Rhénanie-du-Nord-Westphalie

La Rhénanie-du-Nord-Westphalie (/vɛst.fa.li/ ; en allemand : Nordrhein-Westfalen ; en bas allemand : Noordrhien-Westfalen, souvent abrégé NRW) est un État fédéré de l'ouest de l'Allemagne. C'est le Land allemand le plus peuplé et doté du plus fort poids économique, en partie grâce à la Ruhr. La Rhénanie-du-Nord–Westphalie abrite plus de 23 % de la population allemande (18 millions) et contribue à environ 22 % du produit intérieur brut de l'Allemagne. Mais son poids économique dépassant largement les frontières de l'Allemagne, elle se place ainsi en tête des régions de l'Union européenne en étant première en matière de produit intérieur brut (PIB) à PPA[2]. Sa superficie est de 34 083 km2. Sa capitale est Düsseldorf et la plus grande ville est Cologne.

Rhénanie-du-Nord -
Westphalie
Nordrhein-Westfalen

Armoiries

Drapeau de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie

Localisation de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie (en vert foncé) à l'intérieur de l'Allemagne
Administration
Pays Allemagne
Capitale Düsseldorf
Ministre-président Armin Laschet (CDU)
ISO 3166-2 DE-NW
Démographie
Population 17 947 221 hab. (2019[1])
Densité 527 hab./km2
Rang 1er
PIB (2010)

PIB/hab.
543,030 Md € (1er)

30 300 
Géographie
Superficie 34 085,27 km2
Rang 4e
Politique
Parti(s) au pouvoir CDU-FDP
Landtag
CDU
SPD
FDP
AfD
Grünen
Total

72
69
28
16
14
199
Nombre de voix
au Bundesrat
6
Liens
Site web land.nrw

    Géographie

    Situation

    La Ruhr, rivière qui a donné son nom au bassin industriel (ici à Bochum).
    Un vol d'oies dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, vers Dülmen. Octobre 2017.

    La Rhénanie-du-Nord - Westphalie est frontalière de la Belgique à l'ouest et des Pays-Bas à l'ouest et au nord-ouest et d'autres Länder allemands, la Basse-Saxe au nord, la Rhénanie-Palatinat au sud-ouest et la Hesse au sud-est. Le Land comprend la partie septentrionale de la vallée du Rhin, de l'ancienne capitale fédérale Bonn jusqu'à Clèves près de la frontière néerlandaise. C'est là que se situe la région industrielle de la Ruhr. La partie orientale du land est l'ancienne province de Westphalie.

    La Rhénanie-du-Nord-Westphalie est associée de longue date à l'image d'une région industrielle et urbaine. Mais la majeure partie du Land est agricole (environ 52 %) ou couverte de forêt (25 %). Les parties méridionales de la forêt de Teutberg sont situées au nord-est. Au sud-ouest, la Rhénanie-du-Nord - Westphalie partage une petite part de l'Eifel avec la Belgique et la Rhénanie-Palatinat. Le sud-est est occupé par les régions peu peuplées de moyennes montagnes de Sauerland et de Siegerland. Les régions du Nord-Ouest du Land font partie de la grande plaine allemande du Nord.

    Les principaux cours d'eau qui traversent la Rhénanie-du-Nord - Westphalie sont le Rhin, la Ruhr, l'Ems, la Lippe et la Weser. La Pader, qui ne coule qu'à travers la ville de Paderborn est considérée comme la plus courte rivière d'Allemagne.

    Principales villes

    Le Land compte 28 villes de plus de 100 000 habitants () :

    Autres villes d'intérêt

    Environnement, énergie, climat

    Ce Land est caractérisée par une forte densité de population. Il a une tradition industrielle et minière ancienne et persistante (environ 10 000 emplois sont en Rhénanie liés au charbon et au lignite, soit près de 1/3 des emplois du domaine de l’énergie). Ceci explique en partie une forte anthropisation, une énergie encore très carbonée et une empreinte écologique élevée et un environnement localement dégradé, malgré les efforts d'efficacité énergétique et de renaturation et schémas verts[3] respectueuse du patrimoine industriel[4] entrepris dans le bassin minier rhénan (avec IBA Emscher Park[5]). Ce Land compte parmi les régions d'Europe les plus touchées par les séquelles minières et industrielles.

