Ribemont

Ribemont est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Ribemont (homonymie).

Ribemont

Hôtel de Ville et Justice de Paix.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité CC du Val de l'Oise
Code postal 02240
Code commune 02648
Démographie
Gentilé Ribemontois(es)
Population
municipale
1 959 hab. (2018 )
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 47″ nord, 3° 27′ 33″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 141 m
Superficie 26,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribemont
(bureau centralisateur)
Législatives 3e circonscription de l'Aisne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ribemont
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Ribemont
Géolocalisation sur la carte : France
Ribemont
Géolocalisation sur la carte : France
Ribemont
Liens
Site web http://www.ribemont.fr/

    Géographie

    Description

    Entrée de Ribemont.

    Ribemont est un bourg rural picard du Vermandois situé dans la vallée de l'Oise.

    Il se trouve à 15 km au sud-est de Saint-Quentin, 29 km au nord-ouest de Laon et 46 km au sud-ouest de Hirson. Desservi par la RD 13, il est facilement accessible depuis l'ancienne route nationale 29 à Origny-Sainte-Benoite.

    La ligne du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise traverse la commune mais n'accueille qu'un trafic fret et occasionnellement un train touristique.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par les divers bras de l'Oise, un affluent de la Seine, ainsi que par le Canal de la Sambre à l'Oise.

    Urbanisme

    Typologie

    Ribemont est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,9 %), prairies (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (5,8 %), cultures permanentes (2,2 %), forêts (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom du bourg apparaît pour la première fois en 1083, sous la dénomination de Ribaudimons puis Ribotmons, Ribelmont, In teritorium de Ribemont, Ribomont en 1183 dans un cartulaire de l'Abbaye de Saint-Michel. Le nom variera ensuite en fonction des différents transcripteurs Ribaudimont, Ribuaumont, Ribomont, Ribbemont, Ribeumont, Ribedimons, Rebemont, Riblemont et enfin l'orthographe actuelle Ribemont sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIè siècle [8].

    Plusieurs hypothèses sont avancées sur l'origine du nom de la commune. Parmi lesquelles :

    • Ribemont aurait été au VIIe siècle un établissement de Francs ripuaires (Francs rhénans) ;
    • la topographie de la commune, dont le centre ancien est situé sur une colline au bord de l'Oise, d'où l'ancien nom Ripemons signifiant « mont au bord d'une rive »[9].

    Histoire

    Découvertes archéologiques

    La situation géographique stratégique de la ville laisse supposer que la ville dût être un oppidum gaulois. Aux XIXe et XXe siècles, des vestiges ont pu retracer une partie de l'histoire de Ribemont[9] :

    • des haches celtiques dont une en silex blanc attestent le séjour des Celtes[10] ;
    • des sépultures franques trouvées à la ferme de la Grande Cense ;
    • époque gallo-romaine : pièces de monnaies gauloises. Les cinquante ans d'occupation romaine sont certifiés par la découverte d'un vase de verre blanc (conservé au Musée de Picardie) et un mur en petit appareil au niveau de l'ancien château de Ribemont.

    Moyen Âge

    En 685, Constantin est le premier châtelain de Ribemont[11]. Ce seigneur avec son épouse Francigène donne naissance à saint Rigobert qui deviendra archevêque de Reims.

    Reliquaire de saint Germain dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Les reliques de saint Germain de la Bresle sont abritées dans un premier temps dans l'église du château en 882 lors d'une incursion normande. Plus tard, la chapelle Saint-Germain fut édifiée pour accueillir les reliques.

    En 880, les rois carolingiens Louis le Jeune, Louis III et Carloman II y signent lr traité de Ribemont. Un second traité y sera signé en 1178 entre les fils du duc Mathieu Ier de Lorraine pour le partage de l'héritage.

    Époque moderne

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Ribemont est un bourg fortifié situé sur la rive gauche de l'Oise. Un moulin à eau est symbolisé par une roue dentée.
    Le bourg était relié aux villages des environs par cinq routes empierrées.

    Au sud, St-Denis était un hameau dont le nom est rappelé de nos jours par le lieu-dit Vallée Saint-Denis; la Tuilerie est évoquée par la Rue de la Briqueterie.
    Le Pont Basillot était un pont en pierre sur l'Oise.

    Au nord, la chapelle Saint-Germain est intégrée actuellement à l'agglomération.

    L'Abbaye de Saint-Nicolas-des-Prés est une ancienne abbaye bénédictine fondée à la fin du XIè siècle; son appellation latine est citée en 1141: Sanctus-Nicholaus-de-Prato [12]. Après la révolution et jusqu'au XIXè siècle, elle fut transformée en filature de laine.

