Lanta
Lanta (occitan : Lantar) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Lanta (homonymie).
Lanta | |||||
![]() Saint-Anatoly-de-Lanta | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Terres du Lauragais | ||||
Maire Mandat |
Marc Mengaud 2020-2026 |
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Code postal | 31570 | ||||
Code commune | 31271 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lantanais, Lantanaises | ||||
Population municipale |
2 113 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 70 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 33′ 37″ nord, 1° 39′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 159 m Max. 275 m |
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Superficie | 30,12 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Revel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Lantanais.
Géographie
Localisation
La commune de Lanta se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 18 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 30 km de Revel[3], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Pierre-de-Lages (2,7 km), Aurin (3,4 km), Vallesvilles (3,6 km), Sainte-Foy-d'Aigrefeuille (4,1 km), Préserville (4,7 km), Aigrefeuille (5,3 km), Maureville (5,5 km), Tarabel (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Lanta fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[5].
Lanta est limitrophe de neuf autres communes.

Hydrographie
La commune est arrosée par la Sausse (affluent de l'Hers-Mort) et son affluent la Seillonne le Dagour un affluent du Girou ainsi que la Saune et son affluent le Ruisseau de l'Avelanet qui y forme aussi le lac de Saint-Semin[7].
Géologie et relief
La superficie de la commune de Lanta est de 3 012 hectares et son altitude varie de 159 à 275 mètres[8]. sur les coteaux du Lauragais.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961[14] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 23 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].
Urbanisme
Typologie
Lanta est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[27],[28].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (0,6 %), eaux continentales[Note 6] (0,5 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits ou hameaux
Saint-Anatoly, Sainte-Apollonie,
Voies de communication et transports
La ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.
Histoire
Lanta est un mot occitan masculin ou féminin qui signifie pastel sauvage[30]. Le Lantarès est la région où l'on produisait le pastel. La production du pastel était une des principales richesses de la région toulousaine. L'hôtel d'Assézat dont la construction a débuté en 1555 en est le plus beau témoin à Toulouse. Pierre d'Assézat qui en a ordonné la construction était un riche industriel textile (pastelier). Non loin de Lanta se trouve Labastide-Beauvoir où étaient installés les établissements de production du pastel appartenant à Monsieur Beauvoir. Un chemin nommé Lantarèse conduit de Baziège à Labastide-Beauvoir. Baziège était sur la voie romaine allant de Narbonne à Toulouse. Ce chemin Lentarèse passe par deux hameaux très proches l'un de l'autre Côte Vielle et Lantarèse. Le premier toponyme suggère que ce chemin existait du temps des Romains et n'a pris son nom occitan que plus tard vraisemblablement à l'époque où la production du pastel a pris son essor.
Lanta et le Lantarès ont une très longue histoire ; un village situé près de Lanta, et aujourd'hui disparu, s'appelait Bonac et était chef-lieu d'une baillie[31].
La région de Lanta est un haut lieu du catharisme (XIIe-XIIIe siècles) et du protestantisme (XVIe-XVIIe siècles) ; la tête du catharisme repose sur la puissante famille hérétique des Hunaud de Lanta dont le château primitif était situé un peu au nord de l’église actuelle.
Les Hunaud sont célèbres dans l’histoire médiévale du Lauragais ; ils sont cathares convaincus et fidèles soutiens des comtes de Toulouse Raymond VI et Raymond VII durant la Croisade contre les cathares déclenchée par l’Église catholique romaine (1209-1229) ; plusieurs Hunaud ont participé à la victoire des Occitans à Baziège (1219).
Une femme de la famille est en quelque sorte le symbole des femmes cathares du Lauragais qui ont joué un rôle décisif dans l’essor de la nouvelle religion des « Bonnes Femmes » ; elle s’appelait Marquésia de Fourquevaux, village proche où elle était née ; elle épouse un Hunaud de Lanta ; sa fille est Corba qui épouse en 1205 Raimond de Péreille, seigneur et chef militaire de la citadelle cathare de Montségur ; sa petite-fille est Esclarmonde de Péreille. Les trois femmes, trois générations, montèrent et disparurent dans les flammes du bûcher du , après la chute du château entre les mains de l’armée royale. Les Hunaud seront ensuite les chefs du soulèvement protestant de mars 1562, à Toulouse.
Caraman et une vingtaine de villages des environs formèrent une vicomté, puis un comté autonome en 1484 ; ce comté fut, de 1321 à 1670, sous la domination des descendants de Pierre Duèze frère du pape d’Avignon Jean XXII, puis de 1670 jusqu’à la Révolution de 1789, le comté appartient aux descendants de Pierre-Paul Riquet, le créateur du canal du Midi, appelé alors le Canal royal du Languedoc.
