Roncq

Roncq (Ronk en néerlandais[1]) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Roncq

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Rodrigue Desmet
2020-2026
Code postal 59223
Code commune 59508
Démographie
Gentilé Roncquois, Roncquoise
Population
municipale
13 361 hab. (2018 )
Densité 1 262 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 45′ 16″ nord, 3° 07′ 16″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 54 m
Superficie 10,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tourcoing-1
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nord
Roncq
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Roncq
Géolocalisation sur la carte : France
Roncq
Géolocalisation sur la carte : France
Roncq
Liens
Site web www.ville-roncq.fr

    Géographie

    Roncq dans son canton et son arrondissement

    Roncq se situe au Nord de la métropole lilloise, et est limitrophe de Bondues, Linselles, Bousbecque, Halluin, Neuville-en-Ferrain ou encore Tourcoing.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 668 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 18 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Roncq est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[18] et 1 043 862 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), zones urbanisées (37,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Runch (1101-1105), Ronc (1209), Roncq (1793)[réf. nécessaire].

    Histoire

    Les origines

    Elle est citée pour la première fois en 1055 sous l’orthographe "Runch". Le nom actuel apparaît en 1330 dans un registre de l’abbaye de Marquette.

    Moyen Âge

    La paroisse de Roncq se situe dans le quartier du Ferrain, qui appartient à la châtellenie de Lille. Elle dépend du diocèse de Tournai et du chapitre de Saint-Pierre à Lille pour toute question matérielles.


    XIIe siècle

    Baudry, évêque de Tournai, donna au commencement du XIIe siècle, l'autel de Roncq au chapitre de Saint-Pierre de Lille. Cette donation fut confirmée par une bulle d'Eugène III en 1148. Le village de Roncq et son église eurent à souffrir des troupes françaises commandées par La Noue, en 1579. Le château seigneurial de ce village n'existe plus.

    XVe siècle

    Jean de Norrent, seigneur de Roncq, combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[25].

    XVIe siècle

    Au début de ce siècle Georges de Hallewin en est le seigneur, mais en 1555 elle passe aux mains des Espagnols. Les troupes françaises de La Noue, appelées en Flandre par le parti des Malcontents, campèrent à Roncq en 1579 et y commirent quelques désordres.

    XVIIe siècle

    En 1600, les Archiducs Albert et Isabelle sont accueillis par Charles de Croÿ le seigneur des lieux. En 1609, les habitants ont l’accord pour tisser des étoffes. La ville devient française en 1668.

    XVIIIe siècle

    , augmentation de la terre de Roncq en comté sous le nom de comté de Wazières de Roncq par le Roi de France en faveur de Pierre Auguste Marie de Wazières, seigneur de Roncq et grand bailly de Lille[26],[27]. La ville est envahie par les prussiens en 1792 et en 1793 la Bataille de Tourcoing touche la ville en 1794. Elle se soldera par une victoire française. La population de Roncq en l'an était de 2578 habitants[28]. Entre 1750 et 1790, il y avait sur 292 mariages: 118 conjoints signant et 87 conjointes signant.

    • En 1789, il y avait sur 18 mariages: 7 conjoints signant et 5 conjointes signant.

    Sources: Histoire de l'enseignement primaire avant 1789 dans les communes qui ont formé le Département du Nord par le comte de Fontaine de Resbecq, publié en 1878.

    XIXe siècle

    • La population de Roncq en 1830 était de 2853 habitants dont 392 indigents et 30 mendiants.
    • En ce milieu du XIXe siècle, il y avait à Roncq : 2 brasseries, 1 fabrique de sucre de betteraves, 3 moulins à huile et 3 moulins à blé.
    • La principale industrie des habitants consistait dans la préparation et le commerce du lin.
    • Sur une superficie communale de 1 047 hectares, il y avait : 830 ha en labours; 149 ha en vergers ; 16 ha en prés ; 2 ha en bois ; 1 ha en étangs ; 11 ha en propriétés bâties ; 33 ha en routes et chemins et 1 ha en terrains incultes.
    • La culture principale était le blé. Les autres cultures étaient : l'orge, le seigle, le colza, l'avoine, les fèves, les navets, les choux-cavaliers, les betteraves, les pommes de terre, les carottes, les olliettes, la cameline, le lin et le tabac[29].