    Mais il a une politique énergétique[6] qui compte sur une rapide transition énergétique et a aussi été le 1er en Allemagne à légiférer sur la protection du climat (Loi de 2015) en visant une réduction d'un quart de la production de GES en 2020 puis de 80 % en 2050. Il a construit un Plan climat régional (validé en 2014) et une politique énergétique et climatique s'appuyant sur un substrat industriel de qualité (par ex. le barrage du Diemelsee), une Agence régionale de l’énergie via 8 priorités[7] : 1) efficacité énergétique & énergies renouvelables pour les entreprises et les collectivités[8],[9] ; 2) efficience énergétique et construction solaire et bioclimatique[10] ; 3) centrales de production d'énergie innovantes, réseau électrique intelligent et ingénierie de puissance[11] ; 4) biomasse[12] ; 5) carburants et systèmes de propulsion de l'avenir[13] ; 6) piles à combustible et technologies de l'hydrogène[14] ; 7) changement climatique et marché du carbone et des émissions de gaz à effet de serre[15] ; 8) énergie solaire photovoltaïque[16].
    Un Institut pour le climat, l'environnement et l'énergie existe (à Wuppertal) et un important réseau d'acteurs du solaire, ainsi que de l’énergie éolienne (plus de 800 experts et structures) appuient l'objectif d'approvisionnement énergétique de la région à 100 % basé sur des sources renouvelables notamment grâce aux smart grids (pour lesquels une étude a chiffré un potentiel de « bénéfices totaux » de « 55,7 milliards d’euros par an. Par ailleurs, d'ici à 2022, les bénéfices cumulés de la mise en place et l’utilisation des réseaux intelligents s’élèveraient à 336 milliards d’euros »[17].)

    Histoire

    Le congrès de Vienne

    Au congrès de Vienne, la Prusse recouvrait les duchés de Clèves et de Geldern, la principauté de Minden et les comtés de la Marck et Ravensberg qu'elle possédait avant la paix de Lunéville et de l'ancien évêché de Paderborn et la partie méridionale de l'ancien évêché de Münster qu'elle avait reçu en 1803. Le territoire fut complété par la partie occidentale de l'ancien évêché de Munster, les anciens duchés de Berg et de Westphalie et tous les territoires à la rive gauche du Rhin au nord de la Nahe. Elle en formait les trois provinces de Juliers-Clèves-Berg, Grand-Duché du Bas-Rhin (Großherzogtum Niederrhein) et Westphalie dont les deux premières furent unifiées à la province rhénane (Rheinprovinz) en 1822.

    L'industrialisation

    La région bénéficie dans la seconde partie du XIXe siècle d'une industrialisation rapide, grâce à ses mines de charbon et ses aciéries. Dans les années 1890 des dizaines de milliers de Mineurs westphaliens émigrent de Pologne vers la Ruhr. Après la fin de la Première Guerre mondiale, les Mineurs westphaliens se font embaucher par les industriels français souhaitant relancer leur économie, en raison de leur savoir-faire. Environ 50 000 d'entre deux arrivent ainsi en France au début des années 1920, dont près des deux-tiers dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais[18].

    Ces G.I. de la 1re division d'infanterie intégrés à la 1re armée en progression vers Frauwullesheim, en Rhénanie-du-Nord, le , croisent une colonne de jeeps Willys MB.

    Après la Seconde Guerre mondiale

    En 1945, la province de Westphalie et le Nord de la province de Rhénanie avec les districts d'Aix-la-Chapelle, Cologne et Düsseldorf furent occupés par le Royaume-Uni. La partie méridionale de la Rhénanie était, elle, sous occupation française. Le , l'administration britannique unifiait la Westphalie et sa partie de la Rhénanie en Land de Rhénanie-du-Nord - Westphalie. Un Landtag provisoire fut nommé le et renouvelé le après les premières élections municipales. Le , l'État libre de Lippe y fut rattaché.

    Subdivisions administratives

    Le Land est subdivisé en cinq districts (Regierungsbezirke) d'Arnsberg, Cologne, Detmold, Düsseldorf et Münster. Le préfet (Regierungspräsident) est nommé par le gouvernement du Land.

    Au niveau communal existent les deux provinces (Landschaftsverbände) de Rhénanie et Westphalie Est-Lippe. La première comprend les districts de Cologne et de Düsseldorf, et la seconde les districts d'Arnsberg, Detmold et Münster. Les assemblées provinciales (Landschaftsversammlungen) sont élues par les conseils des arrondissements ruraux et arrondissements-villes.

    Depuis la réforme des territoires municipaux des années 1967 à 1974, il y a 31 arrondissements ruraux (Kreise) comprenant 373 communes (Gemeinden) dont 267 villes (Städte), et 23 arrondissements-villes (kreisfreie Städte).

