Saint-Chamassy

Saint-Chamassy est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Chamassy

Le manoir du XVe siècle et l'église de Saint-Chamassy.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Roland Delmas
2020-2026
Code postal 24260
Code commune 24388
Démographie
Population
municipale
504 hab. (2018 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 25″ nord, 0° 55′ 42″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 220 m
Superficie 15,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Chamassy
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Chamassy
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Chamassy
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Chamassy

    Géographie

    Très tôt, Saint-Chamassy a occupé une place stratégique, entre les vallées de la Dordogne et de la Vézère. Sur 1 560 hectares, elle est limitrophe de six communes : Limeuil, Alles-sur-Dordogne, Le Buisson-de-Cadouin, Coux-et-Bigaroque, Audrix et Le Bugue.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Chamassy et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Saint-Chamassy est limitrophe de six autres communes. À l'est, son territoire communal n'est éloigné que d'environ 170 mètres de celui de Campagne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 927 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Natura 2000

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait partie du réseau Natura 2000[14],[15]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[14] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur une dizaine d'hectares et correspond aux coteaux situés en bordure de la Dordogne, entre Vic et Bigaroque.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Chamassy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,4 %), forêts (29,8 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), terres arables (5,6 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %), eaux continentales[Note 5] (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre incluant la partie aval de la Vézère et ses rives, donc la zone basse du territoire de Saint-Chamassy le long des deux cours d'eau[22],[23].

    Toponymie

    Saint-Chamassy tire son nom de saint Eumachius, confesseur, VIe siècle, qui fut honoré dans l'Angoumois.

    En occitan, la commune porte le nom de Sench Amaci[24].

    Histoire

    Préhistoire

    L'abri du Moulin du Roc a livré de l'industrie de transition entre le Magdalénien et l'Azilien, du Sauveterrien, et une sépulture du Néolithique final[25]. Le site a été fouillé par André Morala (1990, 1994, 2003 à 2005)[26].

    Le dolmen roc de Cayre, mégalithe très bien conservé, a fait l’objet d’études par la société archéologique en 1883. Les fouilles ont révélé la présence d’un squelette sans tête et d’un silex. Ce mégalithe se trouve sur les bords de l'ancien chemin. Toutes les pierres du dolmen sont en grès rouge.[réf. nécessaire]

    Moyen-Âge

    Plus de dix demeures de caractère (châteaux, manoirs, gentilhommières ou maisons fortes) sont disséminées sur le territoire communal. Le manoir (ou château) de Perdigat[27] est le premier que l’on découvre à l’entrée du vallon de Saint-Chamassy. Du début du XVe siècle, le Perdigat dominait la plaine et la Vézère qui coulait à ses pieds.[réf. nécessaire]

    L'église Saint-Eumach (ou Saint-Eumaque), doit son nom à saint Eumachus, confesseur du VIe siècle. La partie la plus ancienne date du XVe siècle et était rattachée au château du bourg par un portail gothique. Ce portail ainsi qu'une partie du château et de l'église furent brûlés durant les guerres de religion. À la fin du XVIIIe siècle, un clocher en toit d'ardoise sera construit sur l'un des côtés de l'édifice, donnant ainsi une belle particularité à l'ensemble. À l'intérieur de l'église, on peut admirer un chemin de croix ainsi qu'un christ du XVe siècle.[réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Saint-Chamassy a été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Alvère dépendant de l'arrondissement de Bergerac, puis en 1819, au canton de Saint-Cyprien dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[28].

    Intercommunalité

    Fin 2000, Saint-Chamassy intègre dès sa création la communauté de communes Terre de Cro-Magnon. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1971 mars 2001 Jean-Louis Marty   Exploitant agricole
    mars 2001 mars 2014 Claude Fauret SE[31] Retraité de l'enseignement
    mars 2014 mars 2017[32] Charles Schauer[Note 6]    
    mars 2017 mai 2017 Sylvie Audibert   Adjointe faisant fonctions de maire
    mai 2017[33]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Roland Delmas    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Chamassy relève[34] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2018, la commune comptait 504 habitants[Note 7], en diminution de 4,73 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9711 0089921 0471 0259499529671 005
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 035970938887836840829873807
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    744697647619598614583598537
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    509414380385433443456525524
    2018 - - - - - - - -
    504--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 217 personnes, soit 41,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 49 établissements[39], dont 21 au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, six dans l'industrie, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le dolmen de Cantegrel.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au cheval cabré d'or ; au chef cousu* d'azur chargé d'une aigle d'argent[44].
    Détails
    * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur gueules.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Démissionnaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Chamassy et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Chamassy et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. PPR inondation - 24DDT20070002 - Dordogne Centre, DREAL Aquitaine, consulté le 16 février 2019.
    23. [PDF] Saint-Chamassy - Dordogne centre - Plan de prévention du risque inondation p. 17, DREAL Aquitaine, consulté le 16 février 2019.
    24. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 mars 2014.
    25. [Detrain et al. 1996] Luc Detrain, Marc Guillon, Bertrand Kervazo, Stéphane Madelaine, André Morala et Alain Turq, « Le Moulin du Roc à Saint-Chamassy (Dordogne). Résultats préliminaires », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 93, no 1, , p. 43-48 (lire en ligne [sur persee]), résumé.
    26. [Drucker, Madelaine & Morala 2011] Dorothée G. Drucker, Stéphane Madelaine et André Morala, « Les derniers rennes de Dordogne. Nouvelles données chronologiques et environnementales par l'étude isotopique du collagène (13C, 14C et 15N) », Paléo, no 22, , p. 85-100 (lire en ligne [sur journals.openedition.org]), paragr. 1.
    27. « Manoir de Perdigat », notice no PA00082812, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 janvier 2021.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
    30. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 11 novembre 2020.
    31. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
    32. « Démission du maire de Saint-Chamassy », Sud Ouest édition Dordogne, 3 mars 2017, p. 14.
    33. Nicole Thabaraud, « Roland Delmas élu maire », Sud Ouest édition Dordogne, 12 juin 2017, p. 31.
    34. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Chamassy (24388) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Commune de Saint-Chamassy (24388) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
    41. « Dolmen de Cantegrel », notice no PA24000070, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 28 août 2010.
    42. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 127.
    43. Alain Bernard, Un amiral pour l'Arménie, Sud Ouest édition Périgueux du 4 mai 2010.
    44. « 24388 Saint-Chamassy (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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