    Héraldique

    Les armes de Roncq se blasonnent ainsi :"D'argent aux trois lionceaux de sables armés et lampassés de gueules."

    Économie

    Au début du XIXe siècle l’activité principale de la ville est la fabrication de la toile de lin mais cette activité est touchée par la concurrence anglaise qui travaille avec de la matière première moins coûteuse importée de Russie. Les filatures modernes se développent à Roubaix et Tourcoing ce qui est fatal à la ville.

    La commune de Roncq accueille un des plus gros hypermarchés de France (Auchan Roncq réalise un CA de 233 100 000 €uros est se classe 3e en France en 2017)[30], ainsi que le Centre International de Transports, importante zone industrielle et logistique située au Nord-Est du bourg et qui accueille de nombreuses entreprises ainsi que les équipements de services d'accompagnement.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1908 1919 Désiré Leurent    
    1919 1925 Alphonse Lœul PCF Cafetier
    1925 1935 Jules Cornard Droite Conseiller d'arrondissement du canton de Tourcoing-Nord
    1935 1939 Alphonse Lœul PCF Cafetier
    1939 1941 Michel Boyer-Chammard    
    1941 1941 Florimont Delcourt    
    1941 1942 Michel Boyer-Chammard    
    1942 1944 Edouard Bonduel    
    1944 1955 Alphonse Lœul PCF Cafetier
    1955 1965 Paul Vansteenkiste PCF  
    1965 mars 1971 Jules Gilles PCF  
    mars 1983 Yves Croës PCF Instituteur
    juin 1995 Henri Desmettre UDF-CDS Pharmacien
    Conseiller général du canton de Tourcoing-Nord (1992 → 1998)
    1998 Jean-Albert Bricout    
    1998 mars 2001 Benoît Ghesquière RPR  
    mars 2001 juin 2017 Vincent Ledoux RPR puis
    UMP-LR
    Enseignant
    Député de la 10e circonscription du Nord (depuis 2016)
    En cours Rodrigue Desmet
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [31]
    LR Cadre d'entreprise

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 7]

    En 2018, la commune comptait 13 361 habitants[Note 8], en diminution de 1,21 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 9102 5132 5752 7312 9353 0983 1333 3783 637
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2414 9485 4795 4905 8255 7166 1046 7346 726
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6 6786 5426 5075 9506 2376 5736 8126 7877 097
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 5367 82010 75611 72512 03512 70512 89213 10813 475
    2018 - - - - - - - -
    13 361--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Roncq en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,5 
    4,8 
    75 à 89 ans
    7,2 
    13,3 
    60 à 74 ans
    13,5 
    21,3 
    45 à 59 ans
    21,7 
    20,9 
    30 à 44 ans
    20,0 
    18,8 
    15 à 29 ans
    17,2 
    20,8 
    0 à 14 ans
    19,8 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Lieux et monuments

    Mairie annexe de Roncq
    • l'annexe-mairie située rue Jules Cornard
    • Le monument aux morts situé dans le cimetière du centre.
    • Façade de l'église St Piat
      Église Saint-Piat (1787 et de 1868 à 1874), elle fut détruite puis reconstruite par l'architecte tourquennois Charles Maillard. Elle était trop petite pour accueillir le grand nombre de paroissiens. Elle renferme des pierres tombales néo-romanes.
      L'église St Piat depuis la place
      Église Saint-Roch
    • Chapelle Notre-Dame de l'Esprit Saint - Bâtie en 1988 par Monsieur André Lemahieu, également sculpteur de la statue de la Vierge Marie qui s'y trouve. Elle est située rue de la Briquetterie.[37]
    • Chapelle Notre-Dame des Champs - Reconstruction à l'identique d'une chapelle plus ancienne dont l'origine est située vers 1711 et qui servait de halte lors de la procession des rogations. Elle a été consacrée en aout 1988, à la fête de l'assomption. La statue qui s'y trouve est une œuvre du sculpteur André Lemahieu. Elle est située au carrefour de la rue de Latte et du Boulevard d'Halluin.[37],[38]
    • Chapelle Notre-Dame de Grâce - Plus que centenaire, cette chapelle a été en partie détruite par un camion en 1970 et rénovée. Elle se situe au Blanc Four.[39]

