Gottex, les Couarles, le lieu-dit le Chatelet[Note 3]. Ce chemin fut utilisé jusqu'au XVIIIe siècle. L'ancien cadastre le désigne comme « l'ancienne route de Bourg-en-Bresse à Mâcon » et çà et là des vestiges ont été trouvés. De même, en plusieurs points, le sol a livré des fragments de tuiles romaines. Enfin, le hameau de Collonges n'évoque-t-il pas quelque "colon" romain ?[réf. nécessaire]

    Au Moyen Âge, plusieurs fiefs se sont développés : Coissiat, Clermont, Collonges et les Belouzes, ces deux derniers existaient encore en 1784 et possédaient des maisons-fortes. Les Belouzes dépendaient à l'origine des sires de Bâgé, il fut rattaché ensuite au marquisat de Saint-Martin.

    Le hameau de la Reveyriat possède une origine curieuse. En effet, les localités dites de Montbarbon et Montcrosier faisaient partie par alternance une année sur l'autre de Dommartin et de Saint-Didier-d'Aussiat. Le surnom « la Reveyriat » qui veut dire "revirer" lui est resté, à cause de l'éloignement du village. La Reveyriat forma une communauté ayant son propre rôle d'imposition (1666, 1789).

    Aux XVIIe – XVIIIe siècle se produit une nette transformation de la propriété foncière. Les nobles et les privilégiés vendent leurs biens aux habitants du lieu. Cela explique en partie le fait que la Révolution a du mal à mobiliser la population. On démolit le château des Belouzes, mais cela se fait dans la confusion. On fait bon accueil aux prêtres réfractaires. Il n'y a aucun candidat pour former le jury et la municipalité car tout le monde est démissionnaire. On refuse les réquisitions.

    La stabilité revint sous Napoléon Ier. Mais si la situation matérielle s'améliore quelque peu, elle n'est cependant pas florissante. Les Autrichiens laissèrent également un bien mauvais souvenir lors de leur passage en 1814, au cours du 1er trimestre, réquisitionnant eux aussi.

    La voirie a été une préoccupation constante pour la municipalité durant tout le XIXe siècle. Il a fallu sévir pour exiger la remise en état des chemins délaissés durant la période révolutionnaire et au début de l'empire. Le tracé de la route départementale no 26 nécessita plusieurs années. L'amélioration du réseau routier permit le développement et l'ouverture sur l'extérieur, l'exploitant agricole ne vivait plus en autarcie. En 1888, il y avait cinq domaines de plus de 60 hectares. Dès 1853, un syndicat est construit par les riverains pour le curage du bief Bracan. Par la suite différents syndicats et mutuelles, se créent.

    Politique et administration

    Maires successifs

    1947-1977 Louis Alexandre Manigand.Agriculteur.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1977 1995 Michel Goyard DVD  
    juin 1995 réélu mars 2008 Noël Bennonier DVD  
    mars 2014 En cours Catherine Picard SE Fonctionnaire

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0111 0371 0891 1131 0911 0991 1251 1281 101
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1111 1171 1111 0451 0461 009958983977
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    951938930782788770715695695
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    667608582565594666789863886
    2018 - - - - - - - -
    865--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[12].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Bâtiment de l'école primaire et du centre de loisirs.

    L'école située dans la commune est aussi celle de Saint-Sulpice[13]. Elle réunit les élèves des deux communes qui sont répartis dans deux sites. Les élèves de primaire sont répartis dans quatre classes et ceux de la maternelle sont répartis dans deux classes.

    L'école primaire partage ses locaux avec le centre de loisirs Les Petits Loups qui est un accueil de loisirs et la garderie périscolaire[14].

    À la fin de leur scolarité en primaire, les élèves passant en classe de 6e sont dirigés au collège de l'Huppe à Montrevel-en-Bresse. Enfin, le lycée de secteur de la commune est le lycée Edgar-Quinet, situé à Bourg-en-Bresse.

    Sports

    Au sud du bourg, on trouve deux courts de tennis occupés par l'association Planète Tennis. L'association fut créée en 1987 dans la commune puis s'unit avec le club de Confrançon en 2000 et de celui de Montrevel-en-Bresse en 2011[15]. Au même endroit, il y a un terrain de football qui peut être utilisé par le Football Club Curtafond - Confrançon - Saint-Martin-le-Châtel - Saint-Didier-d'Aussiat.

    Au nord du centre, la salle sportive du Bocage peut accueillir des associations sportives.

    La commune est aussi le siège de l'Amicale Boules de Saint-Didier-d'Aussiat et de l'Avenir Saindidois qui possède une section danse.

    Médias locaux

    • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
    • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
    • La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

    Numérique

    La commune dispose du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique LIAin régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain.

    Économie

    L'activité dominante est l'agriculture associant polyculture et élevage. Malgré le nombre faible d'habitants, on trouve quelques commerces dont une boulangerie, une enseigne de jardinerie et un relais poste.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Une vieille ferme bressane au lieu-dit Cossiat, la ferme de Cossiat, est inscrite au titre des Monuments Historiques[16].
    • Église d'origine romane reconstruite au XIXe siècle.
    • Près de cette église se trouve le monument en l'honneur des soldats de la commune tués au combat pour la France.
    • Quelques croix de chemins se trouvent sur le territoire
    • Maison forte des Belouses, citée en 1430.
    • Dans le passé se dressait un prieuré bénédictin : le prieuré d'Oussiat.

    Gastronomie

    Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[17].

    La commune se situe dans l'aire géographique de l'AOC Crème et beurre de Bresse[18] et de l'AOC Volailles de Bresse[19].

    Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)[20].

    Espaces verts et fleurissement

    Panneau Village fleuri avec deux fleurs.

    En 2014, la commune de Saint-Didier-d'Aussiat bénéficie du label « ville fleurie » avec « 2 fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[21].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Qui pourrait évoquer l'existence d'un fortin.

    Références

    1. Archives climatologiques mensuelles - Mâcon (1981-2010)
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Dictionnaire topographique de Philipon p. 374 sur archives-numerisees.ain.fr
    10. Commune de Saint-Didier-d'Aussiat, sur ain-genealogie.fr
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    13. École primaire de Saint-Didier / Saint-Sulpice, sur saint-didier-daussiat.com.
    14. Centre de loisirs Les Petits Loups, sur saint-didier-daussiat.com.
    15. Planète Tennis, bulletin municipal no 43, Juin 2016, p. 20, sur confrancon.fr.
    16. « Ferme », notice no PA00116548, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    17. Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.
    18. « Aire géographique de l'AOC Crème de Bresse. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
    19. « Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse. »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
    20. « Saint-Didier-d'Aussiat, commune viticole », sur Vin Vigne (consulté le ).
    21. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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