Reynès
Reynès est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Les habitants de Reynès sont appelés les Reynésiens, Reinesencs.
Reynès | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vallespir | ||||
Maire Mandat |
Guy Gatounes 2020-2026 |
||||
Code postal | 66400 | ||||
Code commune | 66160 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Reynésiens, Reynésiennes | ||||
Population municipale |
1 291 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 28′ 34″ nord, 2° 42′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 1 440 m |
||||
Superficie | 27,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Céret (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Céret (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Géographie
Localisation
La commune de Reynès se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].
Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 4 km de Céret[3], sous-préfecture, et à 3 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[4], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Céret[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Amélie-les-Bains-Palalda (3,0 km), Céret (3,8 km), Montbolo (4,5 km), Arles-sur-Tech (6,4 km), Taillet (6,5 km), Vivès (7,5 km), Oms (7,7 km), Saint-Jean-Pla-de-Corts (8,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Reynès fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[6].
Géologie et relief
Le point culminant de Reynès est le Roc de France.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Amelie-les-Bains », sur la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda, mise en service en 1977[15]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,6 °C et la hauteur de précipitations de 889,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 29 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[23], d'une superficie de 1 467 ha, hébergeant le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[25] :
Urbanisme
Typologie
Reynès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Céret, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[32] et 13 888 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Céret dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].
La commune compte plusieurs écarts et hameaux (veïnats) :
- le Bourg de Reynès ;
- la Forge (La Farga) ;
- le Pont de Reynès ;
- les Andreuics ;
- la Cabanassa ;
- le Vila (El Vilar) ;
- Mas de Sant Pau et Sant Pau ;
- Buçac ;
- can Borrell
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), zones urbanisées (3,8 %), cultures permanentes (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[37].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Les lignes 530 (Arles-sur-Tech - Gare de Perpignan), 531 (Prats-de-Mollo-la-Preste - Gare de Perpignan) et 532 (Coustouges - Gare de Perpignan) du réseau régional liO desservent la commune.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Notes :
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].
En 2018, la commune comptait 1 291 habitants[Note 8], en diminution de 0,46 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[51] | 1975[51] | 1982[51] | 1990[51] | 1999[51] | 2006[52] | 2009[53] | 2013[54] |
Rang de la commune dans le département | 74 | 79 | 73 | 71 | 68 | 70 | 72 | 69 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 22 janvier[55], jour de la saint Vincent. On distribuait pour cette occasion la Brena, un petit pain de seigle en forme de boule[56].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 27 987 €[57].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Les lieux et monuments notables de Reynès sont les suivants[55] :
- L'église paroissiale Saint-Vincent, achevée en 1727 ;
- L'église Saint-Paul du Vila, construite au XVIIe siècle et comportant des vestiges du Xe siècle ;
- L'église Sainte-Marie du Vila, du XIIe siècle et remaniée en 1775 ;
- Église Saint-Julien de Bussac ;
- Le dolmen du Camp de Seris ;
- L'ancien moulin ;
- Le château de Saint-Paul.
- L'ancien pont du 19-Août-1944
- L'église Saint-Vincent
- Chapelle Saint-Paul
- L'église Sainte-Marie du Vila
- L'église Sainte-Marie du Vila
- L'église Sainte-Marie du Vila en infrarouge
- Mairie de Reynès
- Chapelle Saint-Paul en infrarouge (entrée)
- Le nouveau pont en infrarouge
- Stèle à l'entrée du pont du 19-Août-1944
Personnalités liées à la commune
- Gabriel Domenech (1920-1990) : homme politique né à Reynès.
Voir aussi
Bibliographie
- Étienne Roudier (dir.), Château de Reynès. Sondages archéologiques : Rapport Final d’Opération Campagne de sondages Janvier-Février 2018, Acter Archéologie, 72 p. (lire en ligne).
- (ca) Montserrat Cailà Guitart et Jean-Paul Escudero, Història dels noms de Reiners : les arrels d'un poble del Vallespir, Institut d'Estudis Catalans, , 246 p. (ISBN 84-7283-805-6, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Un site associatif sur Reynès
- Reynès sur le site de l'Institut géographique national
- Plan de prévention des risques naturels de Reynès (lire en ligne)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Reynès », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Reynès et Amélie-les-Bains-Palalda », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Reynès », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
- Carte IGN sous Géoportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Amelie-les-Bains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Reynès et Amélie-les-Bains-Palalda », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Amelie-les-Bains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Reynès et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Reynès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101478 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Reynès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « le Vallespir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière le Tech » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Céret », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Céret », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Aymat Catafau, Les Celleres et la naissance du village en Roussillon, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan, , 771 p. (ISBN 2-905828-97-8, lire en ligne).
- R. Villalongue a parrainé la candidature de Jean Saint-Josse à l'élection présidentielle de 2002, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
- http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=2533
- Préfet des Pyrénées-orientales, « Arrêté préfectoral du 15 mai 2014 conférant l'honorariat à Monsieur Roger VILLALONGUE, ancien maire de la commune de Reynès », sur www.pyrenees-orientales.gouv.fr, (consulté le ).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- L'Indépendant, 25e anniversaire du jumelage Reynès-Maçanet de Cabrenys, 28 septembre 2013
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Guide du Roussillon et de l'Andorre : touristique, historique, social, économique, Perpignan, Sud Roussillon, , 286 p..
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Portail des communes de France
- Portail des pays catalans
- Portail des Pyrénées
- Portail des Pyrénées-Orientales