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Culture

    Façade de l'école de musique
    • La fête des madeleines (mars-avril) Supprimé en 2009
    • La fête des moissons, supprimé également
    • Deux marché aux puces en mai et en octobre
    • Un cinéma de quartier associatif (Cinéma Gérard Philipe)
    • L'événement musical "musique sous les étoiles" (fin juin) aux anciennes écuries. Supprimé en 2015
    • L'événement musical jazz "Roncq nuit bleue" (début mai). Supprimé en 2014.
    • La fête de l'école de musique (mi-mars)
    • Une bibliothèque et artothèque municipale
    • Une école de musique
    • Exposition de voiture "La Rétromécanic".
    • Création d'un pôle culture dénommé "La Source"

    Gastronomie

    • Le Crayeux de Roncq est un fromage produit à la ferme du Vinage, à Roncq.
    • L'hippo est la bière roncquoise

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Dany Delbecque, Roncq, Editions Alan Sutton, coll. "Mémoire en images", tomes 1 & 2

    Le Club roncquois d'histoire locale a publié plusieurs livres sur Roncq :

    • Les mémoires de Roncq (tome 1 Les six moulins, tome 2 La musique, tome 3 Les sapeurs pompiers)
    • Fermes et moissons d'antan, tomes 1 & 2, 1985-1986
    • Chapelle Notre-Dame des Champs, Roncq, 1987
    • La vie quotidienne des Roncquois de 1910 à 1920, 1988
    • Les cafés roncquois d'hier et d'aujourd'hui, 1991
    • Si Roncq m'était conté : des origines à 1914, 2000
    • Si Roncq m'était conté : de 1914 aux années 50, 2007

    Il y a encore diverses publications sur Roncq d'origines diverses (liste non exhaustive) :

    • Abbé Coulon, Histoire de Roncq, 1902
    • Histoire de l école Saint Joseph : 1887-1987
    • L'église Saint-Piat, Roncq, les Amis de Saint-Piat
    • Michel Lemaire,
      • "Roncq en 1900" publié en 1985
      • "Plus d'un siècle de laïcité à Roncq" publié en 2009
      • "Pages d'histoires roncquoises" publié en 2010
      • "Pages d'histoires roncquoises" tome II publié en 2015
    • Histoire de la Jeanne d'Arc : 1908-1998
    • Si la Philharmonie m'était contée : 1920-1995
    • L'ALACH : 1975-1999

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Roncq et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Roncq et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    26. Recueil de la Noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois par le Chevalier Amédée Le Boucq de Ternas - Édition 1884 - page 420 - disponible sur le site internet Gallica de la BnF
    27. Lettres d'érection en comté sous le nom de Wazières de Roncq - Archives du Parlement de Flandres, registre aux provisions no 13, f° 27 v° - disponible en lecture sur le site internet Gallica de la Bnf dans l'ouvrage suivant: La Société d'Études de la Province de Cambrai, Tome XII, Recueil des Généalogies Lilloises par Paul Denis du Péage, Tome I, pages 302 et suivantes
    28. Statistiques des conjoints et des conjointes signant leur acte de mariage à Roncq (arrondissement de Lille - diocèse de Tournai)entre 1750 et 1790 et en 1789.
    29. Sources: Annuaire statistique du département du Nord par MM. Demeunynck et Devaux, Chez L. Danel, imprimeur du Roi et de la préfecture -1830-
    30. « Le Top 100 des hypermarchés de France en 2017 », sur MARKETING PGC, (consulté le ).
    31. https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599951
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Évolution et structure de la population à Roncq en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. Francis Lebrun, Bernard Coutelle, Jacques Courtray et Bernard Devernay, « Circuit Pedestre : Niches et chapelles de Roncq » [PDF], sur http://journalparoissialroncq.nordblogs.com/ (consulté le ).
    38. « Rues de Roncq - Nord Eclair - CRRAI », sur roncq.free.fr (consulté le ).
    39. « Rues de Roncq - Sentier casier », sur roncq.free.fr (consulté le ).
    40. « Association de jumelage coopération Roncq-Sélinkégny » (consulté le ).
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