Rivières (Charente)

Rivières (Rivieras en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

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Rivières

L'église de Rivières.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Viviane Bourgoin-Zorzoli
2020-2026
Code postal 16110
Code commune 16280
Démographie
Gentilé Riviérois
Population
municipale
1 998 hab. (2018 )
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 13″ nord, 0° 21′ 46″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 156 m
Superficie 21,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Rivières
Géolocalisation sur la carte : Charente
Rivières
Géolocalisation sur la carte : France
Rivières
Géolocalisation sur la carte : France
Rivières

    Ses habitants sont les Riviérois et les Riviéroises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Rivières est une commune située à km au nord-ouest de La Rochefoucauld et à 20 km au nord-est d'Angoulême[2].

    La commune arrive presque jusqu'au château de La Rochefoucauld. Elle est située dans la vallée de la Tardoire, et englobe aussi une petite partie de la forêt de la Braconne à l'ouest.

    Elle est traversée par les routes départementales 88 (dite route de la Duchesse), qui va de La Rochefoucauld à Jauldes et passe à côté du bourg, et la D 6, route de Montbron à Mansle (passant par La Rochefoucauld et le Pont-d'Agris) qui passe sur la rive droite.

    La route nationale 141 d'Angoulême à Limoges, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, contourne La Rochefoucauld depuis 2011 et passe sur son territoire.

    Elle est aussi traversée par le GR 36, sentier de grande randonnée qui relie la Manche aux Pyrénées orientales, et qui longe la rive droite de la Tardoire entre La Rochefoucauld et Agris[3].

    La gare la plus proche est celle de La Rochefoucauld, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune de Rivières est assez étendue et peuplée, et se compose de nombreux gros hameaux : les Houillères, Lavaud, Monthézard, la Villandière sur la rive droite de la Tardoire, la Croix de l'Orme (faubourg de La Rochefoucauld), Chez la Serre, Chez Salot, Chez Pichou etc. sur la rive gauche[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le terrain est calcaire et date du Jurassique (Bathonien à Kimméridgien d'est en ouest). La commune est sur le karst de La Rochefoucauld. Le plateau à l'est de la vallée de la Tardoire est recouverte d'altérite et d'argile à silex provenant du Massif central tout proche (10 km à l'est) et déposé pendant l'ère tertiaire. La vallée est occupée par des alluvions et terrasses de sable et graviers (rive droite) datant du quaternaire[4],[5],[6],[7].

    La cavité de Camelot, en partie sous la commune de Saint-Projet-Saint-Constant, est à ce jour la plus vaste grotte karstique connue du département. Elle possède 15 kilomètes de galeries reliant un réseau de cavités souterraines[8].

    La commune inclut le point culminant de la forêt de la Braconne, 156 m, le Gros Fayant, occupé autrefois par un observatoire (tour métallique). La maison forestière est aussi sur la commune.

    Le point le plus bas, 65 m, se trouve au nord de la commune, dans le lit de la Tardoire.

    Hydrographie

    De nombreux gouffres jalonnent la forêt de la Braconne, mais aussi le lit des rivières Bandiat et Tardoire. Le Bandiat disparaît dans ces pertes avant son confluent avec la Tardoire, et la Tardoire est à sec en été.

    Sur la commune, on peut noter :

    • les Fosses de Ribérolles (entre le Bandiat et Chez Pichou)
    • sur le Bandiat :
      • le gouffre de Gauffry
      • les gouffres du Gros Roc
      • le gouffre de la Cuve
      • le gouffre des Pinonnes (en aval des Vieilles Vaures et en limite d'Agris)
    • sur la Tardoire :
      • le gouffre de Chez Lascoux (le plus important)
      • les gouffres de Chez Lambert, en particulier le Gourdonnais
      • les gouffres du Mônac

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Rivières est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,9 %), terres arables (24,8 %), forêts (23,7 %), zones urbanisées (6,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Ripperiis en 1293[15], Riperiis vers 1100[16].