    Districts (Regierungsbezirke)

    Les 5 districts (ou régions administratives) de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, appartenant à 2 Landschaftsverbände :

    Arrondissements (Kreise) et villes-arrondissements (kreisfreie Städte)

    Le Hermannsdenkmal (monument d'Hermann) dans l'arrondissement de Lippe, célèbre le chef de guerre Cherusque Arminius (appelé Hermann en allemand) et la bataille de la forêt de Teutobourg.
    Les 31 arrondissements (Kreise) de Rhénanie-du-Nord-Westphalie
    1. Arrondissement d'Aix-la-Chapelle
    2. Arrondissement de Borken
    3. Arrondissement de Coesfeld
    4. Arrondissement de Düren
    5. Arrondissement d'Ennepe-Ruhr
    6. Arrondissement de Rhin-Erft
    7. Arrondissement d'Euskirchen
    8. Arrondissement de Gütersloh
    9. Arrondissement de Heinsberg
    10. Arrondissement de Herford
    11. Arrondissement du Haut-Sauerland
    1. Arrondissement de Höxter
    2. Arrondissement de Clèves
    3. Arrondissement de Lippe
    4. Arrondissement de La Marck
    5. Arrondissement de Mettmann
    6. Arrondissement de Minden-Lübbecke
    7. Arrondissement de Rhin Neuss
    8. Arrondissement du Haut-Berg
    9. Arrondissement d'Olpe
    10. Arrondissement de Paderborn
    1. Arrondissement de Recklinghausen
    2. Arrondissement de Rhin-Berg
    3. Arrondissement de Rhin-Sieg
    4. Arrondissement de Siegen-Wittgenstein
    5. Arrondissement de Soest
    6. Arrondissement de Steinfurt
    7. Arrondissement d'Unna
    8. Arrondissement de Viersen
    9. Arrondissement de Warendorf
    10. Arrondissement de Wesel
    Les 23 villes-arrondissements (kreisfreie Städte) de Rhénanie-du-Nord-Westphalie
    1. Aix-la-Chapelle
    2. Bielefeld
    3. Bochum
    4. Bonn
    5. Bottrop
    6. Cologne
    7. Dortmund
    8. Duisbourg
    1. Düsseldorf
    2. Essen
    3. Gelsenkirchen
    4. Hagen
    5. Hamm
    6. Herne
    7. Krefeld
    8. Leverkusen
    1. Mönchengladbach
    2. Mülheim
    3. Münster
    4. Oberhausen
    5. Remscheid
    6. Solingen
    7. Wuppertal
    Le lac Masuren à Duisbourg dans la région industrielle de la Ruhr.

    Politique

    L'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (CDU) gagna les premières élections du Landtag du et forma une coalition avec le SPD, le Zentrum et jusqu'au le Parti communiste d'Allemagne. La constitution fut adoptée par référendum du et entra en vigueur le . Du fait de l'importance de la population catholique du Land et grâce au soutien de l'Église, la CDU resta au pouvoir jusqu'en 1966. Cette année-là et pour la première fois, l'Église catholique n'apporta pas son soutien à la CDU. Le SPD obtint la majorité relative et gouverna en coalition avec le Parti libéral-démocrate (FDP).

    Dès lors, la Rhénanie-du-Nord - Westphalie est devenue un fief du SPD. Le parti socialiste allemand resta en effet au pouvoir jusqu'en 2005. Toutefois, dès les années 1990, les résultats aux différentes élections marquaient un recul progressif du SPD en raison notamment du nombre décroissant d'ouvriers syndiqués qui représentaient les électeurs traditionnels du parti.

    Lors des élections de 2005, le SPD est battu par la CDU, qui s'allie avec le FDP. Pour la première fois depuis 1966, le SPD n'est plus au pouvoir en Rhénanie-du-Nord - Westphalie.

    Composition de la 17e législature du Landtag.

    Néanmoins, lors des élections suivantes, en , la CDU recule d'une dizaine de pourcents pour faire jeu égal avec le SPD à 34 % qui subit cependant lui-même une nouvelle érosion, les deux partis obtenant chacun 67 sièges au parlement régional. Le scrutin est marqué par une forte poussée écologiste (+ 11 sièges) et l'entrée au parlement du parti de gauche Die Linke avec 11 sièges et 5,6 % des suffrages[19]. Lors des élections de 2012[20], la CDU subit une importante défaite, perdant 8,3 % (26,3 %), tandis que le SPD reprend 4,6 % (39,1 %) et que le parti Grüne subit une légère érosion (11,3 %). Ce scrutin marque l'entrée du Parti pirate au parlement régional, ayant obtenu un score de 7,8 % tandis que Die Linke en disparait. Les analystes considèrent que ce « pire score [de la CDU] depuis la seconde guerre mondiale », marque un « déclin de la CDU bien pire que ce qui était prévu »[21].