    Le hameau de Lucy est cité en 1083 sous le nom de Luciacus[13].
    Le château de Tournoison (écrit Fournoison) fut construit au début de XVIIIè siècle [14]; on l'appelle de nos jours Château de Lucy.

    Passé ferroviaire de la commune

    De 1874 à 1966, Ribemont a été traversé par la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise. qui passait à l'est du village près du canal de la Sambre à l'Oise.

    La ligne passe au nord-ouest de la commune et franchit deux fois l'Oise.

    Le hameau de Lucy possédait également une gare.

    Chaque jour, cinq trains s'arrêtaient dans chaque sens devant cette gare pour prendre les passagers qui se rendaient soit à Saint-Quentin, soit à Guise (voir les horaires) [15] .

    De 1900 à 1958, une seconde ligne de chemin de fer, la Ligne de Ribemont à La Ferté-Chevresis partait de la gare en direction de Villers-le-Sec jusque La Ferté-Chevresis (voir les horaires en 1923 [16] et 1956 [17].

    A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
    La gare en bois avant 1914, fut détruite par les Allemands en 1918; elle a été reconstruite dans les années 1920 en brique avec un étage.

    A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1966. Toutefois, en 2020, la ligne est toujours en service mais elle n'est plus utilisée qu'épisodiquement par le Chemin de fer touristique du Vermandois jusqu'à la gare d'Origny-Sainte-Benoîte.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne[18].

    Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Ribemont[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Ribemont[18]

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Aisne[20].

    Intercommunalité

    Ribemont était membre de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Val de l'Oise dont est désormais membre la commune. L'intercommunalité est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21]

    Liste des maires

    Liste des maires successifs [22],[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 10 juillet 2020[25],[26],[27] Michel Potelet[28] PS puis DVG Retraité de l'éducation nationale
    Conseiller général puis départemental de Ribemont (1998 → 2020)
    Vice-président du conseil départemental de l'Aisne (2015 → 2020)
    Vice-président de la CC du Val de l'Oise (2014 → 2020)
    Décédé en fonction
    22 juillet 2020[29] mai 2021[30] Vincent Paquet   Collaborateur d'élus
    Décédé en fonction

    Jumelages

    La municipalité de Ribemont a conclu jumelage avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 1 959 habitants[Note 4], en diminution de 0,41 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5002 3302 3162 5472 7262 7162 7913 0983 098
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0283 1323 1263 1243 0963 1953 1292 9352 847
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7692 6272 5842 1422 1862 0201 9761 8131 967
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 1872 1522 0142 1052 2272 0962 0591 9841 969
    2018 - - - - - - - -
    1 959--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture

    • L'école municipale de musique.
    • La bibliothèque municipale.

    Manifestations culturelles et festivités

    Le Tour de France 2007 est passé dans la commune, de l'étape Waregem-Compiègne le mardi .

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le musée Condorcet, installé dans la maison natale de ce dernier, est inscrit à la Fédération nationale des maisons d'écrivains et des patrimoines littéraires[34].
    • Le moulin de Lucy.
    • L'abbaye Saint-Nicolas-des-Prés, transformée en château après la Révolution.
    • Le château de Lucy, rue de Tournoison, ancienne ferme de Tournoison appartenant à l'abbaye.
    • Statue de Condorcet par le sculpteur Ernest Diosi, installée en face de l'hôtel de ville en 1947.

    Mémoriaux de guerre

    • Le carré militaire français au cimetière avec son mémorial des soldats ribemontais.
    • La section militaire britannique au cimetière, entretenu par la Commonwealth War Graves Commission.
    • Le monument aux morts du bourg.
    • Le monument aux morts du cimetière.

    Personnalités liées à la commune

    Statue de Condorcet sur la place de la mairie.
    • Germain de la Bresle, martyr en Normandie, fête le .
    • Eustache de Ribemont, dit Wistache, le seul à avoir battu le Prince Noir au combat et à l'avoir fait prisonnier ; la victoire revint hélas au camp anglais et Eustache fut tenu dès lors en très haute estime par le Prince Noir lui-même[36].
    • Jeanne Harvilliers, la sorcière de Ribemont (1528-1578).
    • Nicolas François Blondel (1618-1686), architecte français.
    • Nicolas de Condorcet, mathématicien et homme politique sous l’Ancien Régime et la Révolution (1743-1794).
    • Louis Vincent Joseph Leblond, comte de Saint-Hilaire (1766-1809), général de division de la Révolution et de l'Empire, mort des suites de blessures reçues lors de la bataille d'Essling.
    • Léon Hennique (1850-1935), romancier naturaliste et auteur dramatique français.
    • Rachel Legrain-Trapani, miss France 2007.