    L'origine du nom de Rivières remonte au latin riparia qui signifie le bord ou le paysage d'une rivière[17].

    Créée Rivières en 1793, la commune s'est appelée Rivière en 1801[18]. La carte de Cassini, du XVIIIe siècle, l'orthographie Riviere[19].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin. La forêt de la Braconne à l'ouest fait la limite avec le saintongeais, langue d'oil[20]. Rivières se nomme Rivieras en occitan[21].

    Histoire

    L'archéologie aérienne accompagnée de fouilles ont mis en évidence, à Ribérolles, la présence d'une nécropole-sanctuaire de l'âge du fer, dont l'occupation a été prolongée à l'époque gallo-romaine sous la présence d'un fanum (petit temple)[22].

    On a retrouvé une inscription latine au lieu-dit la Garenne datant de l'époque romaine (Haut-Empire), sur une dalle calcaire de 1,22 m x 0,43 m : « Julia Malla, fille de Malluron, à l'essence divine des Augustes, et à la déesse Damona Matuberginnis, en mémoire de Sulpicia Silvana, sa fille, a érigé à ses frais ce monument. ». Damona est une déesse celtique[23].

    En 1247, un certain Aimeri de Rivières reprend en fief l'ensemble de ses biens des mains du comte d'Angoulême Hugues de Lusignan[24].

    Élie, seigneur de Rivières, aurait édifié la coupole byzantine d'une chapelle de l'église à son retour de croisade.

    Au XVe siècle, ce fief appartenait à la maison de Crozant, aujourd'hui disparue, puis cédé à la famille de Guitard. Il ne reste aucun vestige du château.

    Les traces du fief de Ribérolles remontent à une charte de Hugues le Brun, comte d'Angoulême, octroyant aux seigneurs de Ribérolles (Ruperiolis) le droit de glandée dans la forêt de la Braconne. Ce fief relevait en partie des comtes d'Angoulême et en partie des seigneurs de La Rochefoucauld.

    Vers le milieu du XVe siècle, Ribérolles était la propriété d'une famille Vigier, qui disparut au XVe siècle et fut remplacée par les de Raymond, seigneurs de Ribérolles et de Mazotte. Cette famille conserva Ribérolles jusqu'en 1641, où le fief passa par mariage à François de Guitard, écuyer, seigneur de la Borie et de Villejoubert[25], dont la famille avait déjà acquis la seigneurie de Rivières. Cette famille posséda le château jusqu'au début du XXe siècle, représentée alors par la baronne de Ribérolles. L'ancien château a été détruit en 1786, et remplacé par le logis actuel, qui ne put être achevé tel qu'il avait été conçu primitivement.

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par la tuilerie de Péruzet (alimentée dans la seconde moitié du siècle en argile grâce à une voie ferrée étroite particulière depuis une carrière située au nord-est du bourg d'Yvrac, à Chante-Caille[26]), et le moulin à blé de la Ramisse[27].

    L'entreprise Rondinaud, créatrice en 1907 de la pantoufle en feutre appelée Charentaise, est à l'origine une entreprise familiale née à La Rochefoucauld. Son usine principale était installée sur la commune depuis 1962[28],[29]. Devenue Manufacture charentaise, elle a fermé en 2019[30].

    Politique et administration

    La mairie de Rivières.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1929 Jean Mornaud SE  
    1995 2001 Daniel Gascon PS Conseiller général
    Président de la communauté de communes
    2001 2008 Nicole Poupon    
    2008 2020 Michel Cuny SE Retraité
    2008 En cours Viviane Bourgoin-Zorzoli SE sans profession
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 1 998 habitants[Note 3], en augmentation de 3,68 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 0491 2061 2061 2821 3251 2981 2751 2401 212
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1351 1291 0491 0861 0721 0951 074913843
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    8598588528378879078279111 050
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    1 1061 2121 4841 5871 7371 8751 8471 9721 998
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Rivières en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0 
    90  ans ou +
    4,7 
    13,2 
    75 à 89 ans
    15,3 
    18,7 
    60 à 74 ans
    19,6 
    22,0 
    45 à 59 ans
    20,0 
    18,5 
    30 à 44 ans
    16,5 
    10,1 
    15 à 29 ans
    7,9 
    16,6 
    0 à 14 ans
    15,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La commune est essentiellement rurale.