Sur la famille Duèze, c’est Pierre, frère du pape, né à Cahors, qui achète la vicomté de Caraman le moyennant 35 000 "petites livres tournois" ; un descendant, Paul d’Escoullan de Monluc de Foix, vend le comté et la baronnie de Saint-Félix le à Pierre-Paul Riquet qui devient ainsi comte de Caraman ; son arrière-petit-fils Victor de Riquet épouse une Marie Anne d’Alsace Hénin-Liétard, princesse de Chimay, dont postérité jusqu’à nos jours. En 1981, une princesse de Chimay est venue à Caraman et à Revel pour les cérémonies du Tricentenaire du Canal.
Les plus grandes familles de l’aristocratie méridionale se sont donc intéressées à ces terres de Lanta et de Caraman, témoignage de leur richesse proverbiale[32].
En , les royalistes s’en emparent dans leur tentative de prendre Toulouse.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Lanta appartient à l'arrondissement de Toulouse et au canton de Revel depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était le chef-lieu du canton de Lanta.
Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, représentée depuis 2017 par Sébastien Nadot (MDP, ex-LREM).
Intercommunalité
De 2014 jusqu'à la dissolution de l'intercommunalité, Lanta faisait partie de la communauté de communes Cœur Lauragais. Depuis le , elle appartient à la communauté de communes des Terres du Lauragais.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[33],[34].
Liste des maires

Tendances politiques et résultats
- Élection municipale de 2014
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2018, la commune comptait 2 113 habitants[Note 7], en augmentation de 16,87 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[39] | 1975[39] | 1982[39] | 1990[39] | 1999[39] | 2006[40] | 2009[41] | 2013[42] |
Rang de la commune dans le département | 83 | 104 | 119 | 110 | 122 | 122 | 117 | 114 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque Lanta se trouve dans son aire urbaine.
Enseignement
Lanta fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire école maternelle et élémentaire.
Puis le collège les Roussillous situé sur la commune voisine de Saint-Pierre-de-Lages en limite de la commune de Lanta.
Santé
Centre médical,
Culture et festivités
La vie culturelle et festive de Lanta est relativement riche. La fête du village, organisée traditionnellement par le comité des fêtes, se déroule le 1er weekend de juillet.
Parmi les différentes manifestations qui s'échelonnent sur l’année, il y a deux événements majeurs.
Vers mars ou avril se tient le festival de BD et jeunesse organisé par l’association LantaBulles[43]
Le festival, bien que récent, connaît une belle notoriété grâce à la présence d’auteurs de renom dont le Lantanais Marc N'Guessan et son proche voisin et ami Serge Carrère.
Puis, en novembre, c’est la fête de la soupe, organisée par l’association La Solédra[44] qui réunit un vaste public autour des stands abritant les faiseurs de soupes. Cette manifestation met en scène le concours de la meilleure soupe mais aussi du plus beau décor de stand. La soirée, jalonnée d’animations de rue, offre une place de choix à la musique et au spectacle de feu qui clôture la fête.
Activités sportives
Football, tennis, pétanque, chasse, terrain multisports, skate park[46],
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIPOM (syndicat mixte de Revel)[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie-école œuvre de l’architecte Jacques-Jean Esquié
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption
- Église Sainte-Apollonie (hameau de Sainte-Apollonie)
- Église Saint-Sernin (hameau Sanissac)
Église Saint-Anatoly (hameau Saint-Anatoly)[48]
- Mentionnée dès le Xe siècle comme rattachée au monastère de Saint-Sernin de Toulouse. En 1596, l'édifice dédié à saint Abdon et saint Sennen est brûlé par les protestants. L'église sera plusieurs fois restaurée notamment en 1849 par les soins de l'architecte toulousain Urbain Vitry.
- Pigeonnier du XVIIe siècle
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Le clocher-mur de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
- L'ancien presbytère.
- Église de Saint-Anatoly.
- Pigeonnier de Saint-Anatoly.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
![]() |
Son blasonnement est : Parti : au premier d'azur à la lettre L capitale d'argent, au second de gueules aux trois fasces d'or. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Lanta », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lanta et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lanta et Revel », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lanta », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
- Carte IGN sous Géoportail
- https://www.sandre.eaufrance.fr/geo/CoursEau/O2270620
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ségreville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lanta et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ségreville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lanta et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc) Gui Benoèt, Mond Occitan Las Plantas Lexic, IEO.
- Source : Jean Odol et Philippe Carbone (professeurs de l'Université Toulouse II-Le Mirail)
- Données issues du site : http://www.couleur-lauragais.fr/pages/journaux/2003/cl51/Balades.htm
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- LANTABULLES
- SOLEDRA
- https://www.lanta.fr/culture/
- https://www.lanta.fr/equipements-sportifs/
- « Accueil », sur SIPOM de Revel (consulté le ).
- « Saint-Anatoly », sur Mairie de Lanta (consulté le ).
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