    Héraldique

    Blason
    De gueules, à la montagne d'argent, surmontée d'un soleil d'or et accostée de deux gerbes de blé du même ; au chef cousu d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or[37].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Blason officiel
    Alias
    Alias du blason de Ribemont
    Echiqueté d’or et d’azur[37].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
    9. Charles Gomart, Histoire de Ribemont, éd. Res Universalis, 240 p.
    10. Musée de Picardie, pièce no 698, catalogue de 1848.
    11. Dom Lelong, Histoire du diocèse de Laon, p. 95
    12. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
    13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
    14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
    15. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Saint-Quentin-Guise-La_Fert%C3%A9-Chevresis_Horiare_1923_Horaire_1956.jpg
    16. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_La_Fert%C3%A9-Chevresis_Ribemont.jpg
    17. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:La_Fert%C3%A9_Chevresis_Ribemeont_Horaire_1956.jpg
    18. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Ribemont », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    21. « communauté de communes du Val de l'Oise - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    22. maires de 1818 à 1842 : actes d'état-civil conservés aux archives départementales
    23. « Les maires de Ribemont », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    24. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    25. Grégory Beuscart, « Décès brutal de Michel Potelet, maire de Ribemont et vice-président du conseil départemental de l’Aisne, ce vendredi matin », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « L'élu axonais a été terrassé par une crise cardiaque, ce vendredi 10 juillet dans la matinée, alors qu'il était au volant de son véhicule. Il était âgé de 70 ans. [...] Retraité de l’Éducation nationale – il a notamment enseigné aux collèges de Moÿ-de-l’Aisne et Harly – Michel Potelet poursuivait une immense carrière politique d’élu local entamée il y a plusieurs décennies. Conseiller municipal de Ribemont depuis 1977 puis maire depuis 1989, réélu depuis sans interruption, il a entamé son dernier mandat en mai dernier ».
    26. « L'élu axonais Michel Potelet meurt brutalement au volant de sa voiture », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Décès brutal de Michel Potelet, maire de Ribemont », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal de Ribemont depuis 1977 puis maire depuis 1989, réélu depuis sans interruption, il a entamé son dernier mandat en mai dernier. Il était également une figure de l’Aisne en représentant le canton de Ribemont depuis 1998 au sein de l’instance départementale. Depuis 2015, il était vice-président en charge des affaires budgétaires et de l’administration générale. En proie à des soucis de santé, il avait déclaré en novembre 2019 qu’il ne se représenterait pas aux prochaines élections départementales, préférant se consacrer entièrement à sa commune ».
    28. « Un très léger souffle de changement du côté de Ribemont, mais pas pour la place de maire », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « Michel Potelet reste maire de Ribemont mais son équipe change... un peu ».
    29. Romain Denizart, « Vincent Paquet devient le nouveau maire de Ribemont », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Vincent Paquet, 50 ans, est membre du conseil depuis 2014. Il a tout d’abord été 2e adjoint, avant de devenir le premier adjoint de ce nouveau mandat. Il était l’un des proches de Michel Potelet. Les deux hommes travaillaient, notamment, ensemble au conseil départemental, puisque le nouveau maire était collaborateur du groupe politique dans lequel Michel Potelet siégeait ».
    30. « Vincent Paquet, maire de Ribemont, n’est plus : Il avait succédé à Michel Potelet à la mairie de la commune en juillet 2020. Il est décédé ce week-end à l’âge de 51 ans », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Vincent Paquet avait intégré le conseil depuis 2014, d’abord en tant que deuxième adjoint. Il avait été nommé premier adjoint pour ce nouveau mandat municipal, avant de succéder à Michel Potelet, dont il était proche. Les deux hommes travaillaient notamment ensemble au conseil départemental puisque Vincent Paquet était collaborateur du groupe politique dans lequel Michel Potelet siégeait ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. Site officiel de la Fédération des maisons d'écrivains.
    35. « Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge (Lucy) - Eglises et patrimoine religieux de France », sur www.patrimoine-religieux.fr (consulté le )
    36. Paul Roche (maître d'école puis maire de Ribemont), Ma petite ville au grand renom, p. 123-131, imprimerie L'Espoir à Guise, dépôt légal 4e trimestre 1965.
    37. « 02648 Ribemont (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Liens externes

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