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

    Chaudronnerie Soumagne

    Jean Soumagne s’installe avec quelques compagnons comme charron à La Rochefoucauld.

    En 1919, l’entreprise Soumagne évolue pour se reconvertir dans la carrosserie automobile.
    Puis, à partir de 1949, à la demande de l’industrie textile, l’entreprise se tourne vers la chaudronnerie.
    En 1971, l’entreprise Soumagne déménage pour s’implanter en périphérie de la ville.
    C’est en 2003 que la 4e génération des Soumagne a fêté les 120 ans de l’entreprise[37].

    Fromagerie le Manslois

    Depuis 1991, le fromage « le Manslois », fromage blanc battu de vache frais célèbre dans le département, est fabriqué dans la commune. Comptant 3 employés, l'entreprise familiale tenue par Marie-Claude Paulet et Philippe Petit fabrique 150 000 fromages par an, ainsi qu'une variante chèvre depuis 2005[38].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Rivières possède une école primaire publique comprenant sept classes (deux maternelles et cinq élémentaires). Le secteur du collège est La Rochefoucauld[39].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Cybard est romane et date des XIIe et XVe siècles. L'église a d'abord été mentionnée en 1090 lorsque l'évêque d'Angoulême Adémar la remet au prieuré Saint-Florent de La Rochefoucauld, avant de passer en 1266 au chapitre de La Rochefoucauld. De cette église il ne reste rien et au XIIe siècle on en construit une nouvelle. Il en reste actuellement le chœur et le transept situé au nord, avec une absidiole de grande qualité architecturale en hémicycle ouvrant sur le croisillon. L'église a été en grande partie reconstruite au XVe siècle, en particulier la nef, le mur oriental avec contreforts fermant le chevet vue la déclivité du terrain, et la façade occidentale avec la porte de style gothique flamboyant. L'intérieur de l'édifice a été remanié au XIXe siècle[40].

    Avec son cimetière attenant où l'on peut remarquer d'impressionnantes pierres tombales impressionnantes du XIXe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1948[41].

    Patrimoine civil

    Le logis de Ribérolles, situé à 0,4 km au nord du bourg au bord de la Tardoire, est inscrit aux monuments historiques depuis le [42].

    Personnalités liées à la commune

    • Nicole Bricq (1947-2017) est morte des suites d'une chute faite à Rivières.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    8. Julie Koch, « La cavité Camelot », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 155,189
    16. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 171
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 558.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Carte de Cassini sous Géoportail
    20. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    21. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    22. Fouilles CNRS José Gomez de Soto 1995-2000 in Jacques Dassié, Archéologie aérienne. Patrimoine archéologique et touristique des Charentes, Joué-lès-Tours, éd. Alan Sutton, , 176 p. (ISBN 2-84253-607-X), p. 42-43
    23. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 68, Inscriptions latines des Trois Gaules, 155
    24. André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 424
    25. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, famille de Guitard », (consulté le )
    26. Carte Michelin 72, année 1960
    27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 281-282
    28. « Entreprise Rondinaud » (consulté le )
    29. Sylviane Carin, « Rondinaud à Rivières », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    30. Sébastien Girardel, « Charente : la Manufacture charentaise, fabricant de chaussons, liquidée », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Evolution et structure de la population à Rivières en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    37. « Site de l'entreprise Soumagne » (consulté le )
    38. Article « Le Manslois », Charente libre, , p. 6 (lire en ligne)
    39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    40. Panneau d'information à l'entrée
    41. « Église et cimetière », notice no PA00104466, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. « Logis de Ribérolles », notice no PA16000046, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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