    Cinq ans plus tard, les élections du marquent un renversement de la situation. La CDU retrouve sa place de premier parti du Land avec presque 33 % des voix, tandis que le SPD réalise son plus mauvais score historique avec moins de 32 %. Une éventuelle coalition noire-jaune disposerait de 100 députés sur 199, opérant un nouveau basculement du Landtag vers le centre droit.

    Liste des ministres-présidents

    1946 - 1947 : Rudolf Amelunxen (Zentrum)
    1947 - 1956 : Karl Arnold (CDU)
    1956 - 1958 : Fritz Steinhoff (SPD)
    1958 - 1966 : Franz Meyers (CDU)
    1966 - 1978 : Heinz Kühn (SPD)
    1978 - 1998 : Johannes Rau (SPD)
    1998 - 2002 : Wolfgang Clement (SPD)
    2002 - 2005 : Peer Steinbrück (SPD)
    2005 - 2010 : Jürgen Rüttgers (CDU)
    2010 - 2017 : Hannelore Kraft (SPD)
    2017 - : Armin Laschet (CDU)

    Économie

    Le Land, qui fut longtemps en Allemagne la région sidérurgique par excellence, accueille encore de nombreuses entreprises industrielles (dont 37 des 100 plus grandes entreprises allemandes[22]) dont Rheinmetall à Düsseldorf, Ford à Cologne, Opel à Bochum, Musketier à Oberhausen, Bayer à Leverkusen et Wuppertal, Henkel, Dr. Oetker (Ancel) à Bielefeld, Bertelsmann (RTL) à Gütersloh, ThyssenKrupp et ABP Induction Systems ce qui en fait l'économie la plus importante d'Allemagne.

    Le taux de chômage de 7,4 % ()[23] est supérieur au taux moyen allemand.

    Recherche

    Fiche détaillée

    La Rhénanie du Nord – Westphalie est une région à la pointe de la technologie et de la recherche scientifique : elle compte 69 établissements d’enseignement supérieur, 12 instituts Max-Planck, 11 instituts Fraunhofer, 12 instituts de la communauté Leibniz, 9 instituts de recherche fédéraux, plus de 60 centres de technologie ainsi que trois grands centres de recherche de la communauté Helmholtz répartis sur tout le Land. Les domaines représentés (biotechnologies, microélectronique, analyse sensorielle et intelligence artificielle, technique des matériaux et technologies environnementales) posent les bases pour le développement des technologies clés qui vont donner de l’essor à une dynamique industrielle, qui se fait en étroite coopération avec la science. La recherche de base pratiquée dans les écoles techniques supérieures ou dans les instituts Max-Planck et Fraunhofer est le moteur de l’avancée technologique. En outre, les liens étroits avec l’industrie dans le transfert de technologie rendent cette recherche très fructueuse. Le Centre de recherche de Juliers (FZJ - Forschungszentrum Jülich) et l’Agence spatiale allemande (DLR – Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt) à Cologne – Porz effectuent par exemple des travaux de recherche de renommée internationale. Des réseaux de compétence permettent ensuite de relier les savoir-faire et proposent des plates-formes technologiques permettant d’échanger les expériences et de mettre en place des coopérations.

