Brie (Charente)

Brie, appelé autrefois Brie-la-Rochefoucauld, est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Brie.

Brie

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Michel Buisson
2020-2026
Code postal 16590
Code commune 16061
Démographie
Gentilé Briauds
Population
municipale
4 227 hab. (2018 )
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 18″ nord, 0° 14′ 29″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 167 m
Superficie 34,05 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Touvre-et-Braconne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Brie
Géolocalisation sur la carte : Charente
Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Brie

    Elle fait partie du Grand Angoulême. Ses habitants sont appelés les Briauds et les Briaudes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Brie est une commune située à 12 km au nord-est d'Angoulême, faisant partie de son aire urbaine.

    Brie est aussi situé à 3,7 km au nord de Champniers, 6,7 km de Ruelle, 11 km à l'ouest de La Rochefoucauld, le chef-lieu de son canton.

    La commune est traversée par la D 12, route d'Angoulême à Chasseneuil, qui passe légèrement à l'est du bourg. Le bourg est desservi par la D 91 qui se dirige au nord-est vers Jauldes. La D 105 traverse le sud de la commune et relie Champniers à la N 141 direction Limoges (les Frotards et les Frauds). La D 113, à l'est, relie Anais aux Frauds et la N 141. La D 388 part du bourg de Brie vers les Favrauds et le Puy de Nanteuil.

    La N 141, route de Saintes à Limoges par Angoulême et maillon de la route Centre-Europe Atlantique limite la commune au sud-est.

    La N 10 entre Angoulême et Poitiers passe à l'ouest de la commune, à km du bourg ; on y accède par l'échangeur de la Touche d'Anais (D 11) au nord ou de Champniers-les Chauvauds au sud[2].

    L'aéroport international Angoulême-Cognac, appelé aussi aéroport d'Angoulême-Brie-Champniers[2], occupe une partie sud de la commune.

    Hameaux et lieux-dits

    Brie compte de nombreux hameaux importants, d'autant plus qu'ils se sont étendus à cause de l'urbanisation d'Angoulême ces 20 dernières années. On peut citer, du sud au nord, les Rassats, les Frauds, les Frotards, la Prévôterie, la Simarde (à cheval sur Champniers), la Jauvigère, le Temple, etc.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien dans une petite partie nord-est et Kimméridgien ailleurs), et fait partie du karst de La Rochefoucauld. Quelques zones de grèzes et colluvions datant du Quaternaire parsèment aussi le territoire, comme à la Jauvigère à l'est ou au bois de Fontfaye à l'ouest[3],[4],[5],[6].

    La Grande Fosse, remarquable gouffre profond de 50 m et d'un diamètre de 120 m, est situé en limite de commune avec Jauldes au nord.

    Le relief de la commune est celui d'un plateau légèrement incliné vers l'ouest, d'une altitude moyenne de 130 m, avec une crête nord-sud entre les Frauds et la Jauvigère dominant la forêt de la Braconne à l'est. Le point culminant est à une altitude de 167 m, situé à l'est du bourg sur cette crête près de la Jauvigère (château d'eau). De nombreuses combes parcourent ce plateau et se dirigent vers l'ouest. Le point le plus bas est à 68 m, situé à la Grande Fosse. Le bourg, tapis dans un vallon, est à environ 110 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    À cause de la nature karstique du sol, aucun cours d'eau traverse la commune. L'Étang est un ruisseau temporaire qui passe au bourg et occupe le fond d'une combe, se dirigeant vers l'ouest et alimentant les modestes sources de l'Argence près de Churet[2].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[7].

    Végétation

    La forêt de la Braconne occupe la partie orientale de la commune, avec le camp militaire du 515e régiment du train.

    Limite dialectale

    La commune est dans la langue d'oïl, et marque la limite avec le domaine occitan (à l'est)[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Brie est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,3 %), forêts (32,9 %), zones urbanisées (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Bria en 1110[15].

    D'après Dauzat, l'origine du nom de Brie, comme ceux des autres communes du même nom dans la région, remonterait au gaulois briga signifiant « hauteur »[16]. Mais ce n'est pas évident car le bourg de Brie n'est pas sur une hauteur.

    Au cours des XIXe et XXe siècles, Brie s'est appelée informellement Brie-la-Rochefoucauld, du nom de son canton, pour la distinguer des autres communes du même nom en Charente[17],[18].

    Histoire

    Les registres de l'état civil remontent à 1665.

    La famille de Nesmond, illustre famille de l'Angoumois, a longtemps résidé dans la commune et possédé deux logis, au bourg et à la Jauvigère[19].