    Sport

    Club Sport Ligue Stade/enceinte Date de fondation
    BV 09 Borussia Dortmund football 1. Bundesliga Signal Iduna Park 1909
    FC Schalke 04 football 1. Bundesliga Veltins-Arena 1904
    Borussia Mönchengladbach football 1. Bundesliga Stadion im Borussia-Park 1900
    TSV Bayer 04 Leverkusen football 1. Bundesliga BayArena 1904
    Fortuna Düsseldorf football 1. Bundesliga Merkur Spiel-Arena 1895
    FC Cologne football 1. Bundesliga RheinEnergieStadion 1948
    VfL Bochum football 2. Bundesliga Rewirpowerstadion 1938
    MSV Duisbourg football 3. Bundesliga Schauinsland-Reisen-Arena 1902
    RC Aachen rugby à XV 1. Bundesliga ? 1950
    ASV Köln Rugby rugby à XV 1. Bundesliga Olympiaweg 3 1951
    TuS 95 Düsseldorf rugby à XV 1. Bundesliga ? 1895
    TuS Nettelstedt-Lübbecke handball 1.Bundesliga Merkur Arena 1949
    GWD Minden handball 1.Bundesliga Kampa-Halle 1924
    TBV Lemgo handball 1.Bundesliga Lipperlandhalle 1911
    VfL Gummersbach handball 1.Bundesliga Schwalbe-Arena 1923
    Bergischer HC 06 handball 1.Bundesliga Uni-Halle 2006
    TV Emsdetten handball 1.Bundesliga Ems-Halle 1898
    Iserlohn Roosters hockey sur glace Deutsche Eishockey-Liga Eissporthalle Iserlohn 1959
    Krefeld Pinguine hockey sur glace Deutsche Eishockey-Liga KönigPALAST 1936
    Düsseldorfer EG hockey sur glace Deutsche Eishockey-Liga ISS Dome 1935
    Kölner Haie hockey sur glace Deutsche Eishockey-Liga Lanxess Arena 1972
    Phoenix Hagen basket-ball Basketball-Bundesliga ENERVIE Arena im Sportpark Ischeland 2004
    Telekom Baskets Bonn basket-ball Basketball-Bundesliga Telekom Dome 1995
    VC Bottrop 90 volley-ball 1.Bundesliga Dieter-Renz-Halle 1990
    Moerser SC volley-ball 1.Bundesliga Enni-Sportpark Rheinkamp 1985
    Evivo Düren volley-ball 1.Bundesliga Arena Kreis Düren 1847

    Notes et références

    1. https://www.science-allemagne.fr/wp-content/uploads/2018/06/LB-Fiche-NRW.pdf=start
    2. Données Eurostat - PIB régionaux en 2007 - 513 705 millions SPA pour la Rhénanie-du-Nord-Westphalie
    3. Laruelle, N. Schémas verts régionaux en Europe: de la théorie à la pratique. Composer avec l’environnement ; Les cahiers de l'IAU (voir p. 58/59)
    4. Lusso, B. (2013). Patrimonialisation et greffes culturelles sur des friches issues de l’industrie minière. Regards croisés sur l’ancien bassin minier du Nord-Pas de Calais (France) et la vallée de l’Emscher (Allemagne). EchoGéo, (26).
    5. SiebeL, W. (1993). L’IBA ou l’exposition internationale d’urbanisme d’Emscher Park: une stratégie pour le renouveau économique, écologique et social d’une ancienne région industrielle. Espaces et Sociétés, 72, 65-76.
    6. EnergieAgentur.NRW, consulté 2007-05-2015
    7. [}http://www.energieagentur.nrw.de/themen/themenfelder-5260.asp Themenfelder] ; energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    8. Energieeffizienz und erneuerbare Energien in Unternehmen , Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    9. Energieeffizienz und erneuerbare Energien in Kommunen ; energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    10. Energieeffizientes und solares Bauen, Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    11. Kraftwerks- und Netztechnik, Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    12. www.biomasse.nrw.de, Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    13. Kraftstoffe und Antriebe, Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    14. Brennstoffzelle und Wasserstoff , Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    15. Klimaschutz und Emissionshandel , Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    16. Photovoltaik, Energieagentur.nrw, consulté 2015-05-27
    17. 1re partie d’une étude « Réseaux intelligents : potentiels et défis » faite avec le Cercle de Munich (ONG supranationale de recherche en communication) et commandée par l'Association allemande des technologies numériques (BITKOM), rendue le 13 novembre 2012 à Essen (Rhénanie du Nord-Westphalie), dans le cadre du Sommet national sur les technologies de l’information organisé par le Ministère fédéral de l’économie et de la technologie (BMWi)
    18. Polonais d'Alsace: pratiques patronales et mineurs polonais dans le bassin potassique de Haute-Alsace, 1918-1948, par Yves Frey, aux Presses universitaires de Franche-Comté, 2003, page 220 .
    19. Sources : Information und Technik Nordrhein-Wesfalen, in Frankfurter Allgemeine Zeitung, 10 mai 2010, résultats en ligne
    20. Landtagswahl am 13. Mai 2012 in Nordrhein-Westfalen, sur le site wahlrecht.de
    21. Valentine Pasquesoone, Régionales en Allemagne : "un revers considérable" pour la CDU mais relatif pour Merkel , in Le Monde, 14 mai 2012, article en ligne
    22. Source : le site officiel du Land.
    23. http://www.pub.arbeitsagentur.de/hst/services/statistik/000000/html/start/karten/aloq_kreis.html

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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