    Au XIXe siècle, l'administration de la guerre a implanté le champ de tir (appelé alors polygone de tir) dans la forêt de la Braconne, sur près de deux lieues[Note 3]. Il était pourvu en eau potable grâce à une canalisation amenant l'eau des sources de la Touvre. Il était occupé au début du XXe siècle par les différents régiments du 12e corps d'armée[19].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne Angoulême à Saint-Angeau des Chemins de fer économiques des Charentes appelée le petit Mairat, à voie métrique, et un arrêt était situé au pied du bourg.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé : au 1er d’or à trois huchets contournés de sinople liés de gueules, au 2e de gueules à la fleur de tournesol au naturel, au 3e de gueules à l’arbre au naturel, au 4e de sinople à l’ancre d’or chargée en pointe de nombre « 515 » de sable et à la gazelle bondissante d’argent brochante.
    Commentaires : Blason de Brie.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[20]
    Période Identité Étiquette Qualité
    12 novembre 1944[23] 28 mars 1971 Léandre Allélie    
    28 mars 1971 1er février 1974[21]
    (démission)
    Daniel Garet    
    1er février 1974 18 mars 1983 Raymond Faye    
    18 mars 1983 19 mars 1989 Pierre Chantran    
    19 mars 1989 28 mars 2014 Guy Branchut PS Retraité de la DCN
    Conseiller général du canton de La Rochefoucauld (2001 → 2015)
    Vice-président du conseil général de la Charente (2004 → 2011)
    Président de la CC de Braconne et Charente (1994 → 2014)
    28 mars 2014 en cours Michel Buisson[24] DVG Professeur des écoles
    Suppléant du député Jérôme Lambert (2012 → )
    Conseiller départemental du canton de Touvre-et-Braconne (2016 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 4 227 habitants[Note 4], en diminution de 0,61 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856 1861
    1 7421 5091 7282 0541 8681 9602 1181 9521 754
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 7331 6651 6161 7181 5571 3701 2871 2281 224
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 1701 0241 0121 0301 0681 0061 0281 2421 034
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    1 2761 9312 7282 9803 6163 6524 2494 2214 227
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Brie en 2009 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,2 
    3,3 
    75 à 89 ans
    4,7 
    8,5 
    60 à 74 ans
    9,2 
    23,4 
    45 à 59 ans
    25,5 
    21,2 
    30 à 44 ans
    25,6 
    24,3 
    15 à 29 ans
    15,6 
    19,3 
    0 à 14 ans
    19,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2009 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,6 
    75 à 89 ans
    12,3 
    15,8 
    60 à 74 ans
    16,2 
    22,2 
    45 à 59 ans
    21,5 
    19,2 
    30 à 44 ans
    18,5 
    16,4 
    15 à 29 ans
    14,4 
    17,3 
    0 à 14 ans
    15,5 

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].

    Commerce et industrie

    Bâtiment d'accueil de l'aéroport Angoulême-Cognac.

    L'aéroport d'Angoulême se trouve en partie sur la commune.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Brie accueille deux écoles élémentaires : l'école du bourg, six classes, et l'école de la Prévôterie, cinq classes, ainsi qu'une école maternelle, six classes.

    Le secteur du collège est Ruelle (collège Norbert-Casteret)[31].

    Lieux et monuments

    Église Saint-Médard

    L'église paroissiale Saint-Médard romane date des XIIe et XIIIe siècles. Selon certains elle était attribuée au chapitre cathédral d'Angoulême, selon d'autres c'était un prieuré-cure de l'abbaye Saint-Ausone. Deux enfeux sont situés près de l'entrée au sud, dont l'un décoré de coquilles Saint-Jacques. Le plafond de la nef a été refait dans la seconde moitié du XIXe siècle. L'église a été restaurée dans les années 2000[32].

    Chapelle Notre-Dame de La Braconne

    Située au village des Frauds, cette chapelle de style néo-gothique fut construite en 1905 par une souscription et bénie en 1907. Deux vitraux représentent sainte Barbe, patronne des artilleurs, et saint Hubert, patron des chasseurs. Elle fut vendue en 2005 à un particulier, qui y organise parfois des expositions[32].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Environ huit kilomètres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    8. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 116.
    17. J.B.A. Basque, Dictionnaire des communes du département de la Charente, , 166 p. (lire en ligne), p. 15
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 96
    20. Les maires de Brie, sur le site Geneawiki
    21. Démissionnaire pour raison de santé.
    22. Déchu de ses fonctions par le préfet.
    23. Président de la commission municipale, il est élu maire le 12 mai 1945.
    24. http://www.brie2020.fr/michel-buisson/
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Evolution et structure de la population à Brie en 2009 », sur (consulté le )
    29. « Evolution et structure de la population de la Charente en 2009 », sur (consulté le )
    30. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 86-87

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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